C'est frais, printanier...

Je comprends très bien cette "protection" pour un vagin. Mais, à quoi servent les poils pour une zigounette ? Elle dépasse de toute façon même au repos (sauf pour certains malchanceux, mais restons dans la majorité).  C'est sur qu'avoir quelques morpions évitent de se sentir moins seul lors de déserts affectifs, mais tout de même.

Badwell :

Cher Zeltron, la zoophilie était également coutumière, alors.
Je ne me fais pas l'apologue du poil ; mais admettez que la recrudescence des barbus est également proportionnelle avec la fréquentation des instituts d'épilation...

Mais qu'est-ce que tu racontes ? Qu'est-ce que la zoophilie vient faire là-dedans ? Je te parle de l'épilation du corps qui était déjà en vigueur dans l'Antiquité pour montrer que ce n'est pas une mode actuelle contrairement à ce qu'on raconte, tu me rétorques que la zoophilie l'était aussi. Ai-je prétendu que baiser des chèvres et des chevaux était un mal inhérent à notre époque ? Ou que l'épilation corporelle était forcément une bonne chose du fait d'être historique ? Ni l'un ni l'autre. J'aime pas les poils, j'ai expliqué pourquoi, c'est tout. Je n'ai fait qu'exprimer mon avis qui ne corrèle pas avec le tien, bah tant pis, mais je ne force personne à faire ce que je préfère ; surtout si je ne couche pas avec.

J'ai l'impression que tu veux me mettre en tort ou je-ne-sais-quoi en utilisant n'importe quel argument possible... sauf que ça fait des messages inintelligibles et hors sujet.

Une évidence...
"comme un cheveuxxxxxxxx sur la soupe"

Dernière modification par Lilidoo (Le 08-04-2018 à 23h10)

C'est corrigé merci

Lilidoo, bien trouvé Jules Verne.
Me semble néanmoins qu'il se lamente de la lente disparition du poil intime, comme celle de nos mâles crânes.
Et cependant, gourmand, il dresse un hommage appuyé et consentant au remugle dont nous nous délectons, entre vos grandes et petites lèvres, pour obtenir vos délicates attentions.

C'est un poil radical, jeune homme. ^^