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- 15-05-2018
- 5 Messages
Bonjour
Une simple question qui s’adresse à la fois aux auteurs comme aux lecteurs, avez vous plus l’impression d’etre acteur de l’action lorsque la situation est énoncée à la première personne ou 5 eme personne ?
En somme :
Vous lui léchez la vulve avec douceur.
Ou
Je lui lèche la vulve avec douceur.
Il me pénètre les fesses de toute sa longueur.
Ou
Vous vous faites pénétrer les fesses de toute sa logngueur.
En vous remerciant de votre contribution
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 12-05-2018
- 32 Messages
Quand tu dit "5e personne", tu pense en fait à la forme polie de la 2e personne du singulier?
Cela dit, je trouve que la forme polie de la 2e pers. du singulier engendre un style un peu lourd et guindé.
Quand à la forme passive de ton 2e exemple, ce n'est pas du tout mon truc non plus ... après, c'est moi, le passif peut être bien mais point trop n'en faut.
Ce n'est qu'une avis perso.
sur les 30 derniers jours
depuis toujours
- 22-12-2015
- 787 Messages
Ce que tu appelles la cinquième personne (qui s'appelle la deuxième personne du pluriel) ne correspond pas au "vous" que tu emploies. Ce "vous" correspond au vouvoiement, et donc à une forme de politesse.
Pour répondre à ta question, il faut employer la première personne. La formule de politesse ne donnerait pas du tout le même effet (on ne se vouvoie pas soi-même).
Pour connaître les dates de publication de mes nouvelles, c'est ici : http://matchless.eklablog.com
Bonjour,
En ce qui me concerne, je me sens davantage acteur lorsque le récit est raconté à la première personne, même si ça ne suffit pas pour que je m'identifie à un personnage. En tant qu'auteur, j'ajouterais que la troisième personne permet de mettre la distance entre mes personnages et moi lorsque j'écris, mais un lecteur peut aussi se sentir acteur en lisant ce type de texte.
- 15-05-2018
- 5 Messages
Merci de vos reponses, c’est très interressant.
C’est toute la différence entre une narration qui explique ce qui vous arrive et une narration où vous énoncez ce qui vous arrive.
J’avais du mal à trancher
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