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L'aide d'une maman

Chapitre 1

Inceste
Personnages :
Laure-Anne, 40 ans, mère de Séb, narratriceSéb, 18 ans, fils de Laure-AnneThierry, 43 ans, père de Séb
I)
Mon fils venait de m’appeler pour que je le rejoigne à l’hôpital. Je n’ai pas tout compris, mais visiblement, son rival à son poste dans son équipe de handball aurait volontairement laissé tomber des disques d’haltères sur ses mains à la salle de musculation. Je quittais donc le boulot un peu plus tôt que prévu et le rejoignait aussi vite que possible.
Lorsque j’arrivais à l’hôpital, ses deux mains étaient plâtrées jusqu’au dessus du coude, et le médecin m’expliqua qu’il en aurait pour plus d’un mois de plâtre suivi de 2 mois de rééducation. Il réagit très mal à la nouvelle, prit un air complètement abattu qui dura tout le long du trajet de retour.
Il était garda son air maussade toute la soirée, me demande de l’aider à lancer Netflix sur son ordinateur et j’entendis claquer la porte de sa chambre lorsque je redescendais.
Le lendemain matin, je le vis réapparaître dans les mêmes habits que la veille, l’air encore plus bougon que celui qu’il avait coutume d’avoir le matin.
’’jour M’man.
— Bonjour mon chéri, tu as bien dormi, tu n’as pas trop mal, les anti-douleurs ont marché ?
— Bof.
— Bon repose toi, profite du weekend, et n’hésite pas à me demander de l’aide.
— Oui, oui..."

A midi, lorsque je l’appelais pour manger, je me rendis compte qu’il ne s’était toujours pas changé.
— Séb ! Tu as toujours tes affaires sales d’hier ! De la musculation !? C’est dégoûtant ! Tu ne t’es pas douchée ?
— Et je suis supposé me doucher comment ?
— Et bien pour commencer, sans parler de savon, l’eau claire ne peut pas faire de mal ! Attends je vais t’aider à plastifier les plâtres.
— Maman...
— Quoi donc ?
— Je n’arrive même pas à ma déshabiller...
— Ah... Et bien... Je vais t’aider, allez allons y, faisons ça tout de suite, la salade ne risque pas de refroidir.
Une fois dans la salle demain, il rentra dans la douche en me tournant le dos et je l’aidai à enlever son T shirt, son short, et son caleçon.
— Tourne toi, il faut plastifier tes bras.
— Mais Maman !
— Oh ça va, je ne regarderai pas, allez tourne toi !
Il se tourna vers moi, et je commençai à enrouler des sacs plastiques et des élastiques autour de ses bras. Il avait l’air gêné et regardait en l’air. Quand j’eus terminé, il se retourna aussitôt.
J’attrapais un gant de toilette et allumais l’eau.La situation était cocasse : lui me tournant le dos en essayant de cacher son intimité, les bras en l’air pour ne pas les mouiller, et moi à moitié penchée dans la douche, arque-boutée sur la pointe des pieds pour parvenir à mouiller le haut de son crâne.
Évidemment, je commençai à éclabousser tout le sol de la salle de bain et je finis par poser le pied dans un flaque et glisser dangereusement. Je me rattrapais comme je pu en enroulant mes bras autour de sa taille pour ne pas finir à plat ventre dans la douche, mais je mis malencontreusement un coup dans ses parties génitales, et il m’envoya instinctivement valdinguer dans la douche, trempant entièrement ma robe.
— Maman, ça va ? Tu n’as rien ?
— Non, non, ça va, geignais-je, en me relevant. Et toi ? Excuse-moi, j’ai glissé.
— Ça va, plus de peur que de mal, mais fais attention s’il te plait !
— Bon. Je crois que je vais devoir m’y prendre autrement, dis-je en considérant ma robe blanche détrempée. (C’était une robe déjà relativement moulante qui n’avait pas besoin de ce genre de situation). Ça t’embête si je me mets en sous-vêtements ?
— Non c’est bon, pas de problème, me répondit-il en haussant les épaules.
Je m’exécutai et attrapai le savon et le gant de toilette, avant de commencer à frotter.
— Maman, pas le gant, je vais encore être tout irrité !!! Puis me gratter dans cette situation risque de ne pas être simple !
— Ah oui, c’est vrai. Bon.
Je commençais à savonner son dos, méthodiquement, vigoureusement, mais pas sans apprécier les bienfaits que la musculation avait apporté à son corps. Cette situation me rappelait un peu les douches coquines avec mon mari, événement qui n’avait pas eu lieu depuis quelques années maintenant. Le père de Sébastien était toujours en déplacement, et son corps de jeune athlète s’était petit à petit affaissé, tout comme sa libido. Toujours est-il que savonner ce dos, ces épaules, n’avait rien d’un calvaire.
Lorsque j’eus fini, je lui demandai de se tourner pour pouvoir laver son torse, mais il refusa.
— Fais le de là où tu es, c’est très bien, je n’ai pas besoin de me mettre face à toi !
— Ce que tu peux être chochotte ! Très bien...
Je fis donc le tour de son torse avec mes bras pour tenter de savonner l’avant de son corps. Évidemment, je ne pouvais pas faire le tour de son buste sans appuyer ma poitrine contre son dos. Il faut dire que la nature m’a généreusement servie sur ce plan, et que mon 90D pouvait parfois s’avérer problématique. Je n’aurais cependant jamais imaginé rencontrer CE problème un jour. Mon soutien gorge commençait à s’imprégner d’eau et de savon. Tant pis, je n’aurai qu’à en changer après ça.
Le glissement de mes seins sur son dos commencèrent alors à éveiller des sensations laissées de côté il y a longtemps, et je tentais de chasser ces idées qui arrivait dans une situation dans laquelle elles n’avaient pas leur place. Il semblait gêné par la situation également, car il essayait de dégager son dos du contact, ce qui n’eut pas du tout l’effet escompté. Une fois de plus je basculai vers l’avant, entraînée par mes bras accrochés à son torse, et m’écrasai contre son dos. Je me reculai précipitamment, sans rien dire puis m’accroupis pour laver ses jambes.
Face à moi, ses fesses galbées attiraient elles aussi mon œil et jouaient avec mes nerfs, avant que je ne remarque un nouveau détail :Entre ces deux cuisses, j’apercevais ses testicules, qui ne me surprirent pas par leur grande taille (il avait de qui tenir), mais par l’absence totale de poils. Mon fils se rasait donc. Je me souviens avoir longtemps demandé à Thierry de faire ça sur les siennes, parce que j’aime lui faire des gâteries, mais déteste l’idée d’un poil sur ma langue ; il n’avait jamais voulu, prétextant qu’il n’était pas gay, et je m’étais fait une raison. Penser à ma bouche faisant plaisir à deux beaux testicules glabres me chauffait au ventre et encore une fois je tachai de me reconcentrer sur mon ouvrage. Peine perdue, lorsque j’eus fini de savonner ses jambes et remontai sur le haut de l’intérieur de ses cuisses, mon poignet heurta doucement ses balles toutes douces, nous faisant tous deux sursauter.
Il ne dit rien, je me mordis les lèvres et lui dis :
— Mmh, je pense que j’ai fini, sauf si tu as besoin que... enfin... que je t’aide à laver le reste, devant... derrière...
— Mouais, me répondit il en hésitant... C’est bizarre... Mais ne pas me laver tout ça pendant un mois, ça va être vraiment dégoûtant...
— Oui... Tu as raison... Bon.
Je remis du savon sur mes mains, me redressai, et passai doucement ma main entre ses fesses. Il eut un léger réflexe de dégagement mais se laissa faire. Lorsque j’eus fini, je lui demandai s’il voulait se tourner, ou si il voulait que je fasse ça "à l’aveugle".
— Heu... A l’aveugle !
Une fois n’est pas coutume, je me recollai à son dos, et tâtonnai pour trouver sa verge, que je ne trouvai pas. En lieu et place, je mis une fois de plus mes mains sur ses testicules, qu’il me fallut identifier au toucher, à force de tâtonnements, pur me rendre compte que ce n’était pas l’objet cherché. Je les savonnai néanmoins, non sans rougir dans le dos de mon fils, avant de remonter pour découvrir avec surprise la raison pour la quelle je n’avais pas trouvé mon but immédiatement. Mon fils avait une érection. Et pas une petite !
Je me glaçai un instant, avant de reprendre contenance et de parachever rapidement ma besogne. Je jurai de l’avoir entendu soupirer, mais mon imagination me jouai probablement des tours, alors que je la combattais, elle et ses idées étranges, de toutes mes forces.
Je me relevai, lavai ses cheveux en vitesse et sortis pour l’attendre dehors avec la serviette.
— Maman, avant que je sorte, tu peux te tourner, j’ai besoin de faire pipi...
— Dans la douche ???
— Tu préfères qu’on fasse comment ?
— Oui, c’est vrai...
Lorsqu’il eut fini, il coupa le mitigeur d’un coup de coude et me rejoignit pour que je l’aide à se sécher.J’essuyais d’abord son haut du corps et ses cheveux avant de m’accroupir une fois de plus et sécher ses jambes. Alors que j’en faisais le tour, je relevai la tête et me retrouvai nez à nez avec son sexe toujours légèrement en état d’excitation. Je levai les yeux vers lui, et aurai juré que son regard était plongé dans mon soutien gorge. Ses yeux rejoignirent rapidement les miens et il s’excusa pour la réaction de son corps.
— Ce n’est pas grave, j’imagine que c’est humain. Allez, tiens, enfile ce short propre ! dis-je en écartant les élastiques d’un large short de basket. J’essayai de ne pas faire attention à ce sexe énorme, à quelques centimètres de mes yeux.Je l’aidais ensuite à enfiler un T shirt bien large et lui dis d’aller m’attendre devant la tv pour manger.Il quitta la salle de bain, que je verrouillai avant de m’allonger sur le tapis de bain : j’avais terriblement envie de me masturber.Je passais doucement mes doigts sur mes lèvres, déjà bien humides. Elles s’inondèrent davantage alors que la belle image de mon garçon, de ses beaux yeux marron-or, de son corps musclé et de son sexe parfait, s’obstinait à revenir en boucle. Je n’eus que quelques effleurements à faire sur mon clitoris pour me mettre à trembler en un orgasme énorme que j’eus bien du mal à passer sous silence. Une main crispée sur mes seins, j’haletais encore un moment avant de quitter la salle de bain, enfiler des vêtements propres et rejoindre mon fils pour l’aider à manger.

à suivre
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