Le 13/3/2013, sous le titre "Le cocu se rebiffe" j'avais publié une histoire fort proche, à laquelle j'ai emprunté des éléments, des personnages et mêmes certaines phrases. Ici j'ai voulu faire évoluer différemment les protagonistes; Cette fois le mari laisse sa femme courir à sa perte. Elle finira au centre 115, déposée par l'amant marié incapable de s'en occuper au quotidien. Le mari révolté par l'infidélité n'intervient pas pour dissuader la femme volage, ne lui fournit pas les éléments qui la ramèneraient à lui, il a vécu cette situation, il ne veut plus la connaître. Peut-on dans le respect de la loi et de la charte se montrer plus cruel?

Le 115 est un service social sensé aiderles personnes paumées .

Le 115, pourtant dans l'histoire tu as écris le 215, ça doit être une erreur.
Cruel, cruel, c'est bien fait pour elle; il lui a promis le mariage et elle se retrouve sur le trottoir (un indice pour son futur métier ?), elle l'a bien méritée, même les deux autres femmes l'ont prévenues et elle n'a rien voulu entendre.
Deux couples ont été sauvés, sauf celui de notre héro et la femme de Rodolphe qui ne saura jamais ce que son "chère, tendre et fidèle" mari a fait.