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Alain, ancien professeur

Chapitre 13

Divers
Alain se lève courbatu. Il a mal dormi. Son sommeil a été agité. Des lambeaux de rêves lui reviennent à l’esprit. Qu’est-il allé imaginer ! Il faisait l’amour à Isabelle, mais c’est Manon qu’il serrait dans ses bras pendant que Marie, sa femme aujourd’hui malheureusement décédée, ornée d’un sexe mâle à faire pâlir de jalousie le dieu Priape en personne, lui défonçait le postérieur. En préparant son déjeuner, il réfléchit que les événements de l’avant veille chez son ancienne, non pas ancienne, toujours actuelle maîtresse, sont la cause des élucubrations nocturnes. Quelle famille ! Il n’en revient pas. La mère et la fille qui se gougnottent comme deux lesbiennes tout en se disputant ouvertement le même homme ! Enfin si cela leur fait plaisir. Il ne va pas s’en plaindre. C’est grâce à cela qu’il a pu faire deux fois l’amour à Isabelle dans l’après-midi. Deux fois il a retrouvé intacte l’émotion de leurs rencontres d’avant. Intacte ? Non, meilleure. Auparavant, doit-il s’avouer, il manquait la pénétration dans son cul qui ajoute une dimension incomparable à la possession d’une femme. Un picotement éclos dans son bas ventre à ce souvenir. Il plonge la main dans son pyjama pour constater la dilatation de son sexe. Ce n’est pas la raideur éprouvée la veille mais ce gonflement est prometteur. En même temps il a l’impression qu’une grosseur encombre son intestin. Il en tremble d’émotion. Il doit se rattraper au dossier d’une chaise pour ne pas tomber. Deviendrait-il homo ? Non, juge-t-il. S’il aime recevoir une queue dans le cul, ce n’est que pour l’aider à baiser une femme. Grâce à ce subterfuge il est redevenu un homme. Il compare dans son souvenir l’étreinte de la veille où il jouissait d’Isabelle pendant qu’un manchon de plastique officiait entre ses fesses, avec le lendemain des résultats du bac où Enzo l’enculait pour lui permettre de baiser Manon. Autant il a préféré la beauté mature de sa maîtresse à l’insolente jeunesse de sa fille, autant la pénétration d’une queue vivante est supérieure au sexe factice. L’idéal serait de disposer d’un esclave. Un esclave impersonnel sans visage, un sexe à son usage exclusif qui n’apparaîtrait que lors de ses rendez-vous avec Isabelle. Qu’en penserait-elle ? Il est satisfait. Il a renoué avec sa maîtresse. Maîtresse ! Le mot le fait sourire. Il ne réalise qu’aujourd’hui combien il est exact. Aussi loin qu’il se souvienne, elle a toujours dirigé leurs ébats. Il ne s’en plaint pas. Quand pourront-ils se revoir en particulier ? Pas aujourd’hui dimanche : son mari sera présent ; ils ont joué avec le feu lors du précédent barbecue. La chance ne peut leur sourire à tous les coups. Il devra ronger son frein et attendre avec impatience qu’Isabelle lui fasse signe…
Il n’est pas encore midi lors qu’Alain se présente à la porte de ses amis, une boite de chocolat suspendue à son doigt par un ruban multicolore. Christophe l’accueille enveloppé d’une robe de chambre. — Oh ! Excuse-moi, j’arrive trop tôt. — Pas du tout, entre. Alain tend son cadeau. — J’avais bien pensé à des fleurs pour Isabelle, mais je me suis dit que Manon et toi peuvent en être jaloux. — Tu n’es pas raisonnable. C’est inutile d’apporter quelque chose à chaque visite. Ta présence nous suffit. Enfin puisque tu insistes nous les dégusterons au dessert. Viens, ma femme t’attend avec impatience. Alain est surpris de la découvrir en maillot de bain. Ne lui a-t-elle pas avoué qu’elle évoluait nue dans le jardin ? Elle surprend son regard et en décrypte la signification. — Tu as raison, déclare-t-elle après les baisers de bienvenue. Il la dévisage étonné. Que veut-elle dire ? — Chéri, demande-t-elle à son mari, Alain est plus qu’un ami, n’est-ce pas ? — Tout à fait ! — Pourquoi se gêner avec lui ? — Tu as entièrement raison. Il fait partie de la famille. « Partie de la famille » ! Alain rougit. Christophe ne sait à quel point son affirmation est exacte ! La jeune femme s’éclipse. — Je reviens tout de suite. Préparez l’apéritif. Je prendrai un Ricard léger. Sur un signe de son ami, Alain sort une bouteille de dessous une desserte. Il prépare quatre verres. — Trois seulement, corrige Christophe. Manon passe la journée chez un copain, elle ne nous rejoindra qu’en fin d’après-midi. Moi aussi un Ricard… Euh… Pas trop léger. L’absence de la jeune fille perturbe Alain, d’autant qu’il ne comprend pas pourquoi. Il se verse de l’anis comme aux autres. — As-tu des glaçons ? — Oui, je les ai mis dans le pot à eau. Attend qu’Isabelle arrive, ajoute-t-il lors qu’Alain veut remplir les verres.
Celui-ci pique des cacahouètes dans une assiette. Il manque d’avaler de travers en voyant Isabelle, nue, son déshabillé sur le bras sortir par la porte-fenêtre du salon. — Mets-toi aussi à ton aise, invite Christophe en ôtant sa robe de chambre. Lui aussi est nu. — Nous sommes partisans du naturisme dès que le temps le permet, explique la jeune femme. Fais-nous plaisir, déshabille-toi. Tu verras comme c’est agréable. Christophe, conduis-le à la chambre d’ami et prête-lui un peignoir… Pour le cas où le soleil disparaîtrait derrière un nuage, précise-t-elle. Un peu gauche, il rejoint ses hôtes. Il a honte de sa virilité en berne, mais constate avec satisfaction que son ami n’est pas mieux loti… Pour l’instant. Il accepte le verre tendu et s’assied sur une chaise longue. Au bout de quelques minutes, il se décontracte et participe sans arrières pensées à la conversation… Isabelle se déplie de sa chaise longue. — Je vais chercher le repas, vous les hommes terminez de mettre la table s’il vous plait. Alain admire ému les fesses fermes de la jeune femme qui s’éloigne. Qu’elle est bien conservée pour son âge ! Elle supporte la comparaison avec sa fille juge-t-il. — Elle est belle ma femme n’est-ce pas ? Le taquine Christophe qui a surpris les regards de son ami. — Euh… Oui, très jolie. Christophe louche sur le bas ventre d’Alain où la verge reste obstinément au repos. — Pourtant on ne dirait pas. Chez lui, le sexe se redresse à la grande confusion de son ami, vexé de son manque de réaction. C’est pire lorsque Christophe d’une main distraite caresse la tige déployée. — Oh ! Pardon ! S’exclame-t-il en lâchant son trophée. J’oubliais tes problèmes. Excuse-moi de te taquiner. Alain ne sait ce qui le gêne le plus, la sollicitude de Christophe ou la révélation qu’Isabelle a trahit son secret. Il prend le parti de ne rien dire et s’empresse auprès de la jeune femme qui paraît les bras chargés de plats. — Laisse-moi t’aider. — Merci tu es gentil. Involontairement, il frôle les cuisses nues. Il en ressent un frisson sur tout le corps. Ils déposent leur fardeau sur la table dressée à l’ombre. Christophe les rejoints avec une bouteille dont il extrait le bouchon…
A la fin du repas, Christophe s’étire sur sa chaise. Son sexe impudique pointe devant le ventre. — Quel sans gêne ! grommèle Alain qui ne peut s’empêcher de l’envier. — Oh pardon ! S’excuse le maître de maison reprenant une position plus correcte. J’ai besoin d’une petite sieste pas vous ? — Je reste tenir compagnie à Alain mon chéri. Tu ne m’en veux pas ? — Pas du tout ma chérie. Amusez-vous bien… Euh… Je blague, s’empresse-t-il d’ajouter devant le froncement de sourcil de son ami. La robe de chambre sur l’épaule, il disparaît derrière la porte-fenêtre. Alain n’ose regarder Isabelle. Que va-t-il se passer ? La jeune femme se lève de table. — Viens, invite-t-elle en s’allongeant sur un matelas au soleil. Qu’elle est belle ! La poitrine gonflée, les tétons dressés, le sexe voilé par les poils pubiens, tout inspire le désir, tout l’attire. Il brûle de la tenir dans les bras de la transpercer d’une verge triomphante, rêve irréalisable en ce moment. Il soupire. — Viens, insiste-t-elle en tendant les mains vers lui. Il ne résiste plus. Au diable la prudence. Il s’allonge à coté du corps désiré, le caresse de ses mains avides, dépose des petits baisers dans le cou et au coin des lèvres pendant qu’elle manipule avec douceur le sexe fragile. — J’aime quand tu me caresses, murmure-t-elle. — Moi aussi, tu sais. Elle rit doucement en tordant la verge souple. — On ne dirait pas. — Oh si ! Tu me fais un bien immense, mais, ajoute-t-il dans un soupir, j’ai besoin… Euh… D’autres sollicitations pour que cela se traduise physiquement. — En d’autres termes, il te faut une bite dans le cul pour bander correctement… Pardon, s’excuse-t-elle devant son mouvement de recul, ce n’est pas bien de ma part d’insister sur ton problème. Embrasse-moi ! Il avance la figure et pose la bouche sur les lèvres entrouvertes. Il fond de bonheur devant la langue frétillante qui s’insinue entre ses dents pendant que des doigts experts triturent son sexe. Le baiser se prolonge. C’est sa langue à lui qui explore les gencives de la jeune femme. Tout à coup, il sent des mains étrangères patouiller ses fesses. Il veut se redresser mais ne le peut. Isabelle le maintient serré contre elle sans lâcher son trophée. — Qu’as-tu mon petit Alain ? Le « petit » tourne la tête pour apercevoir Christophe agenouillé derrière lui. — Mais Christophe, que… Il se tait incapable de poursuivre. Il tente sans succès de se dégager. — Christophe ? Il ne te dira rien, n’est-ce pas mon amour que tu ne lui diras rien ? — Non, mais à condition que j’obtienne une compensation. — Une compensation ? S’étonne Alain qui a peur de comprendre car un doigt indiscret tente de s’insinuer entre ses fesses serrées. — Oui, une compensation ! Tu ne t’imaginais pas que j’allais te laisser lutiner ma femme sans un dédommagement. C’est mal me connaître. Tu veux baiser Isabelle ? Je crois qu’elle n’est pas contre. Je te l’offre, non, pardon, je ne te l’offre pas, je te la vends. — Tu… Tu me vends mon chéri ? Moi, ta femme ? — Oui, et je me paye en nature ! Ecarte les fesses ! ordonne-t-il à Alain. Mieux que ça ! Insiste-t-il en frappant le postérieur. — Ah ! Si c’est ça le prix, j’accepte d’être vendue. Tu veux bien de moi, dis, Alain ? L’index qui force l’entrée du sphincter l’empêche de répondre. — Ah ! Si ! Il veut bien, s’exclame la jeune femme en sentant la verge grossir entre ses doigts. Continue mon chéri, tes caresses ont de l’effet. Christophe enduit sa queue de salive et la présente devant l’anus. Alain vaincu s’apprête à la recevoir. Il s’ouvre en percevant la poussée. L’engin pénètre sans difficulté. « Mon cul commence à avoir l’habitude », pense-t-il. — Oui ! s’écrie Isabelle, il est prêt. Dans sa main la hampe atteint une forme et une tenue propice à ses desseins. Elle rampe sur le coté contre son amant et présente le sceptre vivant face au puits d’amour. — Pousse mon chéri, pousse ! Christophe donne un violent coup de rein. Alain projeté contre Isabelle sent sa queue franchir l’ouverture du vagin sans fléchir. — Aah ! La joie de posséder à nouveau sa maîtresse lui fait oublier à qui il le doit. Il s’évertue à conjuguer ses mouvements avec ceux de Christophe pour satisfaire au mieux sa partenaire. C’est merveilleux de baiser Isabelle avec une vraie queue dans le cul. Tellement mieux qu’avec ce succédané en plastique ! Le summum du plaisir ! — Vous êtes… Mes deux… Chéris, aim… Aimez-moi… Aimez-moi fort ! Balbutie la jeune femme en proie à une intense émotion. Elle tend le bras libre pour toucher son mari. Celui-ci en fait autant pour la remercier. Les deux hommes redoublent d’ardeur. Coincé entre les deux époux, Alain s’efforce de contrôler la montée de la jouissance. Il veut en profiter le plus longtemps possible, jouir de la vibration qui parcourt son ventre, depuis l’anus, le bassin jusqu’à la pointe du gland avant de se libérer lorsqu’il aura la certitude d’avoir fait jouir sa partenaire. Christophe est surpris du plaisir éprouvé. L’idée de sodomiser un homme le répugnait. Il ne s’était prêté au jeu que sur l’insistance de sa femme. Maintenant, dans le feu de l’action, il apprécie le massage des muscles du sphincter sur le gland. Un souvenir cinématographique le fait sourire ; il revoit en esprit la séquence du film « Emmanuelle » où l’initiateur homosexuel de l’héroïne lui fait l’amour par personne interposée. C’est exactement son cas, constate-t-il. Cette pensée lui redonne une vigueur qui fléchissait. — Aaaah ! Je… Jouis… Aaaah ! Isabelle en plein délire tourne la tête en tous sens. — Aah ! Mmmhh ! Alain le cœur gonflé de gratitude accélère la cadence et ouvre les vannes du plaisir même temps qu’il reçoit dans son intestin les jets de sperme de Christophe… Les trois partenaires restent immobiles plusieurs minutes savourant dans les bras les uns des autres le retour au calme et la diminution des battements du cœur. — Vous êtes des amours répète la jeune femme. Merci, merci ! — On dirait que tu as apprécié ? interroge son mari. Alain est un meilleur coup que moi ? — Ce n’est pas ça mon chéri. Non, c’est le sentiment de vous faire l’amour à tous les deux en même temps. C’est… C’est merveilleux. — Tu me donnes envie de recommencer, mais en changeant de coté cette fois. Il ne dit pas qu’il a jalousé le plaisir affiché par leur ami coincé entre eux et que la pensée de l’imiter ne le rebute pas. Sa verge gonfle à nouveau dans le cul d’Alain alertant celui-ci. La sensation est douce, mais n’étant pas capable d’en profiter, il se dégage. Il a un haut le cœur devant la taille du sexe. Pas possible qu’il l’ait accepté ! Pourtant cela ne lui a fait aucun mal. — Je regrette, s’excuse-t-il, mais il m’est impossible de permuter. J’en suis profondément désolé mais c’est ainsi. — Ce n’est rien mon gros, ce n’est rien. On t’aime quand même, n’est-ce pas Christophe ? — Oui, Tu peux venir quand tu veux. Nous saurons te faire une petite place…Il allait ajouter « entre nous », mais s’interrompt à temps. Après ce qu’ils viennent de faire, ces mots pourraient être mal interprétés…
L’après-midi est douce. Le trio se prélasse sur des chaises longues au milieu de la pelouse. Ils ont beaucoup discuté, parlé de leur vie passée et actuelle. La conversation faiblit. Chacun se plonge dans ses pensées. Alain ferme les yeux. Le soleil est encore vif et baigne son corps de sa chaleur bienfaisante. Une caresse inattendue le réveille. Il ouvre les yeux. Isabelle s’amuse à soulever sa verge molle avec les doigts de pieds. Il lui sourit. Au bout d’une minute, elle l’abandonne et se tourne vers son mari. Lançant à Alain un clin d’œil complice, elle glisse l’orteil sous le sexe de son époux. Un peu déçu de se voir délaissé, il se console en se disant qu’il a été le premier. Un soupçon d’envie le traverse quand il constate que la verge de son ami au contraire de la sienne, ne reste pas longtemps souple. La tige se redresse. Isabelle en fait le tour du bout du pied. De l’orteil elle tente de décalotter le gland. Christophe grimace. — Aïe ! — Excuse-moi mon chéri. Elle se redresse sur sa chaise longue, les deux pieds à terre. — Tu sais, tu pouvais continuer se plaint son époux, mais sans me faire mal. — J’ai mieux que ça. Elle s’agenouille à coté de la chaise longue de on mari et enfourne le gland. — Aah ! — Je t’ai fait mal ? demande-t-elle mutine avant de reprendre sa sucette. — Aah ! Alain après une seconde de dépit, comprend que sa maîtresse va faire l’amour avec Christophe devant lui, que c’est une preuve de l’amitié qu’ils lui portent. Il se cale confortablement dans sa chaise longue pour admirer le spectacle. Isabelle enduit de salive la totalité de la longueur de la tige. — Elle aime ça cette petite chose, n’est-ce pas ? — Petite, ce n’est pas gentil. — Mais je l’aime bien telle qu’elle est. Coup de langue sur le gland. — Aah ! — Elle est assez grosse pour emplir ma main… (Nouveau coup de langue)… Et ma bouche. Le gland disparaît entre les lèvres. — Aah ! — Regardez comme elle hoche la tête de contentement !… Hé ! Du calme ! Elle ne va pas décharger ! Pas tout de suite ! Isabelle sans lâcher le sexe se place à califourchon au-dessus de Christophe et descend le bassin sur la tige qui disparaît entre ses cuisses. — Aah ! — Aah ! N’est-elle pas mieux là dedans ? — Aah ! Isabelle se soulève et retombe sur son époux. La chaise longue non prévue pour cette surcharge cède brutalement. Les deux amants ne se désunissent pas. Christophe reste allongé par terre, Isabelle se démenant sur lui. Ses seins dansent la sarabande. On dirait qu’ils veulent s’échapper. Ça doit lui faire mal s’inquiète Alain. Il s’agenouille dans le dos d’Isabelle et soutient de ses paumes en coupe les deux mamelons rebelles. — Aah ! Mer… Merci… Aah ! Elle se calme un peu réduisant le rythme imprimé par son bassin s’efforçant de monter le plus haut possible sans que le gland s’échappe de l’étui de chair pour redescendre à fond, les fesses sur les cuisses de son époux. Plus que la frénésie précédente, ces lentes pénétrations émeuvent les protagonistes. Alain délaisse la poitrine qui a moins besoin de son aide pour caresser le dos de la femme. Une main reste au niveau des omoplates, l’autre glisse sur les fesses qu’elle malaxe à chaque passage puis sur les cuisses de Christophe entre lesquelles elle s’insinue. Il est tout ému du chatouillis des poils sur la paume. Il poursuit son avance jusqu’à sentir la douceur des testicules. Il fait rouler les sacs fragiles entre les doigts. Il ne pensait pas prendre autant de plaisir à manipuler ce symbole de la virilité. A la vibration qui s’empare des deux jouteurs, il prévoit la fin de l’étreinte. Ne voulant pas provoquer un accident, il retire la main, s’attirant un gémissement de regret de Christophe. Bien lui en prend car Isabelle prise subitement de frénésie se déchaîne telle une bacchante avant de retomber inerte sur son époux essoufflé. Prévenant, Alain bascule la jeune femme sur le coté. La verge en sortant du vagin laisse une trace humide sur la cuisse de Christophe. Alain doit se retenir pour ne pas se précipiter et lécher. Il se console en patouillant les deux amants sur tout leur corps, mouillant ses mains aux poils trempés, fouillant les orifices, manipulant la verge et les testicules. Ils le laissent faire. Ils sont bien, les yeux clos. Les caresses prodiguées prolonge leur jouissance commune en retardant le moment où ils devront reprendre conscience. La première Isabelle ouvre les paupières. Elle remercie d’un sourire Alain qui caresse doucement d’une main la poitrine, l’enduisant sans le faire exprès de liqueur d’amour, pendant que l’autre soupèse les bourses de son mari. Celui-ci émerge du semi-coma et sourit à son tour. Il apprécie à sa juste valeur les efforts de leur ami pour le ranimer et tente de le caresser du bout des doigts pour le remercier. — Ça va mieux ? Vous avez récupéré ? Maintenant excusez-moi mais je dois aller aux toilettes, déclare Alain en se levant. — On t’accompagne. Nous aussi on a besoin de prendre une douche. Je ne sais pas comment cela se fait mais je suis toute poisseuse, constate Isabelle. — Moi aussi renchérit Christophe qui se lève avec difficultés. Tous trois se dirigent vers la maison en laissant sur place les peignoirs inutiles…
A suivre…
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