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Alice au pays des cartes vermeil

Chapitre 2

Inceste
A bout de souffle, Alice grimpa tant bien que mal le dernier raidillon au sommet duquel se tenait la maison. Dans quelques instants, elle pourrait se rafraîchir et s’asseoir dans un fauteuil moelleux. Pendant son jogging, elle avait maintes fois repensée à l’énorme sexe de son grand-père. En essuyant les traces de sperme qui avaient maculé son visage, elle n’avait pu s’empêcher d’y goûter, leur trouvant un goût douceâtre et légèrement salé. En associant la bite de son grand-père aux images qu’elles avait vu dans des magazines pornos, Alice se demandait comment un engin pareil pourrait entre sans sa bouche, dans sa chatte ou… Ailleurs. Elle avait repensé subitement honteuse, à l’index qui s’était niché entre ses fesses et qui lui avait procuré un second orgasme foudroyant.Elle franchit la porte du salon et s’effondra sur son lit en fermant les yeux. Une douce torpeur commençait à l’envahir lorsqu’elle entendit papy Louis l’appeler du bout du couloir :— « Alice, tu peux venir m’aider à faire ma toilette ? »La jeune femme se releva péniblement. Elle ressentait une douleur sourde dans ses jambes peu habituées à l’effort physique et se demandait avec appréhension si des courbatures allaient survenir le lendemain. Arrivée dans la chambre de son grand-père, elle le vit allongé dans son lit et tenant à la main la culotte qu’elle lui avait laissé plus tôt :— « Je l’ai reniflée tout l’après-midi et ça m’a mis dans une forme terrible ! »En disant cela, il descendit le drap qui le recouvrait et sa queue apparut, fièrement dressée. Alice eut l’impression de recevoir un coup de poing au plexus. Elle semblait encore plus grosse que lorsqu’elle l’avait touchée. Le gland à lui seul avait la taille et la couleur d’une grosse prune. En-dessous de la tige, deux énormes testicules tressautaient légèrement.— « Si tu veux me faire ma toilette, il va falloir que tu approches. Allez ! viens ici, n’aies pas peur… »Alice s’approcha du lit et saisit délicatement le sexe de son grand-père entre ses doigts. « Déshabille-toi d’abord », lui dit-il. Comme hypnotisée, la jeune femme s’exécuta, enlevant son jogging tâché de sueur, son soutien-gorge et sa culotte. Lorsqu’elle fut entièrement nue, papy Louis l’obligea à monter sur le lit, tête-bêche par rapport à lui ; de sorte qu’elle avait sous le nez la bite de son grand-père tandis que lui contemplait avec ravissement la chatte poilue de sa petite fille et la masse laiteuse de son cul.— « Vas-y, tu peux commencer à la nettoyer !— Mais… Mais, tenta de rétorquer Alice— Allez ! Ne fais pas tant de manières », lui dit son grand-père en appuyant sur la tête d’Alice pour la forcer à poser ses lèvres sur sa queue.Alice entrouvrit légèrement les lèvres et tira une langue timide. Elle avait vu une fois un film porno et tentait de se souvenir comment les actrices faisaient. Elle commença à pourlécher la base du gland. Le goût au contact de sa bouche était étrange et Alice avait l’impression de goûter à un fruit défendu. Cette impression l’excita terriblement et elle sentit un filet de mouille tapisser sa chatte. Ouvrant plus largement la bouche, elle tenta d’engouffrer la bite dans son palais. Compte tenu des dimensions de l’engin, la tâche n’était pas des plus faciles et elle dut s’y reprendre à plusieurs fois avant que le gland ne vienne buter au fond de sa bouche. Elle eût aussitôt un violent haut-le-cœur mais parvint à conserver la bite en bouche. Des larmes lui baignaient les paupières et l’énorme bâillon de chair l’empêchait de déglutir. Heureusement car les filets de salive dégoulinaient le long de la hampe de chair, facilitant les va et vient qu’elle imposait à ses mâchoires dilatées.Derrière elle, papy Louis savourait les yeux mi-clos cette caresse buccale. Il avait posé ses mains sur l’imposant cul de sa petite fille et écartait les globes fessiers pour dévoiler une raie profonde et tapissée d’un fin duvet au fond de laquelle se nichait la pastille bistre de l’anus. La chatte et le cul exhalaient des senteurs lourdes et épicées. Luttant contre son désir d’y fourrer immédiatement sa langue, il caressa les fesses, les cuisses et enfin les replis baveux du sexe de sa petite fille.Celle-ci s’immobilisa, attendant que la langue de papy Louis se pose à nouveau à cet endroit et la fasse jouir à nouveau. Mais l’homme s’amusait. Il écartait les pans gluants des grandes lèvres, titillait le clitoris avant de repartir à l’assaut de ses fesses et de glisser un doigt dans la raie culière. Il s’arrêtait juste au bord de l’étoile bistre du trou de balle qui se contractait doucement et de nouveau ses doigts vagabondaient.A moitié frustrée par ces caresses qui l’excitaient sans la délivrer, Alice redoublait d’ardeur sur la queue fièrement dressée et à présente luisante sur les deux tiers de sa longueur. Elle tentait d’en engouffrer le maximum en bouche, au risque de s’étouffer. De sa main libre et comme par instinct, elle avait saisi les bourses qu’elle caressait doucement.Brusquement, la bite tressauta et des jets de sperme fusèrent au fond de sa gorge tandis que papy Louis poussait un cri rauque dans son dos. Alice paniqua un instant avant de se forcer à avaler le liquide chaud qui se ruait dans son œsophage. Elle avait l’impression que ça ne finissait pas, que des litres de sperme se déversaient en elle. Mais au bout d’un instant, le flot se tarit et elle n’eut plus en bouche que des relents salés de liquide séminal. La bite toujours fichée au fond de son palais, elle attendit qu’elle débande.C’est le moment que papy Louis choisit pour darder sa langue contre l’anus tandis que ses doigts partaient à l’assaut du clitoris. Alice sentit quelque chose de chaud et d’humide se frayer un chemin dans ses sphincters, puis s’agiter en tous sens. La sensation était étonnante et elle en voulait plus. Elle posa ses mains sur ses fesses et les écarta du maximum qu’elle pût pour faciliter les caresses que lui prodiguait son grand-père. L’homme pinça fortement le clitoris entre ses doigts et aussitôt un jet de cyprine lui aspergea le menton. Alice se mit à jouir sans retenue et en gémissant de plus en plus fort. Elle tentait de s’empaler sur la langue qui lui vrillait le trou de balle et qui lui électrisait tout le dos, jusqu’à la nuque :— « Ton doigt papy… Mets ton doigt ! »Le vieil homme s’exécuta mais au lieu d’un seul, ce furent deux doigts qui s’engouffrèrent dans le rectum lubrifié par la salive. Alice couina et ses reins furent agités de spasmes de plus en plus violents. Deux doigts profondément fichés dans son cul, elle poussa un beuglement de jouissance tandis que son grand-père se régalait de la mouille qui ruisselait de son vagin.Affalés l’un sur l’autre, les deux amants reprirent doucement leur souffle et papy Louis libéra la jeune femme pour qu’elle puisse aller prendre une douche. Avant qu’elle ne quitte la chambre, le vieil homme lui dit :— « Demain matin, après le petit déjeuner, tu feras à nouveau 5 kilomètres de footing et ensuite, tu viendras faire ma toilette… »
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