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J'aimerais mieux être fille que garçon !

Chapitre 1

Inceste
Quelque part dans le Sud de la France. Les années ’80. Nous sommes assis sur la terrasse ombragée de la villa louée pour l’été, ma femme Fabienne, son neveu René et moi, nous prélassant dans les fauteuils, un verre à la main.Fabienne est grande, mince, le teint basané, les cheveux blonds lui descendant jusqu’au ras des fesses qu’elle a bien rebondies, les seins de bonne taille enveloppés dans la sortie de bain.Depuis quelques jours, elle taquinait René, lui plaquant des bisous sur la joue, lui caressant la cuisse en passant près de lui. J’avais déjà remarqué quelques fois une belle bosse dans son short. Comme elle était assise en face de René, elle remonte tout à coup son peignoir jusqu’au nombril, découvrant sa nudité.— Non mais. Fabienne !... lui dis-je.— Ben quoi, y a pas de mal !... Pas vrai mon loup ?... Tiens, regarde !... Hein ! C’est si joli ! fait-elle au gosse qui en reste bouche bée.— Tu n’es pas un peu dingue ! Dis-je. Un gosse de seize ans, qui est encore dans les jupes de sa mère !...— Justement ! Alors il a dû la lui voir ?... Non ?... Elle ne te l’a pas montré ?— Oh ! Fabienne ! Répond-il tout rouge et l’oil allumé. Je n’aurais pas osé le lui demander !— Alors, c’est le premier que tu vois ?...— Sûr que j’en ai déjà vu. mais il y avait tant de poils !...— Et bien, approche, regarde comme c’est fait !— Allons, Fabienne, baisse ça !...C’est dégoutant !J’essayais encore de sauver la situation mais elle répliqua :— La barbe !... Moi j’aime montrer ma motte.regarde mon petit ! reprend-elle, écartant encore plus ses jambes. Hein, qu’elle est belle ?... N’aie pas honte, touche donc !...Sans se faire prier plus, René s’est agenouillé devant sa tante. Sa main, une main de fille comme sa figure qui a l’attrait troublant d’un sexe indécis, flatte et caresse le doux pelage taillé aux ciseaux électriques.J’interviens de nouveau ; certes, il est convenu que la jalousie n’est pas mise entre nous ; tout de même là, sous mes yeux.— Fabienne, tu cherches un peu !.... Tu vas le faire bander, et après ?...— Il me fait bien bander, lui !... Vas, mon gosse, pelote.. C’est doux, hein ?...Et cette épaisseur !...Et si ça flambe au soleil !...D’une rotation sur son siège, elle a capté sur son con poilu le rayon de soleil filtrant à travers le toit en paille.— Hot ! fit le gosse qui s’extasie à cette flambée d’or rouge sur les poils blonds de la chatte.Ses doigts plongent dans la fine crêpelure, s’entortillent aux boucles scintillantes, se traînent sur la douceur du ventre et des cuisses.— Maintenant, dit Fabienne, tripote-lui un peu le museau au minet !... Ouvre ses babines, sous leur barbichette. Tu ne sais pas ?... Avec tes deux pouces. Ecarte. Je parie qu’elles sont déjà humides !... Est-il rose, le joli conin, dis ?... Il me semble que tu te régales !... Sens-moi ça !...Etalée sur le bord du fauteuil, bombant son ventre, haussant la proue velue vers le nez de l’adolescent, elle savourait la volupté de sa pose impudique et le plaisir de se donner en pâture à un puceau.Ahuri de sa bonne fortune, il restait là, noyé entre les jambes de Fabienne, dévorant des yeux la jolie purpurine qui bâillait sous ses doigts.Ma garce se pâmait de sa propre luxure :
— Vas, disait-elle, regarde. Regarde bien. Ça me fait jouir !... Est-ce cochon, hein, de te montrer mon con que ta mère a tant de fois bouffé. Ce joli conin, avec le petit trou qui est par-dessous ?... Baisse-toi. Tiens, regarde-le !...Elle replia une jambe sur l’épaule de René, se tourna de côté pour dégager la raie fessière dont sa main débusqua la rosette.— Baise, mon chéri. Baise le petit trou du cul !...Il colla sa bouche à la brèche profonde et embrassa longuement sous les roulades cristallines de Fabienne. Puis, s’étant remise sur le dos, cuisses écartées :— Maintenant, mon chéri, jouons au chat et à la souris, hein ? Donne-lui ta langue au minet .René inclina son blond visage de chérubin sur la toison de ma femme, et joignit ses lèvres à celles de la vulve dont Fabienne faisait, d’un index, saillir le bouton luisant.— Oh que ça sent bon ! Bredouilla-t-il.— Alors quoi, protestai-je, le sourire aux lèvres. Tu vas aussi te faire baiser par lui, devant moi ?— Bien sûr, qu’il me baisera, le petit ! répliqua-t-elle sans quitter des yeux la tête bouclée qui s’agitait entre ses aines. En attendant, branle-le un peu pour le mettre en forme !...Sans qu’il s’interrompît de sa plaisante besogne qui déjà tirait des soupirs à Fabienne, je rabattis le short de René et, agréablement surpris de la blancheur et de la tournure rondelette de ses fesses, je ne me fis pas violence pour les lui patiner.— Ma foi, m’écriai-je, enchanté, c’est un vrai cul de fillette !...— Eh bien ! Tout à l’heure tu l’enculeras !... Pour l’instant, astique-lui le vit !... Ça m’excite !« Ça m’excite ! » c’est son mot le plus familier. Il est irrésistible et sans réplique.Je branlai donc le joli neveu, tout en prenant de mon autre main une revanche sur sa charmante croupe où je cherchais la perverse émotion d’un sexe bâtard. Sa verge, déjà d’une taille convenable, servait mon illusion, tandis que mon doigt s’amusait autour de son anus sans poils.— Lèche !... Lèche bien !... lui disait Fabienne. Pointe ta langue dans le haut. Trouve. Ne sens-tu pas le petit bouton ?... Oui. Là.Comme ça. Un peu plus fort. Aahh ! Parfait !Elle lui avait passé sa jambe gauche en collier et balançait sa motte au rythme des coups de langue du gamin.— Mais, c’est qu’il sait y faire ! Le vicieux !...Ah ! Qu’il suce bien !Elle ne fut pas longue à jouir.-Plus vite !... Plus vite !. Mets ton doigt dans mon cul !... Ah !... Ah !Elle agita son ventre.— Ah ! Ça y est !... Ça y est !... gémit-elle dans son étreinte de ses jambes autour de la jolie tête.Au même moment, je sentis la belle queue se gonfler, quelques gouttes chaudes perlèrent sur mon pouce et le gosse tituba.— Viens, viens me le mettre, dit Fabienne qui l’attirait à elle. Viens, que je me paye ton pucelage !...Mais la queue de René n’était plus qu’une chiffe molle.— Voyons, dis-je à Fabienne pour l’exciter encore plus, tu vas pas te faire monter par un môme qui n’a que du lait dans les couilles !— Mais si, mais si, s’obstinait la gonze. Je veux qu’il me baise devant toi !Elle laissa glisser son peignoir sur le sol et déshabilla René, jetant son short sur le bord de la piscine.— Non, mais regarde-moi ces fesses ! Est-il cambré ce petit cul-là ! Ah ! Que j’y mettrais bien mon gode !... Mais il faut que tu bandes !...Elle le tripotait, le tapotait, insinuait un doigt dans la raie, chatouillait le trou foncé.— Oh ! Cet amour de tapette ! répétait Fabienne, plus allumée que jamais. Une vraie gosseline !...Mais il faut l’avoir plus raide, mon petit ! Viens que je te l’émoustille !Elle lui éparpilla quelques bonnes claques sur les fesses qu’elle marbrait d’un rose vif.— Oh ! Ce cul ! Ce cul !... s’exclamait-elle, on en mangerait !Elle se baissa, mordit à pleine chair, et plongea sa langue dans la raie.— Ah ! Ce petit cochon, ça te réveille !... Montre un peu si tu bandes.Debout, tourné vers elle, il lui pointa son vit à hauteur de la bouche.— Oh ! Ce cher mignon ! Tiens mon gosse, plante-le dans ma bouche !...Il tendit son ventre et plongea entre les lèvres qui s’ouvraient pour le recevoir.Je m’avançai alors, et prenant René par la taille, je lui mis ma queue en main. Il se mit à faire ça avec toute la légèreté et le savoir d’une longue habitude.— Viens chéri, dis Fabienne, je veux que tu m’enfiles !...En fouteuse fantaisiste qui trouve plaisir à l’incommodité des postures, elle se renversa de dos sur un immense coussin posé à même le sol, assez large pour recevoir sa croupe exquise. Les bras ballants, les seins pointés par la cambrure de son buste à moitié rejeté hors du siège, la tête pendante, elle offrait son ventre d’albâtre dans le voluptueux évasement de ses cuisses qu’elle avait repliées contre ses flancs.— Va, va !... Enconnes-moi !... Vois comme je te la présente bien, ma vulve !...Je poussai le gosse contre les belles fesses à demi retournées, je lui pris moi-même sa queue et fichai le gland dans le milieu de la fente poilue.— Eh bien ! Allons, donne un coup de cul ! Lui dis-je.La queue pénétra avec aisance, non sans arracher un cri d’émoi à Fabienne.Me plaçant derrière lui, je lui ployais l’échine, mes jambes entre les siennes.— Cambre-toi bien.encore. Comme une chienne.La croupe se creuse, arrondit la saillie ravissante. J’écartai les fesses teintées de rose et la tête de ma verge une fois abouchée au pertuis plissé, je fis aller mes reins.Tiens ! Que je te perce ta pièce de cinquante Cent.Aie ! Aie !...hurla le gosse sous la vigueur de mon effraction.D’une seconde branle, je le pénétrai sans pitié pour ses cris.— Te voilà dépucelé et enculé, dis-je. Baise maintenant, je me règlerai sur tes coups de ventre.— Oui va, soupira Fabienne. Fais-moi ça gentiment. Est-ce bon, mon con de tante? René la tenait par-dessous ses fesses. Elle avait posé un de ses talons sur son épaule.— Baise-la, ma garce !... Baise-la donc. Tu ne vois pas qu’elle râle et qu’elle attend ton foutre !Effectivement, Fabienne était déjà dans les convulsions de l’extase. Son ventre bondissait et ses pieds qu’elle avait maintenant croisés sur la nuque de René, me cognaient la figure, excitant ma rage lubrique.— Va !... Va !... clamait-elle dans l’alternance de ses interjections de bonheur. Va, mon loup. Donne m’en de ta belle bite de gosse. Pique. Pique.Ah ! Ah !... Sur les bords, mon petit. Sur les bords. C’est si bon ! Aaaahhhh !...Elle se tordait, dans la vaine attente d’un bonheur partagé, fustigeant le gosse dont elle happait à grands coups, de son conin en délire, la décevante virilité.— Mais tu n’as donc pas de foutre !...Clamait-elle.J’étais à l’instant de jouir. Je bousculai le fouteur impuissant, et saisissant Fabienne par les cuisses, je la poignardai de ma mentule. Ma véhémence la fit hennir de plaisir et la cabra dans un sursaut de tout son être.— Du foutre ! Tu veux du foutre, salope ? Tiens, en voilà !...Il ne fallut pas quatre aller-retour dans son con trempé qui me brûlait comme braise, que j’y lâchai le flot de ma semence.— Tiens, prends mon foutre, que j’en fasse déborder ta fente !...Quelques minutes plus tard, nous étions rhabillés, assis devant une tasse de café fumant.— Eh bien mon joli, demanda Fabienne à René, Que te semble une pine dans le cul ?Ses beaux yeux bleus sourirent avec ingénuité. Je ne sais quelle pudeur lui fit incliner timidement son visage, et il dit :— J’en pense Tantine, que j’aimerais mieux encore être fille que garçon !
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