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Agent secret en péril

Chapitre 2

Travesti / Trans
(... suite...)

Je restais comateux, mon slip mouillé de mon sperme, mes muscles comme tétanisés, avant de finalement m’endormir. Le bruit maintenant habituel des gardes s’approchant pour apporter mon repas me réveilla. J’étais décidé à ne pas en manger, au vu de ce qui c’était passé. Outre des exhausteurs, ils y avaient ajouté un aphrodisiaque, j’en étais certain ! Mais l’odeur était si forte, tellement appelante… j’essayais de résister de toutes mes forces… mais impossible… je salivais, mon estomac grognait, même au niveau de l’entrejambe, je sentais comme des chatouillis… je ne pus résister bien longtemps, et je me retrouvais agenouillé face contre la grille, qui bougea et me permis de manger le ragoût. J’eu un telle plaisir, un tel contentement en mangeant les premières bouchées, je me sentais tellement bien… Je finis la gamelle, et me surpris même à vouloir lécher le fonds de sauce… mais je me retins, devinant que j’étais filmé. Je me redressais, frottant mon menton de ma main… je me rendis compte alors comme ma barbe avait poussé… cela devait faire déjà plusieurs jours que j’étais ici. Je passais ma main sur mes joues. A la longueur de ma barbe, cela devait même faire une bonne semaine… Que c’était difficile et perturbant de n’avoir aucune notion du temps… je me rendis également compte comme je sentais mauvais. Une semaine sans me laver… je décidais donc d’aller à la salle de bain. Même si je savais être filmé, je n’allais pas me laisser aller ! Dans la salle de bain, je trouvais un nécessaire de rasage. Je me fis donc la barbe, rasant proprement mes joues, mon menton, sous mon menton, au-dessus de mes lèvres. Après, je passais satisfait ma main sur ma peau lisse. Puis j’enlevais mon slip et entrais dans la cabine douche. J’actionnais le mitigeur, et l’eau coula sur mon corps… l’eau chaude me fit un bien fou… Il y avait deux flacons à portée de main. Des emballages en plastique blanc. Sans aucune marque, sans aucun écrit, sauf un étiquette « Douche corps » sur un, « Shampoing » sur l’autre. J’essayais le « corps », et me savonnais. Le savon moussait bien, et avait une odeur pas désagréable, même si très florale. Encore un truc pour fille. Je rinçais ensuite abondamment avec l’eau, laissant l’eau couler sur mon corps… l’eau couler… l’eau qui coule… soudain un flash me traversa la tête ! Le journal télévisé que j’avais vu… le plan large sur les bâtiments de TechGen… le complexe donnait sur le fleuve ! Il y avait même de grands hangars sur le bord du fleuve… le seul endroit que les militaires n’ont pas fouillé, j’étais prêt à le parier… cela expliquait les éléments chimiques dans la nourriture… aussi comment un commando avait pu s’introduire dans un bâtiment avec un tel niveau de sécurité pour « voler » les fioles… On était dans ou sous les bâtiments de TechGen ! C’était tellement évident, M dirigeait TechGen… j’avais compris, mais ne pouvais partager cela avec personne… j’avais la solution pour tout arrêter, mais cela ne servait à rien, puisque je ne savais plus communiquer avec l’extérieur ! Un tel aveu d’impuissance me fit mal, et je tombais assis, dans la douche, et commençais à pleurer. Je restais ainsi prostré quelques minutes, avant de me relever, d’arrêter l’eau, puis d’en sortir, groggy et penaud. Je vis au sol mon slip, plus très propre… mais mieux valait ça qu’un sous-vêtement féminin ! Je m’essuyais et le remis. Puis retournais vers le lit.

Outre le fait d’être perturbé par le fait de n’avoir aucune notion du temps qui passait, l’ennui était une seconde torture mentale. Il n’y avait rien à faire, et je n’allais pas passer mon temps à dormir ! Je tournais comme un lion en cage, quand je commençais de nouveau à avoir chaud. Très chaud. Mon sexe se redressait, pointant dans le caleçon… Il y avait de nouveau eu l’ajout d’un aphrodisiaque puissant dans la nourriture !

L’écran géant se ralluma. A nouveau, des images de filles superbes en sous-vêtements coquins défilèrent… Je ne voulais pas regarder, mais c’était impossible. L’aphrodisiaque prenait contrôle de mon corps, je me sentais excité, excité comme un fou, et j’avais envie de jouir. Je me mis donc sur le lit, regardant l’écran géant. La fille blonde avec de gros seins et un bikini blanc que j’avais vu la fois avant, dans son bikini blanc tout mouillé était toujours près de sa piscine… On voit ses tétons pointés sur le blanc du bikini… Un type en maillot de bain la rejoint. Il est bien bâti. Elle s’agenouille devant lui et caresse son maillot, où se forme une jolie bosse… l’air coquin, elle abaisse son maillot, et une verge bandée, de belle proportion apparaît… elle commence à le lécher, le gland d’abord, sa langue rose tournoyant sur le gland, au-dessus, autour, le frein… puis elle descend le long de sa hampe, lui lèche les testicules, méticuleusement, avant de remonter, et de s’attaquer à nouveau au gland… puis elle le prend en bouche et commence à le sucer, tout en gardant ses yeux magnifiques rivés dans ceux du gars… mon sexe bat comme un fou dans mon caleçon… puis la jolie latino apparait à l’écran, avec son string noir, ses bas résille et jarretelles noires… Elle danse toujours lascivement, pour un type, assis dans un fauteuil de style, habillé d’un costar très chic, dont la braguette est ouverte et sa verge bandée en sort, droite comme un I… la fille s’agenouille entre ses jambes, et prend son sexe en bouche, directement… sa tête commence à aller et venir lentement le long de son pieux… comme la fois passée, de temps en temps l’écran flash blanc, j’ai l’impression qu’il y a des mots, des phrases, mais je n’arrive pas à les lire… Puis la jeune fille avec le mini short en jeans très moulant apparaît à l’écran… son short est au sol elle ne porte que le petit g-string rose sur ses jolies fesses… mon sexe battait de plus en plus fort… La fille est rejointe par deux types, en jeans et t-shirt, les bras remplis de tatouages. Elle avance lascivement vers eux, pose une main sur chaque torse, puis les embrasse à tour de rôle… gros plan sur les langues qui dansent ensembles… puis la fille s’agenouille devant eux, ouvre leurs braguettes, et sors leurs membres, qu’elle lèche l’un après l’autre… elle en lèche un, et branle lentement le second, puis elle change… elle change encore… puis elle suce l’une, branlant lentement l’autre, et inversement… elle les prends de plus en plus dans sa bouche, et les deux verges bandées deviennent luisantes de salive… et toujours ces flashs blancs à l’écran… mon sexe battit encore plus fort dans mon slip, comme un fou, avant d’exploser, mon sperme se répandant une nouvelle fois dans mon slip, un nouvel orgasme puissant dû à l’aphrodisiaque. L’écran s’éteignit, et je me retrouvais pantelant sur le lit…

Je ne me serais jamais cru si faible… impossible de résister à la nourriture, quitte à manger à quatre pattes dans une gamelle comme un chien, impossible de résister à l’excitation… je me sentais si faible, si vulnérable… et recommençais à pleurer… ça aussi c’était nouveau, moi qui de toute ma vie n’avais pleuré qu’à la mort de mes parents et aux funérailles de Kate…

Après un sommeil réparateur, je décidais de tenter de me sortir de la sorte d’engluement dans lequel M voulait me maintenir. Je fis donc des pompes, des tractions et des abdos. J’allais prendre une douche lorsque j’eus terminé, mais à ce moment les deux gardes arrivèrent avec la nourriture. Ils déposèrent la gamelle à l’endroit habituel. Je les regardais, sentant une sourde colère monter en moi. L’un des masques blancs se tourna vers moi, sentant mon regard et dit:– Voilà le bon miam-miam pour le bon toutou !

La colère explosa et je me jetais sur les grilles. Je ne savais pas atteindre le garde, alors je frappais de toute ma rage sur les grilles…

– J’en veux pas de votre saleté ! J’en veux plus ! Allez vous faire foutre ! Tous ! Allez vous faire foutre !


Ils rirent en s’éloignant, moqueurs. Je voulus shooter sur la gamelle, mais les grilles qui m’entouraient me donnèrent une décharge électrique si forte que j’en tombais au sol. L’odeur de la nourriture me pris. Entrant par mes narines, envahissant mes pensées, mes désirs… Je me répétais « Je n’en veux pas ! Je n’en veux pas ! Je n’en veux pas ! » Mais l’odeur faisait tomber toutes les barrières, annihilait ma pensée… « Je… n’en… veux… p… pas… ! Je… » Ma bouche commença à saliver, mon estomac à grogner, mon entrejambe à papillonner… c’était tellement bon… je devais résister… mais c’était si bon… je devais… trop bon…

Et je me retrouvais à quatre pattes, la face contre la grille à manger le ragoût. De nouveau les premières bouchées me donnèrent une sensation de plaisir et de satisfaction terrible. Je mangeais tout, sans en laisser un morceau. Et comme chaque fois, la gamelle vide, le plaisir et la satisfaction s’effaçant doucement, je me sentais coupable, coupable d’avoir été si faible. C’est dans cet état d’esprit que je pris une douche, puis retournais sur lit et m’endormit.

Je me réveillais assez rapidement. J’avais tellement dormis ces derniers temps que je n’avais plus vraiment sommeil… comment passer le temps ? Je recommençais à inspecter chaque recoin de ma prison, afin de trouver un moyen de m’évader. En vain. Mais mon inspection minutieuse me permis de trouver deux compartiments cachés dans la coiffeuse. Bon, en fait ils n’étaient pas vraiment cachés, c’étaient des portes qui s’ouvrent quand on appuie dessus, mais comme j’essayais de ne pas trop regarder le laqué rose des meubles, ce détail m’avait échappé jusqu’ici. Dans le compartiment de droite se trouvaient trois reposoirs avec des perruques : une blonde avec des cheveux longs et lisses, une brune avec des cheveux longs et légèrement bouclés, et une noire avec des cheveux mi-longs et lisses. Étrangement, dans cette pièce « Bimbo » cela ne m’étonna pas de trouver ce genre d’objets… Je haussais les épaules et fouillais l’autre compartiment, à gauche. Il contenait des livres. Assez fins. Des guides : « Comment se maquiller pour les débutants » ; « Comment assortir son maquillage à son visage, à ses vêtements » ; « Comment mettre et entretenir une perruque » ; « Guide des sous-vêtements féminins » ; « Trucs et astuces pour marcher avec des hauts talons » ; « Trucs et astuces du travestissement réussi » ; « Guide du travesti » ; « Exercices de gymnastique facile à faire chez soi ».

Je pris ce dernier livre et le parcourut. Beaucoup d’exercices styles squat, d’autres de tonifications abdominales… bon, vu comme je m’ennuyais ici, ça ne coûtait rien d’en faire quelques-uns. Me basant sur le livre, je me fis un programme de gymnastique, et fit les exercices, encore et encore, jusqu’à tomber au sol, en sueur. C’était tonifiant, mais épuisant ! Je décidais d’aller prendre une douche, et me fis un shampoing cette fois. J’étais au rinçage, sentant l’eau chaude bienfaisante passer sur mes muscles un peu endoloris, lorsqu’une odeur vint me titiller les narines. Bon sang, malgré l’eau, malgré l’odeur des savons, je le sentais jusqu’ici. Ils avaient apporté le ragoût. Je devais résister, et m’obliger à rester dans la douche… allais-je me resavonner une seconde fois ? Pourquoi pas ? Je commençais, mais la bonne odeur du savon n’enleva pas celle du ragoût, de plus en plus présente, envoûtante, tentante… Ma fermeté s’émiettait, je salivais, les papillons revenaient dans mon ventre… je me rinçais en vitesse, sortit de la douche, mis mon slip, et me ruais vers la gamelle. Face contre la grille, je dévorais le tout, emplis de plaisir et de contentement. Et comme d’habitude, un peu après, alors que je continuais à me choisir des exercices dans le livre de gymnastique, me faisant un nouveau programme pour plus tard, la chaleur monta dans mon corps, et mon sexe se dressa dans mon caleçon. L’écran s’alluma au-dessus de moi… j’essayais de résister, mais c’était vain, tout mon corps et mon cerveau n’étaient plus que désir, pulsion, excitation…

Je me couchais sur le dos, me remplissant les yeux des filles superbes en sous-vêtements coquins qui défilaient à l’écran… de ces flashs blancs de plus en plus présent… La fille blonde avec les gros seins et le bikini blanc mouillé revint à l’écran, la bouche remplie de la verge du gars en maillot de bain, bien bâti… sa verge entrait et sortait de la bouche de la fille, dont les yeux restaient rivés dans ceux du gars. Il la fait se relever, et passant derrière elle, il transforme le bikini en string, et après avoir donnée une ou deux petites tapes sur les fesses de la fille, il frotte sa verge tendue et mouillée de salive contre ces fesses rondes, tandis que ses mains empoignent les gros seins, les malaxent, les caressent,… la caméra passe devant, on voit les gros seins malaxés, le ventre parfait de la fille… et une belle bosse dans le bikini de la fille… elle a un pénis ??? Une des mains du gars passe dans le bikini, et en sort une verge à demie bandée… bon sang, cette fille superbe a un pénis !!! Et ça n’enlève rien à son charme, au contraire… que c’est excitant de voir une aussi jolie fille, ses gros seins, son sexe bandé que le gars masturbe doucement… mon sexe bat comme un fou dans mon caleçon… puis c’est la jolie latino qui revient à l’écran, avec son string noir, ses bas résille et jarretelles noires… Elle est toujours entre les jambes du gars, suçant sa verge à un rythme plus rapide… la caméra descend vers le bas… bon sang elle aussi ! Elle a un gros pénis ! Il est sorti du string noir, tout bandé, et elle se masturbe lentement tout en suçant le gars ! Le gros plan passe de sa main qui va et vient le long de son sexe bronzé à sa bouche, qui avale le sexe du type assis sur son fauteuil… Et Puis c’est au tour de la jeune fille avec le mini short… elle est debout, et les deux gars, qui sont derrière elle, l’embrassent à nouveau, à tour de rôle, tandis qu’elle masturbe lentement leurs deux sexes bandés… ils la caressent également, font tomber son tout petit soutien-gorge rose, dévoilant une poitrine très petite, mais avec des tétons gonflés et très pointés… un des gars fait rouler un des tétons entre ses doigts, tandis que l’autre s’agenouille et lui retire son g-string rose… et devinez quoi ? Elle aussi a un pénis, assez petit, mais tout pâle, comme sa peau. Le type le triture doucement, puis se mets à le lécher. L’autre continue à triturer ses tétons, tandis qu’elle laisse entendre de petits soupirs de plaisir, s’abandonnant aux caresses de ses amants… Les flashs blancs se succèdent à l’écran… mon sexe battit encore plus fort dans mon slip, comme un fou, avant d’exploser, mon sperme se répandant une nouvelle fois dans mon slip, un nouvel orgasme puissant dû à l’aphrodisiaque. L’écran s’éteignit, comme les fois précédentes. Quel orgasme ! Il avait été encore une fois très puissant. Et je sentis que j’en voulais encore. Encore un orgasme puissant. Bon sang devenais-je fou ? Épuisé par la gym et cet orgasme, je m’endormis sur le lit, le slip maculé de sperme frais.

Lorsque je m’éveillais, je m’étirais, observant ma prison. Finalement je me faisais à la couleur rose. Ce n’était pas si moche que ça. Je regardais les oreillers et les draps. Oui, c’était pas mal le rose. Ma main passa doucement sur les draps… C’est là que je vis sur les draps roses, des tas de petits cheveux, poils, noirs. D’où cela venait-il ? Je regardais mes bras, et vis que je perdais mes poils… bon sang ! Sur mon torse, mes jambes, la même chose ! Je me ruais dans la salle de bain et m’examinais dans le miroir… il y a avait des trous qui se voyaient, je perdais mes poils par plaques entières ! Je passais dans mes cheveux un coups de brosse (il y en avait une près du lavabo)… il y avait plein de cheveux dans la brosse… je les perdais aussi ! Mais que se passait-il ???

J’essayais de réfléchir, retournant vers le lit. Était-ce la nourriture ? L’eau ? La douche ? Je ne savais que penser… Pour me calmer, je fis mon programme d’exercice physique, les squats, les abdos… puis les deux gardes arrivèrent avec la nourriture… ils posèrent la gamelle et partirent. Je n’essayais même plus de combattre l’envie, sachant qu’elle gagnerait… A quatre pattes, face contre la grille, je mangeais de ce ragoût si délicieux, malgré que mon esprit en connaissait les effets pervers. L’accoutumance. L’aphrodisiaque. Et quoi d’autre que je ne savais-pas encore ???

Après avoir mangé, je retournais au lit. Sachant ce qui allait arriver. Et je devais bien l’avouer, l’attendant avec une légère impatience. La chaleur monta bien vite dans tout mon corps, mon sexe banda comme un fou, et l’écran s’illumina… comme d’habitude des filles superbes en sous-vêtements coquins défilèrent à l’écran, mais cette fois, on voyait bien la bosse dans leurs slip, string et autres petites culottes… Les flashs blancs étaient toujours plus présents, et je n’essayais plus d’essayer de lire, je les regardais simplement, comme hypnotisé. La fille blonde avec les gros seins et le bikini blanc mouillé apparut à l’écran. LE type arrête de la masturber, il pousse le bikini sur le côté de ses fesses, libérant ainsi le passage vers son petit anus. Son sexe qu’il frottait contre les fesses de la fille vint se frotter le long de son sillon, avant qu’il ne le place contre son petit trou… il s’enfonce en elle, lentement, tandis qu’elle se masturbe elle-même, lentement… puis il commence à aller et venir dans son cul, lentement d’abord, puis de plus en plus vite… Elle pose ses mains sur un des transats, se courbant pour mieux lui permettre de la pénétrer, et son sexe et ses seins se balancent au gré de ses coups de boutoirs… je ne peux détacher mes regards de son sexe qui se balance, son gland suintant d’un liquide translucide, tandis qu’elle semble prendre un pied pas possible… Ensuite c’est la jolie latino qui vient à l’écran, avec son string noir, ses bas résille et jarretelles noires… Elle se lève, se tourne et s’assied sur les genoux du gars, branlant son pieux avec ses magnifiques fesses, tandis que lui l’embrasse dans le coups et pelote ses seins. Ses fesses vont et viennent le long de la verge du gars… puis elle se relève un peu, et vient se placer pour que son anus soit au-dessus du gland du type… puis lentement elle s’empale dessus, la bite entrant en elle millimètre par millimètre… elle sort sa propre verge de son string noir et joue avec, tandis qu’elle glisse de plus en plus vite le long de la verge qui est en elle… finalement, le gars place ses mains sous les cuisses de la fille, qui ramène ses jambes vers elle, et commence à pilonner son cul de plus en plus vite, tandis qu’elle crie son plaisir… de nouveau, son sexe qui se ballotte au gré des coups de boutoirs du type a un effet hypnotique, effet accentué par les flashs… Puis c’est au tour de la jeune fille avec les deux gars… elle se place à quatre pattes sur un canapé, un des gars présent sa verge bandée face aux lèvres de la fille, qui la prend dans sa bouche, tandis que l’autre vient derrière elle, écarte ses fesses, enduit son petit trou de lubrifiant, puis en met sur sa verge, qui pénètre ensuite lentement le petit cul offert… Vu de profil, on voit cette fille assez menue, prendre une grosse verge dans sa bouche, et une autre dans son cul, tandis que son petit sexe ballotte sous elle… les flashs s’intensifient, le son des râles de plaisirs des filles montent en puissance, tandis qu’à nouveau, vaincu par un orgasme puissant, je jouis tout mon jus dans mon slip, qui n’en peut vraiment plus…

Tout s’éteignit, j’étais sur le lit, le souffle court, gavé de plaisirs. Je sentis que je perdais pied, que l’accoutumance à ces orgasmes s’emparait doucement de moi. Une partie de mon esprit me soufflait que je devais lutter, résister, mais c’était tellement difficile. Je me sentais si fatigués. Vaincu. Je m’endormis lentement. Je fis des rêves érotiques, toute la nuit, mais chaque fois, ce qui revenait dans ces rêves, c’étaient ces verges qui se balançaient, avec le bruit de leurs râles de plaisir… Comment se faisait-il que j’étais à ce point obsédé par ces verges, moi qui avait toujours été hétéro ?

Je m’éveillais dans un état d’abattement total. Honteux de moi, perturbé par mes rêves, sans aucun espoir de m’évader, brisé par l’ennui au point de me sentir comme un hamster dans sa cage, à faire tous le temps la même chose. Et je me sentais tellement faible d’être vaincu par mon propre corps… je ne savais pas résister à cette nourriture que je savais droguée, ni à ces images pornographiques, qui contenaient des images subliminales j’en étais certain. J’étais dominé par tout ça…

C’est ce moment que choisirent les deux gardes pour venir apporter ma gamelle de nourriture. Malgré ma conviction intime que je devais arrêter de manger, malgré mon envie de me laisser mourir de faim, l’odeur de la nourriture me submergea… me faisant saliver, provoquant dans mon corps des symptômes tellement puissants… mais cette fois-ci les gardes ne s’en allèrent pas… qu’attendaient-ils ? Voulaient-ils m’humilier en me regardant manger comme un chien ?

Au début, je ne bougeais pas de mon lit. Pas question de leur offrir ce spectacle. Mais l’odeur devenait entêtante, et mon corps de plus en plus difficile à dominer. Et à un moment, au plus grand dégoût de moi-même, je me levais, et allais m’agenouiller pour manger la gamelle, quasiment aux pieds des deux gardes. J’entendais leurs commentaires moqueurs, « C’est un bon chien-chien ça ! » « Tu crois qu’on peut lui caresser la tête pendant qu’il mange ? » « Tu as vu l’état de son slip ? C’est triste quand même ! » « Pas propre le chien ! »… mais je n’en avais cure, sentant dans mon corps ces sensations de plaisirs tandis que j’avalais la nourriture, morceaux par morceaux. Ils se moquèrent encore de moi, et lorsque j’eus terminé, ils changèrent comme d’habitude la gamelle vide par une gamelle d’eau, puis s’en allèrent. Je me sentais humilié, mais en même temps rassasié, relaxé, bien en fait. Mieux qu’au réveil. C’était peut-être ça le secret, lâcher prise ? Prendre du plaisir dans ma nouvelle situation, dans cette humiliation que je méritais sans doute un peu ?

J’allais à la salle de bain, et pris une douche. En m’essuyant, je remarquais que je perdais encore poils et cheveux… bientôt je n’en aurai plus ni de l’un ni de l’autre. Il me semblait aussi que ma poitrine s’arrondissait, et quand je passais mes doigts sur mes minuscules tétons, ils devenaient plus sensibles… qu’avaient-ils donc bien pu mettre en plus dans ma nourriture ???

La fois suivante, les deux gardes arrivèrent, et se tinrent devant la grille, sans déposer ma gamelle comme d’habitude. Un temps se passa ainsi, je cherchais à comprendre ce qu’ils voulaient. L’odeur du repas devint entêtante, je salivais, en ayant tellement envie ! Je regardais les gardes demandant pitié…

– Tu veux manger ? Demande-le-nous ! Que dis-je, implore-nous !

Ils voulaient que je les implore pour manger ! Une nouvelle humiliation ! Et je savais que je ne pourrais résister, l’odeur, l’envie, prenaient déjà tout mon corps…

– S’il… s’il vous plaît…– Pardon ? Tu peux faire mieux que ça…

Je m’agenouillais, les implorant du regard…

– S’il vous plaît, donnez-moi ma gamelle ! Je vous implore à genoux ! Je veux vous montrez comme je mange bien, comme un bon… un bon chien-chien…– Ah, ah, ah, quel bon chien-chien ! Tiens, tu as bien mérité ta gamelle !

Et ils me la donnaient, me regardant manger tout en continuant leurs commentaires humiliant.

Je tombais dans une sorte de routine passive. Mon temps se comptait entre les vidéos (de plus en plus hard, portées sur une soumission au phallus, une envie de toucher, de sucer des verges, l’envie d’être femme, de se soumettre et de laisser les autres décider pour moi), et les gamelles. Je devais implorer, et les gardes me regardaient manger, se moquaient de moi, et j’acceptais de plus en plus l’humiliation. En fait je remarquais que mieux j’acceptais leur humiliation, plus fortes étaient les sensations de plaisirs que je ressentais en mangeant. Je dû me débarrasser de mon slip, qui n’en pouvais plus, et acceptais la nouvelle humiliation de manger nu devant eux. Avec le temps, je perdis tous les poils de mon corps, et tous mes cheveux. J’étais glabre de partout. J’avais de plus en plus de mal de penser comme un humain, me contentant de me laisser aller, de plaisirs en plaisirs… gamelle, exercice de gym, porno, jouissance, sommeil, et le cycle se répétait, un peu comme une sorte de hamster dans sa cage…

Les vidéos me donnaient de plus en plus de rêve érotiques, mais je ne rêvais plus du tout de femmes… de plus en plus, dans mes rêves, je devenais la femme, je devenais un objet de plaisir pour de beaux hommes biens membrés, … au début cela me consternait, mais de plus en plus, je m’habituais également à ces rêves. Et avec le temps, ils me donnaient un certain plaisir… soumission + humiliation = plaisir. L’équation parfaite. Vu que cela était plus présent dans les vidéos, dans mes rêves, je commençais à ressentir une sensation nouvelle : entouré de tout ce rose, ces images en tête, je commençais à avoir l’envie de devenir jolie. Je me souvins des autres guides dans le bureau, « Comment se maquiller pour les débutants » ; « Comment assortir son maquillage à son visage, à ses vêtements » ; « Comment mettre et entretenir une perruque » ; « Guide des sous-vêtements féminins » ; « Trucs et astuces pour marcher avec des hauts talons » ; « Trucs et astuces du travestissement réussi » ; « Guide du travesti ». Je passais mon temps à les lire, un par un, à les relire, à fantasmer sur comment je pourrais appliquer cela sur moi.

Plus je fantasmais, plus mes pensées s’arrêtaient sur des idées d’ordre sexuelles. Par exemple, lorsque les deux gardes m’apportèrent ma gamelle, pour la première fois je me rendis compte que leurs combinaisons noires étaient assez moulantes, et qu’on pouvait deviner la forme de leurs verges, biens moulées par ces combinaisons. Je n’avais jamais fait attention à cela auparavant, mais là, je ne pouvais plus voir que ça… et ça me troublait beaucoup.

A partir de ce moment, à chaque fois qu’ils revenaient, je ne pouvais m’empêcher de regarder leurs entre-jambes. Tentant de deviner la forme, la longueur de ce qui s’y cachait. Et étrangement, je sentais que cela m’excitait. Mais un jour, un des gardes le remarqua… « Et toi, qu’est-ce que tu regardes ? » Je baissais directement la tête. « Mais, c’est qu’il devient bien obéissant, l’animal. Ah, ah, ah ! Ecoute, je te laisse regarder ce qui t’intéresse tant… mmm… disons, si tu mets un string rose ! Ce sera joli à voir, un bon chien-chien en string rose, ah, ah, ah ! » Il déposa la gamelle, riant aux éclats. Je me précipitais sur mon repas. Tout en mangeant, je sentais, malgré leurs commentaires moqueurs, leurs regards sur moi. Sur mon derrière. Il faut dire que sans poils, et avec les squats que je faisais tous les jours, j’avais l’impression d’avoir un plus joli derrière qu’avant. Une fois ma gamelle vidée, ils la prirent et la remplacèrent par une remplie d’eau, puis s’en allèrent.

Un string rose ? Il devait y en avoir un dans la garde-robe. Il est vrai qu’à force de voir ces vidéos, je me demandais ce que ça faisait de porter tous ces jolis sous-vêtements, qui avaient l’air si beaux, si sexy, tellement excitants. La lecture des guides m’avait aussi fait fantasmer sur le fait de porter ces sous-vêtements féminins, sur le fait de me féminiser. J’en rêvais même la nuit. Oserais-je franchir le pas ?

Les vidéos furent encore plus explicites, de soumission aux verges, de féminisation… j’éclatais en un orgasme tellement puissant… je m’endormis, et au réveil, je me sentais encore excité… je regardais la garde-robe, à quelques mètres de moi… presqu’inconsciemment, je me vis me lever et m’approcher de la garde-robe, en ouvrir la porte rose, tirer le tiroir des petites-culottes… le fouiller… en sortir un string en dentelle rose… le regarder, intensément… dans tous les sens, sous toutes les coutures, hésiter un peu… puis le mettre… passer un pied, puis l’autre, le faire remonter le long de mes jambes glabres… l’ajuster à la taille, tenter d’y faire rentrer ma verge, l’ajuster entre mes fesses… quelle sensation plaisante ! La dentelle douce sur ma peau, le tissu fin entre mes fesses, la couleur rose pâle sur ma peau glabre… c’était divin ! Tellement joli !

A ce moment les deux gardes arrivèrent. Je me mis déjà sur les genoux, mais de façon à ce qu’ils puissent voir que je portais le string rose. « Ah, ah, ah ! Tu as vu ça ! Tu as raison, il est devenu très obéissant ! » « Oui, on va pouvoir faire quelque chose avec lui ! Il a enfin compris sa vraie place dans la vie ! Ah, ah, ah ! Tu as bien obéi, bravo ! Tu peux regarder ! » Il s’avança tout près des grilles, mettant un peu son entre-jambe en avant. On pouvait parfaitement discerner les contours de son sexe, la hampe, le gland, sous le tissu moulant de la combinaison. Il semblait de belle taille. « Ah, ah, ah ! regarde ça, ses petits tétons pointent ! Et il bande ! Quel pédé ! » « Ah, ah, ah ! En fait, tu n’es pas un gentil chien-chien, tu es une bonne petite cochonne ! Et bien pour te récompenser, si demain tu mets un ensemble string et soutien noir, tu auras une belle récompense ! Tu pourras la voir en vrai ! » Ils déposèrent la gamelle sur le sol. Je me mis à quatre pattes devant eux, comme d’habitude, pour manger. Mais en mangeant, soudainement, en plus du plaisir habituel, je ressentis une chaleur dans le bas-ventre… une excitation grandissante, plus forte que d’habitude… une envie de séduire et d’être prise, comme la chienne en chaleur que je devenais… je levais légèrement mon postérieur, et le balançait doucement, le fin tissu rose jouant entre mes fesses, se tendant, se détendant… je sentais leurs regards rivés sur mon postérieur. Qu’est-ce que je faisais, qu’est-ce qui m’arrivais ? Je faisais ça pour les séduire ? Et lorsque j’eus fini de manger, je léchais mes lèvres, remplies de sauce, de manière fort équivoque… instinctivement, j’essayais de les exciter sexuellement ! Mon corps agissait de lui-même, mon cerveau nourris par les vidéos et ces flashs qui me reprogrammaient sans que j’en sois tout à fait conscient ! Et le pire c’est que ça fonctionnait, je voyais qu’ils bandaient dur sous leurs combinaisons noires. Et cela me fit plaisir, cela m’excita terriblement… lorsqu’ils furent parti, j’allais me branler, avant même le début des vidéos !

Cet enfer de plaisirs se refermait sur moi, absorbait toutes mes pensées. Je n’avais plus envie de me faire de soucis, j’avais juste envie d’obéir, de leur plaire, et de sentir ces délicieuses sensations de plaisir s’emparer de tout mon corps…

Inutile de dire que le lendemain, quand ils revinrent, je portais un soutien-gorge et un string assorti, noirs semi-transparent. « Ah, ah, ah, on dirait que ma bonne petite cochonne a été bien obéissante ! Et le noir lui va bien ! Tu as mérité ta surprise ! » Je vis le gars porter sa main à son entre-jambe, et ouvrir sa braguette… pas de sous-vêtement, sa verge sortit par l’ouverture… Bon sang, comme dans les vidéos ! Je voyais le gland, rouge, gonflé, la hampe, plus pâle, veinée, les testicules, légèrement velues, gonflées… c’est la première fois que je voyais une autre verge que le mienne, et j’étais captivé par ce spectacle… Le garde commença à se masturber… « Montre-moi ton petit cul de cochonne, comme la dernière fois… » Je me tournais, fesses vers la grille, et fis les mêmes mouvements, balançant mes fesses de gauche à droite, de haut en bas, lascivement, jouant avec le tissu noir du string entre mes fesses… « ah oui… oui… putain quel cul ! Je sens que je vais… » Je me tournais et vis le garde jouir… il tenait fermement sa verge, visant ma gamelle. Son sperme gicla sur ma nourriture, des jets couleurs crème. Il se masturba plus lentement, pour faire tomber les dernières goûte de sperme dans ma gamelle, puis il la déposa comme d’habitude… « Bon appétit ! »

Je regardais le ragoût avec le sperme couleur crème, partout par-dessus. Une partie de moi était dégouttée, mais cette partie devenait de plus en plus inconsistante, muette. C’était un point de non-retour, je le sentais. Mais la partie de moi brisée, excitée, soumise en avait envie. Envie de goûter. Quel goût ça pouvait bien avoir ? Toutes les trans et sissy que je voyais dans les vidéos semblaient tellement se délecter de ce sperme. Étais-ce si bon ??? J’approchais mon visage et mangeais les morceaux de viandes et de légumes recouverts de sperme, mangeant le tout sous les commentaires humiliant des gardes, ce qui m’excitait encore plus. « Et elle a tout bien mangé, quelle bonne petite cochonne ! Demain, mets l’ensemble noir et rouge, tout au fonds du tiroir… »

Après leur départ, en y repensant, tout en regardant les vidéos, j’eus un des orgasmes les plus puissants de ma vie. Je glissais de l’autre côté du miroir. J’avais ingéré le sperme d’un autre homme ! Je fantasmais en ayant vu son membre bandé ! Je sentis que j’étais totalement brisé, sans espoir de faire machine arrière…

Après un bon repos, je fouillais dans le tiroir et en tirais l’ensemble noir et rouge dont avait parlé le garde. Le slip noir était fendu de telle sorte que mon anus était visible, ainsi que mon sexe, qui pendait entre les pans du slip. Le soutient avait les bonnets eux aussi fendu, ouvert sur mes minuscules tétons. C’était le sous-vêtements le plus coquin et le plus humiliant que je n’avais jamais vu ! Pourtant, je le mis, et lorsqu’ils arrivèrent, les gardes me sifflèrent ! « Quelle jolie petite cochonne ! » « Elle s’améliore de jour en jour ! » Ils sortirent tous les deux leurs sexes de leurs combinaisons… « Aujourd’hui touche-toi les seins pour nous, comme ferait n’importe quelle bonne petite pute ! » J’obéis immédiatement, me caressant mes petites seins, roulant mes minuscules tétons entre mes doigts, tout en ne quittant pas du regard leurs verges, qui allaient et venaient entre leurs mains… ces verges qui semblaient si puissantes, si dures, si chaudes… plus je les regardais, plus j’en avais envie. En vrai. Cette fois ils éjaculèrent tous les deux dans ma gamelle, recouvrant ma nourriture d’une belle quantité de sperme. Je me délectais de ce repas, sous leurs remarques humiliantes, mon sexe ne débandant pas tellement j’étais excité….

La fois d’après ils remirent ça, je devais toujours me caresser les tétons, et aussi me masturber comme une fille, en massant mon gros « clitoris », mon sexe, mais sans le prendre en main… juste en le frottant comme une fille se masturberait… je le fis, les yeux toujours rivés sur leurs membres bandés, qu’ils astiquaient sans vergogne devant moi… Comme la fois d’avant, ils jouirent tous les deux sur mon repas. Un des gardes déposa la gamelle à l’endroit habituelle, tandis que l’autre me dit : « Ecoute ma jolie petite cochonne… lèche d’abord le sperme, avant de manger le reste de la nourriture ! » J’obéis sans (me) poser de question… ma langue lécha la crème, le sperme, sans prendre de nourriture. Le goût était plus fort que lorsque je l’avais mangé avec la nourriture, mais ce n’était pas déplaisant. Pas du tout. J’avais l’impression d’aimer ce goût, et cela m’excita fort… lécher le sperme des gardes, à quatre pattes devant ma gamelle, alors qu’ils me regardaient, qu’ils avaient une vue sur mon cul pâle au milieu duquel passait la ficelle d’un string rouge, me dire cela m’excitais autant que ça m’humiliait. Je mangeais ensuite le reste de la nourriture. « Parfait. Tu es une bonne cochonne obéissante… mais tu peux faire encore mieux : on en a marre de voire ton crâne chauve. Tu dois rester une jolie petite cochonne ! Si tu veux aller plus loin, tu dois apprendre à mettre une perruque, et à te maquiller. Mets des bas aussi, pour être attirante ! ». Et ils s’en allèrent… après qu’ils eurent disparu dans les ténèbres, je replongeais sur mes guides !

En théorie, je connaissais déjà beaucoup de trucs, j’avais déjà pas mal lu et fantasmé sur ces guides… mais quand à passer à la pratique, c’était bien plus compliqué ! Poser la perruque ne posa pas trop de problème. J’essayais les trois, me regardant à chaque fois dans le miroir, puis opta pour la blonde. Mais pour le maquillage, ce fut une autre histoire ! M’aidant du guide, je dus recommencer plusieurs fois avant de réussir un maquillage léger, mais qui me féminisait pas mal mes traits. Lorsque les deux gardes revinrent, j’étais prêt ! Je portais la perruque blonde, mon maquillage léger, j’avais mis des bas noirs, pas très opaque, un string noir en dentelle, et un demi-soutien, qui laissait la poitrine nue à partir du téton. Je réussis même à mettre des petites chaussures ouvertes noires, avec un petit talon. J’avais l’air d’une vraie pute. Et ça m’excitait terriblement. Ma conscience ne me tourmentait même plus, les vidéos m’avaient préparée à ça, et maintenant, je me sentais prête !

Lorsque les gardes arrivèrent, ils n’en crurent pas leurs yeux ! « Putain, quelle transformation ! » « Pas mal pour un début ! » « Elle a même mis les chaussures ! » « Oui je pense qu’elle est prête. Approche de la grille ma jolie petite cochonne ! » J’obéis, me collant à la grille. Le garde me fit signe de me tourner, j’obéis. Il toucha des loquets, pour ouvrir dans la grille un espace assez grand pour passer une main. Sa main vint me caresser les fesses, l’une après l’autre, puis commença à suivre le tissu du string le long de mon sillon… « Tourne-toi ! » J’obéis. Il m’attira contre la grille. Cela me faisait un peu mal, mais il avait un de mes seins à demi découvert face à l’entrée par où était passé sa main. Il pouvait facilement approcher son visage, et il me lécha le sein, avant de sucer mon petit téton. Très petit, mais de plus en plus sensible ! A cause de sa brutalité, sa virilité, et la sensibilité de mon téton, j’étais déjà prête à jouir, tellement je me sentais excitée…

– Alors comment tu te sens ?– Mmmm… comme… une jolie petite cochonne… comme une chienne en chaleur…

Il me repoussa, souriant… il sorti son sexe bandé de sa combinaison, et le plaça dans l’ouverture… je ne l’avais jamais vu de si près ! « Tu es sûr que c’est prudent ? » fit l’autre garde. Mais je ne pensais plus à m’évader depuis longtemps, ni à blesser les gardes, noyé dans ce tourbillon de plaisirs et de honte… j’étais comme hypnotisé, omnibulé par ce sexe bandé, à quelque centimètres de moi… je le touchais timidement, il était si chaud, si doux dans ma main… je le branlais doucement, tout en m’agenouillant… je voyais mentalement le sperme crémeux sur ma nourriture… je fus pris d’une excitation forte de le goûter directement à la source… je le léchais donc, le gland, la hampe, avant de le prendre en bouche… ma tête commença à aller et venir le long de ce pieux de chair, comme j’avais vu dans les vidéos. L’hypnose m’avait formé pour faire ça, je n’eus pas trop de mal à trouver la technique, guidant ma bouche, ma langue, mes lèvres, en fonction des soupirs de plaisir du garde… Je le suçais avec délectation, sentant sa tiédeur contre ma langue, sa dureté contre mon palais… ma bouche était remplie par le sexe d’un inconnu, et ça m’excitais tellement que je venais de jouir dans mon string noir… sa respiration et ses « oh oui ! » accéléraient, la verge tendue se cabra dans ma bouche, et soudain un jet chaud et goûteux inonda ma bouche, puis un autre… « Garde bien ma semence en bouche, ne l’avale pas ma petite cochonne ! » Je lui obéis… il éjacula encore, remplissant ma bouche de son foutre, que je n’avalais pas… Son goût remplissait tout mon palais, ma gorge… Il retira son membre de ma bouche, et me toisa, dominateur… « Ouvre bien grand… » J’ouvris la bouche, il devait voir ma bouche remplie et ma langue submergée de sperme à la couleur crème… « Maintenant avale tout ! » J’avalais, sentant le texture crémeuse et salée s’enfoncer dans ma gorge… puis je rouvris la bouche, tirais la langue, pour lui montrer que j’avais tout bien avalé… « Bien, tu es une jolie cochonne bien obéissante ! »… Il passa encore sa main à travers la grille, et ses doigts caressèrent mes lèvres, avant que deux doigts pénètrent ma bouche… je les suçais, comme si j’avais encore son sexe entre mes lèvres… Il se tourna vers l’autre garde. « Tu vois, il est brisé, totalement inoffensif… Tu veux te soulager aussi ? » Il dégagea l’ouverture, tandis que l’autre arriva, sortant sa verge bandée de sa combinaison, et me la présenta… je ne me fis pas prier, et la lécha, faisant bien le tour du gland, déjà bien mouillé de pré-sperme, le spectacle que je venais de donner l’avait déjà bien excité ! Puis sa verge passa entre mes lèvres, et je commençais à le sucer, comme j’avais fait pour l’autre garde. Pour la seconde fois de ma vie, ma tête allait et venait le long d’une verge bandée, mes lèvres suaves et serrées en forme de « o », ma langue travailleuse, tandis que l’autre poussait de petits gémissements de plaisir… il ne tarda pas à lui aussi se cabrer, puis éjaculer dans ma bouche… Même s’il ne m’avait rien demandé, je fis comme pour l’autre : je récoltais tous son sperme dans ma bouche, jusqu’à ce qu’il ait terminé, puis lui montrais ma bouche remplie de sa crème blanche, toute fière de moi, avant de l’avaler, et de lui remontrer ma bouche toute vide…

Ils se rhabillèrent, puis me donnèrent ma gamelle, et se moquèrent de moi tandis que je mangeais, disant que je pouvais me nourrir uniquement de leur sperme, que j’étais vraiment une bonne petite cochonne suceuse… et je m’y faisais, je trouvais ma place, sur mes genoux, humiliée, mais tellement remplie de satisfaction et de plaisir.

Après une douche rapide, je me remis sur le lit, relisant le guide pour améliorer le maquillage lorsque les vidéos commencèrent… toujours très hard, et elles furent entrecoupées par des images de moi suçant les gardes, leur montrant ma bouche pleine de sperme, puis ma bouche vide après que j’ai tout avalé… bon sang, je ressemblais de plus en plus aux sissy ou trans des autres vidéos… je me trouvais belle dans ces sous-vêtements sexy, avec la perruque et le maquillage… et tellement excitante alors que je suçais ces gardes… je me branlais sur mes propres images et j’eus encore un de ces orgasmes puissant ! Je tombais endormis peu après, et mes rêves devenaient de plus en plus hard… je me voyais en bimbo, objet sexuel pour les hommes, et cela me faisait bander à m’en faire mal…

Quand les gardes revinrent, j’avais mis un ensemble shorty et soutien en dentelle blanche, bas résille blancs assortis… je ne pouvais regarder autre chose que l’entrejambe du garde, qui bandait déjà sous sa combinaison, en me voyant… il sourit… « Alors ma petite cochonne, bien dormi ? Oh mais tu en veux encore à ce que je vois ! » Une partie de moi avait encore honte à l’admettre, mais oui, je voulais retrouver ces sensations de plaisirs, ce membre dur et chaud entre mes lèvres. Il ouvrit l’ouverture dans la grille, et sortit son sexe bandé, mais sans le présenter dans l’ouverture… il était assez près pour que je puisse bien le voir, presque le sentir, mais assez loin pour que je ne puisse le toucher, même du bout de la langue…

– Si tu le veux, il va falloir supplier pour l’avoir !

C’était une étape terrible. Être forcé à sucer un autre homme, c’était une chose. Mais le supplier… c’était autre chose ! L’estocade finale, l’humiliation ultime. Si je le faisais, il n’y aurait plus de retour en arrière… mais je ne pouvais détacher mon regard de ce gland gonflé de désir, de cette hampe veinée. Ce bout de chair dure me dominait, devenait mon maître. J’étais son esclave. Et plus que tout, je le voulais entre mes lèvres.

– S’il vous plait, maître… votre petite cochonne voudrait vous sucer… vider vos jolies testicules de son jus si délicieux, s’il vous plaît…– Tu es une bonne petite cochonne soumise. C’est très bien. Je vais peut-être te donner ce que tu veux. Mais d’abord, il faut que tu mettes ça !

Il balança quelque chose par l’ouverture. Je le ramassais. Il s’agissait d’un collier en cuir, rose. Un collier comme on en mets aux chiens. Avec un anneau pour y passer une laisse. Et un autre où était accroché une inscription, en lettre d’or : « Sissy cochonne soumise ». Je regardais le garde, mais mon regard fut vite attiré par son sexe, qu’il s’astiquait lentement. Son gland s’était un peu approché de la grille. Une petite goutte translucide y perlait. Ce gland gonflé de désir… mmmm… Je mis le collier, l’accrochant autour de mon cou.

– Excellent, tu es vraiment une bonne petite cochonne soumise. Approche-toi de la grille, que je puisse y accrocher cela !

C’était une laisse, bien entendu. En cuir rose. Je m’approchais docilement, et il accrocha la laisse à mon collier. Puis il avança, son sexe bandé se rapprochant de moi. Je commençais à le lécher, la hampe, les testicules, la hampe, le gland, puis l’attira en bouche, et commença à le sucer. A un moment, il donna comme un coup avec la laisse, sur ma joue. J’arrêtais alors de le sucer. Cherchant à comprendre ce qu’il voulait. Il me fit « Bien ! » Et planta son regard dans le mien. Un regard de dominant, dans mes yeux complètement dominés. Puis il tira sur la laisse, amenant mon visage vers son sexe, que je suçais à nouveau, comme une folle, prise de désir et amoureuse de cette verge bandée. Nouveau claquage de laisse. J’arrêtais de sucer. Il retire sur la laisse, je recommence. Et ainsi de suite, moi complètement dominée à son désir, à son rythme, jusqu’à ce qu’il jouisse. Sa verge tressauta, son jus me remplis la bouche. De nouveau je lui montrais le sperme qui remplissait ma bouche, puis avalais, savourant le goût de sa semence. Il passa ensuite la laisse à l’autre garde, qui joua au même jeu, jusqu’à jouir dans ma bouche lui aussi. Ensuite ils défirent la laisse.

– Par contre le collier, tu ne peux plus l’enlever ! Jamais ! Compris !

J’acquiesçais de la tête, gavé de plaisir, tout comme mon shorty était remplis de mon sperme, car j’avais encore jouis en suçant les gardes…

L’ennui terrible avait enfin disparu, remplacé par autre chose, l’attente de ces moments sexuels intenses… je me préparais, en lisant, en faisant les exercices de gym, en regardant encore plus attentivement les vidéos pour améliorer ma technique, en me maquillant, en choisissant les sous-vêtements que j’allais porter… tout cela m’occupait, et j’étais récompensé par ces moments de plaisir, ces humiliations que je méritais et qui m’excitais, ces verges bandées qui jutaient dans ma bouche, et de plus en plus c’était tout ce qui comptait pour moi…

Lorsque j’entendais le bruit d’une porte qui s’ouvrait, là-bas dans la pénombre, puis le bruit des pas des gardiens qui s’approchaient, j’avais une sensation agréable de papillons dans le bas-ventre, une anticipation douce des plaisirs qui m’attendaient… J’étais déjà à genoux, près de la grille, quand ils arrivaient eux de l’autre côté de la grille.

– Bonjour ma petite cochonne soumise. Tu es vraiment une veinarde, j’ai un autre cadeau pour toi ! Mais il faut le mériter d’abord ! Montre-nous comme tu es belle aujourd’hui !

Je tournais sur moi-même, leurs montrant sensuellement mes fesses, au milieu desquelles passait la dentelle rouge du string que j’avais choisi, assorti aux bas à fine résille, rouge eux aussi. Je portais des escarpins noirs, avec un talon plus haut que la dernière fois, au moins 6 centimètres. Je caressais mes fesses, jouais avec la dentelle rouge, puis me tournant, jouant avec mes petits seins, eux aussi dans un soutien rouge à demi-bonnet… Ils sortaient leurs sexes bandés, se les astiquaient, tandis que je me touchais… je connaissais les instructions, je devais attendre qu’il sorte la laisse et qu’il l’approche de l’ouverture. Dès qu’il l’eut fait, je m’avançais, mettant mon cou à portée de l’ouverture. Il accrochait la laisse à l’anneau du collier en cuir rose, puis il passait son membre bandé par l’ouverture, à quelques millimètres de mon visage… la chaleur et l’odeur de cette verge bandée m’excitait terriblement, mais je ne pouvais rien faire tant qu’il ne tirait pas sur la laisse… lorsqu’il tirait, amenant mon visage vers son membre tendu, je pouvais le lécher, le sucer, m’en donner à cœur joie ! Il ralentissait ou accélérait la cadence avec ses coups de laisse, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche. Puis l’autre garde le remplaçait, et j’obéissais de la même façon, léchant, suçant, jusqu’à ce qu’il jouisse et se vide les couilles dans ma bouche de plus en plus gourmande.

– Tu es vraiment de plus en plus douée ! Tiens, cadeau !

Il me passa deux objets par l’ouverture : une petite bouteille… un lubrifiant anal ? Et un plug anal rose, qui se terminait par une queue de cochon, en plastique rose.

– Avec ça, tu seras une vraie petite cochonne ! Et ça va te préparer à ce qui va suivre. Il est temps que le Maître fasse de toi une vraie femme maintenant. Pour être prête n’hésite pas utiliser ce qu’il y a dans le compartiment secret de la douche !

Après avoir mangé et les gardes partis, je regardais le plug… c’était étrange, cette forme conique, enflée à la base, toute rose… cela était censé aller dans mon… anus ? Je me rappelais les vidéos, ces insertions anales qui semblaient tellement plaisante… Je repensais à la douche… il y avait un compartiment secret dans la douche ? J’allais dans la salle de bain, jusqu’à la cabine douche. J’y entrais, sondais les parois, mais ne trouvais rien de spécial. Je sortis de la douche, et observa le dessous, un piédestal rose laqué, sur lequel était posé la cabine de douche, et où il devait y avoir les tuyau d’évacuation et d’arrivée d’eau. Soudain, me rappelant les compartiments cachés dans la coiffeuse, je m’agenouillais, et avec mes mains parcourais le piédestal rose laqué, jusqu’à ce que je sentis comme une légère fente… je poussais, et un tiroir s’ouvrit ! Très étroit, le tiroir ne comportait qu’un pommeau de douche de remplacement ! Mais il n’était pas rond au bout, là où sortait l’eau, comme les autres pommeaux de douche. Elle était comme un tube, d’une vingtaine de centimètre en longueur sur un diamètre de 2 à 2,5 centimètres, se courbant légèrement sur le dernier quart, et se terminant par un bout plus arrondi, comme un gland, de diamètre légèrement supérieur, 2,5 à 3 cm à vue de nez, percé de cinq trous… à quoi servait donc cette tête de douche ? Pensant au plug, au lubrifiant, à ce qu’avait dit le garde, l’idée me vint rapidement… c’était pour me nettoyer de l’intérieur… le bout avec le « gland » devait s’insérer dans l’anus…

Bon sang, ils me préparaient bien à devenir une vraie femme… ces belles verges que je suçais, que j’aimais avoir en bouche, allaient me sodomiser… Ces verges durs et chaudes dans mon cul, profondément, me faisant couiner comme la petite cochonne que je suis, puis lâchant leur jus chaud au plus profond de moi…

Tout en pensant à cela, j’étais occupé à me masturber… à cause des vidéos, de l’aphrodisiaque dans la nourriture, cette pense au lieu de m’effrayer m’excitais terriblement… et tout en y pensant, accroupis devant la douche, la ficelle du string entre mes fesses, sur mes talons hauts, ma main avait agrippé mon sexe gonflé de désir, et le masturbait furieusement… il ne me fallut que quelques secondes pour jouir… j’avais l’impression que mon anus palpitait, tandis que mes bourses tressautaient et que mon jus crémeux et chaud tombait sur ma main et la canule de douche… pris dans une frénésie sexuelle, je léchais ma main, lapant mon propres sperme, et l’avalant, puis je léchais la canule, comme si c’était une verge, lapant le sperme qui était dessus, puis la suçant, comme si elle allait encore jouir dans ma bouche… et soudain, tout excité que j’étais, je la voulais dans mon cul… 

Je me déshabillais entièrement, pris la canule de douche, et entrais dans la cabine douche… Là, je défis la tête de douche normale, et la remplaça par la canule, le système était simple, dévisser, revisser… Puis j’essayais, ouvrant le robinet, le mitigeur sur eau tiède… et de l’eau tiède coula des cinq petits trous du bout de la canule… Je la branlais doucement, imaginant que c’était le sexe de mon amant, l’eau coulant très doucement, mouillant ma main et la canule… je frottais le bout sur mes petits seins, les mouillants légèrement, comme s’il frottait mes seins avec le gland de sa verge… puis je l’embrassais, léchais le métal, le bout, le mettant dans ma bouche, laissant l’eau s’écouler par la commissure de mes lèvres, et dégouliner le long de mon menton… puis je redescendis, le gland frottant, mes seins à nouveau, puis mon sexe bandé… puis mes fesses… je longeais mon sillon fessier avec la canule, comme s’il frottait sa verge bandée entre mes fesses… l’eau coula le long de mes fesses, le long de mon sillon, mouillant mon anus… je frottais le bout de la canule contre mon petit trou, le mouillant encore, appuyant légèrement… le muscle vierge ne céda pas facilement, je dû tournoyer, appuyer, frotter, tournoyer encore, avant que doucement, l’embout entre en moi, passant l’anus… mon amant venait de me pénétrer ! J’allais très doucement, sentant une légère douleur… je poussais lentement, puis attendait que mon rectum se fasse à l’intrus, avant d’appuyer encore, de légèrement aller et venir… ainsi, petit, je pouvais aller plus profond en moi… les sensations n’étaient pas très agréables au début, même un peu douloureuse… je débandais légèrement… mais soudain, cherchant, allant et venant doucement, la canule frotta une partie en moi qui m’électrisa ! La prostate, sans doute… je jouais avec cette sensation, que je découvrais… je le faisais aller et venir, jouant, massant ma prostate, et l’excitation, augmentée par l’aphrodisiaque et mon conditionnement mental, me fit jouir, alors que mon sexe ne bandait qu’à moitié… un orgasme prostatique ! Incroyable, le meilleur orgasme de ma vie ! Je continuais à jouer, avec la canule, augmentant un peu le débit de l’eau, nettoyant en même temps mon rectum, jouant avec ma prostate, dans un état quasi orgasmique… j’élevais encore le débit de l’eau, comme si mon amant jouissait en moi… la sensation m’amena dans une nouvelle pointe d’orgasme… Les jambes tremblantes, je retirais doucement la canule de mon rectum, sa sortie de mon anus me redonna une pointe orgasmique… je rinçais abondamment, l’eau en sortant n’étant pas très propre, repassant à l’autre tête de douche… puis, comme je pus, mouillé et les jambes tremblantes, je zigzaguais jusqu’au lit, où je m’écroulais, assommé…

Je fus réveillé par les vidéos, très hard, de jolies trans qui suçaient de belles verges, trois ou quatre à la suite, puis qui se faisaient sodomiser par plusieurs hommes… avec des gros plans sur leurs culs remplis, puis débordant de foutre… c’était tellement excitant ! Et me rappelant l’orgasme que j’avais eu dans la douche, je sentais que j’en avais envie, j’avais envie de sentir une verge, une vraie, en moi… Cela me fit penser au plug… j’allais le chercher… la base enflée devait être plus grosse que le bout de la canule douche, je préférais donc enduire le plug de lubrifiant. Comme j’en avais plein sur les doigts, je les essuyais sur mon petit trou, faisant passer le premier contre mon anus, le caressant du deuxième, du troisième, jusqu’au cinquième… mes doigts caressant mon anus me firent frissonner de plaisir ! Encore une sensation nouvelle ! J’enduisis un de mes doigts de lubrifiant, et recommençais à caresser mon anus, à le frotter, à tournoyer contre lui… et petit à petit il goba mon doigt… je fis entrer et sortir lentement mon doigt, lubrifiant mon entrée rectale… j’aimais ces sensations, lubrifiais un second doigt, et me pénétrais le cul de mes deux doigts… que c’était plaisant ! J’aurais bien continué, mais il fallait que je mette ce plug… Le tenant par la partie « queue de cochon tire-bouchonnée » je plaçais le bout du plug, plus étroit, contre mon anus, et poussais… poussais encore… bien lubrifié, il entra doucement… je dus jouer avec pour faire entrer la partie plus enflée, la base du plug… mais mon petit cul le goba aussi, il n’y avait plus que la petite queue de cochon qui dépassait ! Je me levais… quelle sensation ! J’étais remplis, c’était à la fois intrusant, un peu douloureux, mais plaisant en même temps… et lorsque je marchais, cela me procurait des sensations au point que je ne débandais pas… de façon un peu perverse, je fis quelques squats, ce qui me procura des sensations divines ! Mais ayant peur de faire tomber le plug, peur pour mon petit anus surtout, je n’en fis pas trop…

(… à suivre…)
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