Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 0 Commentaire

Alain, ancien professeur

Chapitre 3

Hétéro
Il se souvient de son désarrois quand il a appris la nouvelle. Comment faire maintenant ? Par qui remplacer Aurélie? La chance de se retrouver face à une ancienne élève avait peu de chance de se reproduire, estimait Alain. Il a cherché parmi ses collègues féminine, en particulier les dernières arrivées, une âme compatissante. Il n’envisageait pas de cesser le manège avec ses élèves, Marie avait tout à fait raison, cela faisait parti du bon équilibre qu’il a su trouver pour ses classes, se justifiait-t-il. Aucune jeune femme ne semblait comprendre ses invites, peut-être trop discrètes. C’est seul qu’il se dirigeait vers la balustrade qui domine le terrain de sport. Dire qu’il fallait attendre le soir pour retrouver Marie…
« Appuyé à la rambarde qui lui rappelle tant de souvenir, il se désole de ne pas avoir eu d’écho à ses œillades appuyées. — J’en apprends de belles sur vous ! Etonné Alain se tourne vers la voix qui l’interpelle. Il reconnaît une jeune fille employée sous contrat « solidarité-service » pour assurer la surveillance dans la cour et les salles de permanence. — Que voulez-vous dire ? — Osez-vous nier que vous encouragez vos élèves à vous draguer ? — Moi ? Je les encourage ? — Oui… Euh… Enfin vous ne faites rien pour les décourager. — Qui vous a raconté ces bêtises ? — Vos élèves elle-même. La jeune fille s’approche. — Me permettez-vous de m’installer à coté de vous ? — Vous ne devez pas surveiller la cour, mademoiselle ? — Pas aujourd’hui. — Eh bien, mademoiselle… Euh ? — Stéphanie, mais mes amis m’appellent Steph. — Venez ici Steph. — Merci monsieur. — Mon nom est Alain. La sonnerie de reprise des cours met un terme à cet assaut de politesse. — J’espère que nous poursuivrons cette conversation une autre fois, made… Pardon Steph. — Avec plaisir… Euh… Alain. Il la regarde s’éloigner. Elle est à peine plus âgée que ses élèves. Pas étonnant qu’elle en recueille les confidences. Il a l’intuition qu’il vient de trouver la remplaçante à Aurélie. Comment s’en assurer ?… »
Aux récréations suivantes, Stéphanie lui fit comprendre qu’étant de service, elle ne pouvait continuer leur entretien. — Vous êtes libre ce soir à cinq heures ? demanda-t-elle. — Euh… Oui. — Attendez-moi au café en face du Lycée. Alain fronça les sourcils. Cela ne lui plaisait pas de « fréquenter » en dehors de l’établissement. — Pourquoi pas dans la salle des professeurs ? Je préfèrerais. — Ah bon ? Comme vous voudrez… Excusez-moi ! Elle le quitta pour rejoindre un groupe d’élèves excités qu’elle s’empressa de calmer…
« Cinq heures de l’après-midi. Alain aperçoit Stéphanie par l’ouverture de la porte quand un collègue sort de la salle. Il se lève et fait entrer la jeune fille intimidée. — Je vous présente Mademoiselle Stéphanie qui nous aide à faire respecter la discipline dans notre établissement. Les collègues la saluent, certains souriant d’autres indifférents. Rapidement ils sortent de la classe en se souhaitant bonne soirée. Alain et Stéphanie se retrouvent seuls. — Asseyez-vous, propose-t-il en offrant un siège. C’est la première fois que vous entrez ici ? insiste-t-il en lui voyant faire le tour de la salle du regard. — Oui. — Cela vous impressionne ? — Oh ! Pas du tout, sourit-elle. Il pose la main sur celle de la jeune fille en un geste protecteur. — Que vouliez-vous me dire ? — Moi ? Ah oui ! J’ai interrogé vos élèves. Elles m’ont avoué le petit jeu auquel elles se livrent avec vous. Vous n’avez pas honte ? — Honte de quoi ? Je me contente de les admirer. N’en ai-je pas le droit ? — Si j’ai bien compris, vous les encouragez. — C’est faux ! — Mais vous faites rien pour les décourager. — Peut-être. Est-ce un crime ? Stéphanie regarde ses mains. Il s’approche, entoure du bras les épaules de la jeune fille. — Je… Je vous en prie… On pourrait nous voir. — Pas à cette heure-ci. Il malaxe la chair tendre. — Vous savez, je dois avouer que les manigances de mes élèves ne me laissent pas indifférents. Je dois me retenir pour ne pas les toucher, les caresser. Il embrasse la base du cou. Stéphanie se défend mollement quand Alain délaissant le cou entreprend de déboutonner le chemisier. — Oh ! Ce n’est pas une raison pour vous défouler avec moi. — Si ! Vous êtes dans votre rôle de prévention des risques. — Oh ! Il promène les lèvres sur les rondeurs à la limite de la dentelle. — En cédant à mon caprice vous protégez les élèves. — Quel culot ! Stéphanie, outrée, veut se dégager. Elle parvient à se lever mais Alain l’attire entre ses jambes. Il soulève le soutien-gorge et libère les bouts de seins roses qu’il tête goulûment. — Aah ! Le cri, un gémissement plutôt, sonne la fin des velléités de défense de la jeune fille. Elle s’abandonne aux lèvres qui titillent ses seins et aux mains qui farfouillent sous la jupe et empoignent les fesses sous la dérisoire protection de la culotte. Il fait glisser le tissu sur les cuisses. De son coté, elle ouvre la ceinture du jeune homme et fébrilement elle extrait la verge qu’elle manipule doucement. — Attendez ! Stéphanie se retourne à moitié, fouille son sac et en extrait un petit emballage. Il ne cesse de lui patouiller les fesses le temps qu’elle déchire le papier et sorte la rondelle de latex. — Permettez. Elle s’agenouille et habille le dard qui pointe entre les cuisses d’Alain avec une dextérité qui trahit une longue expérience. — Voilà ! Elle termine d’ôter son slip, enjambe son partenaire et se laisse glisser sur la hampe qu’elle présente à la bonne place. — Aah ! Avec force gémissements, ils entament la danse d’amour. Prenant appui sur le sol de la pointe des pieds et sur les épaules de son cavalier, elle monte et descend sur la queue qui la transperce pendant qu’il lèche tour à tour les deux seins justes à bonne hauteur… Ils restent immobiles de longues secondes, anesthésiés par le plaisir. Tout doucement il la repousse. Elle se soulève permettant au gland de sortir du vagin. Elle sourit de voir la grosse limace encore sous emballage glisser contre la cuisse. Elle cherche du regard sa culotte pendant qu’il tapote sur les fesses pour remettre la jupe en place. — Permettez que j’aille aux toilettes, s’excuse-t-elle. — Je vous en prie, moi-même en ai besoin. Il se lève et se réajuste succinctement. Au retour dans la pièce ils sont surpris par la femme de ménage qui entre précédée d’un chariot avec divers produits de nettoyage. — Oh ! Excusez-moi, je croyais la salle vide. Je peux repasser si vous le désirez. — Inutile, nous vous laissons le champ libre, affirme-t-il. — Ben, je vous retiens vous ! Y-a plus personne à cette heure de la journée que vous prétendiez ! l’apostrophe-t-elle dès qu’ils referment la porte. — Je vous en demande humblement pardon, je n’avais plus pensé au personnel d’entretien. — Vous vous rendez compte qu’elle a failli nous surprendre ? — Par bonheur il ne s’est rien passé. Tout est bien qui finit bien. — C’est vous qui le dites !… »
Il la raccompagna au parking des enseignants. — Je vous remercie, Steph, vous êtes adorable. — Vous n’êtes pas mal non plus, avoua-t-elle. Il l’enlaça. Leurs lèvres se rapprochèrent, se soudèrent en un long baiser. Elle glissa entre ses bras. — Laissez-moi partir maintenant. Il ne bougea pas tant que la petite auto rouge de Stéphanie n’avait pas disparu. Il soupira. Aura-t-il assez de ressources pour donner le change à Marie ? Le picotement à la base de son sexe le rassura. Oui, sa forme sera rétablie à son arrivée à la maison. Le lendemain, il tenta de faire comprendre à la jeune fille que ce n’est pas en fin de journée mais pendant les intercours qu’il a le plus besoin de ses services. Elle fut difficile à convaincre ayant mal digérée que le sacrifice de sa personne fasse partie de son travail de prévention des risques ! Le bon souvenir de leur première étreinte emporte ses ultimes réticences et elle a accepté de le suivre dans le cagibi où il entraînait Aurélie. Ils s’y isolaient régulièrement. Stéphanie prenait à cœur son rôle de protectrice des jeunes filles mais refusait l’étreinte non protégée. C’est elle qui, son contrat terminé lui a présenté Jennifer une assistante comme elle. — Je lui ai expliqué son rôle, a-t-elle précisé. — Vraiment ? interrogea-t-il sur l’expectative. — Oui, je sais ce que vous attendez de moi pour la protection des lycéennes, précisa la nouvelle venue. — Vous… Vous êtes d’accord ? Il était éberlué par leur franchise. — Oui, oui. Passez de bonnes vacances, je vous revois à la rentrée. Elles l’ont abandonné, figé par la surprise. — Vous ne m’embrassez pas ? — Oh ! Si ! Excusez-nous. Elles déposèrent un baiser chacune sur une joue pendant qu’il flattait les deux postérieurs.
En septembre, Jennifer a été exacte au rendez-vous. Elle n’était pas seule. — Voici Laetitia. Nous sommes inséparables. — Ah bon ! Il fronça les sourcils. Ce n’était pas prévu ça ! — Quand commençons-nous ? — Euh… Que voulez-vous dire mesdemoiselles ? — Ben, la protection des lycéennes ! Il ne s’attendait pas à une telle détermination ! — Euh… Demain, oui demain à la récréation de dix heures. Il sortirait du deuxième cours avec une terminale où il avait remarqué de jolis minois et des poitrines prometteuses. — Où est-ce qu’on vous rejoint ? — Euh… A la balustrade qui domine le champ de sport. — Vous connaîtriez pas un coin plus discret ? — Si. Vous connaissez le couloir… Il leur indiqua le chemin du cagibi… Elles se partageaient le travail. Pendant qu’il patouillait les seins de l’une ou embrassait son sexe, l’autre s’escrimait avec sa queue. — On change ! Les deux filles permutaient. Elles n’était pas jalouses et tour à tour recevaient l’offrande du sperme dans la bouche, mais refusaient l’étreinte. — Tu ne saurais pas nous satisfaire ensemble, se justifiaient-elles. Il leur arrivait quand le temps le permettait, de se réchauffer aux rayons du soleil sur la terrasse dominant le stade. Il se permettait de les attirer contre lui, jugeant qu’une complicité à trois est moins révélatrice qu’un couple. Les deux filles s’amusaient à introduire la main dans les poches se disputant la possession de la verge qui durcissait sous leurs manipulations. Un jour, avant qu’il ait pu les en empêcher, avec une paire de ciseaux, elles ont découpé le fond de la poche pour atteindre la queue de leurs doigts. — Je vous en prie ! Je… Vous allez me… Je vais tout tacher. — T’as qu’à ouvrir la braguette et laisser sortir le bout ! — Oh ! Jennifer qui avait la main gauche dans le pantalon d’Alain, ouvra la glissière et dégagea le gland. — Vous n’êtes pas raisonnables. — T’aimes pas ? — C’est pas la question, nous allons nous faire surprendre. — Mais non ! Regarde. Personne n’a remarqué leur manège. Elles ont poursuivi la masturbation jusqu’à son terme. Il a rougi de voir les filaments blanchâtres s’échapper du méat pour s’écraser en contre bas. Jennifer, toujours elle, l’essuya avec un mouchoir en papier, remballa l’attirail et tapota la braguette refermée. — Voilà, voilà, voilà ! — Et t’avise pas de recoudre tes poches, l’a menacé Laetitia. Ils alternaient les passages au cagibi avec les séances sur la terrasse lorsque le temps le permettait…
A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live