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Adolescentes (presque) innocentes

Chapitre 2

Erotique
CHAPITRE II (ÉLOÏSE) : Meilleures amies
Je connais Marie depuis très longtemps, et cela a contribué à notre relation de meilleures amies. Nous partageons beaucoup de choses en commun : nos caractères, nos passions, et même nos copains … Enfin, c’est surtout moi qui partage les miens, elle n’a partagé que Romain avec moi. Dans notre groupe d’amis, tout le monde a déjà couché au moins une fois avec tout le monde. Nos soirées finissent souvent en partouze … Pourtant, il y a seulement quelques mois de cela, je n’étais pas comme ça !
Les vacances d’été tiraient sur la fin. Marie m’avait invitée à passer la soirée chez elle comme ses parents n’étaient pas là, et son frère devait être en soirée chez une de ses nombreuses amies. Victor avait toujours été aux filles ce que sa sœur était aux garçons : un leader charismatique. Toutes les filles se l’arrachaient car il était beau, bronzé comme sa sœur, musclé et charmeur. Surtout charmeur, il avait un sourire craquant et très évocateur. Je l’ai toujours considéré comme un bon ami. La soirée se passa bien, le seul événement notable fut l’arrivée de Victor avec une jolie blonde, Awena. Ils passèrent dans le salon, où nous étions, en coup de vent et s’enfermèrent bien vite dans la chambre du jeune homme. Marie décida alors de monter dans sa chambre pour que nous ne soyons pas témoins auditives de la vie privée de son frère.
Nous avons l’habitude de tout nous dire, de tout partager, et ce depuis toujours. C’est donc tout naturellement que la conversation se détourna sur la vie sexuelle de Marie.
— Oh, Élo, il faut absolument que je te raconte !— Mais oui Marie ça fait deux semaines que tu me dis ça, allez raconte moi tout cette fois
Cela faisait effectivement deux semaines que chaque après-midi, lorsque nous nous retrouvions à la plage avec notre bande, Marie me prenait chaque jour à part pour me raconter quelque aventure avec Romain, mais à peine commençait-elle à me raconter que toujours, quelqu’un venait nous interrompre.
— J’ai tellement de choses à te raconter Élo, je sais même pas par où commencer …— Mhhh, je sais pas moi ! T’as fait ta première fois ?
Je lui posai la question avec un clin d’œil et un petit coup de coude bon enfant. Elle me répondit en rougissant légèrement :
— Pas vraiment … Enfin en quelque sortes.— Bah oui ou non ? Insistai-je— Non, mais ça ne veut pas dire qu’on a rien fait non plus !
Je laissai un court silence avant de lui demander malicieusement :
— Tu l’as sucé ?
— Oui ! Me répondit-elle en riant, toujours le rouge aux joues qui lui donnait un air innocent— Je le savais que tu aimerais ça ! Je te l’avais bien dit !
Aux premiers jours de sa relation avec Romain, je lui avais parlé de la pipe que j’avais dû tailler à Adrien, un ami, à son anniversaire, après avoir perdu un pari stupide … C’était la première que je faisais et Adrien, fort de son expérience pornographique, m’expliqua comment faire et me guida, bien que les quelques pornos que j’avais vus m’avaient déjà donné une idée. J’avais vraiment adoré cette expérience, et Adrien m’avait demandé s’il pouvait jouir sur mes seins, à défaut de dans ma bouche. J’avais accepté, et, je cite, mes seins étaient selon lui « le fantasme absolu de tout hétéro qui se respecte ». J’ai toujours eu des gros seins, et mon 90C ne passait pas inaperçu au lycée … Après cela, j’en avais parlé avec Marie et lui avais donné des conseils pour une fellation réussie.
— J’ai bien suivi tes conseils, j’y suis allé progressivement, d’abord juste la langue sur sa bite, ensuite sur son gland, puis je l’ai sucé en faisant tourner ma langue autour de son gland.— C’est génial !
Elle me raconta en détail sa première fellation, dans la douche. Mon corps en était tout émoustillé, le sien aussi visiblement. Elle se déshabillait tout en me racontant, et lorsqu’elle arriva au moment où Romain éjaculait dans sa bouche, elle était en sous-vêtements. Je décidai de me mettre en sous-vêtement également pour ne pas la gêner, et puis j’avais vraiment très chaud.
— Et après, vous avez fait quoi ? Lui demandai-je, surexcitée— Si tu savais … C’était comme dans un rêve !— Dis moi tout Marie !— On est sorti de la douche, il m’a essuyée avec une serviette, même si je n’étais plus trop mouillée, et je lui ai fait pareil … Tu l’aurais vu, il est redevenu tout dur d’un seul coup, sa bite s’est dressée quand je l’ai branlé pour l’essuyer ! C’était trop chou. Après, il m’a portée dans ses bras comme une princesse jusqu’à ma chambre, et je me suis jetée sur le dos sur le lit.— L’allumeuse … dis-je malicieusement avec un clin d’œil— J’étais trop excitée attends ! Et en plus il en a rajouté, il était parfait, il m’a embrassée, puis il m’a couverte de baisers jusqu’à arriver à ma chatte...
Inconsciemment, j’imaginais la scène dans mon esprit et ne pus m’empêcher de glisser discrètement ma main sur ma culotte qui commençait à s’humidifier. Marie le remarqua et s’en amusa alors que mon visage vira net au pourpre.
— On dit qu’un exemple vaut les plus grands discours, alors laisse-toi faire Élo.
Elle se coucha sur moi et posa un baiser sur mes lèvres. C’était la première fois qu’une fille m’embrassait, et je ne m’attendais pas à ce que ce soit si agréable. Comme promis, elle fit exactement ce qu’elle avait décrit : elle déposa des baisers sur mon corps tout en descendant jusqu’à ma chatte. Elle écarta doucement mes jambes et embrassa mes lèvres.
— Marie, je -
Elle me coupa la parole :
— Chuuut, laisse-toi faire Éloïse...
Sa langue arpentait d’abord doucement mes lèvres trempées, puis avec beaucoup plus d’ardeur. Je gémissais, fort j’imagine, car Marie me regardait en souriant de temps à autres. Elle me doigta avec un, puis deux, puis trois doigts. Sa technique était exquise, son doigté précis et sa langue s’agitait sur mon clitoris en feu. Elle me fit crier de nombreuses fois et je jouis finalement dans un grand cri en éclaboussant de mouille son visage angélique. J’étais totalement perdue, déboussolée, encore ivre d’un plaisir nouveau. Elle se redressa et s’allongea à côté de moi. Nous nous embrassâmes longuement, puis elle prit ma main et la frotta contre sa culotte trempée.
— Regarde un peu l’effet que tu me fais Élo...
De son côté, Victor semblait s’activer avec Awena car de grands cris féminins se faisaient entendre. Je lui dit alors, en me mettant à quatre pattes au-dessus d’elle :
— Je ne pourrais pas rivaliser avec Romain en matière de cunnilingus, car si tu as jouis autant que moi, il est vraiment excellent— Oui, je l’ai confirmé plusieurs fois après, il manie sa langue avec énormément de talent, me répondit-elle en souriant— J’ai une surprise pour toi, ferme-les yeux, je vais la chercher.
Pour mon plaisir personnel solitaire, j’affectionnais particulièrement les vibromasseurs. Je n’avais que peu d’expérience, mais ma grande sœur m’avait donné il y avait peu un œuf vibrant télécommandé qu’un de ses amants lui avait offert. Elle avait une vie sexuelle active et n’en avait donc pas besoin. Je le cachais toujours dans une petite poche de mon sac. Je le pris et revins me positionner au-dessus de Marie. Je l’embrassai fougueusement et en profitai pour insérer l’oeuf dans sa chatte.
— Qu’est-ce que tu fais Élo ?— Ne bouge pas, tu vas vite le savoir
Je passai l’œuf en puissance 2.
— Ohhh ! Éloïse !
L’œuf vibrait dans sa chatte délicate, toujours cachée par sa culotte trempée de mouille. Je lui retirai sa culotte, en profitant pour passer ma langue sur son clitoris à plusieurs reprises. Puis, je libérai ses magnifiques seins et lécha ses tétons durs.
— Éloïse …
Je passai l’œuf en puissance 4. Marie gémissait plus fort, à intervalles plus rapprochés, et se tortillait dans tous les sens. Ses mains tentèrent de trouver son sexe pour augmenter le plaisir, mais je les pris et les posa sur mes seins. La sensation de mains fines palpant mes seins était toute nouvelle et très agréable.
Je passai alors l’œuf à la puissance maximale, celle qui me faisait jouir à chaque fois en un temps record, la puissance 6. Marie cria de plaisir et malaxa mes seins avec tant d’intensité que je me tordis de plaisir, puis elle jouit. Elle fut prise de plusieurs spasmes, si puissants qu’ils en rejetèrent l’œuf vibrant. Marie s’évanouit sous le plaisir et se mit à dormir paisiblement. Je la couvris avec la couette, sortis de la chambre et, curieuse, descendit les escaliers vers des cris de jeune fille intenses, vers la chambre de Victor …
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