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- 25-12-2016
- 11 Messages
j'ai lu de nombreuses histoires sur notre site, toutes sortes d'histoires....mais ce que je n'ai pas aimé ce sont ces noms-qualificatifs reservé aux femmes comme : salope, pute, bouffeuse de foutre etc...etc....
Est ce obligatoire, dans une histoire érotique?
avoir vécu donne un avantage qui se nomme experience.....et comme tout homme qui a de l'expérience je veux la partager, par des écrits et des actes. Celles qui veulent m'aider sont les bienvenues. <3
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- 01-01-2012
- 32311 Messages
Je pense que l'insulte la plus cuisante que l'on pourrait te faire, c'est te traiter de "rampant" !
Un loup qui ne se laissera pas déconstruire !
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- 07-11-2015
- 635 Messages
demon de minuit :
j'ai lu de nombreuses histoires sur notre site
Notre site?
C'est adorable de te sentir aussi concerné seulement quelques jours après ton inscription. Bravo pour ton implication !
Pour répondre à ta question, les histoires de cul se construisent avec un vocabulaire précis qui répond à l'attente du lecteur.
Il n'y a rien d'obligatoire. Il s'agit simplement, comme la plupart du temps, d'une question d'offre et de demande...
"Notre malheur n'atteint son plus haut point que lorsque a été envisagée, suffisamment proche, la possibilité pratique du bonheur."
Michel Houellebecq
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- 25-12-2016
- 11 Messages
Enfin!...C'est une question de point de vue .
En ce qui me concerne: je ne le partage pas car pour moi, une femme et peu importe son âge est une personne qui a ses envies comme moi, qui a un ressenti: comme moi et même si elle apparaît comme héroïne dans une histoire de cul ou érotique, je pense que de la traiter de salope, de pute ou d'autres qualificatifs aussi peux agréables, ce n'est surement pas pour lui faire honneur......
Enfin! je ne vais pas entrer dans des discutions philosophiques qui de toutes façons, n'ont pas leur place ici sur ce site.
J'ai mes idées et......je respecte celles des autres, même si quelques parts: elle me déplaisent.
Je vous souhaite un joyeux réveillon de la Saint Sylvestre, quand à 2017: on verra ça l'année prochaine.
Bises amicales
Joseph
avoir vécu donne un avantage qui se nomme experience.....et comme tout homme qui a de l'expérience je veux la partager, par des écrits et des actes. Celles qui veulent m'aider sont les bienvenues. <3
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- 25-08-2016
- 86 Messages
et bien nous sommes maintenant en 2017... donc bonne année à vous seul et aux autres aussi ...
concernant les mots crus ou autres insultes verbales, elles n'ont pas forcément pour volonté d'humilier la femme, c'est souvent plus l'attitude vis à vis d'une femme qui est (ou non) humiliante.
l'insulte n'est donc pas dans les mots mais dans le comportement.
Pour information, je ne suis pas un adapte des insultes...
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- 03-01-2017
- 290 Messages
Bonjour,
Personnellement, je suis un grand fan de coprolalie.
J'adôôôre ça.
sage pas sage en apprentissage
- 07-05-2017
- 3 Messages
Avec le politiquement correct le port du pénis(et de préférence micro-) est obligatoire pour apprécier d'entendre salope, trainée, bouffeuse de foutre... C'est bien connu les femmes sont des victimes sans envies ni perversions.
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- 20-01-2016
- 3508 Messages
demon de minuit :
j'ai lu de nombreuses histoires sur notre site, toutes sortes d'histoires....mais ce que je n'ai pas aimé ce sont ces noms-qualificatifs reservé aux femmes comme : salope, pute, bouffeuse de foutre etc...etc....
Est ce obligatoire, dans une histoire érotique?
Je suis entièrement d'accord avec toi. Je ne suis pas contre une insulte si elle a lieu d'être dans une histoire mais dans certaines histoires, j'ai l'impression que ces mots deviennent plus des synonymes de femme que des insultes réservées à un contexte bien précis. Et finalement, comme disait l'autre, trop d'insultes tue l'insulte.
Elle était tellement rousse que même les carottes la vouvoyaient.
"La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion pour ne pas offenser les imbéciles." Dotoïevski. "Je préfère viser la perfection et la rater, que viser la médiocrité et l'atteindre" F. Blanche.
- 30-04-2017
- 32 Messages
ce sont les partenaires hommes ou femmes qui fixent les règles des rapports amoureux avec ou sans insultes , ç est le choix de chacun qu il faut accepter , quand aux histoires... ce ne sont que des histoires...
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- 20-01-2016
- 3508 Messages
zooave :
ce sont les partenaires hommes ou femmes qui fixent les règles des rapports amoureux avec ou sans insultes , ç est le choix de chacun qu il faut accepter , quand aux histoires... ce ne sont que des histoires...
L'utilisation généralisée des insultes pour parler de son (ses) partenaire(s) dénote soit d'une certaine vision de celui ou celle-ci, soit d'un appauvrissement du vocabulaire. Et bien souvent les deux vont ensemble.
Je suis désolé mais quand je lis 3 histoires d'affilée et que je me farcis de la pute et de la salope à longueur de page, ça ne me donne pas envie de continuer. La plupart du temps je trouve cela contre-productif. Je le rapprocherais du jeu éminemment faux des "acteurs" de films porno ou à l'attirail exagérément tout en cuir et en clous des maitres sm. S'en devient risible.
Elle était tellement rousse que même les carottes la vouvoyaient.
"La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion pour ne pas offenser les imbéciles." Dotoïevski. "Je préfère viser la perfection et la rater, que viser la médiocrité et l'atteindre" F. Blanche.
- 23-03-2016
- 654 Messages
Doogy Woogy :
L'utilisation généralisée des insultes pour parler de son (ses) partenaire(s) dénote soit d'une certaine vision de celui ou celle-ci, soit d'un appauvrissement du vocabulaire. Et bien souvent les deux vont ensemble.
C'est également généraliser que d'affirmer ceci.
Je veux bien admettre être dépourvu de vocabulaire mais je n'y vois aucun rapport avec ma passion pulsionnelle de la grossièreté. L'insulte est un discours avec soi-même. Lorsque je l'emploie à outrance dans un texte, c'est pour caractériser un personnage, voire un état.
Hihihi !
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- 20-01-2016
- 3508 Messages
Appat :
Doogy Woogy :
L'utilisation généralisée des insultes pour parler de son (ses) partenaire(s) dénote soit d'une certaine vision de celui ou celle-ci, soit d'un appauvrissement du vocabulaire. Et bien souvent les deux vont ensemble.
C'est également généraliser que d'affirmer ceci.
Je veux bien admettre être dépourvu de vocabulaire mais je n'y vois aucun rapport avec ma passion pulsionnelle de la grossièreté. L'insulte est un discours avec soi-même. Lorsque je l'emploie à outrance dans un texte, c'est pour caractériser un personnage, voire un état.
Que tu emploies les insultes pour caractériser un personnage ne me dérange pas, si cette caractéristique à une logique dans ton histoire. Ce que je trouve gênant serait de n'avoir que des personnages ayant cette caractéristique. Entre autre parce que les personnages ne se distingueraient plus les uns des autres. Or raconter une histoire c'est quand même bien avoir des personnages différents, non?
Elle était tellement rousse que même les carottes la vouvoyaient.
"La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion pour ne pas offenser les imbéciles." Dotoïevski. "Je préfère viser la perfection et la rater, que viser la médiocrité et l'atteindre" F. Blanche.
- 23-03-2016
- 654 Messages
Si la logique est absolue, ce n'est pas le cas d'une histoire régie par des règles, en l'occurrence une charte. En outre, on distingue plus facilement la différence entre des personnages lorsqu'il y a un intermédiaire à leur interprétation : cinéma, théâtre.
Concernant la littérature, l'écriture, il est commun que les personnages n'y soient le fruit que d'une seule personne.
Par définition, l'insulte est une pulsion. Le contenu n'a pas d'importance puisque la cible peut ne pas le comprendre, ou même être absente. Tout dépend d'un cadre et de si le ton est agressif ou affectif, pas de si on est fourni en vocabulaire ou dénué d'imagination. Goujat peut être une insulte, comme on peut tendrement susurrer à l'oreille de "sa petite pute".
Entre nous, comme dit dans un film célèbre, un des grands privilèges de la langue française est de pouvoir aligner des combos de jurons.
"Petite pute", ce n'est pas comme "grosse débile de connasse de catin de merde".
Hihihi !
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