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Alain, ancien professeur

Chapitre 17

Divers
Huit heures. Alain croit entendre des bruits dans la maison. Il tend l’oreille. Oui, des murmures étouffés lui parviennent, Isabelle et Christophe sont debout. Il enfile sa robe de chambre et les rejoint dans la cuisine. — Oh ! Alain ! s’écrie Isabelle. Déjà levé ? Nous ne t’avons pas réveillé j’espère. — Non, rassurez-vous, j’avais les yeux ouverts et j’attendais le moment de sortir du lit. Il s’approche de la jeune femme. Elle tend ses lèvres entrouvertes. Surpris, il regarde Christophe qui l’encourage d’un sourire. Il accepte le baiser et frémit lorsque la langue agile frétille dans sa bouche. C’est pire lorsque Christophe, l’enserre par derrière et lui fait éprouver la raideur de sa queue sur les fesses pendant qu’une main fouille sous le tissu à la recherche de son sexe. Le ton est donné pour les occupations de la journée ! Christophe n’insiste pas. Alain s’échappe des bras d’Isabelle et s’assied. — Un peu de café ? propose-t-elle. — Ce n’est pas de refus. — As-tu bien dormi ? — Oui, le lit est très confortable. — Tant mieux. Christophe distribue des croissants chauds. — Oh ! Tu es sorti ce matin en acheter ? — Non, je ne suis pas assez courageux. Ils proviennent tout droit du congélateur. Un petit passage au four et voilà ! — Ils sont excellents ! — Dis, Alain, ajoute le maître de maison après quelques minutes de silence. J’aimerais profiter de ta présence pour arranger le jardin. — Ce sera avec plaisir. — Pas avant que vous n’ayez fait les courses pour les repas d’aujourd’hui et de demain ! S’interpose Isabelle. — D’accord, après la toilette, Alain et moi irons au marché puis nous préparerons une planche pour les salades que tu me réclames à cor et à cri. Ils débarrassent la table quand Manon fait son apparition. — Oh ! C’est comme ça que vous attendez neuf heures ? Oh ! La jolie robe de chambre que tu portes Alain ! Qu’elle est douce ! — C’est de la soie, explique-t-il… Aah ! Il se plie en deux car la jeune fille glisse la main sous le tissu et empoigne son sexe. — Dis Papa, tu m’en payes une comme ça ? — On verra, mais laisse notre invité en paix, tu l’importunes. — Ça m’étonnerait, il adore qu’on le tripatouille ainsi. Tu vois, il ne fait plus un mouvement de peur que je cesse !
Horriblement gêné, Alain s’écarte de la jeune fille qui le dévisage d’un air narquois. Elle prend un siège et remplit son bol. — Allez-vous préparer les hommes, ordonne Isabelle. Et revenez vite. La liste de commission est sur le frigo…
Christophe et Alain déambulent parmi les étals du marché. Chacun porte un sac qui se remplit au fur et à mesure des achats. — N’es-tu pas surpris de notre comportement ? Je me doute qu’il est déstabilisant pour une personne non avertie, demande Christophe en choisissant des tomates. — Je dois reconnaître qu’il n’est pas ordinaire, mais je ne le juge pas. — Tu sais, il ne faut pas croire parce que je fais l’amour à Manon, que je suis un pédophile. Non, cela a commencé il n’y a pas très longtemps, après la mort de Marie qui nous a beaucoup touché. — Oh ! Je ne te demande pas de te justifier. — Je veux te raconter comment on en est venu là. Je tiens à ton estime. Je te disais que la disparition de ta femme nous avait beaucoup touchés, nous étions malheureux Isabelle et moi. Un soir que nous tentions de nous consoler, Manon est venue nous rejoindre dans notre lit. Elle avait rompu avec un petit ami qui après l’avoir dépucelée l’avait laissé tomber. La pauvre était en larmes et venait chercher réconfort. Elle s’est glissée entre nous. Cela lui arrivait de temps en temps et nous la câlinions sans arrière pensée. Mais ce soir là, c’était différent. Comme nous avions nous même besoin de tendresse, nous ne l’avons pas repoussée. Nous l’avons cajolée, elle nous a embrassés. Il faut dire que nous étions sans pyjama et… Euh… Ce qui devait arriver arriva. Puis à chaque peine de cœur elle venait se faire… Euh… Réconforter, et crois-moi c’était souvent ! — Elle a toujours des peines de cœur ? Elle ne m’en donne pas l’impression. — Oh ! A présent, nous n’avons plus besoin de prétexte. Lourdement chargés, ils reviennent vers la voiture stationnée à proximité des halles. — Tu sais, reprend Christophe. Ça me fait plaisir que tu sois là avec nous. Vraiment plaisir. Tu m’as fait découvrir une facette de l’amour que j’étais à mille lieues d’imaginer. J’ose espérer que tu apprécies autant que moi. — Euh… J’aime bien la manière dont nous faisons l’amour à Isabelle. Inutile de préciser. Ils se comprennent. Christophe tapote l’épaule de son ami. La main descend sur le dos pour terminer par une caresse furtive sur les fesses. Ils s’installent dans la voiture. Christophe conduit à travers la ville. — Dis, tu as fais l’amour à Manon n’est-ce pas ? — Euh… Oui. — Sans aide ? — Malheureusement non. Nous nous sommes servis d’un godemiché. — Ah ! Je me disais. Tu sais… Euh… Cela me gênerait de t’offrir mes services comme avec Isabelle. C’est ma fille comprends-tu ? Mais si tu le demandes… — Non, je n’abuserai pas de ton hospitalité à ce point. — Sincèrement je préfère, merci. Ils arrivent à la maison, déchargent les victuailles, puis vont dans le jardin planter les salades réclamées par Isabelle. Vers midi, elle interrompt leur labeur. — Vous continuerez cet après-midi. Il est l’heure du repas. Après la douche prise séparément, Alain et Christophe rejoignent en robe de chambre, les femmes qui les attendent pour l’apéritif…
Christophe s’étire. La robe de chambre bâille sur sa poitrine velue. — Aaah ! Nous avons bien mangé, merci chérie pour ce bon repas. — Remercie aussi Alain qui a apporté le vin. Il est excellent. — Pardon, il fut excellent, corrige Christophe en soulevant les deux bouteilles vides, mais soyez plus respectueuse du nectar qu’il nous a offert. Ce n’est pas du vin ordinaire ça, mais un Bordeaux de grande classe. Tu sais ma chérie, continue-t-il en s’adressant à Manon, tu auras rarement l’occasion de déguster d’aussi bonnes bouteilles. Tu as eu raison d’en profiter. — Euh… Je suis un peu pompette, avoue la jeune fille. — Moi aussi, dit Isabelle. J’ai besoin d’une petite sieste. Tu viens mon chéri ? — Ne laissons pas Alain seul. — Je vous en prie, dit celui-ci, montez tous deux vous reposer. — Oui, déclare Manon, allez dans votre chambre ! Je m’occupe d’Alain. Celui-ci un peu inquiet (qu’a-t-elle imaginé ?) regarde ses amis disparaître l’un contre l’autre, la main de Christophe flattant le postérieur de sa femme. — Viens dans ma chambre ! Commande la jeune fille. Nous allons nous aussi faire la sieste. Il la suit résigné. Il n’est pas en position de force dans cette maison et ne peut qu’obéir. Arrivée dans la pièce, elle quitte son déshabillé. Bien qu’il commence à avoir l’habitude de la voir nue, Alain l’admire comme au premier jour. Qu’elle est belle cette fille ! Heureux l’homme qui saura se l’attacher. — Débarrasse-toi et viens te coucher à coté de moi. Il plie sa robe de chambre sur le dossier d’une chaise et rejoint la jeune fille sur les couvertures. Ils gisent cote à cote, couchés sur le dos. — Alors, il te plait ce week-end ? — Euh… Oui. — C’est tout ? Que faut-il faire alors pour satisfaire monsieur ? C’est vrai que tu ne m’as pas fait l’amour encore. C’est ça qui te manque ? — Mais non, que vas-tu chercher là ? Elle s’appuie sur le coude et le dévisage. — Comment ? Tu veux plus me faire l’amour ? — Euh… Je n’ai jamais dit ça, tu sais bien que j’en rêve mais que je ne suis capable que de te caresser. — Eh bien, caresse-moi !… Allez ! Insiste-elle devant son immobilité. Il sourit, et s’agenouille sur le lit. — Couche-toi ! Mets les mains sous la nuque… Oui… ferme les yeux. Ses mains papillonnent sur le corps de la jeune fille des genoux aux épaules en de furtifs et légers attouchements. Ses doigts font naître la chair de poule là où ils se posent. Ils ne négligent aucune partie mais ne s’attardent pas. Manon tremble de désir mais il ne l’autorise pas à bouger. — Reste les yeux fermés ! Commande-t-il en voyant les paupières s’entrouvrir. Il pose les lèvres au creux du cou arrachant un soupir. La bouche glisse sur un sein, avale le téton, le suce, le mordille. — Aah ! Au tour de l’autre téton, puis le nombril, mais Alain s’arrête avant d’arriver aux poils du pubis. Elle veut le forcer à embrasser son sexe. — Tes mains ! A regret elle les replace sous la nuque. Il masse les seins de ses paumes ouvertes. Il caresse les flancs, les hanches, l’extérieur des cuisses et termine par la face antérieure. Il refait plusieurs fois la caresse tournante, descendant jusqu’aux genoux et remontant sur la peau douce, chaque fois plus haut, plus près du sexe. Manon gémit lorsqu’il atteint les lèvres à travers les poils follets. — Aah ! Les doigts ne quittent plus l’entrejambe. Ils découvrent le clitoris qu’un index triture doucement, s’insinue dans les replis pourpres explorent les petites lèvres et l’ouverture du vagin qui s’humidifie. — Aah ! Un index tourne autour de l’anus et s’enfonce de la longueur d’une phalange. — Aah ! Un autre explore le vagin. — Aah ! Un troisième doigt rejoint celui qui joue dans le vagin. — Aah ! Alain les fait jouer tour à tour ensembles puis décalés. Manon, les mains nouées sous la nuque, balance la tête sur les cotés. Elle garde les yeux fermés et gémit de plus en plus fort. Tout à coup, elle serre les cuisses emprisonnant les mains et se frotte convulsivement dessus. Elle respire un grand coup avant de se décontracter. — Ai-je bien caressé mademoiselle ? Elle le bouscule et frotte son corps contre le sien. — Embrasse-moi ! Il pose les lèvres sur la bouche entrouverte. Sa langue pénètre comme s’il voulait pallier là à la déficience de son sexe. Elle noue les jambes autour de ses reins. — Prends-moi ! Ce qu’il ne fallait pas dire ! Alain soupire et relève le torse. La jeune fille se rend compte de sa bévue. — Oh ! Excuse-moi… Attends ! Elle se dégage, ouvre le tiroir de sa table de nuit et sort un sexe en plastique tout préparé et vaseliné. — Tu vois, j’avais prévu le coup… Allonge-toi ! Il obéit en souriant. Quand elle a une idée en tête il est difficile de lui en faire changer ! — Comment on avait fait l’autre jour ? Ah oui ! Pose les pieds sur le tapis, écarte les genoux… Pas trop, tu me gêneras… Oui. Elle l’enjambe et s’assied sur ses cuisses repliées. — Où il est ce trou ? Soliloque-t-elle en se penchant, Ah ! Ici ! Je peux y aller ? — Ou… Oui… Aah ! Manon pousse en tournant. Le gland artificiel, franchit le barrage des muscles. Sa progression est facilitée par l’abondance de vaseline. — Ça va ?… Oui, ça va, je le vois bien. Elle pistonne la tige qui se redresse. — Reste comme ça. Elle lâche le godemiché juste le temps de s’empaler sur la queue vibrante. — Aah !… Ah ! Non ! Elle se dépêche d’enfoncer le sexe en plastique pour restaurer la raideur d’Alain. — Ouf ! J’ai cru un instant que c’était raté. Se soulevant sur les genoux, elle monte et descend sur la hampe qui grâce aux va et vient dans le cul se maintient droite. — Aah !… C’est bon, une queue !… Ah ! Maman ! Tu tombes bien. Aide-nous s’il te plaît. — Que faut-il faire ? interroge Isabelle qui entre dans la chambre dont la porte était entrouverte. — Peux-tu t’occuper de ça ? Manon désigne le godemiché. — Oui, attends une seconde. Isabelle, prévenante, entasse deux oreillers sous la nuque d’Alain qui la remercie d’un sourire. Il se sent plus confortable. Elle empoigne le sexe artificiel d’une main et les épaules de sa fille de l’autre. — Et comme ça ? — Oui, merci Ma… Le reste du mot disparaît dans un baiser. Alain peut se redresser un peu. Il en profite pour porter les mains à la poitrine de Manon, masser les tendres mamelons et jouer avec les tétins. Cela l’aide à résister à la montée de la sève. La jeune fille agrippe sa mère et prolonge le baiser. Isabelle lâche l’épaule tout en continuant à pistonner Alain. Sa main libérée caresse le torse où un instant elle dispute les seins aux doigts de l’homme, puis descend sur le ventre, fouille les poils et trouve le bouton sensible qu’elle triture en douceur du bout de l’index. — Aah ! La jeune fille sollicitée de toutes parts, monte et descend sur le sceptre vivant avec la régularité d’un métronome. Le plaisir l’envahit. Un bienfaisant fourmillement enveloppe son corps. La jouissance éclate lorsque les soubresauts de la verge crachant son sperme, ébranlent son vagin. — Aaaahhh ! Isabelle la couche en arrière sur Alain. — Cajole-la, elle en a besoin. Elle retire à petits coups le godemiché profondément enfoncé. Après l’avoir posé sur la table de nuit, elle s’allonge à coté de sa fille qu’Alain maintient serré contre lui par les seins. — Ça va mieux ma chérie ? — Oh! Merci Maman. Merci Alain, vous êtes des amours. Ils restent immobiles plusieurs minutes avant de se lever…
A suivre…
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