Je m’appelle Marie Jeanne, j’ai 52 ans, je suis mariée depuis maintenant 34 ans, je me suis mariée à 18 ans avec l’accord de mes parents, la majorité à cette époque était à 21 ans.Toute petite, ma mère recevait des hommes souvent l’après-midi, et me demandait de ne rien dire à papa en échange d’un supplément d’argent de poche, puis grandissant, et comprenant pourquoi des hommes venaient à la maison, je demandais à maman des petits cadeaux en échange de mon silence. Quand mes premières règles sont arrivées, je savais pourquoi et quand je prenais mon bain, maman me prêtait souvent son petit canard et me montrait comment me faire du bien. Puis je lui demandais de m’offrir des sextoys de plus en plus gros, je ne sais pas si je me suis dépucelée avec.Je suis au collège, en troisième, mes copines sont un peu niaises, et je suis la seule à savoir me faire jouir et savoir comment un homme est fait, j’ai déjà vu les amants de maman tout nu et même papa faire l’amour à maman. Comme maman, j’aime jouir, et je goûte à l’amour avec un copain de collège, je me fais prendre au moins une fois par jour et j’ai déjà baisé avec la moitié du collège, tout le monde sais que j’aime cela et en profite bien, les filles aussi pour les plus timides qui m’osent pas aller avec les garçons, je leur fais perdre leur virginité avec mes sextoys, surtout avec le gode ceinture de 20 cm de long.Je quitte le collège pour entrer au lycée, ma réputation n’est pas à faire, puisque beaucoup de mes baiseurs sont au lycée avec moi, je continue ma baise journalière, et souvent ma mère me faisait partager son lit avec ses amants et ses copines. Rien ne m’arrêtait, mon prof d’éducation physique, ma prof de français, ma prof d’anglais sont devenus mes amants.J’aimais baiser avec des hommes ou des femmes plus vieux que moi, ils m’apprenaient plein de choses sur le sexe que je n’aurais pas découvertes avec des jeunes de mon âge. Très jeune, j’appréciais les grosses queues, que je prenais dans la bouche, dans la chatte ou dans le cul, j’aimais quand le foutre coulait au fond de ma gorge, ou dans mon ventre, j’aimais aussi la cyprine de mes amantes quand je leur caressais le clitoris et que j’enfilais mes doigts dans leur chatte ; elles me faisaient la même chose, et je jouissais de tout mon corps.La première fois que j’ai pris un sexe dans ma rondelle, c’était avec mon prof de gym, il était particulièrement bien monté, je ne lui ai pas refusé mon petit trou, il m’avait bien préparé et il a été très doux ; malgré cela, j’ai eu un peu mal au début, mais la douleur s’est vite transformée en plaisir.Je me suis arrangée pour qu’il casse le cul à mes copines que j’avais dépucelées, je les invitais dans mon lit, elles ne se méfiaient pas et je disais au prof de venir un peu plus tard ; nous étions convenus d’un signal pour qu’il n’arrive pas trop tôt. Toutes ont apprécié mon initiative et, pour la plupart, elles m’ont demandé de recommencer.J’étais quand même une bonne élève, et les professeurs n’hésitaient pas à me donner des cours particuliers, ils venaient chez moi, et maman fermait les yeux en sachant bien ce qu’ils venaient faire. Surtout que leurs cours étaient gratuits.A la maison, tous les jours je ramenais de nouveaux copains pour baiser et ma mère quelquefois se joignait à nous. A 18 ans, j’avais tellement le feu au cul, que mes parents ont voulu me marier de peur que je tombe enceinte ; un copain avec qui je couchais plus régulièrement est devenu mon mari. Je choisis comme témoin une copine que j’ai dépucelée avec mon gode et nous sommes restées amies ; elle s’est trouvée un cavalier assez beau gosse que je ne connais pas et mon mari, un copain comme témoin, que je connais bien également puisque il a été un de mes copains en troisième ; il est arrivé avec sa copine du moment ; je le sais bon baiseur et j’ai un petit sourire en faisant une bise à sa copine.Arrivée à la mairie, mon amie me dit que je vais être satisfaite, parce que son copain à une énorme queue, elle l’a sucée en voiture, mais elle n’a pas été à fond, elle ne voulait pas sentir trop le sperme, mais qu’elle va avoir du mal à attendre ce soir. Je n’ai pas mis de culotte parce que moi aussi je compte bien ne pas attendre ce soir pour avoir une queue entre les cuisses et pas seulement celle de mon mari.La cérémonie se passe normalement, ma chatte est trempée, j’ai envie d’une bite dans ma chatte, puis pendant la réception, après les félicitations, je dis à mon mari que je vais aux toilettes, celui-ci se propose de m’accompagner, mais je lui dis non ; j’envisage autre chose, il n’insiste pas sachant bien pourquoi ; il a remarqué le copain de mon amie qui me regarde avec insistance.Je me dirige vers les toilettes en ayant fait un petit signe discret au copain de mon amie et celui-ci, après avoir attendu quelques instants, me rejoint aux toilettes ; nous nous enfermons et, sans attendre, je sors sa queue de son pantalon pour vérifier les dires de mon amie.Je prends sa grosse queue dans ma bouche et je lui dis de ne pas s’inquiéter, mon mari sait ce que nous faisons, il m’a donné des préservatifs pour que le sperme de mes amants ne coule pas sur mes cuisses, mais que sa copine a réservé une chambre à côté de la nôtre, pour que la nuit de noces soit une belle partouze. Je lui enfile un préservatif avec ma bouche, je retrousse ma robe de mariée, il découvre que je n’ai pas de culotte et il m’enfonce sa grosse bite d’un seul coup. De retour dans la salle de mariage, personne ne s’est aperçu de mon absence, et mon mari me demande si cela s’est bien passé.Une heure après, n’y tenant plus à nouveau, je danse avec mon copain de troisième et lui demande de venir dans les toilettes pour me baiser, je prends la direction des toilettes sans attendre sa réponse, je sais qu’il n’attend que cela.Arrivée aux toilettes, je trouve ma mère avec un convive et visiblement elle voudrait se faire sauter, mais il n’a pas de préservatif, alors ma mère me demande de lui en donner un ; je lui en donne plusieurs en lui disant qu’elle en aura besoin. Mon copain arrive, nous nous enfermons dans une cabine, il passe une capote et, sans attendre, il m’enfonce sa queue, que je connais bien, dans la chatte, j’entends ma mère jouir dans la cabine d’à côté.Toute la soirée, j’ai passé tout mon temps à baiser avec des bites connues ou inconnues, et ma mère me dit si un jour de mariage on ne baise pas alors quand le ferions-nous ; elle aussi s’est envoyée une demi-douzaine de queues.Vers deux heures du matin, mon mari me dit que c’est l’heure de partir, que certains invités sont déjà partis ; nous gagnons notre chambre, attendons quelques minutes, puis on frappe à notre porte, ce sont nos témoins et cavaliers qui viennent nous retrouver ; nous les faisons entrer en les embrassant sur la bouche ; nous savons l’un et l’autre que la nuit de noces commence ; très vite nous sommes tous nus et les femmes commencent à sucer les bites des hommes (pas forcement le sien) ; de toute façon nous aurons droit à toutes les bites, puis nous avons baisé dans le même lit, je suce une bite, une autre me baise la chatte et la troisième le cul, mes copines ont le droit au même traitement.Ma copine a apporté son gode, et elle compte bien s’en servir dans mon cul, mais aussi dans celui de mon mari. Je sors le mien à mon tour, et je m’aperçois que toutes trois avons un gode, certes de différentes tailles, que nous allons prendre dans notre cul, mais aussi dans celui des hommes ; mon mari a déjà goûté à une vrai queue, mais ce n’est pas le cas du cavalier de ma copine, alors nous décidons que ce sera le premier à y passer et que seulement après il pourra enculer le marié qui, de toute évidence, s’y attendait un peu, puisqu’il n’a pas oublié le gel.Tour à tour nos six culs ont eu le droit aux bites en plastique, mais aussi aux vraies. Nous avons baisé jusqu’au matin, avant de nous endormir dans le même lit ; maintenant nous sommes tous bisexuels. Vers 9 heures, nous entendons frapper, je vais ouvrir, c’est ma mère qui nous trouve tous dans le lit et dit vous n’avez pas dû vous ennuyer ; moi aussi j’ai couché à l’hôtel avec un autre homme que ton père, et lui il a emmené la femme de mon amant à la maison ; c’est bien ; maintenant nous n’avons plus besoin de nous cacher.Nous sommes toujours ensemble, nous n’avons pas d’enfants et pour cause, depuis notre mariage, je porte un stérilet, puis depuis plusieurs années maintenant je ne fais que l’amour avec des préservatifs sauf avec mon mari qui lui se protège quand il baise avec d’autres femmes.Souvent, le soir, je mets des tenues sexy, pour aller dîner et pour draguer des hommes ou des femmes avec qui je vais baiser dans les toilettes, comme c’est presque toujours le même restaurant, les serveurs nous connaissent bien et ils nous servent d’entremetteurs ; bien évidement je baise avec eux aussi. Quand nous trouvons un couple consentant, nous l’emmenons chez nous et nous baisons à quatre. Mon mari aime bien se faire baiser devant moi pendant que je me masturbe avec mes doigts ou le gode que je m’enfonce avant de prendre la bite de notre compagnon occasionnel ; j’aime bien baiser avec les femmes de mes amants, et mon mari, après s’être fait enculer, aime bien les baiser pendant que je me fais enfiler.Nous nous connections au Minitel pour trouver des amants ; mon mari faisait le filtre en proposant nos services pour un montant élevé, même si cela était accessoire, et que nous n’avions pas besoin de cela pour vivre, mais ça permettait d’éliminer les personnes « non motivées », puis nous nous sommes inscrits sur les sites de rencontres sur Internet. Mon mari m’emmène souvent dans un petit bois, où il y a des prostituées, pour que des hommes me matent ; je me prête bien à son jeu, surtout qu’il connaît bien une dame du bois, il vient la voir régulièrement ; un jour, elle vient nous voir alors que j’avais la jupe relevée jusqu’à la taille, exhibant ma chatte aux hommes qui viennent nous voir, et mon mari, son gros sexe à l’air en train de se masturber ; elle vient du côté de mon mari, qui me dit : « Ce n’est pas la peine de nous cacher, elle sait ce que nous faisons. » Elle nous propose, quand elle a un client, de venir avec elle dans le bois, et qu’elle me fera baiser et qu’elle sucera mon mari ; bien évidemment, nous acceptons, mais il va falloir attendre qu’un homme veuille bien.Après une bonne heure d’attente, alors qu’elle a été plusieurs fois dans le bois, elle nous fera un petit signe, ; mon mari sort de la voiture, une fois que nous sommes plus visible du client, et m’entraîne par un autre chemin qu’il connaît bien ; nous arrivons sur le couple, lui le pantalon sur les genoux et elle, accroupie pour prodiguer une fellation ; ils ne bougent pas en nous voyant arriver ; elle a dû prévenir son client, nous nous arrêtons à quelques mètres pour les regarder ; je relève ma robe pour bien montrer ma chatte, mon mari sort sa grosse queue et nous commençons à nous masturber ; l’homme nous fait signe de nous rapprocher ; je viens juste à côté de lui , il passe sa main sur ma chatte, je prends sa bite dans ma main, mon mari se fait sucer par sa copine prostituée et, très vite, le client me fait l’amour comme il l’aurait fait avec la pute.Après cette première fois, nous allons au bois tous les jours et notre stratagème marche à tous les coups ; quand un homme vient nous voir directement, nous le renvoyons à notre amie, nous ne sommes pas là pour lui prendre son job, mais pour jouir. Nous rentrons chez nous quand j’ai pris au moins trois bites, mon mari ne jouit pas à chaque fois, ce qui arrange bien notre amie pute. Nous l’invitons souvent à dîner à la maison pour que je puisse faire l’amour avec elle.Quand nous avons un rendez-vous sur Internet, mon mari m’accompagne à l’hôtel, je dîne avec mon amant, puis bien sûr nous passons la nuit, et mon mari vient me chercher le lendemain matin, je lui raconte ma nuit de baise.Quelquefois nous ne trouvons personne, nous allons dans des boites échangistes et là nous sommes certains de trouver des bites qui me conviennent ; j’aime bien les bang gang, où les hommes, la queue à la main, attendent leur tour pour baiser ; je m’arrête quand j’ai eu une dizaine de bites en moi, et souvent ce n’est que pour boire un verre et je recommence ; mon mari, de son côté, baise plusieurs femmes en prenant soin de ne pas décharger trop vite ; de toute façon, une fois entré à la maison, il me remplit la chatte de son nectar chaud. Quelquefois, mes parents viennent avec nous, ils fréquentent eux aussi les boites échangistes, ce qui m’a permis de baiser avec papa, et mon mari avec maman, comme nos hommes sont bi, nous faisons l’amour à quatre sans retenue ; maman et moi nous aimons faire l’amour ensemble devant nos hommes, j’aime sentir la langue de maman dans ma fente, mon cul et sur son clitoris, j’aime aussi lui faire un anulingus, elle jouit beaucoup quand je lui enfonce ma langue dans son cul, les godes sont aussi de la partie, ils servent aussi bien à nos hommes qu’à nous, papa me fiste en mettant toute sa main dans ma chatte, alors que maman met la sienne dans mon cul, pendant que je prends la queue d’un autre homme, quelquefois mon mari, dans ma bouche. Maman me demande si ça me ferait plaisir de partager aussi ses amants, et surtout que cela ne dérange pas mon mari et que s’il le désire il peut aussi en profiter. Enfin je vais pouvoir faire l’amour toute la journée, ce qui me manque un peu depuis mon mariage, mais mes nuits sont toutes bien chargées ; mon mari est un super amant et maman me dit un jour que c’est le meilleur qu’elle ait trouvé.
