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J'aime le sperme

Chapitre 1

Erotique
Bonjour mon prénom est Marion et j’ai 20 ans. Un jour a la Fac , ayant une grosse envie, je suis allée aux toilettes, mais la porte des femmes était fermée. Alors, comme j’avais vraiment trop envie et que je ne pouvais pas attendre, je suis rentrée dans les toilettes hommes. Je me suis enfermée dans un des waters et je me suis soulagée. Avant de tirer la chasse, j’ai entendu quelqu’un entrer. J’étais paralysée, je ne voulais pas être surprise ici. Je regardais par le trou de la serrure. C’était Bernard. Tout le monde se moquait de lui. C’était un grand maigre aux oreilles décollées. Il avait l’air stupide et son comportement maladroit n’arrangeait rien. Je ne respirais plus et j’attendais qu’il s’en aille. Au bout de quelques minutes, il n’était toujours pas sorti. J’entendais juste quelques grognements. Curieuse, je regardais par le trou. Et là, un drôle de spectacle m’attendait ! Bernard, le pantalon baissé était en train de se tripoter. Je voyais tout. Il se regardait dans la glace et se tenait au dessus du lavabo. Mais bon sang quel animal ce type. Mais je continuais de le regarder. Il avait un sexe plutôt gros environ 20cm de longeur et 5cm de largeur. Même très gros. Il était imberbe et ses grosses couilles étaient visibles de loin. Cette situation m’excitait. Jamais j’aurais imaginé qu’il avait été si gâté par la nature. J’avais vu quelques films pornos, ceux de mon père et jamais je n’avais vu un sexe aussi gros. Son gland ressemblait à un champignon. Il bandait bien quand, finalement, il éjacula une quantité impressionnante de sperme dans le lavabo. Une douzaine de jets blanchâtres. A ce moment là, la sonnerie retenti et je sursautais en me cognant la tête dans la poignée de porte.
Heureusement qu’il n’avait rien entendu à cause du bruit. Il se rhabilla en quatrième vitesse et disparu par la porte. Je sortais de ma cachette. J’allais être en retard au prochain cours. Mais la curiosité me fit regarder le lavabo. Le cochon en avait mis partout et il n’avait pas eu le temps de nettoyer. On peut dire que ça sentait le sperme ! Vu la dose… Je m’approchais pour regarder la texture de plus près. Et si j’osais ? Personne ne pouvait me voir. Je m’approchais et je respirais cette odeur forte. Je sortais un bout de langue et léchais un peu de sperme sur le rebord du lavabo. Humm pas si mauvais. A ce moment là, j’ai eu la peur de ma vie. La femme de ménage entrait avec son balai et sa serpillère et je me suis redressée comme une flèche. Elle était surprise de me trouver là, mais je lui expliquais que mon envie avait été trop forte. Elle m’expliqua alors que le plombier avait réparé une fuite et qu’elle avait du bloquer les toilettes filles. Maintenant elle pouvait continuer son nettoyage.
Et que si je voulais me laver les mains il fallait aller dans le réfectoire car l’eau avait été coupée. Voila pourquoi Bernard n’avait pas pu nettoyer le lavabo. Elle prit un seau vide et se dirigea vers le réfectoire. Elle pensait sans doute que j’irais avec elle mais je ne pouvais pas laisser le lavabo dans cet état. Elle allait sentir le sperme en voulant nettoyer le lavabo et j’allais passer pour une mauvaise fille. Il fallait que je fasse quelque chose. Je regardais autour de moi, rien, aucune serviette. Et cette odeur qui se propageait, il fallait que je réagisse vite. Je commençais par ramasser le sperme avec mes doigts, puis le bord de mes mains pour aller plus vite. Je cherchais désespérément du papier toilette, ou quelque chose mais… rien. Tous les bacs étaient vides. Mince ! Sur mes vêtements ? Oui et j’allais sentir le sperme toute la journée… bonne idée ma grande ! Bon il n’y avait pas mille solutions, je léchais mes doigts. C’était répugnant mais je n’avais pas le choix. J’allais être vraiment en retard maintenant.
Je gardais tout ce sperme dans ma bouche en espérant pouvoir le recracher un peu plus loin. Je courrais dans les couloirs. A quelques mètres de la cour de récréation, le surveillant surgit de nulle part et me demanda pourquoi je n’étais pas en classe. Je ne pouvais pas parler, j’avais la bouche pleine. Mais il commença à s’énerver, il croyait que je me foutais de lui. Alors n’ayant plus le choix, j’avalais doucement le sperme de Bernard. Je le sentais couler au fond de ma gorge. J’allais vomir. C’était dégoutant. Je ne voulais pas avaler mais je n’avais pas le choix. J’ouvris enfin la bouche et expliquait au surveillant que je ne me sentais pas bien. Et maintenant c’était vrai. Il me dit alors d’aller immédiatement à l’infirmerie et de lui ramener un justificatif comme quoi j’avais vraiment quelque chose sinon je passerais un sale quart d’heure. Je me retournais et allais vers l’infirmerie d’un pas rapide.
J’arrivais devant l’infirmerie mais l’infirmière n’était pas dans son bureau. J’attendais plusieurs minutes en réfléchissant à ce que j’allais bien pouvoir inventer comme histoire pour avoir ce justificatif. J’étais assise devant l’entrée quand soudain un bruit me fit sursauter. On aurait dit que quelqu’un déplaçait un meuble. Le bruit venait de la porte d’en face. Peut-être que c’était l’infirmière ? Je me levais et je poussais un peu la porte qui était resté entrouverte. Plus j’avançais plus j’entendais parler.
— Allez, suce moi, on n’a plus le temps de baiser.
Je reconnaissais cette voix, c’était celle du prof de sport !
— Bon ok, mais tu te dépêches, je devrais être dans mon bureau à cette heure là.
Et c’était… l’infirmière ! Encore un pas et je distinguais mieux le tableau, l’infirmière à moitié nue allongée sur une table, les jambes grandes ouvertes. C’était une brune assez sexy et de la voir dans cette posture me troublait un peu. Elle n’avait aucuns poils, son minou était tout lisse. A coté d’elle, le prof de sport, les fesses à l’air et la bite à la main. Je faillis pousser un petit cri mais je fermais rapidement les yeux en espérant qu’ils ne m’avaient pas vu. Mais au lieu de faire demi-tour, je reculais un peu et regardais cette scène incroyable.L’infirmière avait englouti ce membre plutôt épais mais assez court et faisait des aller-retour très rapides. Elle devait vraiment être pressée. Lui, par contre, profitait de son traitement et gémissait de temps en temps. Il avait la tête en arrière et avait posé ses mains sur ses cheveux. Il prenait son pied ça se voyait. Il bougeait la tête de l’infirmière et l’amenait à lui de temps en temps. Elle avait son nez au niveau de son ventre poilu et le sexe du prof était entièrement dans sa gorge. Il l’avait bloqué ainsi quelques secondes et cela semblait lui plaire. Puis, soudain, il éjacula dans sa bouche sans la prévenir et il l’empêcha de se dégager pour respirer. Elle était bien obligée de tout avaler, ce qu’elle fit en gémissant. Puis, elle se dégagea avec fougue et cracha par terre.
— Ah quel salaud, je n’ai jamais dit que je voulais avaler ton sperme… T’es qu’un gros dégueulasse !— Ah bon ? Haha désolé, je croyais que tu aimais ça.— Allez dégage, en plus j’en ai jamais reçu autant.— C’est normal, ça fait deux semaines que je ne me suis pas branlé…. Alors y’avait de la réserve hein ?— Pouah !
Je retournais vite m’assoir à côté du bureau. Encore toute rouge sous le coup de l’émotion. Le prof fut le premier à sortir et regarda dans ma direction. Il fut surpris par ma présence. Mais il ne tarda pas trop, il toussota un peu et se dirigea vers le gymnase. L’infirmière sortit cinq minutes après comme si de rien n’était. Elle me regarda aussi surprise que le prof de sport et paraissait embarrassé par ma présence. Elle me demanda pourquoi j’étais là. Je lui racontais que je ne me sentais pas bien et que j’avais de la fièvre. Elle s’approcha de moi et posa sa main sur mon front. Elle sentait le sperme. Je pouvais sentir son haleine à des kilomètres, mais cela ne semblait pas la déranger. Ou bien était-ce ma propre haleine qui amplifiait cette perception ? Je n’osais lui parler face à face. Elle recula, ouvrit une armoire et mis un comprimé dans un verre d’eau. Elle signa le justificatif et me renvoya en salle de cours.
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