Lorsque je retourne à la Fac le lundi suivant, j’ai le ventre noué. Je n’ai qu’une seule frayeur : que les autres s’aperçoivent de quelque chose. Je porte des vêtements amples, et je me suis coupé les cheveux, afin de conserver l’air aussi masculin que possible. La matinée se passe sans encombres, j’évite au mieux les regards de Laura et Lauren. Cependant, je ne leur échappe pas longtemps. A la pause de midi, alors que je suis installé seul à une table dans le coin du réfectoire, j’entends leurs talons claquer sur le sol. Elles posent leurs plateaux sur la table et s’assoient avec moi. « Salut Alex, commence Laura, alors, ton nouveau corps te plaît ? » Je ne réponds pas et baisse la tête sur mon repas à peine entamé. Je sens alors le pied de Lauren se poser sur mon entrejambe et me masser doucement la queue à travers mon pantalon. Je lève brusquement la tête et l’aperçoit en face de moi. Son décolleté est largement ouvert, et elle passe sa langue sur ses lèvres rouge coquelicot, tout en appuyant un peu plus ses caresses. Laura poursuit : « Ce soir, tu vas nous rejoindre dans les toilettes, là où tu es venue la dernière fois d’accord ?-Ce soir ? Mais...-Ne discute pas d’accord ma belle ? Tu te souviens, tu n’es pas en mesure de nous refuser quoi que ce soit » A ces mots, Lauren appuie encore un peu plus son escarpin contre mon pénis, et je laisse échapper une grimace. « D’accord... -Parfait, dit Laura en souriant amplement, on te retrouve là bas alors » Elles se lèvent toutes deux et partent dans la direction opposée, me laissant seul assis à ma table. Mon caleçon est trempé. –
Je les retrouve le soir dans les mêmes toilettes que celles dans lesquelles Lauren m’avait sucé la semaine dernière. Elles accueillent toutes deux ma venue avec un grand sourire. « Tu es venue ma jolie ! Me lance Laura. Je grommelle doucement :-Arrête de m’appeler ma jolie... »
Laura semble d’abord étonnée que je lui réponde, puis se remet à sourire « Mais il va bien falloir que tu t’y fasses Alex, puisque tu es destinée à devenir une bonne petite pute suceuse de queues, autant t’y habituer maintenant. » Je m’apprête à répliquer, mais elle s’approche de moi et pose un doigt sur ma bouche « Shhhhh... Tu verras, quand tu seras habituée, tu aimeras ça autant que nous. Allez, suis Lauren » Cette dernière s’approche de Laura et lui roule une pelle mémorable. La vue de ces deux femmes aux corps si parfaits s’embrassant me donne une érection incroyable... si on peut encore appeler ça comme ça. Elle me prend alors le bras et m’emmène dans une cabine dont elle ferme la porte à clef. Elle commence à se déshabiller et s’arrête en voyant que je ne la suis pas. « Vas-y, met toi à l’aise, tu verras il fait vite chaud là dedans » Elle se retrouve bientôt devant moi dans un ensemble en dentelle vert émeraude qui moule ses seins et son cul à la perfection. Je me déshabille alors à mon tour pour ne garder que mon caleçon déformé par la petite bosse que provoque ma trique. Lauren pouffe doucement. Elle joue avec ma queue du bout des doigts à travers mon caleçon : « Ne t’en fait pas, tu en seras bientôt débarrassée. » La porte de la cabine d’à côté s’ouvre et se referme. Elle sourit « Regarde moi bien faire » Sur ces mots, une queue de taille raisonnable sort d’un trou dans la paroi qui sépare les deux cabines. Lauren s’accroupit devant, les jambes écartées, s’en saisit et commence à la branler doucement, de ses doigts dont le vernis rouge est assorti à son rouge à lèvres. Elle prend alors cette queue qui ne cesse de raidir dans sa bouche et commence ses allées et venues le long du manche. Elle suce avec passion, les yeux fermés, accélérant son mouvement. Sa langue virevolte autour du gland turgescent dressé devant ses yeux, avant que cette queue toute entière ne disparaisse à nouveau sans sa bouche. Je contemple cette superbe jeune femme qui suce avec tant de passion le membre qui se présente à elle, et n’en finit plus de bander. Je vois alors sa main se diriger vers son entrejambe... je n’en crois pas mes yeux, elle se masturbe devant moi. Elle commence à gémir, relâche la queue de sa bouche pour l’empoigner de sa main libre. Elle crache dessus et se met à la branler de plus en plus rapidement, tout en gémissant de plus en plus fort, la bouche grande ouverte en dessous du gland. Sa main accélère elle aussi son mouvement dans sa culotte. Une énorme giclée de sperme vient atterrir sur sa langue, et elle laisse échapper un long soupir, agitée de légers soubresauts. Elle laisse deux ou trois autres jets rentrer dans sa bouche, et se remet à pomper avidement le sexe ayant tout juste joui, aspirant chaque goutte de sperme qui en sort. Elle le relâche alors et avale goulument la semence avant de s’étaler, essoufflée, contre la paroi opposée, les jambes écartées et la main dans son string. Nous restons ainsi un moment avant qu’une autre queue ne se présente par le trou, un peu moins grande mais légèrement plus large. Lauren me regarde et me fait un signe de la tête : « Vas-y à toi ma belle » Je la regarde, éberlué, et elle me saisit le bras pour m’agenouiller devant le trou. « Suce lui la bite, je suis sûre que tu vas adorer » Je fais non de la tête et m’éloigne légèrement. Elle m’empoigne alors par l’arrière de la tête et me plante à 1 cm de ce membre odorant. « Allez petite pute, avale cette pine et fais la jouir, sinon toute la fac saura que t’es qu’une sale petite trainée qui aime s’habiller comme une allumeuse. » J’entrouvre alors timidement les lèvres, et Lauren pousse ma tête en direction du membre qui se retrouve dans ma bouche. Le goût est salé et fort mais... pas désagréable. Je me met alors instinctivement à faire des allées et venues le long de la queue que je sens frotter contre ma langue et mon palais. Lauren relâche la pression et vient coller sa bouche à mon oreille « Mais c’est que tu es une suceuse née, tu fais ça naturellement ! Lèche bien son gland, comme je t’ai montré » Je m’exécute alors, et lape le gland violacé avant de me remettre à le sucer. Je sens alors la main de Lauren se glisser dans mon caleçon et commencer à me masturber. « Alors petite pédale, ça te fait quoi de sucer une vraie queue ? » Curieusement, ses paroles m’excitent vraiment, et je me retrouve bientôt au bord de la jouissance. « Branle la maintenant, fais la jouir. » Je me met à branler la queue de cet inconnu qui se trouve derrière la paroi, avec des mouvements lents d’abord, puis de plus en plus vite. Les caresses de Lauren s’accentuent elles aussi, et je commence à pousser des petits gémissements de jouvencelle. Je sens un liquide chaud venir s’étaler sur mon visage, et réalise que je viens de faire jouir le type qui se trouve dans la cabine voisine. Je pousse alors un long gémissement et jouis de tout mon corps, alors que le reste de la semence vient s’écraser tantôt sur mon visage, tantôt sur le sol. La queue se retire, et Lauren se positionne face à moi. Elle se met à laper lle sperme sur mon visage, me nettoyant complètement, et présente ensuite sa bouche devant la mienne. Elle me roule une pelle tout en déversant dans ma bouche un mélange de salive et de sperme au goût âpre. « Avale » ordonne-t-elle en se retirant, un large sourire aux lèvres. Je déglutis alors difficilement. Elle rit. « Tu verras, tu ne pourras plus t’en passer. Nettoie ce que tu as mis par terre. » Je prend du papier toilette, mais elle pose sa main sur la mienne et m’arrête « Non, pas comme ça, regarde » Elle se penche vers le sol et lape le carrelage. « La prochaine fois c’est toi qui nettoieras tes saletés ! » Me dit-elle en clignant de l’œil. Elle se lève alors et sort des toilettes en petite tenue et talons hauts pour retrouver Laura qui nous attend. Cette dernière lui dit d’une voix tendre : « Alors petite trainée, ça t’a plu ?-Oh oui, énormément... dommage que tu n’aies pas été là. » Elles s’embrassent intensément, et Laura poursuit : « Et comment a été notre nouvelle pute ? -Très prometteuse, une vraie pompeuse de dards... et elle avale. -J’étais sûre qu’on ne s’était pas trompées ! Elle me regarde et poursuit alors que Lauren remet le peu de tissu qu’elle avait en plus de ses sous-vêtements :-Rendez-vous demain ici à la même heure Alex, on va poursuivre ton éducation, d’ici la fin de la semaine, tu seras une vraie petite suceuse accroc au foutre. Rentre chez toi en attendant. » Elles partent toutes deux, me laissant assis sur le sol des toilettes en caleçon, étrangement satisfait.
