Le site de l'histoire érotique
jyp
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23-02-2013
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Age : 70 ans

J'aime lire toutes sortes d'histoires, classiques et moins classiques; erotiques, cela fait fantasmer et bander


Toujours libre et prêt à tout...
jyp
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Je crois qu’il faut que je complète un peu cette présentation.
Alors voilà… et les histoires que j’ai écrites ici s’en inspirent…
Je suis né  en 1954, c’est il y a (très) longtemps pour certains…

Et sans me rendre compte de l’aspect érotique de l’affaire, que j’ai découvert bien longtemps après, j’avais été élevé depuis tout petit, à ne pas toujours mettre de sous-vêtements, de maillot de corps sous la chemise, ou de slip, en short ou en pantalon. L’été, maman disait souvent : « habilles toi juste comme ça, sans rien dessous », ou le matin, « tu n’as pas besoin de slip aujourd'hui ». Je n’ai pas souvenir d’avoir beaucoup de fois mis des slips pendant les  vacances.

C’était une habitude qui venait du coté de mon père, d'une famille de la campagne  très adepte du sans culotte. Papa n'avait connu les slips que fort tard, ayant passé toute son enfance sans, sans qu'il en soit gêné. Il n'en mettait pas toujours à la maison, et jamais l'été, sous les shorts.  Ma mère, convertie, si je puis dire,  avait également adoptée pour elle et pour ses enfants cette pratique. Un peu moins de lessive à une époque où on avait pas encore de machine à laver, et une meilleur aération sous les shorts ou même les culottes longues.

Il n’y a eu qu’à l’école primaire que j’ai porté systématiquement des slips, maman y tenait,  encore que dès le CE1, j’avais repéré deux jumeaux de ma classe qui n’en portaient jamais sous leurs shorts en jeans, bien courts et larges, les shorts … Comme quoi, on était pas la seule famille comme ça…J’aurai bien voulu faire pareil, les présentant en exemple, mais mes parents, qui pourtant connaissaient ces jumeaux et leurs parents, ne voulaient pas. Papa que cela n'aurait pas dérangé, ne voulait pas désapprouver maman.   J’en étais jaloux et les enviais. Tout ce que j’avais gagné à force d’insister, c’était la menace du martinet…

De cette prime époque date mon attirance pour les sans culottes…garçons ou filles…

Cependant, à peine plus vieux, comme le jeudi maman ne me donnait pas de slip parce que je n'en avais pas besoin pour rester jouer à la maison, dès le CM1, j'ai commencé à aller au catéchisme  à poil sous mes culottes courtes, les jeudis matins. Plus d'un copain a dû le voir, les culottes courtes étaient courtes,  mais personne ne m'a jamais rien dit.
Arrivé au lycée, en sixième, après l'été en liberté sous les shorts, cela m’arrivait de plus en plus fréquemment de ne plus avoir envie de mettre un slip le matin, sans que cela ne gêne mes parents plus que ça. Du moment que cela ne se savait pas, ou pas trop... Le pli était pris…Il n'y avait que les jours de gym, où je faisais attention à mettre un slip.

Pour aller à la retraite de première communion, en fin de sixième, j'avais sur moi une solide culotte courte en velours, qui me servait surtout à la maison pour jouer, ou les week-ends. Je me suis retrouvé dans un dortoir à enlever celle-ci pour me mettre au lit.  Je n’avais pas mis de slip, parce qu' habituellement sous cette culotte là je n'en mettais jamais, je me sentais mieux sans, alors que mes parents m’avaient pourtant bien prévenu que je serai avec d’autre enfants que je ne connaissais pas.

Eh bien, le plus gêné, ça n’a pas été moi. Je me souviens que mon voisin le plus proche ouvrait des grands yeux et a rougi quand il m’a vu me déshabiller complètement, d’abord le haut, puis le bas, enlevant ma culotte. Après un Oh ! d’étonnement, il m’a demandé pourquoi je n’avais pas de slip.

Je lui ai dit que c'était comme ça chez nous,  que sous les culottes courtes, je n’en mettais pas, et pas toujours non plus sous les culottes longues. Il n'a rien dit.  Il avait un pyjama, (veste et culotte) ; je n’en avais pas parce qu’à la maison on en avait pas, et je me couchai tout nu devant lui. Il a passé son pyjama, en ayant enlevé son slip.  Le lendemain matin, en me voyant me rhabiller, il a hésité, puis il prit sa culotte courte et m’a dit qu’il allait essayer de faire comme moi, pour voir comment ça faisait, sans slip. Il a dit que ça lui faisait tout drôle, que tout le monde devait s’en apercevoir, mais le jour d’après, il a recommencé et remis sa culotte directement sans rien dessous. Il aura appris quelque chose pendant sa retraite de première communion.

Et puis, dans ces années là, un autre registre m’a marqué au plan érotique. J’ai eu, jeune ado, peu après les culottes courtes en velours, pour la maison et les vacances,  des culottes courtes tyroliennes en cuir. Elles étaient bien trop grandes et trop larges au début, mais cela n'en était que plus confortable. Avec les bretelles, on ne les perdait jamais.  Evidemment  je n'ai jamais rien mis dessous non plus dès le premier jour, avec l'assentiment de mes parents.

D'ailleurs, à l'origine, ces rustiques culottes courtes étaient normalement portées comme ça,  j'en ai eu la confirmation à plusieurs reprises. En témoignent les coutures montées à l'envers, pour éviter les aspérités à l'intérieur. Très pratiques pour maman et pour moi, insalissables, increvables… Le cuir à même la peau, c’est confortable, agréable, quand il fait frais, c’est plutôt chaud, et en été on ne transpire pas dessous, comme avec du synthétique. Et c'est sensuel, viril... L’été,  je ne mettais plus que ça.

Mes premières branlettes, vers 14 ans, ça a été avec ma culotte tyrolienne. Pratique d’ouvrir juste le rabat de devant et de gicler. Et le cuir, ça masque mieux que le tissu quand on commencer à bander.  Maman les lavait de temps à autre, beaucoup moins souvent que les autres vêtements,  au savon et à l’eau froide ; il suffisait de remettre un peu de graisse pour cuir dessus à l'extérieur lorsque c’était sec, et ça repartait pour un tour ; une impression d’un peu rétréci quelques minutes, puis cela reprenait rapidement sa forme initiale.. Même si ces culottes n’étaient pas très répandues en France, on en voyait quand même quelques-unes sur les gosses à l’époque. Je les ai moi-même quelque fois mises au lycée les samedis matins...Toujours sans rien dessous.

Et ma première petite copine a été fort surprise lorsqu'elle a passé sa main sous la jambe béante du short, trouvant plus vite qu'elle ne s'y attendait, ce quelle cherchait. Main qu'elle n'a pas retiré pour autant, au contraire. Elle ne m'a embrassé que plus fort, j'ai commencé à bien suinter dans la culotte en cuir, qui ne craignait rien. Un coup d'éponge suffisait dans ces circonstances. Sa robe, par contre, avait une trace humide bien visible.

J’ai toujours eu depuis des shorts en cuir, de coupe jeans, on en trouvait dans les années soixante dix, ou des lederhosen tyroliennes classiques, je ne peux pas m’en passer, j’en porte encore, chaque été. Et j’ai eu des jeans en cuir, sans doublure, achetés en Allemagne. Là encore, très agréable et érotique, bien sûr toujours à poils dessous.

Pour les jeans normaux, idem, jamais rien dessous, je ne supporte pas d’être enfermé. Idéal aussi pour dégainer vite…
Je me suis toujours demandé comment on pouvait se faire faire une petite pipe, avec un slip fermé sous son pantalon.  Sans compter que le tissu du slip, ça ne doit pas être agréable non plus pour la bouche ou la langue suceuse.

En tous cas, mes copines, puis ma femme m’ont toujours connu comme ça, elles ont su apprécier.
Et je suis toujours étonné du peu de jeunes qui ne portent pas de sous-vêtements de nos jours.

Dernière modification par jyp (Le 21-01-2018 à 04h13)


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Bienvenue à toi l'ami !

Vu la longueur de ta présentation fort instructive sur le non port du slip !
Et que tu as mis quatre ans à écrire...

Nous avons le même âge, et je n'ai pas eu la chance d'avoir eu cet éducation, mais ce n'est pas grave. Je suis aussi un peu surpris de lire que des parents était les initiateurs de cette situation dans cette époque où tout était caché, où il fallait faire attention. Chez moi, il était hors de question voire impensable de parler de cela, mais bon !

Si pour toi, ta présentation si tardives est là pour faire ressortir tes histoires, vérifie qu'elles soit compatibles avec le charte actuelle.

Au plaisir !

Pat wink

Dernière modification par Pikatchu (Le 21-01-2018 à 08h07)


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Pikatchu :

Bienvenue à toi l'ami !

Vu la longueur de ta présentation fort instructive sur le non port du slip !
Et que tu as mis quatre ans à écrire...

Nous avons le même âge, et je n'ai pas eu la chance d'avoir eu cet éducation, mais ce n'est pas grave. Je suis aussi un peu surpris de lire que des parents était les initiateurs de cette situation dans cette époque où tout était caché, où il fallait faire attention. Chez moi, il était hors de question voire impensable de parler de cela, mais bon !

Si pour toi, ta présentation si tardives est là pour faire ressortir tes histoires, vérifie qu'elles soit compatibles avec le charte actuelle.

Au plaisir !

Pat wink

C’est vrai que je suis resté plusieurs années sans chercher à écrire sur ce site..

Oui, mes parents trouvaient cela normal de pouvoir ne rien mettre dessous. Elevés avant-guerre, c’était certainement encore très fréquent à  l’époque où eux-mêmes étaient enfants. En famille, on était assez libres, par exemple ils ne se cachaient pas dans la salle de bain ou leur chambre pour s’habiller.  Par contre, ils faisaient le nécessaire pour que le rien dessous ne se voie pas , ou pas trop, à l’extérieur de chez nous. Les temps changeaient.
Ils nous disaient de serrer les cuisses quand on était petits.  Et c’est pour ça qu’à l’école primaire, j’avais des slips, contrairement à mon père qui, môme, n’en avait jamais mis.

Ceci étant, ce n’était pas le laxisme total, loin de là. Mes parents étaient très stricts sur le travail scolaire ou la façon de s’exprimer, peut-être plus que d’autres: pas de gros mots, et respect des adultes, ne pas couper la parole. Ecouter les autres. Je ne le regrette pas.

Enfin, tout de même et en dehors des jumeaux dont j’ai parlé, on  n’était pas les seuls enfants à ne rien mettre dessous. Il faut dire que j’ai toujours cherché à regarder ce point. Déjà un peu voyeur, quelque part.  Mais on ne voit bien que ce que l’on observe.

Plus d’une fois j’ai pu le vérifier, l’été en vacances  sur des gamins et aussi des gamines… dont des cousines qui n’avaient rien non plus sous leurs shorts, vers 12/13 ans. Ça se voyait quand on jouait. A l’école, ou plus tard au lycée,  c’était surement  déjà de moins en moins  commun,  mais cela ne gênait pas  mes parents. Cela ne leur est jamais revenu de l’extérieur à leurs oreilles.


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Je n'ai pas connu cela nous n'étions pas du "même milieu" Ma famille était soit disant bourgeoise et pour moi l'éducation très catho, pratiquante, et bien sur l'école privé de curé, frères avec la messe, enfant de cœur et les scouts ; comment veux-tu ne pas mettre de slip ?

Quel était cette chose qui nous pendait entre les jambes; Mon Dieu, cacher moi ceci !
Je n'ai bien évidemment pas reproduit cette éducation, bien au contraire.


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Pikatchu :

Je n'ai pas connu cela nous n'étions pas du "même milieu" Ma famille était soit disant bourgeoise et pour moi l'éducation très catho, pratiquante, et bien sur l'école privé de curé, frères avec la messe, enfant de cœur et les scouts ; comment veux-tu ne pas mettre de slip ?

Quel était cette chose qui nous pendait entre les jambes; Mon Dieu, cacher moi ceci !
Je n'ai bien évidemment pas reproduit cette éducation, bien au contraire.

C’est certain, que chez moi on était pas des bourgeois et on en les enviait pas. J’allais à l’école publique. La fréquentation de l’église, c’était à la Française, c’est-à-dire baptême, première communion, mariages, enterrements, et surtout pas tous les dimanches, sauf évidemment la durée de la préparation de  la première communion.
Les scouts, et les enfants de cœurs, ce n’était  effectivement pas pour nous.

Je soupçonne toutefois  que mes grands-parents, surtout mes grand-mères croyaient en Dieu, mais certainement pas en leurs représentants locaux directs, les curés de paroisse. Il y avait quelque fois à la maison des histoires lestes à leur sujet.
La pudeur de ces derniers  n’était que de façade, les histoires récentes au sein de l’Eglise qui s’ouvre à parler maintenant, on montré ces dernières années que certains prêtres étaient franchement pervers.
Maintenant, est-ce  bien« humain » d’imposer le célibat et surtout la chasteté officielle? Ca dure depuis le quatrième siècle, ce quia fait la longévité de l’Eglise, mais à quel prix ?

Pour ce qui est de reproduire l’éducation, j’ai eu une fille. Elle met des dessous, mais en été je l’ai vue sans SG. Sans petite culotte, je ne sais pas, en tous cas,  elle sait bien que moi je n’ai jamais rien dessous.

A+!


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Pikatchu
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J'ai gardé trop de mauvais souvenir de l'école privée, mis à part quelques profs qui prenaient leur métier à cœur.
J'en ai souffert physiquement et mentalement et je laisserai de côté cette période.

Pour moi, il y a bien plus important à faire que de passer du temps voire même perdre son temps dans une église...

Pour nos enfants nous avons choisi (ma femme et moi) une autre forme d'éducation et en particulier le naturisme à la maison ou en vacances, et la liberté. Celle d'avoir le choix de ces actes comme, pour revenir sur le sujet de ce post, le libre choix de porter on pas de sous-vêtements.

Pat wink

Dernière modification par Pikatchu (Le 21-01-2018 à 18h11)


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Très bien!
Félicitations!


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