Jo connait maintenant mes penchants. Il sait que je suis bi et que j’aime me faire mettre un bon mandrin dans le fion de temps en temps, voir même souvent. Un jour, il me téléphone et me dit.— Salut Jean, est ce que tu es libre ce soir, je fait une plancha de poissons?— Oui, sans problème, à quelle heure?— Arrives vers 19 heures. Tu n’apportes rien, j’ai tout ce qu’il faut.— Ok, à ce soir.Je raccroche et me demande pourquoi il me téléphone. Il n’a jamais mangé chez moi et nous ne sommes pas très intimes.Vers 18 heures 30, je me prépare, c’est à dire que je me fait un lavement très poussé et je me gode le cul pour l’assouplir au cas ou. J’ai un pressentiment que quelque chose se prépare. Il fait très bon, j’habite à côté, donc je m’habille très légèrement. Short et chemisette. Pas de sous vêtements comme d’habitude. A 19 heures, je frappe chez Jo. J’ai tout ce qu’il faut dans un petit sac en cuir, godes, gel, préservatifs. Il m’ouvre et me fait entrer. Son appartement est centré sur un très grand salon-salle à manger cuisine américaine. Le autres pièces sont très petites. Je m’installe sur le divan du salon.— Tu ne vas pas me dire que nous sommes seuls?— Non, des amis arrivent dans 5 minutes, ils m’ont téléphoné qu’ils avaient un petit peu de retard.Me connaissant, il me sert un whisky, lui se sert un pastis. Nous trinquons sans attendre ses amis quand la sonnette retenti. Il vas ouvrir, se sont ses amis. En fait, j’attendais un couple mais ce sont trois hommes qui arrivent. — Jean je te présente Georges, Henri et Mathieu.Ils se dirigent vers moi pour me serrer la main. Georges est grand, mince avec un visage émacié. Henri est aussi grand, mais beaucoup plus fort, il a une coupe de GI et des paluches énormes. Mathieu est plus petit, très viril, on devine chez lui l’assurance d’un homme sûre de lui. Jo sert tout le monde et la conversation commence. Je comprend ce que Jo a dans la tête quand je réalise que tous me regarde avec un drôle d’air et semblent me jauger. Ca va être ma fête et je commence à apprécier.— Jean, viens m’aider à faire cuire les poissons s’il te plait.— Ok, j’arrive.Jo sait que j’adore faire la cuisine, il en profite pour m’isoler du groupe. J’assaisonne les poissons et les fait cuire. Quand je reviens avec Jo dans le salon, tout le monde est à poil !!!! Mathieu as un sexe long mais assez fin, Henri est plus court mais plus large, quant à Georges, il est long et gros, très gros. Ce n’est pas le plus gros sexe que j’ai vu dans ma vie mais il est dans le top 10.Je pose le plat sur la table, me retourne et je ma déshabille devant eux, lentement en tortillant du cul. Henri commence à bander. Je me dirige vers lui, m’agenouille et lui prend la bite dans la bouche. Avec ma technique, il ne résiste pas plus de 2 minutes avant de me déverser son foutre dans la bouche.— Bon, après cet apéritif spécial, je crois qu’on devrait manger le poisson tant qu’il est chaud.Je me retourne vers Jo.— Tu es le seul habillé. A poil !!!Jo se déshabille et vient se mettre à table.
Nous sommes tous à poil entrain de manger et de boire. Le repas avance quand je sent une main sur ma cuisse. C’est Georges, mon voisin de gauche qui laisse traîner sa main. J’écarte légèrement les cuisses pour lui faire comprendre que la voie est libre. Sa main remonte et arrive à mon sexe, déjà bien en forme. Il s’en saisie et me masturbe doucement. Je rigole intérieurement en le voyant essayer de manger avec sa seule main gauche. Je tend ma main vers lui et je tombe sur sa belle bite en grande forme. — Excusez moi, j’ai un petit encas qui m’attend.Je me penche sur Georges et lui prend la bite dans la bouche. Même motif, même punition, en 2 minutes Georges me déverse tout dans la bouche. J’avale avec délectation et je reprend le cours du repas. Mathieu, qui est en face de moi, me regarde d’un ait triste.— Qu’es ce que tu as Mathieu, tu regrettes de ne pas être à côté de moi?— Un peu, mais je sais que je vais me rattraper.Je descend de ma chaise sous la table et je vais vers Mathieu. Je lui prend la bite en bouche et je le fais jouir en 3 minutes. Je me remet à ma place.— Je pense que Jo vous a raconté ce qui s’est passé entre nous. Sachez que je m’assume complètement et que si vous êtes là pour m’enculer et bien je suis là pour recevoir vos bites. Et j’aime ça. Rien ne me fait plus plaisir qu’une bite dans mon fion. Mais d’abord, on va manger et après le café, le pousse café vous pourrez prendre le défonce cul. Tout le monde sourit et le repas se termine tout à fait normalement pour cinq mecs à poil !! Après le café et le pousse café, les regards se focalisent sur moi. Je me lève, fais signe à Mathieu de me suivre et m’assoie sur le divan. Mathieu arrive sur moi, je lui prend la bite en bouche et commence à le sucer, mais doucement pour le faire bien bander mais pas jouir. Une fois qu’il est bien raide, je lui encapuchonne le sexe avec un préservatif, me met à quatre pattes, m’enduis le fion de gel et présente mon cul devant sa queue. Il s’approche, pose sa bite sur ma rondelle et pousse doucement. Je sent son gland se frayer un passage dans mon antre, mon sphincter se dilater doucement. J’ai une légère gêne mais je supporte et j’encourage Georges à aller plus loin en avançant mon cul sur sa bite. Il se saisit de mes hanches et tire vers lui. Je suis empalé d’un seul coup. J’aime et j’accentue son mouvement. Il me défonce de plus en plus vite. Je sent les spasmes de son sexe, il va jouir et je sert la plus possible mon sphincter pour bien presser sur sa bite. — Putain que c’est bon, je joui, Jean tu me tue avec ton cul. Que c’est bon oui, ça y est aaaaaaahhhhh.Je sent sa bite vibrer dans mon cul mais je ne joui pas, je ne veux pas.Mathieu se retire et je me retourne vers Henri. Il a l’air perplexe et me regarde d’un drôle d’air.— Tu as un problème, Henri?— Non, pas spécialement mais je suis étonné de te voir si décontracté.— Je vais te dire une chose, j’aime me faire mettre une belle bite dans le fion et j’aime bien m’exhiber. Tout est réuni ici pour me faire prendre mon pied.— Alors, pourquoi tu n’as pas joui?— Tout simplement parce que je veux le faire plus tard. A mon age je ne peux plus enchaîner comme à 20 ans. Viens.Henri s’approche, je l’assoie sur le divan et je me penche sur son sexe. Je le pompe, et quand il est prêt, je lui met une capote et je m’assoie sur son membre en lui tournant le dos. Je descend doucement pour qu’il puisse bien sentir la progression de sa bite dans mon fion. Moi même je me concentre sur cette pénétration, j’aime ce moment et le prolonge le plus possible. Arrivé sur ses couilles, je commence un lent va et vient. Je garde le rythme inlassablement pour faire monter doucement son plaisir. Il est résistant le bougre mais au bout d’un bon moment je le sent se raidir et m’agripper les hanches. Il veut accélérer le rythme mais je résiste. Il m’attire contre lui, me sert et part dans une jouissance comme je pense il n’en a jamais eu.— Oui, c’est bon, tu cul me bouffe la bite, je joui, je joui, encore hmmmmmmmmm.Il me sert très fort au moment de jouir, petit à petit, son étreinte se relâche et il me libère. Je me redresse, vais boire un verre d’eau.— A toi maintenant.Je m’adresse à Georges. J’ai pris les sexe en fonction de leur taille. Celui de Georges devrait me satisfaire après la préparation des deux autres. Georges bande comme un âne.Je débarrasse la table avec Jo et je me couche dessus sur le dos. Mon cul est au bord de la table, je l’enduis de gel. Jo met un préservatif à Georges et celui ci se dirige vers moi. Il tient son sexe à la main et le présente sur mon cul.— Ne bouge plus.Je le prend par les hanche, appuis un tout petit peu pour bien positionner son gland sur mon auréole et le tire d’un seul coup vers moi. Son dard me transperce en une fraction de seconde. Je suis rempli d’un seul coup mais mon sphincter n’apprécie pas du tout. Une violente douleur me traverse le corps mais très vite elle se transforme en plaisir. — Vas y, défonce moi.Georges m’attrape par les hanches et me pistonne le cul.— Plus vite, défonce moi le cul le plus vite possible.Georges accélère autant qu’il peut. Les autres nous regardent avec un air d’envie en se masturbant. Ils se mettent autour de moi mais je les repousse car je ne veux pas qu’ils jouissent sur moi. Georges commence à se fatiguer. Je resserre mon cul le plus possible pour accentuer son plaisir et le faire jouir. Il ferme les yeux et est parcouru de spasmes. Il joui en silence. Il finit par se détendre et je sent son sexe se ramollir dans mon fion. Il se retire et va s’asseoir sur le divan.Jo bande comme un cerf.— Tu n’as pas envie de me le mettre?— Oui et non. J’hésite.— Tu as mon cul à ta disposition, je voulais jouir avec toi mais si tu ne veux pas en profiter, j’ai une autre solution. Je descend de la table, me dirige vers mon sac et en sort mon gode gonflable. Je le lubrifie et le colle par terre au milieu du salon. Je prend deux chaises et les disposent de chaque côté du gode. Je gonfle le gode à 6 cm de diamètre environ et en me servant des chaises, je descend doucement mon cul sur le gode. A son contact, j’ai ma traditionnelle décharge électrique dans le corps. Tout le monde est couché en étoile autour de moi à plat ventre sur le parquet pour bien voir mon cul se faire défoncer par cet énorme gode. Je descend très doucement. Le gigantesque gode se fraie un passage dans mon fion. Mon sphincter se dilate de plus en plus sans douleur. J’y vais le plus doucement possible pour que les spectateurs puissent apprécier le plus possible. Je me retrouve les bras en croix sur les chaises au moment ou le gode est complètement entré dans mon cul, je sent le parquet sous mes fesses. Je m’arrête. J’ai les jambes en V mais elles ne me portent pas, c’est mes bras qui me soutiennent. J’essaye de me redresser pour commencer mes aller-retour sur le gode mais j’arrive à peine à me soulever de quelque millimètres. Georges et Henri se lèvent, me prennent chacun une fesse et me soulève pendant de Mathieu retient le gode. Ils me lèvent, me font redescendre, me lève et ainsi de suite.— Ouai les gars, continuez comme ça. Mathieu, pompe un peu pour gonfler le gode.Mathieu pompe et le gode grossi un peu.— Met du gel et pompe encore jusqu’à ce que je te dise d’arrêter.Mathieu lubrifie le gode et donne un coup de pompe tous les aller-retours. Petit à petit le gode grossi jusqu’à atteindre une dimension jamais atteinte dans mon cul. — C’est bon, tu peux arrêter de pomper mais continue de lubrifier.Georges et Henri continue de le pistonner sur le gode. Jo se branle comme un fou. Je sent la jouissance monter, mes pieds s’électrisent, mes jambes m’abandonnent, mon ventre se crispe, mon coeur va exploser et mon cerveau divague. — Oui continuez les gars, je vais jouir comme jamais, ça vient, ça monte, j’arrive, voila ça y est ouiiiiiiiiiiii.Un jet de sperme sort violemment de ma bite et je tressaille de tout mon corps. J’ai la respiration qui s’accélère, je m’abandonne aux mains qui me soutiennent. Je sent toujours les aller-retours dans mon cul. Je suis au bord de l’évanouissement.— Oui, ça va, lâchez moi.Les mains m’abandonnent et je tombe sur le gode qui s’enfonce encore plus. Je me couche sur le côté, le gode toujours dans le cul et je tente de récupérer. Quelques minutes plus tard, je me dégage du gode et je m’assoie par terre. Jo a sorti un mètre et mesure la circonférence. — 32,2 cm de circonférence, cela fait 10,25 cm de diamètre.Tout le monde applaudi.— Putain, jamais je ne pourrais me mettre ça dans le cul dit Georges.— Il suffit d’un peu d’entrainement, j’ai commencé avec un gode de 3 cm de diamètre et j’ai augmenté petit à petit pour arriver à ce diamètre. c’est quand même mon record.- Ok mais je n’ais pas encore commencé et ça me tente mais j’aimerais le faire avec quelqu’un qui s’y connaisse et m’initie.— Je suis ton homme, on commence quand?— Un autre jour, je dois rentrer.— Il y a d’autres amateurs?— Oui moi dit Henri. — Et toi Mathieu.— Non sans façon, j’ai beaucoup apprécier le spectacle mais je ne me vois pas avec un truc comme ça dans le cul. Ma femme a essayé de me mettre un doigt mais je n’aimes pas.— Aucuns problèmes, si tu veux encore assister à ce genre de spectacle, tu n’as qu’à me contacter, je te dirais là ou je vais pour m’exhiber.Jo a préparé des boissons fraîches et nous buvons un petit coup. L’ambiance est au calme bien que nous soyons tous à poil.Mathieu, Georges et Henri se rhabillent et nous quittent. Je reste seul avec Jo. — Tu as de nouvelles cassettes?— Oui tu n’as qu’à passer tout à l’heure les prendre.Je me lève pour me rhabiller mais Jo m’arrête et prend ma main pour la poser sur son sexe.— Branle moi s’il te plait.Je commence à le branler mais j’ai autre chose pour lui. Je m’agenouilles et prend sa bite dans ma bouche. Je le suce avec toute la technique de mon expérience tout en évitant de le faire jouir trop vite. Mes mains passent derrière et caressent ses fesses. Je les écartes pour libérer son fion. Il ne résiste pas. J’ai mon gel à côté de moi, y trempe un doigt et le présente sur son fion. Il a un léger sursaut mais ne se dérobe pas. J’enfonce doucement mon doigt dans son cul tout en le suçant pour détourner son attention. Je présente un deuxième doigt, l’enfonce pour qu’il rejoigne le premier. Il ne réagit toujours pas. Je commence des aller-retours quand tout à coup, sans prévenir il s’empale sur mes doigts. Son corps se crispe et il me joui dans la bouche. J’avale tout mais je continue à le pistonner. Quand je sent qu’il a fini de jouir, je retire mes doigts de son cul. Il me regarde un peu hébété.— Tu as quand même réussi à me mettre quelque chose dans le cul.— Si tu avais dis non, je me serais arrêté. — Je sais, c’était bon et je crois que je vais approfondir les recherches dans ce sens si tu veux bien m’aider.— Pas de problème, c’est quand tu veux.Je me redresse.— Je peux prendre une douche?— Bien sûre.Je vais dans la salle de bain, règle l’eau et m’asperge le corps. Cette eau sur mon corps me fait du bien. Jo vient me rejoindre. Il me lave et je le lave. J’insiste sur son sexe et sur ses fesses. Je sent qu’il aime. Je passe ma main sur sa rais du cul, il se cambre. Il se retourne vers moi.— Je pense que pour aujourd’hui j’ai ma dose.— Ok, ce sera pour plus tard.Nous nous essuyons, nous rhabillons et nous dirigeons chez moi pour qu’il récupère les cassettes de cul que j’ai enregistré pour lui. J’arrive chez moi et en bas de l’escalier je vois mon voisin du dessous avec une nouvelle nana. Combien de temps va t elle durer celle là? Vas savoir Charles. Jo est venu plusieurs fois pour se perfectionner. Mais ceci est une autre histoire. zooph34@gmail.com
