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Un accident bienvenu

Chapitre 2

Premiers pas dans mon nouveau job

Lesbienne
... Alors voilà, je suis entièrement nue contre ma nouvelle Maîtresse, j’ai le visage et les épaules encore mouillés de sa jouissance exubérante à laquelle je n’étais pas préparée. C’était si imprévu que j’ai failli en jouir, comme ça. Sa main, s’est posée sur ma chatte et d’un doigt expert elle me pénètre, absorbée par mon coup de rein qui déclenche mon plaisir. — Elle va te mettre plein de crème sur les doigts, Tatie! s’exclame Claire qui ne la tète plus, entièrement absorbée par le spectacle obscène que je donne.De fait Madame sort son doigt de ma vulve et fait de petits filaments avec ma mouille, Claire bat des mains, ça la fait rire.-  Je crois que nous allons être très satisfaites de Léa, n’est-ce-pas? Et elle branle à nouveau ma chatte qui baille et fait des flatulences lorsqu’elle en sort à toute vitesse. Deux doigts suffisent à me combler et j’exprime ma reconnaissance en hoquetant, allongée sur le cuir.
— Allons dormir maintenant, j’ai une journée chargée demain. Claire, emmène la à sa chambre et explique lui son programme.
Nous ramassons chacune nos affaires et je suis Claire dont le joli petit cul tangue devant moi en grimpant l’escalier pendant qu’elle m’explique:— Ton service commence à 8 heures tous les matins jusqu’à 19 heures, sauf le weekend end, ou tu es libre. Enfin, pas tous, mais alors tu pourras récupérer. Il y a toujours moyen de s’arranger. Je te donnerai les détails demain en prenant le petit déjeuner. Il y a une femme qui vient préparer la cuisine, elle arrive à 6 heures. Mutine elle m’embrasse le coin des lèvres en coup de vent et le temps de dire ouf! elle a disparu.
Ma chambre est confortable, j’ai une belle salle de bain, pas très grande mais complète. Allongée dans les draps je repasse la journée, quelle aventure! Mais crevée comme je suis je sombre vite dans le sommeil.
A 7 heures et demie je suis à la cuisine, à peine maquillée, j’ai remis mes affaires de la veille car je vais faire ajuster mon uniforme dans la journée. La dame qui gère les repas, Irène, sert mon thé et nous faisons connaissance. Elle vient tous les jours de sa campagne et, je le découvrirai, bien que mariée elle ne crache pas sur les femmes.Elle fait l’éloge de notre patronne, qui, du moment qu’on fait ce qu’elle demande, est plutôt agréable à vivre. Je semble lui plaire, elle ne le cache pas et il doit être bien agréable de jouer avec ses deux bon gros seins.
A 8h tapantes, Claire arrive, petit bisou papillon à nous deux et le petit déjeuner avalé je signe mon contrat, fort correct en effet, puis  elle m’entraîne dans l’immeuble pour me le faire découvrir.Il y a 4 vastes étages. Le premier est pour les domestiques et les communs, le second est celui des chambres d’amis, 3ème est réservé à Madame, l’on accède au 4ème que par l’ ascenseur , mais pour l’instant cela ne me concerne pas.
Je suis une bonne à tout faire me précise-t-elle. Donc je passe l’aspirateur et fais le ménage et suis à disposition de Madame. Elle n’est pas là tout le temps et quoique très dirigiste, elle a de bons côtés. — Tu as pu t’en rendre compte hier soir! Ajoute-t-elle en me faisant un clin d’oeil.— Parfois il y a des extras, mais elle t’en parlera le moment venu. Et elle me laisse à mes occupations. Faire le ménage n’est pas déplaisant, je découvre de petits détails croustillants, tels ces accoudoirs en bois en forme de chatte sur les fauteuils du 3ème, la quantité impressionnante de tenues de Madame, de la faussement sage à celles qui ne dépareraient pas un lupanar.
Vers midi et demie je descends manger, la table est mise et j’ai la vague impression que Claire et Irène sont bien plus complices qu’il n’y paraît. Sous la nappe les jambes se mêlent et les mains se promènent, au dessert après l’avoir servie, Irène pelote joyeusement la poitrine de la jeunette, sans doute pour faciliter sa digestion. Je les regarde avec plaisir et les rejoindrais volontiers, mais c’est mon premier jour et puis la couturière m’attend pour mon petit costume.
La boutique n’est pas loin. Quand je me déshabille je me souviens que je n’ai pas mis de culotte, celle d’hier n’étant plus portable. Tant pis pour ma réputation, j’exhibe mon pelage, ce qui ne perturbe pas la couturière qui, pince-sans-rire, trouve que j’ai une jolie couleur de cheveux. Il est vrai qu’elle a exécuté certains costumes de Madame et pas les moins piqués des hannetons me dit-elle. Elle est bavarde comme une pie et j’apprends que Claire n’est pas la nièce de Madame mais une cousine bien éloignée, venue au départ pour ses études, se faisant entretenir depuis. Elle travaille vite et bien et je me trouve bien mignonne dans mon nouveau costume que je décide de garder sur moi pour rentrer. Au passage je récupère quelques vêtements et sous-vêtements chez moi ainsi que quelques affaires et livres pour personnaliser ma nouvelle chambre.
Claire m’informe que, le ménage terminé, j’ai quartier libre, Madame sortant ce soir (chez sa maîtresse, une notaire). Si Madame collectionne les tenues et les chaussures, elle ce sont les sex-toys, j’en ramasse de quoi remplir un carton à chapeau et vu leur parfum lorsque je les ai lavés, ils ne sont pas là pour la galerie. Cette petite m’intéresse, un rapprochement amical s’impose…
Le travail ne manque pas, le temps passe vite. Je vais prendre une douche, j’en profite pour me faire un petit plaisir avec le pommeau.  J’ai faim, Irène a laissé un rosbif et du gratin de chou-fleur auxquels je fais honneur et repue je vais dans le salon de télé, déjà occupé par Claire qui est ravie de la diversion.
Elle est sympa, m’assure qu’ elle ne trouve rien à redire à mon travail, sa “tante” s’en remet à elle à ce sujet. Elle me félicite d’avoir bien rangé sa chambre et particulièrement ses jouets. Elle n’a aucune pudeur et s’en excuse. Je lui rappelle que peu de choses de son anatomie m’ont échappées hier et que j’espère bien approfondir.— J’ai pu apprécier la tienne également mais pas de chance pour ce soir, j’ai un empêchement un peu douloureux, avec un geste vers son bas-ventre, mais je peux te prêter un toy....— Rien ne presse, je me débrouillerai bien toute seule…En fait je ne dirais pas non si elle veut m’appliquer son rabbit!
Au cours de la conversation elle me met à jour de la vie de la maison. Madame dirige la plus grande agence immobilière de la ville et deux autres affaires, ce qui lui permet de vivre très à l’aise. Elle a à cœur de satisfaire sa “tante” et me donne quelques tuyaux sur elle. C’est une lesbienne convaincue, qui place le cunni au-dessus de tout, qui a plusieurs liaisons, la plus ancienne étant avec la notaire. Celle-ci viendra d’ailleurs sans doute très bientôt pour voir la nouvelle… tête!Elle ne me cache rien non plus de ses affaires avec Irène, dont la langue est le meilleur des desserts. Mon petit doigt me dit que je vais y goûter très bientôt, à voir comme son œil frise en me révélant leur conversation à mon sujet.
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