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Agnès

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Bonne occasion pour draguer, pardon se faire draguer. J’adore cette manifestation annuelle de dégustations de vins de l’agglomération. Moyennant une modique somme, on peut déguster trois verres de très bons vins. Tous les vendredis d’été les jeunes ou moins jeunes viennent s’y promener, boire un peu ou draguer beaucoup. J’ai débauché ma jeune voisine Agnès pour la dessaler un peu. Elle a quand même 18 ans, je sais qu’elle n’est plus vierge depuis longtemps et surtout qu’elle aime jouir. Nous ne faisons guère de frais d’habillement, vêtue normalement, elle avec une mini robe et moi en jean. Nous sommes dès l’entrée la proie de nombreux casses pieds aussi lourd qu’un 15 tonnes de c………. La plus part on déjà leur compte, ils se sont laissés aller à faire le plein en dehors des lieux de détente. Nous trouvons tout au fond une table avec, miracle, 4 chaises libres. Nous commençons notre dégustation quand un jeune de 25 ans, vient près de nous. Il est mignon tout plein, poli, ce qui ne gâche rien, prévenant: bref il nous plaît bien. Agnès craque déjà pour lui. Si elle s’écoutait elle partirait chez elle avec lui sans autre forme de procès.Il lui plaît, il me plaît aussi. Nous changeons de place pour qu’il soit entre nous deux. Il comprend vite que nous sommes prête à nous « battre » pour lui. Ca doit être formidable pour un homme de se sentir désiré par deux filles. Je me lance la première pour le toucher, je pose ma main sur sa cuisse pas loin de son sexe. Je sens une autre main sur la cuisse d’à coté. Agnès suit mon exemple. Je pose ma tête sur son épaule: il comprend vite: il m’embrasse sur la bouche. Nos langues s’enroulent dans la bouche de l’autre. Agnès a envie de lui: elle lui pose la main sur la bosse du pantalon. Heureusement que nous sommes dans une zone presque sans lumière. Notre « amoureux » change de bouche. Agnès a de la chance, il embrasse fort bien. Il ne m’a pas abandonné: il garde un bras autour de mes épaules. Je passe une main sous son t-shirt pour caresser son dos. Sa peau est aussi douce que celle d’un bébé. Je peux voir que la main d’Agnès sort la bite bien dure. Pour le moment elle n’en fait rien. Par contre lui passe sa main sous la robe. Je ne sais pas si elle a une culotte. En tout cas il ne se gêne pas pour la caresser, au moins l’intérieur des cuisses. Elle doit se faire masturber: je le vois au mouvement de la main du garçon. Nous ne savons rien de lui, sinon qu’il fait vite ce qu’il faut. Agnès commence à gémir de plus en plus. Elle en oublie la bite bien bandée. Je la prend en main. Elle est raide comme un de bout de bois, je descend lentement le prépuce pour la branler. Il sait bien que c’est moi qui lui fait du bien. Il n’empêche que le fait de le masturber m’excite encore plus. Je ne vais pas vite sur sa queue. Agnès pousse un cri en jouissant. Elle en veut encore. Je lui conseille de se coucher sur la table, jambes ouvertes pour recevoir une langue sur sa chatte. J’arrive sans le faire exprès à faire juter notre mâle. Il est hors jeu pour le moment. Agnès demande la langue qu’il ne veut pas donner. Je me dévoue: je lèche sa chatte comme si ce n’était pas ma première fois. Le plus fort est que je prends goût à son sexe et surtout à sa cyprine. Je sens ses poils pubiens contre mon nez, c’est agréable. Je lui fait ce que j’aime qu’on me fasse quand on me fait un cunnilingus. Mes doigts participent à la fête, j’entre dans sa caverne et descends lentement vers son anus. Je le caresse longuement sans qu’elle proteste. Je sens ses orgasmes. Mon action sur la chatte d’Anes réveille la libido du garçon. Je sens contre moi la bite grandir. Il m’attire sur lui, me baisse le jean, m’assied sur lui. Je ne porte pas de sous vêtement, c’est facile de me la mettre là où je veux. C’est à moi de choisir l’orifice. N’importe où m’est égal, je choisis le petit trou. J’aime me faire enculer par une bite comme la sienne. Je me laisse aller lentement sur la pine qui écarte doucement mes chairs du sphincter, qui écarte le début de mes boyaux qui entre au fond à tel point que je sens les couilles velues contre mes fesses. Je reste ainsi un petit moment pour déguster ce nœud dans ma pastille. Enfin j’entame des va et vient qui me donne un plaisir monstrueux. Je lui demande de me branler le clitoris, de ne pas arrêter, même si je jouis. Comme il a jouit, il met un bon moment avant d’éjaculer dans le cul. Et Agnès: elle se masturbe en nous regardant. Elle me donne envie de recommencer à la sucer. Elle ne savait pas que c’était ma bouche qui officiait. Au début elle ne veut pas de ma langue, j’insiste: elle accepte finalement. Cette fois je la lèche comme tout à l’heure sauf que ma langue entre dans son anus. Je peux branler son clitoris et lui mettre un doigt dans le vagin pour y trouver son point G. Elle jouit toujours brillamment. Je n’arrête pas mes léchages ou masturbation: il faut qu’elle jouisse.C’est vrai que je jouis comme une dingue avec cette bite dans le cul et les doigts de mon amant sur ma chatte. Je jouis je ne sais combien de fois. C’est plus que jouissif de sentir une bite dans son cul en jouissant: la queue parait plus grosse. Je la sens grossir encore juste avant qu’il me donne sa semence. Qu’elle baise avec lui. Agnès n’a pas profité bien longtemps de sa bite. Je la laisse faire devant lui, elle se masturbe avec application la chatte d’abord et ensuite le cul en y mettant deux doigts. Elle l’excite vite fait, comme elle m’excite aussi. Je retournerai la sucer encore, sauf que notre amant se lève pour lui mettre son instrument dans son étui. J’assiste à la baise en spectatrice qui se touche. J’admire les mouvements de fesses et les muscles qui serve à baiser. Agnès recommence sa sérénade en gémissant: il faut dire que son tiroir est juste aux dimensions de la queue qui la serre. Je vois en me penchant un peu la pénétration dans ce sexe d’où ma bouche sort. Elle semble jouir plusieurs fois. Cette fois elle ne crie pas, sa bouche est fermée par celle de celui qui la baise. Je regarde aussi le cul de l’amant: je suis forcée par un démon d’aller y fourrer un puis deux doigts. Il semble s’en accommoder, puisqu’il jouit encore une dernière fois. Nous sommes fourbus. Les lumières se sont éteintes autour de nous. Il est très tard. Il nous donne son nom, enfin: David. Il semble que le courant passe bien entre lui est Agnès. Il passe tellement qu’ils devient amis ou amants, comme on veut. Il arrive, rarement qu’elle me demande de la lécher. Mais il faut qu’elle me le rende.
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