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Affaires de famille

Chapitre 1

Inceste
CHAPITRE 1 – Un désir refoulé
Aujourd’hui est un magnifique jour d’été, il fait beau est très chaud. Je suis allongée sur un transat au bord de la piscine, profitant du soleil dans mon petit bikini bleu.
Je m’appelle Aurélie et j’ai 39 ans. Je suis mariée et ai 2 enfants, Mathilde et Enzo, âgés de 18 et 19 ans. J’ai de longs cheveux brun et lisse me tombant au milieu du dos, de jolis yeux verts et des lèvres pulpeuses d’un rouge vif. Physiquement, je ne suis pas vraiment à plaindre. Je mesure 1m67 pour 65kg, et je dispose, comme ma mère, d’une poitrine naturellement généreuse (90D) qui a souvent tendance à attirer un peu trop le regard des autres hommes. Pour le reste, j’ai un petit ventre plat et de longues jambes bien galbées que je montre souvent au gré des mes tenues.
Je suis aussi une femme de caractère, ayant reçu une éducation pieuse et assez stricte. Mais j’aime tout de même m’amuser avec mes amis et ma famille. Je suis une personne qui aime plaire, sans pour autant allumer, c’est pourquoi je porte des tenues assez révélatrices de mes formes sans tomber dans la vulgarité.
Dans la vie, je suis très proche de les enfants. Mais beaucoup moins de mon mari depuis quelques temps. Sexuellement et affectivement, nous ne sommes plus très actifs. Il a souvent tendance à être à fond dans son travail, négligeant le reste.Je suis donc sur ce transat, seule à la maison sous cette chaleur accablante. Ma peau est couverte d’une très fine sueur et je me détends complètement. Tout d’un coup, sans raison particulière, une excitation profonde envahi mon corps et je ressens une petite chaleur dans mon ventre. Cette excitation devient rapidement incontrôlable et, comme je le fait parfois en étant seule, je commence à me caresser doucement le clitoris à travers la toile de mon maillot.
Je fais pression dessus avec deux doigts et je fais des petits mouvements de rotation de plus en plus rapide au fur et à mesure de mon excitation grandissante. Je me caresse furieusement et en très peu de temps, ma chatte ainsi que mon maillot sont déjà complément trempés.
C’est alors que je décale le tissu de mon maillot sur le coté d’un doigt afin d’avoir accès directement à mon sexe. A ce moment je sens son extrême moiteur, toute cette mouille due à cette terrible excitation, et ni une ni deux, je pénètre mon intimité de deux doigts entiers. Cette perforation si soudaine m’arrache un violent râle de plaisir et me met au bord de l’orgasme. Ma respiration est forte, j’écarte alors mes cuisses en grand, genoux en l’air, et je débute de longs mouvement de vas et viens avec mes doigts. Ils sont de plus en plus rapides et forts, le bruit produit l’est aussi. Je décide soudainement de soulever mon soutien-gorge au dessus des mes seins et de les malaxer le plus fort possible de ma main libre. Je maltraite mes seins, me pince les tétons devenus extrêmement durs et les apporte à ma bouche pour les lécher. A ce moment précis, un orgasme grandiose s’empare de mon corps, me faisant trembler comme une feuille et crier de jouissance.
Je suis allongée, reprenant mon souffle, toujours avec deux doigts dans la chatte et je récupère doucement mes esprits. Je soulève alors la tête et soudainement je suis horrifiée. Mon fils est devant moi, de l’autre côté de la piscine, me regardant discrètement avec son téléphone. Ayant remarqué que je l’ai vu, il se lève et rentre dans la maison l’air de rien.Mon dieu ! Depuis quand est-il arrivé ? Qu’a-t-il vu exactement ? Et que faisait-il avec son téléphone ? Prenait-il des photos… ou même une vidéo ?
J’en profite donc pour m’activer et me rhabiller le plus vite possible. Une fois fais, je me lève et rentre à mon tour, l’air honteux. Je fonce sous la douche et monte ensuite dans ma chambre pour me changer. Je mets donc un petit short blanc et un débardeur que j’enfile à la vas-vite. Une fois prête, je me dis qu’il faut que je fasse quelque chose pour oublier ce moment. Il est bientôt l’heure du dîner, je m’attelle donc à la cuisine.C’est un repas très silencieux. Tout le monde à table a du sentir mon malaise, même si j’essai de le dissimuler du mieux que je peux. Je n’ose regarder personne dans les yeux, je regarde vers le sol et je réfléchis à ce qui s’est passé. Je me revois me toucher devant mon fils et je ressens un profond regret. Mais pas seulement, une drôle de sensation en moi est aussi présente.
Serait-ce de la peur ? Non.De la crainte ? Non plus.De l’excitation ? Non non, je ne peux pas y croire. C’est impossible.
Le repas se termine et tout le monde quitte la table pour se poser dans le canapé du salon afin de regarder le film du soir, comme à notre habitude. Je suis plongée dans mes pensées et je ne suis absolument pas ce qui se passe à l’écran. Le film étant terminé, mon mari et ma fille montent se coucher.
-Chérie, nous on va se coucher. Tu viens ? Dit mon mari.-Pas tout de suite mon amour, je te rejoindrai un peu plus tard.
Je me retrouve donc assise devant la télévision avec mon fils à côté de moi. Soudainement, il me démange de d’éclaircir cette histoire qui me bouleverse :
-Dis moi mon chéri, comment ce fait-il que tu sois rentré à la maison si tôt aujourd’hui ? Dis-je d’un ton apaisé.— Plusieurs de mes profs n’étaient pas là aujourd’hui. Du coup j’ai pu sortir un peu à l’avance.-D’accord. Je voulais savoir, lorsque tu étais dehors avec moi… aurais-tu vu… comment dire… quelque chose d’inhabituel ?-De quel genre de chose inhabituelle tu veux parler ?-Ne fait pas comme si tu ne comprenais pas, Enzo… Dis-moi la vérité.-Bon d’accord… Je t’ai vu te caresser. Dit-il d’un ton solennel.
En entendant cela, J’avale ma salive et me sent très mal à l’aise. Je réponds à mon fils d’une voix tremblante :
-Oh… Hum. J’ai vu que tu avais ton téléphone levé vers moi à ce moment là. Aurais-tu pris des photos de moi dans cette position ?-Une vidéo, oui. Répond-il franchement.-Très bien. Je peux voir ton téléphone s’il te plait ? Et elle tend la main vers lui.-Mais maman, c’est rien…-Enzo je ne plaisante pas, donne moi ce téléphone !
Et il pose son téléphone dans ma main. Je m’empresse donc de vérifier que mon fils dit vrai, et qu’il a donc bel est bien filmé sa mère se caressant. Et en effet, la vidéo est là. Je me vois allongée sur ce transat, me masturbant violemment tout en râlant mon plaisir. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises : il y a d’autres vidéos et photos de moi dans des positions révélant mon corps sur ce téléphone.
Un sentiment puissant monte dans mon corps. Mais étrangement ce n’est pas de la colère. Le fait de me voir comme ça et de savoir que c’est son fils qui a pris les vidéos et photos me donne la même sensation que j’ai eue lors du diner.
-Mon dieu Enzo ! Pourquoi est-ce que tu as ça dans ton téléphone ?! -Maman… Te fâche pas. Je fais ça parce que je te trouve belle, magnifique même. Je t’aime maman.
Ces mots me font exploser de l’intérieur. A ce moment là, plus aucun doute. Cette situation, bien que immorale et interdite, m’excite au plus haut point.
-M… Moi aussi je t’aime Enzo, mais…
Enzo pose sa main sur mon épaule comme pour me rassurer :
-T’en fais pas maman. Je te veux pas de mal, c’est juste que je suis fou de toi. Je te veux…
En prononçant ces mots, il pose sa main sur ma cuisse nue tout en rapprochant sa tête de la mienne.
-Non, Enzo… On ne peut pas faire ça… Dit-je.
Mes mots ne correspondent plus avec mes actes. Malgré mes craintes, je pose elle aussi ma main sur la jambe de mon fils tout en rapprochant lentement ma tête. Nos lèvres sont sur le point de se toucher, je pose mon autre main dans les cheveux de mon fils et je l’embrasse langoureusement.
Ce n’est pas un baiser qu’une mère offre à son fils, mais qu’une femme offre à son homme. Il est de plus en plus intense. Maintenant nous nous embrassons à pleine bouche. Je sens la langue de mon fils pénétrer ma bouche, et cette sensation m’excite terriblement.
Pendant ce temps, Enzo continu de me caresser les cuisses. Je remarque alors une bosse dans son pantalon.
-Mon dieu, elle à l’air énorme… Me dis-je avec envie.
C’est alors que Enzo met fin a notre baiser. Je le vois qui fixe ma poitrine.
-Maman… Ils ont l’air énorme. Je peux les toucher ?-Enzo non… On va déjà trop loin…
Encore une fois mes mots sonnent faux et je ne peux m’empêcher de cambrer mon dos vers lui afin qu’il puisse me tripoter comme il le souhaite. Il attrape donc un sein dans chacune de ses mains et commence à les malaxer.
-Wahou maman… Ils sont doux et lourds…-Tu aimes les seins de maman ?
Je ne me reconnais plus. Les propos que je tiens envers mon fils sont choquants et interdits, mais ça m’excite tellement. Je ne suis plus du tout la mère exemplaire que j’étais, je deviens une salope… sa salope.
-Oh oui maman, c’est les plus beaux seins que j’ai jamais vu !
Ses mots me rendent folle. Mon short est trempé de mouille, je ne contrôle plus rien. Ni mes mots, ni mes actes.
-Attends mon chéri, je vais t’aider à y voir un peu plus clair…
Je retire ses mains de ma poitrine. Je sens une certaine frustration sur son visage, mais ce n’est que partie remise…C’est alors que j’attrape mes seins un a un et que je les mets à nu devant mon fils en les faisant sortir par l’échancrure de mon débardeur. Je me mets à genoux devant lui, j’attrape mes tétons durs que je pince et je dis à mon fils en lui lançant un regard de salope :
— Et là, tu penses quoi des seins de maman, mon chéri ?
Il a des étoiles dans les yeux, et ni une ni deux, il se jette sur moi pour bouffer mes seins. Je sens sa langue titiller mes tétons et je frôle l’orgasme. Pendant ce temps, je continu de fixer la bosse sur le pantalon de mon fils. J’imagine alors son engin dans ma tête. Il a l’air si long, si dur… Il me donne envie, tellement envie…Sans réfléchir, j’embrasse mon fils et lui attrape son sexe d’une main. Je sens ses boules dans mes doigts que je caresse doucement.
-Mmmh… Tu es tellement dur mon chéri…-Oui, tu me fais bander comme un fou !
Je suis d’abord choquée par les propos de mon fils. Je suis étonnée qu’il ai déjà autant d’aises avec moi. Mais en y réfléchissant bien, j’aime ça. J’aime quand il utilise des mots crus, j’ai l’impression de lui appartenir, d’être sa chose.
-Oh Enzo, tu sais parler à ta mère !
Tout en disant ça, j’attrape le pantalon de mon fils et le descends d’un coup sec, révélant son énorme trique.Je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle soit aussi grosse. En la voyant comme ça, raide et pointant vers le haut, je ne peux m’empêcher de la saisir à pleine main et de branler mon fils de toute mes forces.
-Oh maman oui ! J’aime quand tu me branle comme ça, continu !
Je l’allonge sur le dos, me met à genoux au niveau des ses jambes et commence à saisir son chibre à deux mains pour le branler. Je suis en transe, la bite de mon fils m’hypnotise. Je ne vois plus qu’elle, je ne veux plus qu’elle.Et en un instant, je me retrouve avec la queue d’Enzo au fond de la gorge.
Comment ai-je pu tomber si bas ? Moi qui ai reçu une éducation exemplaire, je me retrouve les seins à l’air avec mon fils qui baise ma bouche et ma gorge, et le pire c’est que je jouis comme jamais !
Je continu donc de sucer Enzo jusqu’à la garde avec des mouvements de vas et viens avec ma tête de plus en plus amples et rapides. J’imagine la vue de mon fils : me voir à quatre pattes, sa bite en bouche et mes seins pendants qui bougent au gré de mon pompage.
-Continu maman ! Putain ta bouche de salope va me faire jouir !
Ces mots m’excite tellement que j’accélère encore mon mouvement.Tout d’un coup je le vois qui ferme les yeux, m’attrape les cheveux des deux mains et bloque ma tête sur son pubis, sa bite au fin fond de ma gorge. Le salaud, il va jouir dans la bouche de sa mère !
-Aaaah oui maman ! Je jouis !
Je sens dans ma gorge ses longs jets de foutre arrivés un à un. Il en vient tellement qu’il remplit ma gorge et une petite quantité dégouline de ma bouche. Une fois que les spasmes de sa queue ont disparus, il retire enfin son engin de ma bouche.
Je me retrouve avec le foutre de mon fils plein la bouche, une partie dégoulinant sur ma bouche et mes seins. C’est alors que je regarde mon fils dans les yeux et que je lui fais un clin d’œil. Je commence à m’étaler le foutre hors de ma bouche sur mes seins. Ils sont maintenant brillants, couverts de sueur et de foutre. Après ça, j’ouvre la bouche pour montrer à mon fils ce qu’il m’a fait, et j’avale sa semence avec un grand plaisir.
-Oh mon dieu maman, c’était extraordinaire… -Oui, c’était vraiment…
J’ai soudainement une prise de conscience en plein milieu de ma phrase. Qu’ai-je fait ? Comment ai-je pu faire ça avec mon propre fils ?! Je suis devenu une salope immonde, et si quelqu’un l’apprend, je risque de tout perdre ! C’est alors que je pars en pleure. Je repousse doucement mon fils, me rhabille et part rapidement en direction de la salle de bain. Je n’ose même plus me voir dans le miroir. Je suis une honte, une mère indigne, et je continu de pleurer.
Après ma douche, je décide d’aller au lit. Avec un peu de chance, la nuit me portera conseil…

Si vous avez aimé, je ferais la suite :)Merci de votre lecture.
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