Je suis bien d'accord. Tout ce qui est imaginé n'est pas forcément du fantasme, loin de là d'ailleurs pour mes histoires. Finalement, je choisis fantasme comme je pourrais le faire pour réel. Mes histoires sont ni l'une ni l'autre.

cocolst :

Tout ce qui est imaginé n'est pas forcément du fantasme, loin de là d'ailleurs pour mes histoires. Finalement, je choisis fantasme comme je pourrais le faire pour réel. Mes histoires sont ni l'une ni l'autre.

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Si le fantasme n'est pas imaginaire, qu'est-il? Je sais bien que le réel, lui même,  n'est que le confluent de l'imaginaire  et du symbolique, mais malgré tout j'avoue que je m'y perds un peu...

Sur le plan sanitaire, une personne qui ne différencie pas le réel de l'imaginaire se retrouve classée du côté de la psychose...

Dernière modification par markie (Le 14-10-2017 à 10h16)

En tant qu'amateur d'histoire d'inceste je vous confirme que je suis majeur et même largement majeur. Ce fantasme n'a rien à voir avec l'age.  D'autre part c'est bien un fantasme qui n'a rien à voir avec un souhait. Me frapper ma mère qui existe en réalité ? non merci... ( soit dit en passant, un "fantasme" ce n'est pas une histoires faite pour être réalisée, sinon on peut utiliser la catégorie "histoire vraie").
Quant au sujet de l'inceste, ça a du succès car c'est "juste" le tabou fondateur de notre société. La plus solide des toutes les lois de notre société :"tu ne coucheras pas avec ta mère ni ta fille"... Qui dit tabou dit fantasme...

Dernière modification par tardemars (Le 14-10-2017 à 09h53)

Zeltron :

Ca fait quelques temps que c'est demandé (je ne suis pas le seul) à l'administrateur d'ajouter une catégorie "Fiction" en plus du "Fantasme" et du "Histoire vraie".

On pourrait rajouter également une catégorie "miction" pour les incontinents, "friction" pour les bagarreurs, "diction" pour les bègues, "fission" pour les physiciens, "scission" pour les politiques et une "mission" pour les agents secrets. J'en oublie sans doute.

Zeltron :

Les gens ne lisent pas vraiment cette ligne dans les textes, mais ça me paraît important comme différence,

Est-il absolument fondamental de modifier une ligne que les gens ne lisent pas?

Dernière modification par markie (Le 14-10-2017 à 10h06)

Je ne suis pas d'accord sur ce point, selon moi ( toute proportion gardée) le parricide n'est pas moins tabou que le reste. Tout simplement car nous vivons dans une société où la violence et la mort sont bien plus accessible dès un âge précoce.
J'explique mon idée : si vous regardez un film interdit moins de 12 ans, il y a de forte chance que vous y voyiez une belle scène mettant tout les artifices possibles pour que la mort d'un personnage soir visible compréhensible. Parfois même un beau slow motion sur une balle ôtant la vie de quelqu'un.
À l'inverse dès que le sexe ( ode à la nature créatrice et  aux relations entre être vivants survivants par reproduction) apparaît à l'écran vous voyez apparaître des sigles -16 ou -18.
On favorise la mort et la violence pour poser un tabou sur le sexe.
Selon moi l'inceste est un tabou plus fort que le parricide, car en plus d'être dans une catégorie enclavée par les normes sociétales, elle relève du fantasme inné chez les individus de se rapprocher de ses repères sociaux construit sur le modèle de leur père et mère.

Rejeter la faute sur les auteurs, mouais. On va dire qu'il s'agit du système de l'offre et de la demande. Il suffit de voir le classement des 10 textes les mieux notés de la semaine.

"50 textes les mieux notés", ce qui est différent que de dire les 50 textes. La majorité de toutes les publications ne concerne pas l'inceste, loin de là. On parle bien de votes. Tu peux t'amuser à retourner les questions, mais pour cela il faut lire correctement histoire qu'on commence tout juste a avoir "mal au cul".