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Achats de Noel

Chapitre 1

Hétéro
Salut,
Moi c’est Géraldine. Je suis une jeune femme de 28ans, 1.70m, 55kg, blonde et assez sportive malgré mon 95c. J’aime beaucoup la course à pied ce qui me permet de conserver une certaine tonicité dans les jambes et le postérieur. On me dit longiligne et je sais que je ne laisse pas indifférente.
Aujourd’hui, à l’approche des fêtes de fin d’année, nous avons décidé mon copain et moi d’aller parcourir les allées des Galeries Lafayette dans l’espoir de nous trouver des cadeaux. Nous avons décidé de partir tôt pour éviter la foule, mais malgré l’heure matinale, nous sommes loin d’être les seuls à attendre sur le quai de la station Oberkampf.
Ah, j’ai oublié de vous décrire ma tenue d’aujourd’hui que j’ai spécialement choisie pour faire plaisir à mon homme. Robe en laine à mailles ajourées et à col roulé, bas noirs, chaussures à talons et rien en dessous (sombre et sexy à la fois). J’ai récemment découvert les avantages de ne pas porter de sous-vêtements. Mon copain étant assez porté sur la chose, il lui arrive souvent de me prendre dans un coin malgré le risque d’être surpris. C’est, selon lui : « super excitant ».Donc pour m’éviter de m’emmêler les jambes à chaque fois dans mon string, le plus simple, c’est de ne pas en porter. Et ce n’est pas pour lui déplaire. Quant au soutien-gorge, il est superflu puisque j’ai la chance d’avoir une poitrine en forme de poire qui résiste magnifiquement à la gravité. Autant vous dire qu’en y regardant de près, il est assez facile de voir mes petites aréoles roses et ma fine toison châtain clair à travers le maillage large de ma tenue.La première fois que mon copain a passé, comme à son habitude lorsque l’on est au cinéma, sa main pour venir me caresser mon « petit abricot » comme il aime le nommer, quelle ne fut pas sa surprise de trouver mon sexe épilé prêt à accueillir sa grosse queue.
Bref, revenons à notre journée de préparation de Noël. Le métro arrive. La rame est bondée. Après avoir laissé les passagers descendre, nous suivons le flot de personnes entrant, collés les uns aux autres. Même pas besoin de se tenir à quelques choses, nous sommes tellement serrés qu’on tient debout tout seul. Poussée vers les portes opposées par les personnes entrant après moi, je me retrouve séparée de mon copain qui se retrouve un peu plus loin dans le wagon. Il me sourit mais je suis dégoûtée.Les portes se referment enfin sur les derniers retardataires et le métro s’ébranle.
Heureusement il n’y a que 6 stations à supporter cette promiscuité et cette odeur de transpirations mêlées.
A peine le métro a-t-il quitté le quai que je sens quelque chose m’effleurer la fesse gauche. C’est un contact bref et presque imperceptible mais il me fait sursauter. J’essaie de me retourner pour vérifier ce qu’il se passe dans mon dos sans y parvenir. C’est vrai qu’on est serré comme des sardines donc, je ne me formalise pas de ce contact qui me semble fortuit.
Mais 10 secondes plus tard, je sens à nouveau un frôlement. Mais cette fois il est plus appuyé et s’attarde un peu plus longtemps. Il ne fait maintenant aucun doute qu’il s’agit d’un acte délibéré.Le métro entre à ce moment là dans une nouvelle station, s’arrête puis décharge son flot de passagers aussitôt remplacé par de nouveaux moutons. Mon copain reste néanmoins encore hors de porté et je me retrouve encore plus compressée.
Avec ce mouvement de foule, je ne réalise pas tout de suite mais une fois les portes refermées et le métro en route vers sa prochaine destination, je sens une forte pression sur mes fesses. En fait, après quelques secondes, je réalise qu’on est en train de me peloter le cul. Sur le coup de la surprise, je ne réagis pas. Je n’arrive pas à croire que ça puisse se passer. J’imagine que la personne au bout de cette main prend mon manque de réaction pour une acceptation de ma part car les mouvements se font plus précis. Il n’en est rien bien sûr mais je n’arrive pas à sortir de ma torpeur comme dans un état second dans lequel ma colère et mon incrédulité m’enferment.
La main s’enhardie et me caresse le postérieur. Je la sens glisser lentement du haut de ma fesse gauche vers le bas de ma fesse droite en épousant parfaitement leur galbe. Cette caresse se transforme en un massage appuyé pétrissant mes fesses fermes et rebondis. Ces lents mouvements circulaires font sensiblement remonter ma robe à chaque rotation. Je sens le bas de ma robe frotter sur le bas de mes fesses puis rapidement sur le milieu de mes fesses avant de finir sa course autour de ma taille. Je me retrouve donc le cul et le sexe complètement dévoilés, offerts aux regards de tous. Je suis tétanisée et n’arrive pas à réaliser ce qu’il m’arrive. Je me retrouve à demi nue dans un wagon remplit d’inconnu à me faire palper sans aucune réaction de ma part. C’est vrai que cette caresse non consentie est douce et presque affectueuse.Et mon copain qui ne se doute de rien ne peut venir mettre un terme à ce supplice.

Les doigts parcours désormais ma peau nue entre le haut de mes bas auto-fixant et le haut de mes fesses. Ils sont chauds et d’une très grande douceur. Ils s’appliquent à découvrir mon intimité, s’insinuant entre mes fesses pour lentement glisser sur mon anus puis mon sexe. Le passage sur mon petit trou m’envoie une décharge dans le creux du ventre. Je suis électrisé par ce contact. La boule qui se forme en mon sein irradie d’une chaleur intense. Je me surprends à sentir mon sexe palpiter et s’enflammer. Une envie irrésistible me pousse à me cambrer et à pousser mes fesses et mon sexe à la rencontre de ces doigts.Ils poursuivent leur chemin entre mes grandes lèvres pour s’enduire de mon jus déjà très abondant contre toute attente. Ils passent rapidement l’entrée de mon vagin pour venir appuyer précisément sur mon petit bouton rose gonflé d’un plaisir nouveau et interdit.
En effet, à mon grand étonnement, la situation m’existe.Je n’ai jamais trompé mon copain mais là, mon corps a pris le dessus sur ma raison et réclame son dû.Je sens un certain trouble m’envahir s’accompagnant d’une bouffée de chaleur partant de mon entrejambe et irradiant toute la partie inférieure de mon abdomen.Je me laisse aller à la stimulation qu’inflige un doigt à mon clitoris qui est sorti de son fourreau me procurant un plaisir grandissant. J’en oublie le monde qui m’entoure, le plaisir monte de manière exponentiellement et je commence à avoir le vertige.Maintenant, les doigts font des aller/retours entre mon clitoris et mon vagin dont les pétales roses s’ouvrent progressivement pour accueillir avec joie un, deux puis rapidement trois doigts agiles et experts. Mes chairs tendres épousent parfaitement ces envahisseurs créant un petit nid chaud et moelleux. Motivés par ce doux accueil, ils s’aventurent de plus en plus profond dans mon intimité. Je les sens m’explorer me tirant des râles silencieux de plaisir.J’ai maintenant les yeux fermés, les jambes légèrement écartées et le cul cambré pour inviter mon étrange inconnu à poursuivre sa découverte de mon jardin secret.
Ces doigts, profondément ancrés en moi, s’agitent de plus en plus vite faisant jaillir des flots de cyprine claire. Je n’ai jamais autant mouillé. Je sens ce liquide chaud goutter sur l’intérieur de mes cuisses pour venir mourir sur mes bas.Ma respiration s’accélère ainsi que mon cœur. Le plaisir me submerge. J’en oublie la foule et mon copain.La prochaine station arrive mettant un terme temporaire aux pénétrations frénétiques mais les trois doigts restent arrimés au fond du vagin où ils remuent lentement stimulant mes zones érogènes. Portée par la foule allant et venant, je me retrouve emportée encore plus loin de mon copain, contre la porte du wagon. La poitrine écrasée contre la vitre, les deux mains de part et d’autres de ma tête légèrement tournée sur le côté, j’écarte très largement les jambes et me cambre au maximum pour ouvrir et offrir ma chatte affamée.
Oui, contre toute attente, je me surprends à apprécier ce moment et à prendre un énorme plaisir. Je suis au bord de l’orgasme et ne retiens plus mes gémissements. Je ne vois plus mon copain et c’est tant mieux car je suis totalement à mon plaisir et n’éprouve aucune culpabilité à ainsi laissé s’exprimer mes pulsions les plus primaires.L’ayant bien compris mon amant d’un jour, tout en continuant à me fourailler la chatte, stimule mon clito de sa main libre.Je n’en peux plus et hurle mon orgasme, aspergeant au même instant mes chaussures de mon jus d’amour chaud et limpide.Je flageole sur mes jambes sous le coup de se terrible orgasme dévastateur, prête à tomber au moindre soubresaut du wagon.Les doigts se retirent doucement de mon intimité, quittent ma peau nue, me laissant seule, toujours les fesses et le sexe à l’air reprendre lentement mes esprits.
Je m’ouvre lentement à la réalité pour constater que nous approchons enfin de notre destination.Reprenant peu à peu vie après cette petite mort, je regarde autour de moi, un peu hagard, et prends conscience de ma tenue indécente. Nous arrivons à la station des Galeries.Rouge pivoine, je rajuste ma tenue, me redresse, et c’est la tête baissée de honte que je m’extirpe de ce wagon surchauffé. Mon copain, que j’avais oublié, me rejoint non sans mal.Le flot de passagers sortant se tarissant, je l’entends me demander si je vais bien.Je ne sais pas que dire et s’est en balbutiant que je lui réponds que tout va bien. Il insiste et j’arrive à correctement articuler que c’est la chaleur et le monde dans la rame qui m’ont un peu gêné. Une fois rassuré, il me prend par la main, ignorant, pour m’amener faire nos emplettes. La tête toujours parcourue de milliers d’étoiles, je le suis, un peu honteuse mais surtout épanouie par cette expérience nouvelle et inattendue.
Je ne me doutais pas encore qu’il ne s’agissait que le début d’une journée qui allait s’annoncer haute en couleur.
A suivre…
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