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Alain, ancien professeur

Chapitre 2

Hétéro
Deux ans plus tard à la rentrée de septembre, parmi les nouveaux enseignants, Alain avait remarqué une jeune agrégée qui lui adressait pleins de sourires. Il était flatté de l’intérêt qu’elle lui portait et s’ingéniait à lui faciliter la rentrée. Cette Aurélie lui rappelait quelqu’un mais qui ? Son nom de famille lui était inconnu…
« Un jour, profitant d’un trou dans son emploi du temps, il s’installe dans la salle des professeurs pour corriger un paquet de copies. Aurélie est là. Il lui rend son sourire. Il a l’impression que sa jeune collègue veut lui faire comprendre quelque chose. Il enrage de ne pas le deviner et se plonge dans ses corrections. Il s’aperçoit à peine que la jeune femme s’absente un instant pour revenir à sa place. — Pardon monsieur… Il quitte ses copies des yeux. — Oui, qui a-t-il pour votre service ? — Pourriez-vous m’aider ? Je ne comprends pas bien ce papier administratif. — Avec plaisir, mademoiselle. — Madame, corrige-t-elle avec un sourire. Zut, la gaffe ! C’est vrai, il s’en souvient, elle l’avait annoncé lors de sa présentation à la pré-rentrée. Il l’avait oublié ainsi que l’alliance neuve qui brille à la main gauche. Il se lève, fait le tour de la grande table et se penche…Le choc ! Aurélie a dégrafé son corsage et lui offre la vision de sa poitrine tout comme une lycéenne de terminale. C’est donc cela ! Voilà pourquoi son visage ne lui était pas inconnu. La jeune femme est une de ses anciennes élèves qui se fait reconnaître de la plus agréable façon qu’il soit. — Je suis confus d’avoir mis tant de temps à me souvenir de vous. Votre nouveau nom de femme mariée m’a induit en erreur. — Ce n’est rien. Elle lève les yeux vers lui. Il a une vue plongeante sur les seins. Il n’avait pas remarqué qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle a du le quitter en allant aux toilettes, devine-t-il. Il pose une main timide sur l’épaule de sa collègue. Il perçoit le frémissement. Il caresse la peau nue, ses doigts descendent peu à peu vers les rondeurs de la poitrine. — Vous ne nous faisiez pas ça à l’époque. — Rassurez-vous, je ne le fais toujours pas, mais vous n’êtes plus une élève n’est-ce pas ? Elle emprisonne les doigts qui atteignent le mamelon. — Je le regrettais vous savez, avoue-t-elle. Il insiste pour englober le sein. — Tout comme mes camarades, poursuit-elle pendant qu’il titille un téton qui raidit sous ses doigts. On se faisait des confidences. — Croyez bien que mes mains me démangent souvent, mais je vous assure que je n’ai jamais rien tenté ni tenterai rien de répréhensible envers les élèves. Il plonge les deux mains dans le corsage largement ouvert. La main d’Aurélie touche le pantalon d’Alain, remonte vers le sexe que les doigts tentent de saisir à travers le tissu. Ils restent ainsi une minute à se caresser. — Venez ! Il l’entraîne vers les toilettes attenantes à la salle des professeurs. La porte refermée, il l’enlace, essaye de poser les lèvres sur la bouche de la jeune femme. Elle se dégage. — Non, pas de baiser ! Je… Je… Je suis mariée.
Il ouvre le corsage et embrasse les seins, insistant sur les bouts qu’il tète tour à tour. Elle ferme les yeux en gémissant. Ses mains fouillent dans la braguette et extraient une verge frémissante qu’elle masturbe machinalement. Alain perd la tête. Abandonnant la poitrine, il soulève la jupe. — Non ! Elle tente de le repousser. Il insiste. — Non, s’il vous plait ! supplie-t-elle. Sa voix tremble. — Je… Je ne veux pas tromper mon mari. — Excusez-moi, je ne le ferai plus. Il lâche la jupe qui retombe sur les cuisses. Elle reprend la manipulation de la verge. — Vous savez… Avec mes seins… Vous pouvez continuer… Il lui sourit et triture les globes tendres. Tout à coup il s’écarte. — Qu’est-ce qu’il y a ? Je vous ai fait mal ? — Non, non, au contraire ! La vue de la queue qui hoquette toute seule la renseigne. — Oh ! Excusez-moi ! Elle prend plusieurs mouchoirs au distributeur près du lavabo et en entoure le sexe rigide. Elle reprend la masturbation qu’elle conduit à son terme. — Il n’y a pas de taches, sourit-elle. Alain met du temps à reprendre sa respiration. Aurélie renfile le soutien-gorge laissé sur le lavabo. — Dommage, je vous préfère sans, soupire-t-il pendant qu’elle reboutonne le corsage. Ils retournent à la salle des professeurs. Ils y sont toujours seuls. Sans dire un mot, Aurélie rassemble ses affaires et sort de la pièce. Sur le chemin de la maison, il décide de taire la rencontre. Il se jette à corps perdu sur Marie puisant dans une débauche d’énergie l’excuse à son comportement… »
Le lendemain, à la récréation, Aurélie s’approcha de lui. Il ne savait quelle attitude adopter. N’allait-elle pas lui reprocher les doux instants partagés ? Ne lui avait-elle pas rappelé à plusieurs reprises qu’elle était mariée ?…
«- Je vous remercie. Il la regarde interloqué. C’est à lui de la remercier, juge-t-il. — Vous m’avez offert la réalisation d’un fantasme qui me poursuivait depuis la terminale. Oui, je vous remercie. Il lui prend la main. Devant les élèves et les professeurs il n’ose la serrer contre lui. Elle lui sourit. Ils se comprennent, heureux de leur complicité… »
Au cours des récréations suivantes, il dévoila qu’à la sortie d’un cours où elle ou une de ses copines avait joué avec ses nerfs et s’était exposée à ses regards concupiscents, sa femme savait le calmer…
« Ils sont accoudés à la balustrade en bout de la cour. Entraîné dans la confidence, Alain lui révèle comment elle le caressait en cet endroit. — Et vous souhaitez que je la remplace, si je comprends bien. Il se récrie. Ce n’est pas son intention. Il a compris qu’elle ne voulait pas tromper son mari et il respecte sa volonté. — Tandis que vous, cela ne vous gêne pas de tromper votre femme, n’est-ce pas ? Alain détourne les yeux en rougissant. Elle plaque la main sur la bosse du sexe. — C’est comme ça qu’elle faisait ? Avec un sourire il l’écarte. Devant son regard d’incompréhension, il se justifie. — Nous ne pouvons pas afficher en public une trop grande familiarité. Vous y perdriez votre réputation. — Vous avez raison. Elle se retourne le dos à la rambarde. — C’est dommage. J’aurais bien aimé vous rendre service, ne serait-ce qu’en souvenir des cours de terminale. N’y aurait-il pas un moyen plus discret ?… Vous savez, reprend-elle sans le regarder, je n’ai pas eu le sentiment de tromper mon mari l’autre jour. Le souvenir de la poitrine de la jeune femme enflamme les joues d’Alain. Oui, il faut trouver un moyen. Leur ancien cagibi ? Peut-être n’est-il plus cadenassé ? Il se promet de contrôler. La sonnerie de reprise des cours interrompt leur rêverie. Ils se dirigent vers leurs classes respectives… »
La chance était avec eux. Le local qui avait vu ses étreintes avec Marie était de nouveau accessible. A la première occasion il y attira Aurélie…
« Une fois la porte refermée sur eux, Alain perçoit l’inquiétude de la jeune femme. — Soyez sans crainte, il n’est pas dans mon intention de vous entraîner au-delà de ce que vous voulez tolérer. Je ne veux pas que vous ayez des problèmes avec votre époux. Il ouvre les boutons du corsage. Il écarte les pans de tissu sur le soutien-gorge et ôte le vêtement. Du bout du doigt, il dessine le contour de la dentelle. Passant les mains derrière son dos, la jeune femme dégrafe la fermeture. Il fait glisser les bretelles des épaules et retire le dessous qui reste entre ses doigts. — Donnez-le moi s’il vous plaît. Elle s’en empare et le pose sur un carton où il rejoint le corsage. Il se précipite sur la poitrine offerte, caressant des mains et des lèvres les rondeurs, titillant les tétons, s’amusant à les raidir dans la bouche. Elle se laisse patouiller. Au bout d’un moment elle se dérobe. Avant qu’il manifeste sa surprise, elle s’agenouille à ses pieds. Ses mains ouvrent la ceinture, descendent la braguette et sortent de sa gangue de tissu un sexe frémissant qui darde juste devant ses yeux. Il ne bouge pas n’osant croire à sa chance. Elle enveloppe la verge et les testicules de ses doigts fins. Tout à coup, il gémit. Des lèvres se posent sur le gland, bécotent la tige, remontent à l’extrémité. La bouche s’arrondit. Il réprime un cri. — Aah ! Il tente de toucher les seins du bout des doigts et ne parvient qu’à agacer le téton. Aurélie le suce avec application. Il gémit de plus belle. La jouissance monte dans la tige. Il tente de se dégager, elle résiste. Honteux, il se répand dans la bouche pendant qu’elle masturbe la base de la verge pour en extraire tout le suc. Elle ne se redresse avec un large sourire que lorsque la queue a perdu sa raideur et diminué de volume. Dans son sac, elle trouve un mouchoir avec lequel elle essuie ses lèvres. Elle récupère soutien-gorge et corsage. — Vous devriez vous rajuster. Ce ne serait pas correct de sortir ainsi, se moque-t-elle. Il rougit en remballant ses attributs et referme la ceinture. — Ai-je réussi à vous calmer ? Il brûle de lui témoigner sa reconnaissance par un baiser mais n’ose le faire. Il a toujours en mémoire la défense faite lors de leur première rencontre. Il se contente d’embrasser le bout des doigts et la paume de sa main. Avant de la faire sortir, il contrôle que la voie est libre. Ils rejoignent la salle des professeurs où ils se mêlent à leurs collègues qui prennent le café. De retour chez lui, Marie bénéficie d’un traitement particulier. Il met un point d’honneur à combler son épouse. Elle est ravie du déferlement du plaisir. — Je ne te demande pas d’explication mon chéri. J’attendrai avec espoir que cela se reproduise. Il ne cherche pas à comprendre ce qu’elle veut dire, trop heureux de tenir la justification à sa conduite : rien ne l’empêche de poursuivre la relation avec son ancienne élève… »
Régulièrement Aurélie proposait de « calmer » Alain. Elle laissait le professeur s’amuser avec sa poitrine nue avant de le caresser de la main ou de la bouche au gré de sa fantaisie. Au début il tenta d’obtenir une étreinte totale. Elle s’obstina à refuser déterminée à ne pas tromper son mari. Au cours du troisième trimestre, il parvint à force de persuasion à lui rendre ses caresses buccales, arguant qu’elle ne trompait pas plus son mari qu’en le caressant.
« - Vous… Vous croyez ? — Je vous assure. Le mieux serait que nous nous caressions ensembles. — Comment ?… Oh ! comme ça ? Elle comprend ce qu’il propose et rougit. Sans attendre une approbation, Il prépare une couche sur les cartons d’emballage. Il s’allonge et l’attire. Elle est indécise. — Otez votre culotte. — Vous croyez ? — Si, si ! C’est indispensable… Bon… Maintenant, mettez-vous à quatre pattes au-dessus de moi… Non, dans l’autre sens… Oui voilà. Il repousse sur les fesses la jupe légère. Il tremble en fouillant dans la toison brune de la jeune femme à la recherche du petit clitoris. Il est peu développé au contraire de Marie, se surprend-il à rêver. Il y appose les lèvres. — Aah ! — Caressez-moi aussi s’il vous plaît. Elle empoigne la queue et la porte en bouche. Attentifs au développement du plaisir ils s’appliquent à varier les caresses. Du doigt, il fait le tour de l’ouverture du vagin. Pas de réaction. Encouragé, il introduit l’ongle. — Non ! — Excusez-moi, je ne le ferai plus. Il se consacre au clitoris. Tout à coup, Aurélie serre les cuisses. — Aaah ! Il est heureux qu’elle succombe en premier. Il active sa caresse tarissant de la langue la rosée du plaisir. Aurélie reprend ses esprits et s’empresse de parachever sa sucette… Ils se réajustent. Au moment de sortir il l’interroge. — C’est la première fois que vous pratiquez cette caresse ? — Euh… Avec un garçon, oui, avoue-t-elle. — Merci de me l’avoir offert. — Je ne voulais pas, vous savez. — Vous le regrettez ? — Non, pas du tout, réplique-t-elle en lui souriant… »
Ils recommencèrent plusieurs fois avant la fin de l’année scolaire. Aurélie prenait goût à cette manière de se donner du plaisir. Un jour Alain prolongea ses attouchements autour du petit trou de l’anus.
« - Aaah ! Il insiste. La jeune femme marmonne des mots inintelligibles et s’active sur sa queue. Il sourit. Puisqu’elle n’a pas le sentiment de tromper ainsi son mari pourquoi ne pas en profiter ? Il introduit le bout du doigt. — Mmhh ! murmure-t-elle sans lâcher le spectre vivant. Il enfonce l’index et le fait coulisser. Il perçoit le frémissement occasionné et alterna les sucettes sur le clitoris avec les vas et viens du doigt. Tout à coup il se fige. Un ongle s’insinue entre ses fesses. Aurélie l’imite ! Il lui faut une volonté de fer pour ne pas succomber à l’instant et faire durer le plaisir qui les enveloppe… »
Malheureusement en fin d’année les épreuves du baccalauréat, les corrections les accaparèrent. Ils n’avaient plus de temps à consacrer à leur plaisir. En se quittant en juillet, Alain souhaita à Aurélie de bonnes vacances et lui donna rendez-vous pour la rentrée. La jeune femme gênée détourna le regard. A la reprise des cours en septembre, Alain désolé apprit que sa gentille collègue était nommée professeure des classes préparatoires dans une autre ville…
A suivre…
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