Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 3 J'aime
  • 0 Commentaire

1959 L'année des découvertes

Chapitre 2

Hétéro
Après cette matinée passée avec tante Sophie, je pensais être enfin tranquille. De retour à la maison maman me confia une autre tache qui consistait à aider Malika à l’épluchage des fèves car un ami de mon père avait cru bon devoir nous en offrir pratiquement l’équivalent des besoins pour nourrir tout un quartier.
Vincent j’espère que tu as bien compris, il n’est pas question que tu ailles rejoindre tes camarades de jeux aujourd’hui. A cette époque il ne faisait pas bon de désobeïr.
Bien maman c’est promis je resterais et aiderais Malika. Nous prîmes notre déjeuner à la cuisine rapidement et à la fin je demandais à maman si Carole nous aiderait également.
Non Carole viendra avec moi car je dois lui acheter des vètements et elle devra les essayer, nous en aurons pour quelques heures. La vaisselle terminée, j’allais rejoindre Malika Dans l’abri attenant aux garages et qui servait d’attelier à tout faire. Elle était déja à l’oeuvre,un grad sac pour recevoir les pelures et un autre pour y recevoir les graines. Elle avait préparé un tabouret à mon intention face à elle et me montra comment procéder, oh c’était bien simple mais fastidieux au bout d’une demi-heure. C’est à cet instant là que relevant la tête que je m’apperçus que j’avais le fond de culotte de Malika en point de mire, j’appercevais même les poils noirs qui s’en échappaient. Je la regardais alors dans son ensemble oubliant mon ouvrage.
Alors Vincent tu es déja fatigué, tu t’endors ?. Mais là elle se rendit compte de la situation, elle comprit le pourquoi de mon interruption. et elle se repositionna corectement sur son tabouret afin de mettre un terme à mon voyeurisme.
Tu es vraiment un chenapan, tu ferais mieux de t’occuper de tes devoirs et du travail qu ta mère t’as ordonné plutôt que de mater ma culotte, cela va encore te faire du mal.
Qu’en sais-tu toi ?
Oui les garçons vous êtes toujours après les filles à essayer de voir et de peloter, alors continue d’éplucher les fèves. Conscient du travail que nous avions à faire je me remis à l’ouvrage non sans continuer de penser à ce qui m’était arrivé le matin. Sur les quatre heures Malika me dit.
Vas te laver les mains je vais te préparer le goûter. J’allais au lavabo attenant au garage et me laver les mains tandis que Malika allait à la maison. De retour à la cuisine, un garnd verre de lait fraise était servi accompagné d’une tranche de brioche. Tout en mangeant je lui dis.
Tu n’as pas d’amoureux? J’aimerais bien voir tes nichons, tu me les montres ? Aucune réponse cela m’excitait un peu, me tournant le dos je me levais sans faire de bruit et venais me coller à elle lui saisissant la taille de mon bras gauche tandis que ma main droite tentait de se poser sur ses seins ce qui ne parraissait pas évident au prime abors. Malika se débattit un moment puis sa résistance devint moins hardie. Ses seins ??taient très fermes pour ne pas dire durs, je me mis à l’embrasser dans le cou,elle se laissa faire à présent, elle se retourna face à moi et me laissa faire. Je glissais alors ma main droite sous sa jupe et me mis à lui carresser les fesses elles étaient dures et je prenais plaisir à le faire, je bandais aussi violement que le matin mais j’évitais de me coller à son ventre ne voulant pas brusquer les choses. Main remonta sur sa fesse et mes doigts se saisirent de l’élastique, l’écartèrent et je pus y passer la main et ètre en contact avec sa peau, je lui reprenais les lèvres et tout en l’embrassant j’atteignais son ventre sous mes doigts je sentais sa toison que je devinais abondante, je la sentais devenir toute molle dans mes bras et quand mon majeur entra en contact avec son clitoris elle essaya de se débattre afin de m’interdire l’exploration de sa fente maintenant complètement liquéfiée.
Non pas ça, non je t’en prie Vincent, non tu ne dois pas.Mais le plaisir de la chose la rendait indécise sur sa volonté de conserver son trésor, et moi de mon côté, l’envie de le lui dérober était de plus en plus tenace.Lentement je l’entrainais vers son lit et lorsque que nous fûmes tout contre lui je la renversais sur le couvre lit et tout en l’embrassant j’arrivais à lui oter sa culotte, à présent elle était à ma merci, mon majeur était maître de sa petite fente et ne cessait de titiller le clitoris que je sentais rouler sur le bout de mon doigt. A présent sa fente était complètement visqueuse et lentement j’arrivais à me placer entre ses cuisses, ma queue bien tendue et la tête chercheuse n’eut aucun mal à trouver la cible, les lèvres de sa fente s’entrouvrirent sans aucun effort, je n’avais qu’un coup de reins à donner pour la posséder, mais ce fut Malika elle même qui le donna en envoyant brusquement son bas-ventre à la rencontre du mien. Un cri étouffé s’échappa de ses lèvres, puis elle me demanda de la prendre à fond, sa t??te alait et venait de droite à gauche son bassin en faisait autant d’avant en arrière et moi même me mit à en faire autant jusqu’à sortir entièrement pour m’y replongeait tout aussitôt. Aussi ignorant et innocent l’un comme l’autre le final arriva la bite tendue à l’extrème collé l’un à l’autre nous ne bougions plus tandis que je me déverser dans sa chatte tout en m’affalant sur son corps, nous étions dans un état second, bien comme cela mais qui fut de courte durée, car ayant repris conscience Malika me dit.
Nous avons fait une belle connerie, allez dépèche toi de remettre ta tenue en ordre et on se met au travail car nous sommes en retard et ta maman ne va pas être contente.
Aussitôt nous nous remîmes au travail en accélérant la cadence. Lorsque maman arriva nous avions presque fini.

Alors vous avez bien travaillé à ce que je vois car il nous a bien gaté l’ami de ton père, bien après cela tu prendras une douche et Malika un peu de repos avant de préparer le souper. Je reganais ma chambre pour prendre des vètements propres et direction la salle de bains pour la douche quand j’entendis maman appellait Malika par l’interphone.
Malika je dois m’absenter une heure ou deux, ma soeur à un problème donc tu prépares comme d’habitude et tu les fais souper si je ne suis pas de retour à 20 heures, Carole est au lit elle se repose, elle est fatiguée donc pas de soucis à ce soir. Sur ce je l’entendis partir et je m’apprétais à entrer sous la douche quand Malika fit son apparition dans la salle de bains dont la porte était ouverte.
Pardons excuse moi je ne .....,et ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase je lui demandais de venir me laver le dos. Tandis qu’elle procéder, je me carressais lentement le sexe qui se déploya à nouveau le gland complètement décaloté je n’avais qu’une envie à présent me faire sucer je me tournais vers Malika et je lui saisi la tête pour l’amener à ma colonne, elle essaya de résister en disant que j’étais un cochon et qu’elle ne voulait pas. La grosse prune qui me servait de gland essayait de forcer le barrage de ses lèvres qui finirent par se lasser et s’entrouvrirent, elle me pompa un moment mais cela ne suffisait pas, je la retournais et relevant sa jupe, je lui ôtais sa culotte et la faisant se pencher en avant je guidais ma tige dans sa fente et d’un coup de reins je m’introduisis jusqu’à la garde dans son fourreau lui arrachant un cri assez strident tandis que je me mis à la pilonner. Tandis que je m’évertuais à nous faire du bien sans avoir pris la précaution de fermer la porte Carole fit son entrée, stupéfaite elle demanda.
Que faites vous tous les deux vous devriez avoir honte si maman l’apprenait. Aussitôt je me dégageais de la fente de Malika et me cachait derrière le rideau de douche. Malika quant à elle supplia Carole de ne rien dire à maman sans lui répondre elle sortit de la salle de bains. Malika me dit.
Crois-tu qu’elle le gardera pour elle ? Je ne sais pas mais je vais aller la voir et lui parlerais avant que maman ne revienne, mais en attendant j’ai envie de toi encore. Non me répondit-elle les bétises sont terminées pour aujourd’hui va donc voir Carole je t’en prie. Et une fois rhabillé, je regagnais la chambre de ma soeur qui était au lit avec un bouquin.
Que lis-tu soeurette ?.
Tu t’intéresses à mes lectures à présent ou tu aurais quelque chose à me demander plutôt ?
Ben heu ce serait bien si tu ne disais rien à maman car je risque gros et Malika risque de se faire renvoyer tu comprends?.
Si je ne dis rien c’est pour Malika, mais toi tu ne mérites pas mon silence aussi pour m’être agréable mon grand frère j’aimerais que tu te montres sympathique avec moi.
Oui que veux-tu que je fasse pour cela ?.
Euh je voudrais que tu me montres ce gros doigt que tu avais mis dans le minou de Malika. Carole du haut de ses quinze ans était légèrement plus petite que moi, mais possédait déjà une agréable poitrine qui attirait déjà le regard des garçons.
Je crois que tu es un peu jeune pour cela et puis je suis ton frère.
C’est à prendre ou à laisser. Malika se fera renvoyer et toi direction la pension certainement car maman te l’a promis pour la prochaine bétise que tu ferais.
Oui, mais admet que ta demande n’est pas correcte entre toi et moi, il y a des choses que l’on ne fait pas.
Et moi je te demande de me montrer, sinon sors de ma chambre. Voyant que je ne la ferais pas changer d’avis et me disant qu’après tout elle en verrait d’autres, je baissais mon short et lui présenter mon engin qui était pour l’heure au repos.
Ce n’est pas ce que j’ai vu tout à l’heure, c’était quelque chose de beaucoup plus gros et qui avait l’air tout raide que tu rentrer dans le minou de Malika.
Oui bon tout à l’heure j’étais exité et maintenant non. Et la je remontais mon short la coquine ne voulant pas se contenter de cela me dit.
Et que te faut-il pour devenir tout raide?. Tu veux que j’appelle Malika pour cela? .
Non cela serait génant pour elle comme pour moi, non en me masturbant un peu je pourrais bander à nouveau, mais je suis géné de le faire devant toi.
Bon écoute toi tu te masturbes un peu et pour que tu ne sois pas géné je vais te montrer mes seins . Là j’étais sidéré et joignant le geste à la parole elle releva son tee shirt et m’exiba une magnifique paire de seins, je n’en croyais pas mes yeux, elle se rendit compte de la chose.
Quoi tu les croyais petits c’est du 90B et allez au boulot à toi. Il ne me fallut que trois ou quatre allers retours sur mon baton de chair pour me mettre en érection et lui pr??senter les armes.
Voilà c’est comme cela que je l’avais vu, mais approche que je le voie mieux de plus près. J’étais à prèsent tout contre le lit et avant même que je ne dise une parole elle se saisit de ma queue .
Mon dieu comme elle est dure cela ne te fait pas mal ?
Non lui répondis-je et c’est pour cela que l’on introduit cet engin dans le minou des filles pour le calmer ou que les filles le suce. Et à cet instant je remarquais que Carole se carresser lentement l’entre-jambe.
Ne te gène pas surtout on dirait que la vision de mon truc t’excite un peux.
Oui je me sens toute molle et mouillée dans ma culotte tu veux voir frérot?. N’obtenant aucune réponse elle releva sa jupe et se déculotta me présentant un mignon petit buisson qui masquait sa fente que je devinais bien juteuse maintenant. Je restais là planté devant elle comme un niais la bite à la main ne sachant plus que faire.
Alors mon grand on se réveille. Je me remis à me carresser tandis que Carole faisait aller et venir ses doigts sur sa fente les yeux fermés, sans bruit je m’agenouillais et je saisis sa main pour dégager l’accès de son minou afin de la remplacer par ma langue. J’allais et venais dans ce doux sillon, sa mouille était légèrement salée, son clitoris était bien bandé lui aussi et je lui arrachais des petits gémissements à chaque passage, lentement je remontais vers le haut pour atteindre ses seins qui au contact de mes lèvres semblèrent durcir de plus belle, je remontais encore plus haut jusqu’à ses lèvres pour l’embrasser avidement, elle se laissais faire tandis que je l’embrassais, mon gland était pratiquement en place pour l’assaut de son coquillage, je n’avais plus qu’un mouvement à faire pour m’introduire, quand je fus désarçonné non pas par Carole qui ne voulait pas, mais tout simplement par Malika qui arrivant pour préparer le repas du soir avait entendu les doux gémissements de Carole.
Mais vous n’ètes pas biens tous les deux, quelle bétise alliez-vous faire ? Et toi faire cela avec ton frère il s’en est fallu de peu.
Oui et toi tu l’as fais non ?
Moi ce n’est pas mon frère tu comprends ? Ces choses là ne se font pas entre frères et soeurs et puis votre mère ne va pas tarder à rentrer alors un peu de correction dans vos tenues.
Mais je ne vais pas pouvoir rester comme cela lui dis-je? J’avais la queue raide bien enflée par le désir de prendre une femme et elle s’en emparra pour me sucer alors que je n’avais qu’une envie m’enfiler dans une grotte bien chaude et je l’obligeais à nouveau à m’offrir sa chatte dans laquelle je ne fus pas long à me déverser tandis que Carole se carresser le clito tout en gémissant et je dus même le lui sucer et le titiller à coup de langue pour la faire jouir ce qu’elle apprécia fortement car elle me demanda de le lui refaire quand nous serions à nouveau seuls. Vingt heures arrivèrent et Malika décida de nous servir quand le téléphonne sonna, j’allais décrocher c’était maman qui me demanda de dire à Malika qu’elle devait préparer ses affaires pour se rendre chez tante Sophie qui s’était fait une entorse dans son jardin et qu’elle devrait l’aidait si elle avait un besoin dans la nuit. Aussitôt Malika après nous avoir servi s’en alla, et Carole profita de la situation pour relancer la machine à problêmes.
Tu sais, j’ai vraiment envie de voir ta chose, allez sors là. Aussitôt je remis à jour ma superbe érection car rien que d’entendre les supplications de ma soeur je m’étais remis à bander. Vraiment belle ta queue, dommage que je ne puisse me la faire introduire dit-elle tout en relevant sa jupe, elle avait déjà oter sa petite culotte.
Tu es déjà prète ? Attends viens t’asseoir sur mes genoux lui dis-je et se positionnant à califourchon, ses cuisses étant bien écartées sa fente ne pouvait que subir l’assaut de mon gland, prenant ma tige en main je m’amusais à faire courir le bout de ma queue de son clito à l’entrée de sa grotte. Dans un état second elle me demandait de la prendre, me suppliait de le faire. Alors là je la fis se relever et mettre à genoux sur le divan et je me plaçait derrière elle pour la prendre en levrette mais non pas dans sa fente mais dans son anus, je n’eus aucun effort à faire tant il était lubrifié par le jus de sa chatte baveuse. Elle poussa un cri lorsque la tète passa l’oeuillet et que la tige s’engouffra à fond, puis je me mis à la limer de plus en plus vite et lui balancer tout le contenu de mes bourses dans le fondement. Ma bite était toujours en elle quand maman se fit entendre dans le couloir, aussitôt nous reprîmes une tenue décente mais elle nous trouva très essoufflés.
Que faisiez-vous tous les deux.
Rien maman nous faisions un peu de lutte et je l’ai battu dit Carole.
Bon maintenant vous allez vous doucher et au lit tous les deux. Vincent demain tu iras chez ta tante car Malika rentrera vers dix heures ici et tu la remplaceras pour aider Sophie jusqu’au soir. Sur ce j’attendis que Carole eut fini sa toilette pour entreprendre la mienne, je venais de sortir de la douche et était entrain de me sécher lorsque je me rendis compte que maman me mattait, aussi faisant semblant de rien je continuais le séchage tout en insistant sur mon membre qui maintenant avait fière allure et je me tenais de telle sorte qu’elle ne pouvait ne pas le voir. Finalement pour ne pas me faire remarquer je mis un terme assez rapide au séchage et enfiler mon caleçon de nuit, tandis que maman s’en alla sans bruit dans sa chambre. De la mienne qui était contigue à celle de mes parents je pouvais entendre les conversations téléphoniques et parfois même le bruits de leurs ébas amoureux.Là pour l’heure maman avait appeller Sophie sa soeur.
Sophie tu te rapelles la conversation de ce matin à propos de Vincent. Eh bien je viens de le voir nu, et c’est bien ce que je soupsonnaos il en a une vraiment grosse et bien plus que celle de son père. Un moment de silence puis elle reprit. Tu n’es pas bien, complètement folle, je ne vais tout de même pas me faire prendre par mon fils. Re-silence, oui bien sur j’aimerais bien il me fait envie je t’assure et je peux te dire que ma culotte est toute poisseuse. A nouveau un assez long silence puis, Oui il est vrai que je suis seule depuis deux mois et que mon homme ne rentre que le mois prochain et que la chose me manque mais bon je m’en passerais, allez bisous à demain. J’entendis maman prendre sa douche mais là je ne pouvais l’épier car sa chambre avait une salle de bains particulière. Je me demandais comment faire pour la mettre en situation d’échec, je n’eus pas longtemps à attendre car la porte de ma chambre s’ouvrit laissant passer maman qui referma derrière elle.
Vincent, j’ai un peu mal au bas du dos pourrais-tu me passer cette crème et me masser un moment. Aussitôt elle s’allongea sur mon lit après avoir oté sa chemise, elle ne portait une petite culotte fine et transparente au travers de laquelle je pouvais voir la touffe qui ornait son bas ventre et avait les seins nus, mon sang se mit à bouillir et ma bite devint dure comme du bronze. Tandis que je m’appliquais à la masser je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses ce qui n’était pas fait pour arranger la situation, après une dizaine de minutes elle me demanda d’arretter et se retourna sur le dos.
Mon dieu, mon petit cela te gène de me voir nue, je suis ta mère je ne pensais pas te mettre mal à l’aise. Je voyais très distinctement son triangle de poils et malgré ma position à genoux maman ne pouvait ignorer mon érection. Et tout en me parlant elle se mit à me caresser la cuisse gauche qui lentement remonta jusqu’à ma bite.
Tu es vraiment fort et ce petit monstre me le prouve dit-elle tout en le dégageant de mon short, puis elle m’attira et me fit mettre tête-bèche avec elle. Elle emboucha ma queue tandis que moi je baissais sa petite lingerie pour dégager son sexe afin de lui rendre la pareille, la suite de la nuit se passa à se prendre et se reprendre jusqu’au petit matin. Au petit déjeuner Malika réapparut avec des croissant offert par tante Sophie.
Dis maman où étais-tu cette nuit? tu n’étais pas dans ta chambre demanda Carole.
J’étais sur un transat au bord de la piscine une bonne partie de la nuit, je n’arrivais pas à dormir et ton frère ronflait tellement que je l’entendais de ma chambre. Elle dut se contentait de cette expliquation tandis que Malika cogitait intérieurement. Je vais préparer un paquet de revues que tu donneras à ta tante de ma part, Carole tu pourrait aussi accompagner Vincent si tu veux cela fera aussi plaisir à Sophie. Carole ne se fit pas prier pour venir avec moi et chemin faisant elle me dit : Maman m’a prise pour une gourde Vincent.
Pourquoi dis-tu cela ?
Elle n’était pas au bord de la piscine.
à suivre........
Diffuse en direct !
Regarder son live