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Alcool et techno font bon ménage

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Bonjour à toutes et à tous, moi c’est Athanasia. J’ai découvert ce site il n’y a pas longtemps grâce à une copine et j’ai tout de suite adoré. Du coup, comme j’ai quelques histoires perso intéressantes, j’ai décidé de vous les faire partager.
Une petite présentation s’impose. J’ai 28 ans et je suis assistante comptable à Lyon. Typée méditerranéenne (origines grecques, vous l’aurez peut-être deviné à mon nom), j’ai une peau plutôt bronzée, des yeux noisette plutôt clairs, une bouche pleine et des cheveux bouclés d’un noir de jais. Physiquement je suis assez sportive (fitness girl), avec des jambes musclées et galbées et des fesses bien bombées et fermes que j’entretiens en allant à la salle de sport. Disons que j’ai des formes mais elles sont fermes. Mon ventre est assez plat, avec des abdos qui apparaissent légèrement et surmonté d’un beau 85E de tour de poitrine. Je vous rassure les filles, il n’y a pas à être jalouses ou envieuses, ce sont des faux. Ayant de petits seins à la base, j’ai toujours voulu en avoir des (très) gros et je me les suis payés avec mes premiers salaires. Ils m’ont coûtés une petite fortune mais je les adore. Je ne me lasse pas de les caresser et ne me gêne pas pour les mettre en valeur.
Évidemment ça a rendu mon grand frère furax. Pour vous expliquer, c’est l’archétype du grand frère surprotecteur qui vous empêche de vous habiller sexy, qui, à la moindre soirée, passe son temps à vous pister et à écarter les prétendants... Mes nouveaux seins furent donc un scandale, tout comme mon piercing à la langue d’ailleurs. Autant vous dire que mon déménagement dans une autre ville pour mon boulot fut une libération. Moi qui adore le monde de la nuit, sortir en bar ou en boite jusqu’au petit matin, je peux maintenant m’en donner à cœur joie.

Passons maintenant à ma première histoire.J’étais rentrée pour les vacances dans la maison de mes parents, de même que mon frère. Nos parents étaient partis le week-end en nous laissant la maison et nous avons tous donc décidé de faire une petite soirée pour revoir nos anciens amis restés dans la région, puis de nous faire une virée en boite avec ceux qui voudraient nous suivre.J’étais alors restée habillée très sportswear. D’une parce que connaissais les amis que nous allions voir depuis l’enfance, et de deux parce que je savais que la robe que j’allais mettre pour sortir n’allais pas convenir à mon frère. Je voulais donc attendre qu’il ait déjà un peu bu pour qu’il soit plus coulant. La soirée se passa à merveille, j’étais ravie de revoir tout le monde. Je pris garde de ne pas trop picoler avant de sortir. Finalement vers minuit nous avons décidé d’y aller et je suis allée me changer. J’enfilais un petit string noir sans coutures en dentelle, avec le soutien-gorge assorti. J’y ajoutais une jolie robe noire courte, sans excès, mais ultra moulante. Mes seins étaient compressés et je n’étais pas trop à l’aise mais mon dieu le décolleté que ça faisait ! J’allais faire un carnage. J’ajoutais tout l’attirail de maquillage, blush, mascara, fard à paupières... et terminais avec un rouge à lèvres rose fluo.
J’enfilais des talons noirs vernis de 10 cm. et descendit dans le salon pour rejoindre les autres. Nous n’étions finalement que 5 à partir : Camille, Max, Julie, mon frère et moi. Les 3 étaient des amis d’enfance. Julie était une bonne copine rondouillarde et très drôle, amoureuse de mon frère depuis toujours. C’était elle la capitaine de soirée. Max était brun, de taille moyenne. C’était un gros dragueur, plutôt vantard mais très charmeur. Et enfin Camille, un beau et grand blond qui avait du mal à trouver une copine à cause de sa timidité.A mon grand plaisir, j’eus tous les regards braqués sur moi en arrivant. J’ai particulièrement apprécié que Cam et Max aient un peu l’œil qui traîne alors que Julie s’était mise à leur parler. Mon frère me jeta un regard noir mais ne broncha pas, n’ayant pas envie de provoquer une dispute et sans doute déjà trop bourré pour s’attarder sur ce genre de chose.
Nous sommes donc montés en voiture. Arrivés là-bas, on commande une bouteille de vodka et je me détends enfin. Je suis dans mon élément. Il fait noir, il y a des lasers et la musique électro à plein volume rend les conversations presque impossibles. J’enchaîne rapidement 3 verres et la bouteille est vite finie.Je sors toute seule sur la terrasse prendre l’air et éventuellement repérer quelques mecs mais Julie arrive à ce moment là et commence à me parler. La conversation s’éternise et elle me fait perdre mon temps. Comme si on allait en boite pour discuter ! Mais c’est une très bonne amie et elle ne se sentait pas très bien donc je pris sur moi pour être une oreille attentive. Au final elle m’a tenue la jambe pendant près d’une heure ! A la fin nous avons décidé de rentrer à l’intérieur retrouver les autres. Arrivées à notre table, je vois mon frère étendu sur la banquette, Cam et Max autour. Je demande ce qu’il se passe et on me répond qu’il est torché. Il a vomi deux fois aux toilettes et est complètement mort. Amoureuse comme jamais, Julie se précipite évidemment s’occuper de lui. Elle demande si on rentre. Bordel il n’en est pas question ! On est là depuis même pas 2h et je n’ai même pas encore dansé. Je m’approche de Julie et la convainc de rester un peu, lui disant que de toute façon il allait sûrement juste dormir, que la voiture serait probablement pire pour lui et qu’il valait mieux le laisser dessaoûler une heure ou deux. Elle accepte que l’on reste une petite heure de plus. Je me lève donc pour aller danser mais je vois que Camille et Max restent sur les sièges pour boire. Je les prends par les bras en criant « Allez bougez-vous un peu. On va danser ! »
Ils me suivent et je les entraîne sur la piste. Nous montons sur un genre de grande estrade de l’autre côté de la boite. L’endroit est parfait. Nous sommes dans la partie la plus sombre de la boite, située en hauteur, à une vingtaine de mètres de distance de notre table. J’appréhendais un réveil de mon frère en mode bien lourdingue et, de notre position, je pouvais le voir sans être vue.J’étais au sommet de mon alcoolémie, chaude comme la braise et j’allais enfin pouvoir me lâcher. J’ai fermé les yeux et me suis laissée porter par la musique. Comme je vous l’ai dit, j’aime la nuit donc je bouge plutôt bien et toujours assez sexy (vu comme j’étais habillée e n’était pas bien dur vous me direz). 3 ou 4 chansons étaient passées quand j’ouvris à nouveau les yeux. Je me suis retournée pour jeter un rapide coup d’œil à mon frère, qui dormait encore sur la banquette, la tête sur les genoux de Julie. Je ne m’en étais pas aperçue en dansant yeux fermés, mais Camille et Max me dévoraient littéralement du regard, faisant surtout semblant de danser pour mieux me mater. Je ne sais pas trop ce qui m’a pris, sûrement le fait d’être bourrée, mais je suis dit que puisque j’étais tranquille pour un moment, j’allais leur en donner pour leur argent. Je me suis mise à bouger d’une façon de plus en plus sensuelle. Je tendais mon cul bien en arrière tandis que mes mains passaient dans mes cheveux, puis sur mon cou, puis sur mes seins, qu’elles caressèrent du bout des doigts, pour descendre sur mon ventre, puis mes fesses, pour revenir aux jambes. En même temps je leur jetais des regards incendiaires. Surexitée par l’alcool dans mon sang, je mis un doigt dans ma bouche, d’abord de façon innocente, puis en enroulant ma langue autour. Je me suis tournée pour être dos à eux, bougeant mes hanches au même rythme que la techno de feu qui hurlait dans les enceintes. Descendus le long de mes jambes, mes doigts agrippèrent le bas de ma robe en remontant et la firent remonter lentement jusqu’à la lisière de mes fesses. Ils purent admirer la base de mon cul, et peut-être même la couleur de mon string vu comment je m’étais cambrée.En me redressant, je sens des mains se poser sur mes hanches. C’est Max qui a été le plus courageux. Il se colle à moi et je sens son souffle sur ma nuque. Je vois Camille absolument dégoutté d’avoir été encore si timide. Il commence à partir pour nous laisser mais je me jette pour lui attraper le bras et le retenir. « Non reste ! Viens !». Je le fais se coller devant moi. Max n’avait pas lâché mes hanches et je me suis retrouvée prise en sandwich entre les deux. Ils sont maintenant collés contre moi et je sens deux barres de fer s’appuyer sur mon ventre et mon cul. Déchaînée, je continue d’onduler contre eux, me lovant le long de leur corps pour les exciter encore plus. Je lève les mains en l’air pour leur faciliter l’accès à mon corps. Ils ne se font pas prier et je sens quatre mains aller se balader un peu partout pour m’explorer. Celles de Max remontent sur mes côtes pour accéder à mes seins, qui sont compressés contre la poitrine de Cam. Je lance ma tête en arrière pour la poser sur l’épaule de Max, libérant mes seins qui pointent vers le plafond. Il les saisit à pleines mains pour les pétrir. Ils sont juste devant les yeux de Cam qui ne peut résister et plonge sa tête dedans.Je suis en transe. Mon corps est en sueur, j’ai des bouffées de chaleur et mon string en dentelle est littéralement trempé. Me faire peloter comme ça dans un lieu public, par deux mecs, c’était absolument torride. Et l’interdit provoqué par mon frère pouvant se lever à tout moment ajoutait encore plus de piment.
Au bout d’un très long moment comme ça, je ne pouvais plus tenir. « On rentre ? ». Ils hochent la tête. Je me dégage et parcoure la boite tant bien que mal jusqu’à notre table, recevant des mains au cul de la part des deux garçons qui me suivent comme mon ombre. Je dis à Julie qu’on peut rentrer. Les deux mecs portent mon frère sur leurs épaules jusqu’à la voiture. Nous les suivons avec Julie.

« Faudrait le faire monter devant, il ne sera pas trop malade comme ça. » lui dis-je.
Elle acquiesce. Haha. Genre la petite sœur modèle qui prend soin de son frère alors qu’elle a juste envie de se faire peloter à l’arrière par ses deux amis. Je me retrouve donc encadrée par mes deux conquêtes, dont les mains se posent tout de suite sur mon corps pour caresser mes cuisses ou effleurer mon string du bout des doigts. Le voyage du retour est une délicieuse attente. Savoir ce qu’il va se passer en se chauffant le plus discrètement du monde au nez et à la barbe des deux autres assis devant...
Julie nous a posé à la maison avant de repartir. Camille et Max vont coucher mon frère dans sa chambre à l’étage tandis que je leur prépare une petite surprise. J’éteins toutes les lumières du salon et envoie de l’electro dans les enceintes. Je pousse une banquette juste devant le canapé dans lequel je les fais s’asseoir. J’enlève mes talons et monte sur la banquette.
« Puisque notre soirée a été un peu écourtée, je vais vous montrer ce à quoi vous auriez eu droit » lançais-je d’un ton espiègle.
En rythme avec la musique, je me mets à danser debout sur la banquette de la même façon obscène que tout à l’heure. Je me caresse, joue avec le bas de ma robe, roule du cul, passe ma langue sur mes lèvres, passe à genoux puis à quatre pattes... Ils ont droit au show total. Ils ont les jambes écartées et des bosses déforment leurs jeans mais ils n’osent pas sortir leurs queues compressées à l’intérieur. Je décide d’en jouer et me lève en direction de Max. Je m’assois entre ses jambes, dos à lui, en remuant bien mes fesses sur son sexe dur comme pierre. Je fais des ronds avec mes fesses et lui dit d’une voix sensuelle :
« Tu veux bien descendre la fermeture éclair de ma robe ? »
Il ne se fait pas prier. Une fois détachée, je repars sur la banquette aussi vite que j’en étais descendue. Je reprends mon show puis laisse tomber une bretelle sur mon épaule, puis la seconde. Je fais lentement glisser ma robe moulante le long de mon corps. Je sens un regain de tensions de leur part au moment où ma poitrine est libérée. Arrivée au niveau de mon string, je marque un temps d’arrêt pour les regarder en me mordant les lèvres, puis fais tomber la robe. Je me retrouve en lingerie devant eux et continue ma danse. Ils me reluquent comme des morts de faim, des fauves prêts à bondir. Il pourrait y avoir un tremblement de terre qu’ils seraient encore en train de me mater.Je me lève et me dirige cette fois vers Cam. Je répète ma manœuvre et sens encore une queue parfaitement dure. Je lui demande de dégrafer mon soutien-gorge et il s’exécute. Je retourne sur la banquette mais garde mes mains plaquées sur mon soutif.
« Vous les voulez hein ? Ils hochent la tête en silence. Alors je vous veux à poil vous aussi ».
Aussitôt dit aussitôt fait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire ils sont en boxer devant moi. Je presse mes seins l’un contre l’autre mais ne laisse toujours pas tomber mon soutif.
« Allez sortez vos queues ! Vous attendez quoi ? »
Le premier est Max, qui me présente une bite de taille standard, mais assez épaisse. Lui qui passe son temps à se vanter, il est au final très normal... Comme la plupart des mecs du genre. Cam à un petit temps de retard mais baisse lui aussi son boxer. Il en jaillit alors une bite énorme. Je l’avais sentie grosse tout à l’heure en me frottant à lui, mais là c’est juste la plus grosse queue que j’ai jamais vue ! Je ne fais particulièrement attention aux mesures d’habitude mais elle devait dépasser facilement les 20cm, tout en étant très épaisse. C’était à mon tour de le dévorer des yeux. J’aperçus même une petite lueur de jalousie dans les yeux de Max.Ils se rassoient côtes à côtes et se mettent à se branler pour mon plus grand plaisir. C’était mon tour. Mes mains toujours fermées sur mon soutien-gorge posé sur mes seins font de grands cercles quand d’un coup, je le laisse tomber négligemment, libérant enfin mes obus. Je lèche alors mes doigts pour qu’ils aillent maltraiter mes petits tétons dressés. Je vois leurs mains qui s’affairent et leurs queues prendre encore un peu de volume. Je n’en peux plus, il me les faut. J’avance à quatre pattes vers eux en les regardant avidement. Arrivée au milieu, je les prends à pleines mains. Je me targue d’habitude d’être une très bonne suceuse qui sais bien faire lentement monter la pression chez un mec, mais vu la situation, je n’allais pas faire dans la finesse. Je me jette sur la bite de Max pour le pomper avidement. Ma langue s’enroulait autour de son gland à chaque fois que ma tête remontait. Très occupée sur ce que je suis en train de faire, je n’arrive pas à me concentrer, la faute à l’énorme bite de Cam qui palpite dans ma main gauche. Je le branle tant bien mal, mes petits doigts n’en font même pas le tour ! C’en est trop. Ma bouche se détache de la bite de Max et s’en va déposer un baiser sur le gros gland de Cam. Après avoir jouée avec ma langue dessus, j’ouvre grand la bouche pour l’engloutir. Je me mets à le sucer avidement, mais j’ai du mal à respirer tellement elle me remplit. Je n’en avale même pas la moitié car son gland tape déjà sur ma glotte. A bout de souffle, je repasse sur celle de Max.
Je passais rapidement de l’un à l’autre pour ne pas faire de jaloux. J’étais en train de sucer Cam quand Max s’est levé pour passer derrière moi. J’étais à quatre pattes le cul en l’air. Il s’est mis à embrasser, caresser, mordiller mes fesses. Il passa sa langue dans ma raie. Mon string en dentelle noir était tellement trempé qu’il n’absorbait plus ma mouille, qui tombait en fines rigoles à l’intérieur de mes cuisses. Il prit mon string et le fit tomber d’un coup sec. J’essayais de me concentrer sur la bite de Camille mais j’avais tout mes sens en alerte. Je sentais son souffle à quelques centimètres de ma vulve. Il m’écarta les fesses et passa un long coup de langue bien baveuse sur toute la longueur de ma raie, du clitoris à l’anus. Sa langue agile se faufila dans mon intimité tandis que son pouce s’agitait sur mon clito. Je me tortillais en rythme avec les va-et-vient que ma bouche faisait sur la bite de Cam. Je sentais l’orgasme monter et me préparais à l’accueillir quand Max stoppa net, me frustrant un bon coup. « Non pourquoi non !? » murmurais-je. Pour toute réponse je n’eus droit qu’à une belle fessée sur mon cul tendu et bombé. Il recula son visage et me pénétra de deux doigts dirigés vers le bas qui trouvèrent facilement mon point G pour dessiner de petits cercles rapides dessus. Je repris mes gémissements de plus en plus forts en sentant sa bouche qui embrassait mes fesses. J’eus un mouvement de surprise au moment où il fourra sa langue dans mon petit trou, vite remplacé par une nouvelle vague de plaisir. J’engloutissais la queue de Cam pour ne pas crier trop fort mais dans le même temps mon cul se tendait encore plus en arrière pour l’encourager à aller plus loin.
Au bout de quelques minutes, je me suis relevée, prenant quelques instant pour m’attacher les cheveux et me remettre de mes émotions, je pus les admirer se branler devant moi. C’était à moi de jouer et j’en avais terriblement envie. Pour « remercier » Max de ce qu’il m’avait fait j’allais commencer par lui. Il enfila une capote et tendit son sexe en l’air. Je montais sur lui à califourchon et empalais mon minou dilaté sur sa bite qui s’est rapidement trouvée au fond de moi. Mon cul se mit à monter et descendre sur ce chibre gonflé. Il essayait de me donner des coups de bite en relevant ses hanches mais je l’arrêtais et accélérais mes mouvements. C’est moi qui allais le baiser, pas l’inverse. J’étais collée contre lui et l’embrassait dans le cou pendant que mes hanches faisaient le travail, pour faire sauter mon cul de façon rapide et régulière. Il ne pouvait plus rien faire si ce n’est se concentrer pour ne pas jouir. Le sentant venir, je changeais de technique pour le tuer un peu plus. Je me redressais et, sa bite bien enfoncée au maximum en moi, j’entrepris des va-et-vient rapides d’avant en arrière, puis en faisant de grands cercles. Mes gros seins étaient ballottés dans tout les sens et il ne résista pas à l’envie de se jeter dessus. Il les dévorait littéralement, passant de l’un à l’autre, pressant, mordant, léchant... Mais, n’arrivant plus à se retenir, il m’arrêta sec. J’étais frustrée et très courroucée mais je me suis retirée pour le laisser souffler. Je me jetais alors sur Cam qui était resté à se branler à côté. Je pris son sexe et le mis à l’entrée du miens. Son gland écarta complètement ma petite chatte qui mouillait abondamment. Cette fois la progression fut plus difficile. Centimètre après centimètre, je n’en voyais pas le bout. Mon corps était parcouru de frissons. Je bloquais aux ¾ mais c’est le moment qu’il choisit pour se relever et m’embrasser de façon torride, provoquant une nouvelle vague d’excitation. Le reste fut avalé presque d’un coup et je ne pus retenir un cri. Je respirais par à-coups et pouvais à peine bouger sur cette queue qui me remplissait entièrement. Cette fois c’est lui qui me baisait en donnant des coups de bite qui me soulevaient du canapé. Je gémissais fort et avais beaucoup de mal à me retenir de crier. « Heureusement » Max, qui était redescendu en pression se mit debout à côté de moi et me fourra sa bite dans la bouche, étouffant mes cris. Cam se permit de me baiser encore plus fort. « Mon dieu après ça je ne sentirais plus jamais rien avec des bites normales » pensais-je bêtement.
Max m’arracha alors sa queue de ma bouche et passa derrière moi pour me mettre des fessées qui résonnaient dans tout le salon. Puis il s’humecta le majeur et me le fourra dans le cul. Je poussais une exclamation de surprise, vite interrompue par l’introduction d’un second doigt plein de salive. Je savais ce qu’il voulait et depuis le début de notre soirée je me doutais que j’allais y passer donc je m’étais préparée psychologiquement.J’aime beaucoup que l’on joue avec mon petit trou et pratique bien volontiers la sodomie quand j’ai une relation longue mais ça allait être ma première double. Quand nous avions commencé, l’idée me trottait dans la tête. C’était l’occasion où jamais, avec deux mecs en qui j’avais pleine confiance, j’étais chaude comme la braise avec l’alcool qui circulait dans mon sang et l’interdit de mon frère renforçait mon excitation. Mais la donne avait changée après avoir vu la bite de Camille : comment encaisser un truc pareil avec une autre bite logée dans mon second orifice ?Hésitante, je le laissais quand même me préparer car il savait y faire.
Max se releva et saisit mes hanches. Je sentis son gland appuyer contre mon anus pour me pénétrer lentement. Cam avait arrêté ses mouvements pour lui laisser de la place. Ma tête était enfoncée dans sa poitrine pour me retenir de crier et me concentrer. Heureusement, j’étais très excitée et détendue, ce qui lui permit de progresser facilement. Une fois au fond, il se mit à me baiser. J’étais parcourue de frissons. C’était douloureux mais tellement bon d’avoir ces deux mecs rien que pour moi, entièrement dédiés à mon plaisir. Cam reprit ses mouvements et les deux trouvèrent un rythme qui leur convenait. Ils me mettaient des coups de bite chacun à leur tour. La sensation était incroyable, quand l’un se retirait je ressentais un grand vide, vite comblé par la pénétration du second. En se croisant, ils frottaient chacun dans un sens ma fine paroi anale. C’était trop bon. J’étais à la limite de la crise cardiaque et je hurlais sans retenue. C’est d’ailleurs cette prise de conscience qui m’a fait les arrêter net. Mes cris devaient résonner dans toute la maison et mon frère endormi en haut pouvait se réveiller à tout moment. Je n’imagine même pas l’infarctus que ça lui donnerait s’il voyait sa petite sœur en train de se prendre une double pénétration au milieu du salon. Je leur demandais de se retirer pour qu’on aille dans ma chambre, située complètement de l’autre côté de la maison dans une annexe, où nous pourrions être tranquille. Nous avons ramassé nos vêtements et sommes allés là-bas. L’avantage, c’est que dans ma chambre restait un tube de lubrifiant qui datait justement de mes premières sodomies, ce qui serait bien pratique pour Cam.
Arrivés dans la chambre ils voulurent immédiatement reprendre là où on en était mais je freinais leurs ardeurs. J’avais non seulement besoin de souffler un peu, mais aussi l’envie de réaliser 2-3 trucs que j’avais en tête...Je les fis s’installer en ciseaux fesses contre fesses et jambes entrecroisées. La vision de leurs couilles bien pleines qui se touchaient me fit frémir. Je soulevais leurs queues pour les mettre l’une contre l’autre. Collées comme ça, la comparaison était encore plus impressionnante, celle de Max paraissant minuscule par rapport à la poutre de Cam. Je me suis mise à les sucer comme s’il n’y avait qu’une seule bite, passant ma langue dessus, me décrochant presque la mâchoire pour avaler les deux en même temps... Après quelques minutes de ce traitement, je versais une grosse quantité de lubrifiant sur ces deux bites dressées en l’air, puis je m’accroupis pour m’empaler dessus. Faire la cavalière en anal est ma position préférée : je sens bien la queue en moi, elle va très profond, tape à l’endroit qui me plaît et je peux dominer et donner le rythme. En double ça devait donc être encore meilleur. Je plantais d’abord ma chatte sur l’énorme bite de Cam, puis mon cul entra en contact avec celle de Max. Je descendais facilement car mes orifices n’avaient pas eu le temps de se refermer. J’eus un peu de mal sur la fin mais Max m’aida en appuyant sur mes épaules.J’étais maintenant empalée sur leurs deux chibres gonflés à bloc. Arrivée en bas, je suffoquais « Ho putain c’est énorme. Qu’est-ce que c’est bon ! ». Je suis mise à rebondir sur eux en poussant sur mes jambes (j’étais toujours accroupie). Mes seins battaient la cadence de haut en bas. Je ne retenais même plus mes cris hystériques qui emplissaient la pièce, seulement interrompus par le claquement violent de mes fesses sur leur bas-ventre. J’étais en nage et je ne sentais plus les muscles de mes cuisses, mais j’en voulais encore, j’étais si proche. Je me suis laissée tombée sur eux, passant sur mes genoux pour faire des va-et-vient d’avant en arrière. J’avais du mal à bouger, embrochée comme je l’étais, mais cela suffisait amplement. Mon corps entier se contracta d’un coup pris de spasmes plus violents les uns que les autres tandis que mes orifices enserraient les bites des deux garçons avec une force spectaculaire. Mon cœur ne suivait plus et je n’arrivais même plus à respirer. Au bout de ce que je crus être une éternité, le plus violent orgasme que j’ai connu retomba et je pus m’effondrer sur le lit.
Je ne m’en étais même pas aperçue mais Max avait joui en moi pendant mon orgasme, compressé comme il l’était au fond de mon cul. Il ne restait plus que Cam... Malgré mon état et la fatigue, je suis mise à quatre pattes pour qu’il me prenne. « Mets beaucoup de lubrifiant s’il te plaît » murmurais-je. Je n’avais quasiment plus de force, je voulais juste qu’il se serve de mon corps. Il fit ce que je lui demandais et vint sur moi. Heureusement que Max et la double pénétration étaient passés avant parce que je ne sais pas comment j’aurais pu encaisser ça. Sa queue m’écartelait et continuait de progresser en moi comme si elle n’avait pas de fin. Je suis mise à caresser mon clitoris au moment où il entamait de longs va-et-vient. Contre toute attente, mon excitation est revenue. Ma chatte était à nouveau bien humide et je commençais à réclamer qu’il y aille plus fort. Il est alors monté complètement sur moi et s’est mis à me pilonner du plus fort qu’il pouvait. Après ça je n’allais plus jamais être la même... Ses boules tapaient contre ma chatte humide. J’ai une nouvelle fois joui très fort, tremblant littéralement de bonheur et contractant tous mes membres.
Cette fois je ne pouvais plus bouger. J’avais subi ma première double pénétration, été sodomisée par la plus grosse bite que j’avais jamais vue et eu une véritable cascade d’orgasmes. Cam n’avait toujours pas joui et s’était mis à se branler devant moi mais, prise de remords, je décidais de lui offrir tout de même quelque chose.J’ai donc pris le tube de lubrifiant et en versa une grande quantité sur ma poitrine. J’étalais le tout et lui demanda de venir sur moi.
« Mets ta queue là dedans et fais-toi plaisir »
Je refermais mes seins sur sa bite qui s’est mise à me baiser, glissant sur toute sa longueur. Elle était tellement longue qu’en relevant ma tête, son gland arrivait sur mes lèvres et je pus lui mettre des coups de langue. Il ne put résister longtemps à un tel traitement et finit par éjaculer de grandes giclées de sperme chaud qui recouvrirent mes seins et mon visage. Je le repris en bouche pour aspirer les dernières gouttes qui restaient.
Après une petite douche, je m’endormis entre mes deux étalons après avoir bien pris soin de fermer ma porte à double tour.

Épilogue : le matin venu, Max partit car il avait des trucs à faire. Je restais donc dans le lit avec Cam et rapidement on s’est mis à fricoter. Passé de longs et très bons préliminaires, il me prit en levrette. J’étais allongée sur le ventre, jambes serrées pour mieux sentir sa grosse queue. C’est alors qu’on entendit la porte du couloir s’ouvrir et mon frère qui m’appelait et s’apprêtait à entrer dans la chambre.
« Rentre pas je suis toute nue ! » criais-je (ce qui était vrai ^^).
Mon frère à toujours été très pudique et gêné par la nudité donc je savais qu’il allait rester derrière la porte.
« T’aurais pas vu Max par hasard ? »
« Heu il me semble l’avoir entendu partir ce matin. »
« Ha ok. Et Cam ? »
(« Cam oui, j’ai sa grosse bite au fond de la chatte là ». Avouez que ça aurait été drôle de sortir ça ^^). « Cam je sais pas, mais je pense qu’il a dû partir aussi. »
Mon frère s’est alors mis à me raconter sa gueule de bois, ce dont il se souvenait etc. Je ne l’écoutais que d’une oreille. La situation était dangereuse mais incroyablement excitante. Je mouillais abondamment. Cam a dû le sentir car il s’est mis à me donner de petits coups de reins qui m’ont fait tressaillir. Il en profitait pour me mordiller le lobe. Il ne fallait surtout pas que je crie. Ma main est passée sous moi pour chopper ses boules que j’ai pressées.
« Si tu me fais crier je te les broies. » lui murmurais-je.
« Ok ok j’arrête. »
Je relâchais ma pression mais les gardais en main pour les caresser. Mon frère partit finalement chez Julie pour manger avec elle. Après avoir bien entendu sa voiture sortir du garage, on a enfin pu souffler. Maintenant qu’il ne m’avait que pour lui, Cam s’en est donné à cœur joie. J’ai été prise dans toutes les positions et tous les orifices. Comme la veille, j’ai fini épuisée et couverte de sperme.
« Au fait, tu sais que j’ai trouvé du boulot sur Lyon le mois prochain ? » me dit Cam a ce moment là.
Mes soirées allaient être chargées...
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