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Alice au pays des cartes vermeil

Chapitre 1

Inceste
Malgré l’immense joie qui lui gonflait la poitrine, Alice se força à reculer prudemment pour garer sa voiture contre le portail du garage. Inutile d’assombrir ce grand jour par un bête accident. Elle en descendit à la volée et courut jusqu’à l’escalier du perron qu’elle monta quatre à quatre. Le souffle court et les joues rougies par cet effort, elle ouvrit la porte en grand et cria à la ronde : « Je l’ai ! »A 19 ans, Alice venait d’achever ses études d’aide-soignante. De taille moyenne et les cheveux roux, elle souffrait d’embonpoint qu’elle tentait de dissimuler sous des vêtements amples et achetés sans goût. Seuls de magnifiques yeux verts en amande auraient donné du charme à ce visage ingrat mais pour son malheur, Alice était affublée d’une myopie qu’elle corrigeait à l’aide de lunettes à verres épais. Elle cultivait en outre une candeur proche de la naïveté qui lui avait valu le surnom d’idiote de la part de ses camarades. Tous ces défauts avaient considérablement gâché l’adolescence et la scolarité de la jeune femme. En désespoir de cause, elle s’était rabattue sur une formation d’aide-soignante, ce qui lui avait permis outre une formation professionnelle solide, de voir des hommes dans leur plus simple appareil et de se branler furieusement au souvenir de ces nudités.A présent ces années sombres étaient derrière elle et Alice voyait s’entrouvrir la porte d’un nouvel avenir. Elle pourrait bientôt avoir son propre appartement, y recevoir ses amis et qui sait, peut-être même un petit ami…— « Ah Alice, tu tombes vraiment à pic, lui répondit sa mère en l’embrassant…— Figures-toi que Papy Louis vient de faire une mauvaise chute. Il a les deux chevilles cassées et je lui ai proposé de venir à la maison pour y passer sa convalescence. Il arrivera la semaine prochaine et d’ici-là, il faudrait que tu lui prépares ta chambre.— Mais, mais… et moi ? Où vais-je dormir, se plaignit Alice— Le salon est très grand et j’ai déjà tout prévu. Je vais t’aménager un coin avec des paravents où tu pourras dormir. Tu verras, tu seras très bien et puis, ce n’est que pour deux ou trois semaines, le temps que Papy Louis retrouve l’usage de ses jambes.— Bon d’accord, se résigna Alice— En plus, avec mon travail, je n’aurai pas le temps de m’occuper de lui. Alors… je me disais qu’avec ton nouveau diplôme, tu seras parfaitement qualifiée pour le soigner. Et puis, je te dédommagerai financièrement… »Alice n’avait pas spécialement imaginé que son premier emploi commence par des soins à domicile mais sa mère avait trouvé les bons arguments et elle avait besoin d’argent pour payer la caution de son futur appartement. Durant cette première semaine, elle s’aménagea une chambrette dans un coin du séjour, à l’aide des paravents et d’un divan assez moelleux au demeurant. Près d’elle, la cheminée allumée lui procurait une douce chaleur ainsi qu’une lueur intimiste le soir venu.Le lundi suivant, papy Louis arriva en ambulance et en descendit pour prendre place dans un fauteuil roulant. Il portait son éternel survêtement, ayant passé toute sa carrière comme professeur de sport dans un collège de la région. Grand, les cheveux grisonnants et des yeux très bleus, papy Louis avait gardé une stature musculeuse et continuait de fréquenter assidûment les salles de sport. Alice était toujours troublée lorsqu’elle le voyait. Elle éprouvait un mélange de crainte et d’excitation et se demandait combien de collégiennes avaient succombé à ses charmes. Elle s’approcha de son grand-père et se pencha pour l’embrasser, dévoilant sans le faire exprès les courbes de son opulente poitrine à travers l’échancrure de son tee-shirt. Tout en l’embrassant, le vieil homme se rinça l’œil abondamment et ne put s’empêcher de la complimenter :— « Ben dis-donc, si c’est toi mon aide-soignante pour les prochains jours, avec ce que je viens de voir je vais guérir en moins de deux !— Rhôôô papy, rougit-elle. A l’école, on ne m’a pas appris que le voyeurisme était un remède contre les jambes cassées…— Ça ne m’étonne pas, on ne vous apprend plus rien aujourd’hui, rigola papy Louis, l’œil de plus en plus égrillard. Tiens, montre-moi ma chambre plutôt… »La jeune femme poussa le fauteuil jusqu’au fond d’un long couloir au bout duquel était situé la chambre. Louis regarda l’espace tapissé de posters de rock stars et s’arrêta sur l’un d’eux. « Au moins tu aimes U2. Je pourrais en écouter de temps en temps ? ». Bien sûr, lui répondit Alice en prenant la valise pour la glisser sous le lit. Louis contempla un instant le volumineux derrière qui se tendait sous un épais collant noir. Il approcha son fauteuil et posa la main sur les reins d’Alice qui se tétanisa :— « Tu es vraiment devenue une très belle femme mais tu dois surveiller ta ligne. Si tu veux, je te donnerai quelques conseils de sportif pour mincir…. J’ai des exercices très particuliers… »Ce faisant, papy Louis fit glisser son index entre les deux globes charnus, enfonçant légèrement le tissu du collant dans la raie des fesses. Suffoquante, Alice suivait le mouvement du doigt qui se frayait un chemin vers les replis subitement moites de son sexe.— « Ooooh ! Papy ! Arrêtes, tu me tripotes… »Mais elle sentait ses chairs s’alanguir malgré elle et des gargouillements nouer son bas ventre. Elle savait que son corps délaissé répondait aux caresses insistantes, que les replis de sa chatte se tapissaient d’une bave grasse et odorante. Comme mues par une vie indépendante de sa volonté, les fesses se tendaient vers le doigt inquisiteur. Elle ferma les yeux lorsque l’index se posa sur le renflement de sa chatte et entama un lent massage. Derrière elle et de sa main libre, papy Louis avait sorti son sexe et se branlait doucement. Au bout d’à peine une minute, Alice sentit l’orgasme monter en elle. Les jambes soudainement agitées de spasmes et le bassin pris de soubresauts, elle couina comme une petite fille en serrant entre ses poings une peluche qu’elle avait laissé traîner sur le lit.Alice se releva tant bien que mal et se retourna pour faire face à son grand-père. Le teint soudain écarlate et les yeux écarquillés, elle regarda l’aïeul qui se branlait. Son sexe était incroyablement gros, bien plus gros en tout cas que tous ceux qu’elle avait vus jusqu’alors dans les revues pornos qu’elle s’achetait. C’était une tige épaisse et noueuse surmontée d’un gland violacé. A vu d’œil, elle devait mesurer dans les 24 ou 25 cm.— « Ben quoi, t’as jamais vu ça ? S’étonna papy Louis— Euh… Non… Enfin pas comme ça, répondit Alice— Tu voudrais y toucher ?— Je… Je ne sais pas… J’ai… jamais touché ça !— Attends, donne-moi ta main, je vais te montrer. »Alice tendit un poignet grassouillet vers le sexe tendu. Papy Louis prit ses doigts pour l’enrouler autour de la colonne de chair et la jeune femme s’aperçut en frémissant qu’elle en faisait à peine le tour. Mais le contact de sa main avec la peau soyeuse électrisa Alice qui sentit un flot de mouille inonder le fond de sa culotte. Elle serra ses doigts et suivit le mouvement que son grand-père imprimait à sa main. Hypnotisée par le gland qui se décalottait avant de disparaître, elle s’aperçut à peine que papy Louis avait saisi les bords de son collant pour les tirer vers le bas. Il dévoila une chatte à la toison épaisse et sombre dans laquelle il enfouit ses doigts.— « Bon Dieu ! Comme tu es poilue… Et tu es trempée comme une soupe ! Attends, approche, je vais te nettoyer »Dans un état second et tout en continuant sa masturbation, Alice posa une jambe sur le dossier du fauteuil, exposant largement sa chatte à quelques centimètres de la bouche de son grand-mère. Celui débusqua rapidement le clitoris qu’il taquina du bout de la langue, arrachant un râle à la jeune femme. Elle avait un goût musqué, mélange de sueur et de cyprine qui rappela à Louis les lycéennes qu’il tripotait après les cours de sport.Sous l’effet des caresses qui zébraient son bas ventre d’éclairs de feu, Alice accéléra le mouvement de son poignet et se pencha presque à toucher du front la bite qui se convulsait entre ses doigts. Un doigt s’insinua entre ses fesses et pressa doucement la pastille sombre de son anus. Un nouveau spasme, inconnu jusqu’alors la traversa et elle poussa des ahanements de plus en plus aigus. Lorsqu’il franchit les muscles de son sphincter, Alice sentit un second orgasme la dévaster, en même temps que Louis se mit à grogner :« Oh purée, je gicle ! »Un premier jet de sperme l’atteignit en plein front et dégoulina le long de l’arrête de son nez. Deux autres s’écrasèrent sur ses joues et son menton. Les derniers maculèrent sa main de longues traînées blanchâtres et visqueuses ?Papy Louis remonta le collant de sa petite fille et lui dit en clignant de l’œil :— « On ne t’a pas appris grand-chose à l’école mais tu es une sacrément bonne aide-soignante. Tu reviendras ce soir et je te montrerai de nouveaux exercices. En attendant, tu vas aller faire 5km de jogging et interdiction de prendre une douche après. Compris ? »— Euh… Oui papy— Ah ! Et laisses-moi ta culotte, j’ai plus 20 ans et j’ai besoin d’un petit stimulant… A voir ce que tu as laissé dedans, elle va me tenir en forme jusqu’à ce soir ! »
(A suivre…)
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