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La cage de chasteté alors...lol
- 03-09-2014
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Salut s est bien gentil .mais j'ai besoin de me libéré hihihi
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- 06-07-2017
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As- tu essayé le bromure ? Il parait que ça donne des résultats....
Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges. (Carl Gustav Jung)
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- 06-02-2018
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Ou la la je découvre la discussion... Comme je rejoins Antonin !!!
Celui qui doit transiger c'est toujours le plus demandeur, car on lui renvoie l'image d'un "pas normal"...
Les compromis et les arrangements ne fonctionnent pas bien longtemps... On ne peut pas changer ou faire changer l'autre...
Bref... j'arrive après 2 mois lol
Courage a toietmoi ! Il faut trouver des palliatifs
"Au diable la sagesse. Je ne suis que trop sage.
Seules les Folies entretiennent le goût de vivre..." (Françoise Giroud)
"On désire comme on ecrit" (Marguerite Duras)
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- 11-08-2017
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Lilidoo :
Ou la la je découvre la discussion... Comme je rejoins Antonin !!!
Celui qui doit transiger c'est toujours le plus demandeur, car on lui renvoie l'image d'un "pas normal"...
Les compromis et les arrangements ne fonctionnent pas bien longtemps... On ne peut pas changer ou faire changer l'autre...
Bref... j'arrive après 2 mois lol
Courage a toietmoi ! Il faut trouver des palliatifs
Seriez vous dans cette situation Lilidoo ?
On peut essayer de faire changer l'autre, de le faire évoluer...
mais je pense qu’après une période raisonnable d'attente,il faut effectivement trouver des solutions alternatives...aller voir ailleurs .
C'est bien de respecter les envies ou les "non envies" de l'autre , mais qu'il est aussi important de se respecter soi même !
E Pluribus Unum, (à lui seul il en vaut plusieurs)
- 22-09-2016
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Oui la cage de chasteté peut être une alternative.
Perso ma femme s’est complètement libérée depuis que j’en porte une 24/24 7/7 et qu’elle seul a la clé.
Femme transgenre dont la transition a débuté en mars 2021
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- 06-02-2018
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antonin mordore :
Seriez vous dans cette situation Lilidoo ?
On peut essayer de faire changer l'autre, de le faire évoluer...
mais je pense qu’après une période raisonnable d'attente,il faut effectivement trouver des solutions alternatives...aller voir ailleurs .
C'est bien de respecter les envies ou les "non envies" de l'autre , mais qu'il est aussi important de se respecter soi même !
Nous pouvons dire sans trop de mystère que cette situation est d’une familiarité désolante.
Cependant je ne prône pas l’infidélité.
Je suis partisane du « tenons bon tant qu’on peut » et puis le jour où cela deviendra trop complexe ou irritable la porte est face à moi, je n’ai qu’a la franchir...
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- 11-08-2017
- 2368 Messages
Pour reprendre vos propos lilidoo, moi non plus je ne la prône pas, j'ai l'habitude d’être honnête dans mes rapports avec les autres.
Néanmoins lorsqu'on tourne en rond en discussions franches mais qui restent stériles, qui durent depuis une décennie, on a tendance à voir les choses autrement.
Se faire du mal à soi même n'est pas la solution non plus.
Tout en étant féministe et très libérateur pour ma femme, qui est encore à son age une femme enfant, je reste un homme très protecteur qui ne veut pas renoncer à ses responsabilités.
Chaque cas est compliqué et différent, cela dit je pense que dans ma situation il serait très destructeur pour elle de lui dire " je te quitte parce que j'ai trouvé X ", je sais que c'est sa plus grande terreur .
En fin de compte quelle est la plus grande trahison : quitter pour une autre femme ou avoir une relation la plus discrète possible sans trop de casse ?
Une autre question : Pourquoi hommes et femmes confondus délaissent ils de plus en plus sexuellement leur partenaire ?
le sexe étant la pulsion de vie par excellence, faut il y voir encore une nouvelle preuve de l'affadissement et de la mort lente de notre société occidentale.
Corrélé avec les signaux de médiocrité intellectuelle, artistique, sociologique, démographique, civique et historique ?
En bon connaisseur de la sociologie et de l'Histoire des civilisations depuis 3000 ans, j'y repère de nombreux facteurs allant en ce sens , qu'en pensez vous ?
Dernière modification par antonin mordore (Le 16-03-2018 à 18h15)
E Pluribus Unum, (à lui seul il en vaut plusieurs)
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- 06-02-2018
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antonin mordore :
Pour reprendre vos propos lilidoo, moi non plus je ne la prône pas, j'ai l'habitude d’être honnête dans mes rapports avec les autres.
Néanmoins lorsqu'on tourne en rond en discussions franches mais qui restent stériles, qui durent depuis une décennie, on a tendance à voir les choses autrement.
Se faire du mal à soi même n'est pas la solution non plus.
Tout en étant féministe et très libérateur pour ma femme, qui est encore à son age une femme enfant, je reste un homme très protecteur qui ne veut pas renoncer à ses responsabilités.
Chaque cas est compliqué et différent, cela dit je pense que dans ma situation il serait très destructeur pour elle de lui dire " je te quitte parce que j'ai trouvé X ", je sais que c'est sa plus grande terreur .
En fin de compte quelle est la plus grande trahison : quitter pour une autre femme ou avoir une relation la plus discrète possible sans trop de casse ?
Et quitter avant tout pour soi ? Car c’était bien là mon propos.
Après je ne porte aucun jugement, j’ai par le passé dans d’autres vies, été d’une infidélité massacrante.
antonin mordore :
Une autre question : Pourquoi hommes et femmes confondus délaissent ils de plus en plus sexuellement leur partenaire ?
Je nuancerai vos propos… Je ne parlerai pas de délaissement, mais de flemme. Nous sommes des flemmards, aussitôt acquis on se lasse. La chasse, la séduction sont relégués en queue de wagon. Hommes et Femmes, confondus.
De plus je pense que cela est encore plus accentué quand sexuellement dès le départ la synergie n’est pas la bonne.
Oh ! et puis il ne faut pas oublier que les générations précédentes ont été bridé à mort par la religion catholique (entre autres !) et la manipulation mentale visant à ternir l’accouplement a été si forte qu’ils ne se posaient pas vraiment la question. Le sexe ne servait qu’à se reproduire.
Ce n’est que depuis les années 60 où les esprits et les mœurs populaires se sont à nouveau libérés et où la sexualité a vraiment été si valorisée, examinée et dépecée.
antonin mordore :
le sexe étant la pulsion de vie par excellence, faut il y voir encore une nouvelle preuve de l'affadissement et de la mort lente de notre société occidentale.
Corrélé avec les signaux de médiocrité intellectuelle, artistique, sociologique, démographique, civique et historique ?
En bon connaisseur de la sociologie et de l'Histoire des civilisations depuis 3000 ans, j'y repère de nombreux facteurs allant en ce sens , qu'en pensez vous ?
En bon connaisseur, vous n’êtes pas sans ignorer que chaque grand période de « changement » / « transformation » de nos civilisations à entrainer une période de débauche assez intense où les bordels, le mélange des genres et les pratiques extrêmes étaient monnaies courantes.
La qualité des sociétés n’était à ce moment-là, guère plus intéressante. Je pense aux cours royales qui étaient des bordels magnifiques, par exemple, et le contexte général a certaines époques ne valait pas mieux qu’aujourd’hui…
Seules certaines époques ont réussi à faire ressortir de tout ça de belles choses. Et encore c’est discutable.
Je suis convaincue que c’est un cycle infini, l’histoire, les mœurs et l’affadissement se répètent inlassablement. Comme si régresser à l’infini nous semblait être la solution pour nous élever.
Ca me laisse perplexe...
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- 11-08-2017
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C'est toujours une grande joie de converser avec des interlocutrices de qualité.
Je crois que nous pourrions parler des heures sur ce vaste sujet.
Effectivement l’Église a fait beaucoup de mal quant à la sexualité.
Néanmoins au XIX° siècle, la grande époque des bordels; les couples bourgeois se mariaient pour la respectabilité et la procréation, une sexualité plus récréative étant discrètement laissée aux hommes mariés et certaines femmes dans les maisons closes.
A cette époque toute le lingerie ( guêpières , bas ...) était l’apanage des prostituées.
Il arrivait que certaines femmes mariées, décidées, exercent leur quête du plaisir dans ces endroits.
J'ai même vu certaines anecdotes croustillantes ou le mari rencontrait son épouse, exerçant pour le plaisir le plus vieux métier du monde... quelle ambiance cela devait être !
Paradoxalement quand l’Eglise était moins conne et plus pragmatique, au XIII° siècle, elle autorisa la création de maisons closes pour les étudiants, plusieurs dizaines de milliers, entre 20 et 30 ans et sans femmes.
En effet le taux de viols dans la rue étant devenu effrayant, les services du prévôt des marchands ( le maire de Paris de l’époque), s'organisa avec l’Eglise pour ouvrir ces endroits de tolérance.
Ce n'est qu'a l’avènement de Saint Louis, prude par excellence, que les prostituées furent reléguées sur les bords de la Seine, " les bords d'eaux", ou elles officiaient dans des petites cabanes de bois, le " bordel".
Pour reprendre votre remarque sur le déclin/ évolution des civilisations, je pensais plus particulièrement à la chute de deux empires: Rome et l'URSS.
On y a observé une grande baisse de la sexualité et de la démographie.
Pour moi la baisse de la libido dans une société, tout comme pour un humain est le signe de dégénérescence et déclin physique.
Notre époque est caractérisée par une misère sexuelle dramatique pour les jeunes hommes "déclassés", alors que s’affiche partout une sexualité dite libre et exacerbée, mais TARIFÉE.
Je ne citerai pas tous les sites de rencontre payants, les webcams, l'industrie du porno exponentielle...
Alors qu'effectivement les couples des catégories classes moyennes, "moyennes et basses", semblent essoufflés en ayant perdu le sens d'une sexualité épanouie...
Alors flemme, lassitude, intervention des nouveaux loisirs virtuels ( combien d'hommes préfèrent jouer à la Play station au lieu d'honorer leur compagne, et de femmes pianoter sur leur Smartphone ou faire les magasins, d’après quelques sondages ) stress au travail, angoisse de l'avenir...les facteurs sont multiples.
E Pluribus Unum, (à lui seul il en vaut plusieurs)
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- 04-01-2018
- 1582 Messages
N'oublions pas les perturbateurs endocriniens et les contraceptifs qui, si ils sont efficaces pour empêcher la procréation, peuvent enlever aussi toute libido.
“Si les hommes pouvaient attendre un enfant, l'avortement serait un sacrement.” Florence Kennedy
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- 06-02-2018
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Bonjour,
antonin mordore :
Pour reprendre votre remarque sur le déclin/ évolution des civilisations, je pensais plus particulièrement à la chute de deux empires: Rome et l'URSS.
On y a observé une grande baisse de la sexualité et de la démographie.
Pour moi la baisse de la libido dans une société, tout comme pour un humain est le signe de dégénérescence et déclin physique.
Vous ne citez pas Sodome... L'un des plus anciens exemples de la décadence de la société si l'on s'extirper des récits bibliques....
A l'inverse de ce que vous avancez, pour certaines études psychologiques et sociologiques, les périodes de fortes activités sexuelles seraient des signaux d'alertes. Comme un sursaut.
Ils avancent que l'humanité aurait se sursaut comme un instinct de survie / reproduction, qui les pousserait vers la sexualité et la débauche.
Il y a un article très intéressant sur Agora vox qui avait été écrit en 2010 à ce propos. Il présentait justement les deux thèses. C'était très intéressant.
antonin mordore :
Notre époque est caractérisée par une misère sexuelle dramatique pour les jeunes hommes "déclassés", alors que s’affiche partout une sexualité dite libre et exacerbée, mais TARIFÉE.
Je ne citerai pas tous les sites de rencontre payants, les webcams, l'industrie du porno exponentielle...
Ne serait ce pas simplement le moyen d'accès qui a évolué ? La débauche est toujours la même... Les pratiques extrêmes n'ont pas beaucoup évoluées... Maintenant tout le monde peut l'avoir à sa portée, c'est tout.
De plus puisque vous parlez de Rome, n'est ce pas coutume dans nos sociétés que de donner des "jeux au peuple" pour détourner son attention.
Ne peut on pas logiquement penser que tout cet apanage de la sexualité est une diversion qui s'est savamment orchestrée ?
Napoléon le premier, faisait état de ces techniques de diversions tactiques dans ses mémoires. (en parlant de la galanterie, drôle de mot bien propret)
antonin mordore :
Alors flemme, lassitude, intervention des nouveaux loisirs virtuels ( combien d'hommes préfèrent jouer à la Play station au lieu d'honorer leur compagne, et de femmes pianoter sur leur Smartphone ou faire les magasins, d’après quelques sondages ) stress au travail, angoisse de l'avenir...les facteurs sont multiples.
JeSuisPoly :
N'oublions pas les perturbateurs endocriniens et les contraceptifs qui, si ils sont efficaces pour empêcher la procréation, peuvent enlever aussi toute libido.
Tout cela est un bien vilain mélange qui n'aide pas !
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- 11-08-2017
- 2368 Messages
JeSuisPoly :
N'oublions pas les perturbateurs endocriniens et les contraceptifs qui, si ils sont efficaces pour empêcher la procréation, peuvent enlever aussi toute libido.
Vous avez raison JeSuispoly...cela en plus on n'est pas dans la mouise !
E Pluribus Unum, (à lui seul il en vaut plusieurs)
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- 11-08-2017
- 2368 Messages
Bonsoir,
Pour vous répondre lilidoo:
Effectivement il est prouvé que dans des périodes de grands dangers ( guerres, catastrophes annoncées) le sexe devient un moyen de lutter contre la mort.
En période de guerre, quand on ne sait pas si on sera toujours vivant le lendemain, les relations sexuelles deviennent plus faciles et plus intenses...
C 'est pour cela que des professions reliées à la Mort, pompiers, médecins, infirmières, militaires ont une aura très sexuelle...
Le probleme c''est que notre époque n'est pas menacée par un cataclysme direct ( les gens bien informés vous diraient que si), mais par une perte de sens, une anomie, une déliquescence...il n'y a pas de "tension créatrice".
Consensus mou, peur diffuse et diluée dans le maelstrom médiatique...
Même si la débauche n'a pas changé depuis 2500 ans, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de RMistes dans les clubs libertins.
Une forme de sexualité échappant aux normes conventionnelles sera toujours l’apanage des classes supérieures ...
"Panem et circensens!" je suis tout à fait d'accord avec vous.
Aujourd'hui on dirait RSA et PSG !
A mon humble avis , il y a une politique qui existe depuis plus de 30 ans pour créer des relations antagonistes entre hommes et femmes, qui fait que les relations qui étaient naturelles avant, deviennent des relations tarifées, passant par des sites de rencontres plus ou moins onéreux...
L'humain et les sentiments deviennent des marchandises comme les autres ...
J'adore quand vous citez "Le Corse"...
E Pluribus Unum, (à lui seul il en vaut plusieurs)