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Adolescentes (presque) innocentes

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
CHAPITRE III (ÉLOÏSE) : Apprentissage et expérimentations
J’étais encore sous l’effet des caresses de Marie et de l’excitation générale, et l’intention de surprendre Victor en train de baiser une fille n’atténuait en rien cette sensation. J’arrivai donc au pied de sa porte ou les cris se faisaient plus distincts. Hardie, j’entrouvris la porte. Victor et Awena étaient nus, allongés et enlacés sur le lit du jeune homme, en train de regarder un porno. Les cris ne venaient donc pas d’Awena mais de la télévision … Le lit était positionné de telle sorte qu’ils ne pouvaient pas me voir, de dos, mais je pouvais parfaitement voir ce qu’ils faisaient et le porno qu’ils regardaient. Victor chuchota quelque chose à l’oreille de sa partenaire et celle-ci sourit en rougissant. Elle se libéra de son étreinte, se redressa et descendis progressivement vers la bite fièrement dressée de Victor. Elle commença par le branler doucement, comme si elle découvrait un nouveau jouet, puis elle embrassa timidement la verge, goûta le gland de quelques coups de langues et enfin, franchis le cap en prenant Victor en bouche. Le jeune homme gémissait de plaisir et pencha sa tête vers l’arrière :
— Oh oui Awena … Oh ! Oh ! Ne tourne pas trop vite ta langue, tu vas me faire jouir …
Elle semblait prendre un réel plaisir à désobéir car Victor dit de plus belle :
— Awena je t’en prie pas si vite !
Alors, elle arrêta tout, se redressa et lui répondit en souriant :
— J’ai envie de te faire jouir Vivi …— J’ai une faveur à te demander alors.— Tout ce que tu veux !
L’ardeur pleine de naïveté qu’elle mettait dans ses paroles était belle à voir.
— Finis moi avec tes seins s’il te plaît.
Awena sembla surprise un court instant mais obéis à son amant. Ses seins n’étaient pas aussi gros que les miens, mais suffisamment pour pratiquer la branlette espagnole car elle la commença sans plus tarder. Victor se tordis de plaisir, et à entendre Awena le supplier pour son sperme et Victor gémir bruyamment, je me mis à genoux derrière la porte entrouverte, sur le carrelage froid et caressa mes lèvres. J’étais totalement excitée par la situation et enviait Awena.
Victor éjacula dans un grand cri. Sa belle bite eut plusieurs soubresauts avant de se calmer, et le visage et les seins d’Awena étaient couverts de sperme. Elle ne perdit pas son temps et récupéra le tout pour l’avaler.
— Tu es délicieux Victor !
— Content de l’apprendre, lui répondit-il en se redressant avec un sourire.
Il se leva pour éteindre la télévision et jeta Awena à la renverse sur son lit.
— À mon tour de te goûter !
Victor engagea sans préavis un féroce cunnilingus qui fit beaucoup gémir la jeune blonde. Il s’arrêta et s’allongea sur le lit, dans l’autre sens (les jambes vers la porte, et moi donc) et Awena se dépêcha de grimper sur sa bouche. Elle se tortillait d’avant en arrière en poussant des petits cris qui m’excitaient beaucoup. La bite de Victor était toujours fièrement dressée et attendait son heure. J’accélérai le rythme de ma main et me fis jouir en silence alors qu’Awena jouit bruyamment. Elle resta cependant sur le visage de Victor et lui en redemanda un deuxième. Il accepta de bon cœur puisqu’il se remit au travail sans plus tarder.
Prise d’une pulsion sexuelle, je franchis la porte et grimpa sur le lit, entre les deux jambes de Victor. J’étais très excitée par la situation, et les deux amants ne m’avaient toujours pas remarquée. Je décidai alors de sucer Victor pendant qu’il léchait Awena. Aux premiers tours de langue, la réaction fut directe : il s’agitait dans tous les sens et accélérait ses mouvements de langue, provoquant alors plus de cris d’Awena. J’avais adoré sentir la bite d’Adrien dans ma bouche, l’avoir sous contrôle, mais je savourai encore davantage la bite de Victor. Je m’appliquai : ma langue tourbillonnait autour de son gland, mes lèvres aspiraient sa verge, mes mains malaxaient tendrement ses couilles. Je le sentis se raidir, et ce fut l’explosion dans ma bouche. Je ne pus tout avaler d’un coup car il éjacula plusieurs salves puissantes de sperme. Son orgasme provoqua celui d’Awena, car il lui donna quelques furieux coups de langue sous l’effet du plaisir. Elle se renversa sur le côté, et alors Victor me vit, sa bite toujours dans ma bouche pleine de sperme.
— Éloïse ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
De la stupeur mêlée d’effroi se voyait très bien sur son visage, avec le plaisir post-orgasme qu’il ressentait. Je sortis sa bite de ma bouche, avalai son sperme et pris un air faussement innocent :
— Je suis désolée Victor, mais elle avait l’air tellement appétissante …
Il tenta de répliquer et de protester mais je l’interrompis en nettoyant sa bite avec ma langue. Il gémit de bonheur et essaya vainement de contester mes actes :
— Arrête ça Éloïse c’est mal !— Pourquoi ? Tu as bien laissé Awena te sucer alors que tu ne sors pas plus avec elle qu’avec moi … Et puis tu as l’air d’apprécier, rajoutai-je avec un clin d’œil. Viens t’amuser avec moi Awena !
Elle vint se positionner à côté de moi, face à Victor. Je jouai avec mes seins et observai avec attention sa virilité se durcir sans plus attendre.
— Qu’est-ce que dirai Marie si elle voyait ça ? Dit-il.
Il semblait parti pour argumenter contre moi mais je le fis taire en le prenant entre mes seins.
— J’ai vu que tu aimais ça tout à l’heure …— Non c’est faux arrête !
Son dernier mot s’évanouit en un gémissement de plaisir. J’agitai mes seins de haut en bas comme j’avais vu Awena le faire, ce qui provoqua plusieurs soupirs de plaisir du vigoureux jeune homme que j’avais sous contrôle. D’un commun accord, et pour ne pas qu’elle s’ennuie, Awena prit le relais et masturba Victor à son tour entre ses seins. Le petit chanceux semblait aux anges et contractait tellement son corps pour ne pas jouir qu’il nous suppliait d’arrêter notre torture. Je pris à nouveau sa belle bite trempée de pré-sperme entre mes seins et le branla. Sans prévenir, je commençai alors à la malaxer et la masser en la compressant dans mon 90C. Ce changement de rythme le prit par surprise et il éjacula en criant mon prénom quatre énormes giclées de son sperme épais qui vinrent recouvrir mon visage, mon cou et mes seins.
Je ronronnai de plaisir tandis qu’il respirait bruyamment en chuchotant des commentaires sur notre prestation. Awena vint lécher mes seins pour récupérer le précieux liquide et s’allongea sur Victor en le branlant doucement et en lui chuchotant à l’oreille. Elle frotta ses lèvres intimes humides contre sa bite, ce qui le fit bander de nouveau (quel endurance !), et Awena s’empala sur le sabre dressé de son partenaire. Ce n’était visiblement pas sa première fois et elle accéléra rapidement le rythme de ses hanches. Ils se disaient des "je t’aime" et autres "mon amour" entre deux gémissements, alors je décidai de leur laisser un peu d’intimité. Et puis, après cette soirée fortement sexuelle, mon désir s’ était finalement calmé. Je sortis de la chambre comme j’y étais entrée, c’est-à-dire nue, et sursauta quand Marie surgit de la pénombre de la maison:
— Dis donc petite coquine ! — Marie ... ne m’en veux pas ...
Elle me fixa pendant une seconde qui me parut une minute, puis éclata de rire en m’embrassant sur le front :
— Perverse ! Ça t’a pas suffit un cunni, il te faut forcément une bite à sucer !
Nous riâmes toutes deux de bon cœur. Je me sentais rouge comme une pivoine et enfouit mon visage dans sa petite poitrine dénudée. Nous remontâmes dans sa chambre, et couchées dans son lit deux places, j’osai lui demander:
— Tu nous espionnais depuis quand ?— Depuis que tu es entrée dans la chambre de mon frère, j’ai entendu les cris d’Awena alors je suis descendue, et je vous ai vues en train de torturer mon frère...— Tu es fâchée contre moi ?— Non pas du tout, je reconnais que mon petit frère a un beau membre, et s’ il n’était pas mon frère je l’aurais sucé depuis longtemps.
Nous discutâmes du goût du pénis de Victor, des quantités impressionnantes de sperme qu’il éjacule, de la taille de mes seins et d’autres sujets; je m’endormis blottie dans les bras protecteurs de ma meilleure amie.
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