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Alain, ancien professeur

Chapitre 10

Divers
TROISIÈME PARTIE : LA RÉCOMPENSE DU PROFESSEUR
Manon rencontre Lucas et Enzo juste devant l’immeuble d’Alain. — On t’attendait, déclarent les deux garçons. Enzo s’approche des sonnettes. Il cherche le nom du professeur. — Attends une seconde. — Qu’est-ce qu’il y a Manon ? — Dis Enzo, c’est grâce à Alain qu’on a eu le bac avec mention n’est-ce pas ? Comment tu penses le remercier ? — Euh… Je sais pas. — Moi j’ai bien une idée, mais j’ai besoin de toi. — A quoi penses-tu ? — T’as remarqué combien il bandait pendant que tu l’enculais ? — Ouais, c’est même étonnant. Tu crois que c’est ça qui lui ferait plaisir ? — Oui, surtout si je participe. — Comment ? Ah ! Je comprends ! Tu penses qu’il pourrait te baiser en même temps ? — Ça vaut le coup d’essayer. Enzo n’est pas contre. Un fin sourire se dessine sur ses lèvres. — Et moi dans tout ça ? Qu’est-ce que je deviens ? Rouspète Lucas. Manon s’empresse de le rassurer. — Toi, mon gros, je te ferais un énorme câlin après. Vous venez ? — Eh ! Attends ! Comment le lui dire ? Je ne me vois pas lui annoncer que je l’encule pour le remercier ! — T’occupes, j’ai mon idée. Alors ? Vous arrivez ? Il va croire qu’on ne vient pas. Elle appuie sur le bouton de la sonnette. — Oui, c’est nous, répond-elle à l’interphone. Le pêne s’ouvre dans un grésillement électrique…

Alain inspecte le salon. Sur la table basse, un plateau de canapés, des verres et une cruche de jus de fruits. Il réserve le punch mis au frais dans le réfrigérateur pour une surprise en milieu d’après-midi. Il se précipite à la porte à l’appel de la sonnerie. Derrière le battant il perçoit les voix de ses invités, ils semblent excités. Lui aussi est impatient de les recevoir. Il ouvre fébrile. Il serre les mains reçoit un baiser mouillé sur la joue et entraîne ses élèves au salon. Tout en grignotant les canapés, il dirige la conversation sur l’examen récent et laisse les jeunes gens commenter les épreuves. Enzo manifeste des signes d’impatience, ils ne sont pas venus pour ça. Manon le calme d’un clin d’œil. Elle se lève. — Dis, Alain t’as pas de la musique ? — Si, allume la chaîne stéréo. — Qu’est-ce que t’as comme disques ? — Ils sont là, désignant la pile de CD. Elle choisit une pochette, insère la galette dans le lecteur. Un slow rythmé emplit la pièce. La jeune fille commence à danser avec des gestes lascifs. Elle déroule l’écharpe qui ornait son cou et la lance sur le dossier de son fauteuil. Puis face à Enzo elle se déhanche. Il comprend l’invite et déboutonne le chemisier. Avant qu’il écarte les pans sur la poitrine, elle s’échappe et donne ce plaisir à Lucas. Puis elle danse devant Alain en lui tournant le dos pour qu’il ôte le vêtement. Elle passe devant les hommes abandonnant à chacun une pièce de sa tenue. Une fois dévêtue, elle s’affale nue dans son fauteuil. Elle prend son verre sur la table basse et le tend à Alain. — J’ai soif ! Donne-moi à boire. — Le jus d’orange est chaud. Va chercher un nouveau broc que j’ai préparé dans le réfrigérateur… Oui, vas-y toi… Je t’en prie. Il veut lui faire la surprise de la boisson alcoolisée. Elle fronce les sourcils puis se lève. — D’accord je me dévoue pour chercher à boire mais pendant ce temps vous vous déshabillez. Je veux tout le monde à poil à mon retour de la cuisine. Ils s’empressent de lui obéir, secrètement heureux qu’elle en fasse la demande, et soulagés qu’elle n’exige pas un strip-tease… A peine se sont-ils rassis sur leur siège qu’elle entre. Alain devine qu’elle a attendu derrière la porte qu’ils soient tous nus. Elle dépose le broc au punch et une petite soucoupe sur laquelle elle a déposé une noix de margarine. Elle regarde d’un air de triomphe Alain qui, gêné, détourne les yeux. La couleur est annoncée ! Il remplit les verres. Enzo avale une gorgée. L’alcool le surprend et il manque de s’étouffer. — Qu’est-ce que t’as ? Demande Manon, ce n’est pas bon ? — Si, goûte, tu verras. Elle trempe des lèvres circonspectes avant de sourire. Lucas l’imite et sourit à son tour. — J’ai pensé qu’un jus de fruit amélioré serait de circonstance pour fêter votre succès, explique Alain. Ils dégustent leur breuvage à petites lampées savourant le mélange d’alcool et de jus de fruits sucrés. — Viens m’embrasser, tu le mérites, déclare Manon en ouvrant les bras à son professeur. Il s’avance. La jeune fille est enfoncée dans son fauteuil. Il se penche pour atteindre ses lèvres de la bouche. Il doit s’appuyer sur les accoudoirs pendant le baiser. Enzo qui n’attendait que ce signal, se place derrière Alain. Ses paumes qui caressent les fesses, déclenchent un frisson qui les couvre de chair de poule. Il trempe son doigt dans la margarine qui fond sur la soucoupe et en tartine autour de l’anus. — Aah ! Alain soulève la figure. Manon qui croit qu’il veut s’échapper, le retient. — Reste, on ne te veut aucun mal. Il le sait et se prépare à l’introduction. Lucas vient en renfort et écarte les fesses. Enzo promène le bout du gland sur la rosette saillante avant de l’enfoncer d’un petit centimètre. — Aah ! En même temps que la hampe pénètre dans son intestin, la main de Manon contrôle l’érection de sa verge. — Oui, Enzo ! Continue, ça vient ! déclare-t-elle excitée. Le garçon tenant Alain par les hanches avance puis recule plusieurs fois, s’enfonçant plus profondément à chaque coup de rein. — Oui ! Je crois que c’est bon. Ne bougez pas ! Le couple suspend tout geste dans l’attente. La jeune fille empoigne la queue que la pénétration anale a durcie et la place devant l’orifice du vagin. — Allez-y ! Alain tremblant est bien incapable de réagir. Heureusement Enzo vient à la rescousse. Il donne un violent coup de rein qui propulse sa victime contre la jeune fille. — Aaah ! — Aaah ! Double cri de satisfaction. Manon d’être enfin baisée par son professeur, et celui-ci de faire l’amour à son élève. Enzo recule. Il permet à Alain d’en faire autant. Après quelques tâtonnements, les deux hommes conjuguent leurs mouvements, alternant retrait et pénétration. Leur excitation est contagieuse. Lucas s’approche. Il calme son désir de faire jouir la jeune fille en lui embrassant la figure, les yeux et en caressant sa poitrine. Alain est ému. Il est capable de baiser à nouveau ! Quelle joie de sentir sa queue enveloppée par les muqueuses d’un vagin féminin ! Dire qu’il pensait avoir perdu à tout jamais cette merveilleuse sensation. Le frottement de la verge dans son sphincter décuple son bonheur. Les trois protagonistes gémissent et halètent de conserve. Enzo est infatigable. Alain s’efforce de suivre. Le picotement de la jouissance proche envahit son bas ventre. Il tente de retarder la montée de la sève. Sans succès. Le poignard du plaisir le transperce et le laisse pantelant, aussi actif qu’une poupée de son, entre ses deux partenaires. Sa verge ramollie s’échappe de la jeune fille pendant qu’Enzo continue ses coups de rein avec la régularité d’un métronome. Manon maintient et cajole Alain, déçu de n’avoir pas résisté plus longtemps. Enfin le garçon gémit plus fort, accélère et se libère dans un cri. Le silence n’est troublé que par la musique qui continue d’égrener ses notes. Enzo se redresse. Sa queue en se retirant laisse une trace humide sur les fesses. Manon repousse Alain qui s’écroule inerte sur le tapis…
Il revient à lui. Une lavette fraîche bassine ses tempes. Il ouvre un œil pour voir trois visages inquiets penchés sur lui. — Ça va ? lui demande Manon. Incapable de répondre, il ferme et rouvre les paupières en signe d’assentiment. — Vous nous avez fait peur, vous êtes sûr que ça va ? interroge Enzo. — Ou… Oui parvient-il à balbutier. Avec l’aide des trois jeunes gens il s’assied sur un fauteuil. Manon lui présente un verre de punch. Il boit une gorgée. — Non, de l’eau s’il te plait, je finirai ce verre après. Elle s’empresse de le servir. Il reprend peu à peu ses esprits et prend conscience de sa performance. — Vous savez… Ils s’approchent de lui. — Je vous remercie… De tout mon cœur. Je ne me croyais plus capable de faire l’amour. Merci à vous de m’avoir détrompé. — Tu te défends pas mal, sourit la jeune fille. — Tu me flattes. J’ai bien vu que je n’étais pas parvenu à te faire jouir. Je n’ai pu me retenir et me suis effondré avant. — C’est pas grave, tu auras d’autres occasions de te racheter. Elle dépose un baiser sur son front et se place devant Lucas. — A nous deux ! Tu as été brimé pendant le premier épisode. Il est temps que tu te rattrapes. Il l’attire à lui. Leurs lèvres se soudent. Les remous des joues trahissent le ballet des langues dans les bouches. Manon pousse Lucas vers le plus grand canapé. Elle le force à s’allonger sur le dos. Leur baiser se prolonge, puis la jeune fille glisse peu à peu. Sa bouche s’attarde sur le lobe d’oreille, sur le cou les tétons du jeune homme. La langue tente de s’introduire dans le nombril, descend vers le pubis pour béqueter le gland turgescent. Au lieu de le prendre en bouche, elle empoigne la verge et remonte doucement sans la lâcher. Elle refait le parcours inverse ne s’arrêtant que lorsque ses lèvres se posent sur la bouche de Lucas. Sa main prisonnière entre leurs corps serrés place la verge du garçon. Elle n’a plus qu’à l’enfoncer dans le vagin. — Aah ! Elle remue le bassin, assurant la majeure partie de la danse d’amour étouffant sous ses baisers les plaintes et gémissements. Enzo depuis un moment se trémousse sur son siège. Il a pleinement récupéré de ses efforts précédents et caresse doucement la hampe de son sexe en regardant l’étreinte qui se prolonge. Tout à coup, il se lève, se place derrière Manon et chatouille ses fesses du gland. — Non ! s’écrie Alain. Laisse-les tranquille ! — Si ! l’interrompt Manon qui quitte les lèvres de Lucas. Il peut venir. — Tu veux qu’il t’en… Euh… Qu’il te sodomise ? — Oui, je veux qu’il m’encule comme tu n’oses pas le dire. — N’as-tu pas peur qu’il te fasse mal ? — Non, je les veux tous les deux ensembles. — Puisque tu le dis… — Je t’assure. — Attendez juste une minute que je prépare mademoiselle. Lucas et Manon suspendent leurs mouvements pendant qu’Enzo se retire un peu. Alain prend sur le doigt de la margarine dont il enduit l’anus de la jeune fille, puis la verge du garçon. Il espère que celui-ci sera prudent. — Tu promets de te retirer si je te fais signe ? — Oui, soyez sans crainte. — Alors ça vient ? S’impatiente Manon. — Oui, la rassure Alain qui écarte les fesses de la jeune fille et place le sexe devant le petit trou. Vas-y doucement, ordonne-t-il à Enzo. Celui-ci avance le ventre. Le gland bien enduit pénètre facilement. — Ooh ! Gémit Manon. Le garçon s’arrête. — Vas-y ! crie-t-elle. Enzo pousse, revient un centimètre puis pousse à nouveau jusqu’à disparition totale de la queue. — Ça va ma chérie ? S’inquiète Alain. Pas trop de mal. — No-Non. — Ils peuvent aller et venir ? — Ou-Oui. — Vous avez compris les garçons, pas de brutalité. Restez doux, faites-la jouir sans lui faire de mal. Je vous fais confiance. Enzo se retire lentement jusqu’à voir la base du gland à l’orée de l’anus puis renfonce le dard à la rencontre de l’obstacle formé par la queue de Lucas dans l’orifice voisin. Manon ouvre et ferme la bouche dans un cri silencieux. Elle a l’impression que son ventre va éclater quand les deux sexes sont enfoncés mais cela n’est rien en regard de la fierté de satisfaire les deux garçons en même temps. Elle comprend que les efforts de Lucas pour bouger sont vains. Le pauvre, il est écrasé sous le poids de ses partenaires. Elle compense en remuant le bassin lorsqu’Enzo en reculant, lui en donne la possibilité. Le trio glisse sur le canapé et s’approche du bord. Un coup de rein plus appuyé d’Enzo fait gémir Manon. — Attention ! Tu lui fais mal ! Alain applique une claque sonore sur les fesses du fautif. Le mouvement de surprise de celui-ci déséquilibre le groupe qui roule sur le tapis sans se désunir. Ils se retrouvent couchés sur le coté. Lucas peut enfin remuer. Il résiste aux efforts de son copain qui aimerait retrouver la position dominante. Alain vient à sa rescousse. — Reste couché sur le coté Enzo. Ainsi tous les deux vous pourrez bouger. Les deux garçons coordonnent leurs mouvements. Tantôt ils s’avancent ensemble, tantôt il pénètre à tour de rôle. — Oui, très bien encourage Alain… Lentement… Non ! Pas si vite !… Oui… Comme ça !Le rythme lent imposé contraint les deux garçons à un contrôle vigilant qui accroît leur excitation. Ne pouvant s’extérioriser par une accélération des coups de rein, elle se traduit par une vibration de chaque verge, vibration ressentie par l’autre partenaire à travers la fine paroi qui sépare les deux queues. — Mieux vous vous maîtriserez, plus vous jouirez… Là… Bien… Ça va ma chérie ? — Ou… Ou… Oui, balbutie-t-elle. Son ventre s’habitue à la grosseur des queues. Les chairs tiraillent moins. La douleur s’estompe laissant place à une jouissance profonde. Les vibrations engendrées par les deux verges se propagent dans tout le bassin et de là à tout son corps, d’abord aux seins qu’elle sent durcir, puis à l’ensemble de son être depuis la pointe des pieds aux racines des cheveux. — Aaah ! Lucas gémit. Il n’en peut plus. Il tente d’amplifier ses mouvements. — Non, pas si vite ! Le calme Alain attentif au bon déroulement de l’étreinte. Maîtrise-toi… Toi aussi Enzo… Respirez profondément. — Aaah ! Envahis par le plaisir, les trois jeunes gens ne savent plus où ils en sont et suivent mécaniquement les conseils de leur mentor. — Sentez comme la jouissance augmente… Continuez… Oui… Bien…— Aaaaah ! Lucas éclate soudain. Il tremble de tous ses membres, immédiatement suivi par Enzo qui donne en plus des petits coups de queue spasmodiques. — Ouiiii ! Manon succombe à son tour. Ses ongles s’impriment dans le dos de Lucas qui halète indifférent à la douleur… Ils restent enlacés, immobiles le souffle court. Alain écarte Enzo. Avec précautions; il retire la verge encore dilatée. Manon soupire. Elle ne saurait dire si c’est de soulagement ou de regret. Il l’allonge sur le dos. Elle gît les jambes écartées, pâle, les paupières fermées, le corps encore parcouru de frémissements convulsifs. — Là, là, calme-toi. C’est fini. Peux-tu venir jusqu’à la salle de bain ? propose-t-il. Elle s’assied sur les talons. Il l’aide à se relever et l’entraîne. Il la porterait bien, mais a peur de glisser et de faire mal à la jeune fille en tombant. Il la fait entrer dans la baignoire où elle s’allonge. Il l’asperge d’eau tiède. — Brrr ! C’est froid ! Un peu plus chaud s’il te plait. — Non, je le fais exprès, Cela te calmera mieux. Armé d’une main éponge, il essuie l’entrejambe. — Doucement s’il te plait. — Tu as mal ? — Non, mais c’est sensible. — Tourne-toi coté pile. — Quoi ? — Tes fesses ! Je contrôle qu’Enzo ne t’a pas blessé. — Je ne pense pas. — Dans l’état où tu étais, tu ne t’en serais pas rendu compte ! Laisse-moi voir. Elle se met à plat ventre. — Ecarte un peu les cuisses… Oui… On dirait que ça va… As-tu mal ? interroge-t-il en présentant l’index devant l’anus. — Non. Il enfonce l’ongle. — Aïe ! — Excuse-moi, tu es encore sensible. — Ce n’est rien. La jeune fille s’assied dans la baignoire. Elle a repris des couleurs. Elle attire Alain qui résiste. — Pourquoi ? Tu mérites une récompense car tu nous as bien aidés. — Je n’aime pas aller dans la baignoire. — Allons dans la douche alors. — Non, retournons dans le salon. Nous ne devrions pas laisser Lucas et Enzo seul. Ils doivent s’ennuyer… Alain s’arrête étonné au seuil de la pièce. — Tu avais tort, déclare Manon qui appuie les seins contre son dos, ils ne s’ennuient pas. En effet, les deux garçons, épaule contre épaule se caressent mutuellement. Ils semblent ne pas avoir conscience de l’arrivée d’Alain et de la fille. Les doigts jouent dans les poils à la base des sexes qui commencent à grossir. Enzo prend l’initiative d’un baiser que Lucas subit sans oser le rendre. — Tu crois qu’ils vont s’enculer ? murmure la jeune fille. — Si Lucas se laisse faire comme maintenant… Sans cesser de caresser son copain, Enzo le fait descendre du canapé et le dispose à genoux sur le tapis, les coudes reposants sur l’accoudoir. Prenant conscience des deux spectateurs, il leur adresse un sourire triomphant en enfonçant dans le sphincter un index fouisseur. — Aaah ! — Regarde qui vient admirer comme tu jouis ! — Oh non ! Pas eux ! Pas Manon ! Malgré la dénégation, le garçon ne change pas de position. Il n’en a pas la force. Juste tourne-t-il la tête pour ne pas voir leurs regards. — Pourquoi tu veux pas de moi ? Reproche la jeune fille. Je t’ai pas toujours aidé ? Elle tire sur les lobes du postérieur pendant qu’Enzo écarte les genoux pour dégager la rosette de l’anus. La jeune fille avise la soucoupe ou fond un reste de margarine. Elle trempe un doigt et graisse le sphincter. — Là, Enzo te fera pas mal. — Ce n’est pas mon intention, affirme celui-ci. Il se met en place. A l’aide de quelques coups de poignet, sa queue atteint une raideur suffisante et sans attendre, il l’enfonce dans le cul offert. — Aaah ! Double cri de satisfaction. — Hein que tu aimes te faire enculer ! — No… Non ! — Comment non ? Ose dire que tu n’aimes pas ma queue. Manon promène la main sous le ventre de Lucas. — Si, il aime ta queue. La sienne est là pour le confirmer. Elle manchonne doucement la verge raidie. — Attend mon gros, j’ai mieux que ma main. Elle s’allonge sur le dos et rampe sous le garçon. Elle soulève la figure pour embrasser le gland, mais la position n’est pas confortable et elle doit reposer la tête sur le tapis. Alain se précipite à son secours. Il apporte trois coussins qu’il empile. — Merci. La jeune fille peut sans fatigue sucer le pénis. Le garçon gémit. — Est-ce que je te fais mal ? S’étonne-t-elle. — No… Aah ! Non ! Encouragé, elle s’amuse à mordiller le gland. — Aaaah ! Alain amusé par le spectacle veut y prendre part. Comment ? Un instant il a la tentation de caresser le cul d’Enzo qui continue ses coups de rein réguliers. Il avance la main, la retire. Non ! Pas Enzo. Si cela avait été Lucas, peut-être, mais pas Enzo. Il ne saurait dire pourquoi. Manon absorbée par sa sucette, roule sur les fesses découvrant aux hasards de ses mouvements son sexe rose. Oui ! C’est elle qu’il va caresser ! Il s’installe, les cuisses de la jeune fille sur les épaules, la bouche tout près du sexe. — Aah ! Oui ! Parvient-elle à murmurer entre deux léchages. Lucas et Enzo sont les seuls à gémir mais font du bruit pour quatre. Le plaisir est long à venir après les efforts passés. Chaque participant peut sentir la jouissance s’amplifier, doucement d’abord, puis avec plus d’intensité. Les gémissements augmentent, les mouvements s’accélèrent. Enzo s’épanche le premier dans un cri rauque. La pression des jets de sperme déclenche l’éjaculation de Lucas dans la bouche de Manon qui tressaille et serre convulsivement les cuisses sur les joues d’Alain. Il reste seul lucide s’efforçant de poursuivre ses caresses buccales malgré la pression des jambes de sa partenaire…
Ils se retrouvent tous les quatre dans la salle de bain à s’asperger. — Du calme, les enfants ! Ce n’est pas vous qui nettoyez !… Une fois tout le monde rhabillé, Alain sert les sandwichs qu’il avait préparés et termine de vider le broc à punch. — Dis Alain, déclare Manon en reposant son verre. Mes parents veulent te remercier. — Ce n’est pas la peine. — Si ! Tu es invité dimanche… Ils insistent, ajoute-t-elle devant l’air indécis d’Alain, et moi ça me fera plaisir. — Bon, j’accepte. — Les miens aussi vous remercient, ainsi que ceux de Lucas, lui dit Enzo. — Oh ! Vous auriez de toute façon réussi le bac j’en suis sûr. — Peut-être mais pas avec mention, n’est-ce pas Lucas ? — C’est l’avis de ma mère qui est enchantée de m’avoir offert ces leçons. — Tu lui as dis comment elles finissaient ? S’amuse Manon. — Euh… Non. — On dirait que tu regrettes. — De ne lui avoir rien dit ? — Non, comment les leçons se terminaient. — Comment ? Tu regrettes ? S’étonne Enzo. Cette blague ! Avoue que pour rien au monde t’aurais voulu rater ça ! Le garçon baisse la tête. Il a encore du mal à accepter que son copain, un homme, le fasse jouir. Alain vient à sa rescousse. — Qu’allez-vous faire maintenant ? — Maintenant ? Ben partir en vacances ! S’étonne Manon. — Je voulais dire à la rentrée. — Je me suis inscrite hier en fac de science. J’aimerais faire de la recherche. — Et vous ? interroge Alain. — Lucas et moi sommes acceptés dans une classe préparatoire. — Quelle école aimeriez-vous intégrer ? Les deux garçons se dévisagent. Ils n’en ont pas encore parlé. Lucas s’excuse. — On sait pas, on verra au moment de s’inscrire pour les concours. — Vous avez raison, vous avez le temps de vous décider. Profitez de vos vacances bien gagnées…
Les trois jeunes gens prennent congés. Manon retarde son départ. — Passez devant, je vous rejoins. Elle attend qu’ils aient disparus au tournant de l’escalier pour demander à Alain : — Alors ça t’a plu ? Tu vois que t’es encore capable de faire jouir une femme ! — Tu ne peux pas savoir le plaisir que tu m’as fait. Je t’en serais éternellement reconnaissant. — Merci. Ah ! J’oubliais. Maman veut te voir en particulier avant dimanche. Alain fronce les sourcils. Cela ne lui dit rien d’affronter son ancienne maîtresse surtout après avoir fait l’amour à sa fille ! — Elle propose demain après-midi. Qu’est-ce que je lui dis ? — Euh… — Bon, ben je lui dis que t’es d’accord. Elle t’attendra à trois heures. Elle dévale les marches à la poursuite de ses deux copains. Alain s’en veut. Il aurait du refuser. Cette entrevue ne lui dit rien qui vaille. Isabelle se douterait-elle de quelque chose ? Il rentre à la cuisine pour ranger les verres. Les préservatifs préparés sont encore sur la table. — Merde ! Les capotes ! On ne les a pas utilisées. Pris dans le tourbillon du désir, il ne s’en était pas rendu compte. — Sacré Manon, je suis sûr qu’elle l’a fait exprès. Il doit s’avouer qu’il ne regrette pas : Les muqueuses du vagin et la queue d’Enzo étaient si douces… Et puis, quel risque ? Les jeunes gens sont sains et Manon prend la pilule, du moins il l’espère. Il range les préservatifs dans sa poche…
A suivre…
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