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  • Concours Les voisins / voisines

Aline, La Voisine

Chapitre 1

Hétéro
Aline, la voisineChapitre 1
Tout d’abord, une petite présentation, pour ma première histoire ici. Je ne dévoilerai pas mon véritable prénom ici, mais on me surnomme Hägar (à prononcer hogar) en référence à un Viking dans une bande dessinée. Physiquement, je ne ressemble pas tellement à un viking, je suis assez petit, 1m69 (no comment), et très large d’épaule, du fait de plusieurs années de rugby. 

J’ai 20 ans, et je suis étudiant dans une grande ville de France.

Cette histoire date de 2016. J’habitais alors dans un petit studio, dans lequel je suis toujours aujourd’hui. C’est au premier étage d’un vieil immeuble, et je partage le palier avec 3 autres studios, et il faut savoir que les murs sont très fins entre ces différents studios. Je n’avais pas la chance de croiser souvent mes voisins, même si je savais que le studio mitoyen au mien était habité par une demoiselle que j’avais pu croiser quelques fois, sans même échanger le moindre mot. Pour ce qui est des autres studios, je n’en savais rien. Je menais une vie tranquille, les cours, un film le soir, un peu de musique, quelques sorties de temps en temps. Ma vie sentimentale de cette époque ressemblait plutôt à une traversée du désert, accompagné seulement de quelques sites pour adultes…

Tout débuta un soir d’avril, à cette époque-là je travaillais beaucoup dans mes recherches, et il m’arrivait de travailler jusqu’à deux voire trois heures du matin. J’allais éteindre mon ordinateur quand des bruits étranges ont arrêté mon mouvement. Je ne distinguais pas grand-chose par-dessus ma musique, alors je l’éteignis. Silence. Puis un gémissement. Silence. Un autre, plus fort cette fois. La voix semblait assez aiguë, une fille. Je ne reconnaissais pas la voix, mais j’étais certain qu’il s’agissait de la voisine d’à côté. A ce stade, j’étais incapable de dire si elle était jolie ou non, mais je peux dire une chose, sa voix, elle, l’était. Je me surpris à m’approcher du mur, en glissant une main dans mon short. Ces gémissements de plaisir ajoutés au manque avaient suffi à m’exciter. L’oreille et le membre tendus, j’écoutais. Elle se branle juste à côté ! Je ne pouvais pas distinguer grand-chose, mais je me doutais qu’elle se faisait plaisir elle-même, pensant être suffisamment discrète à cette heure tardive. Les gémissements s’accentuèrent, puis plus rien. Spectacle terminé pour cette nuit. Mais ça m’avait suffi.

 Le lendemain soir, j’étais resté éveillé volontairement, en espérant un deuxième acte. Les gémissements me donnèrent raison. Les mêmes, saccadés, entrecoupés de soupirs. C’est là que je me rendis compte à quel point les murs étaient fins. Elle avait surement du m’entendre de temps en temps elle aussi… Avait-elle été aussi intriguée ? Aussi intéressée ? Les gémissements avaient duré plus longtemps, et m’avaient servi de base à une nouvelle séance d’onanisme. C’était bien, pensai-je. Mais je désirai avidement mettre un visage sur cette voix, il fallait que je trouve un moyen…

Pour une fois, la chance était de mon côté. Alors que j’allais ouvrir la porte du palier, elle se tenait juste derrière, prête à l’ouvrir. La surprise la fit rire, et je pus sans aucun doute reconnaitre la voix. Ainsi c’était elle… Elle était assez grande, avec de longs cheveux roux, je détaillai rapidement son corps. Elle était vraiment bien foutue, une taille fine, ce qui me semblait être une poitrine imposante. Même habillée sans fioritures, elle était belle et attirante…

— Excusez-moi ?
— Ah ouI.. euh.. pardon

Trop perdu dans mes pensées, j’étais resté planté dans l’ouverture de la porte, lui bloquant ainsi le passage. Elle ne riait plus. Je ne pus m’empêcher de la regarder de nouveau de dos, et je peux dire que ses fesses étaient en harmonie avec le reste. Une sportive probablement.

La journée ne fut absolument pas productive. Mes pensées étaient occupées par cette rousse svelte, j’avais toujours fantasmé sur les rousses, mais celle-ci, avec ses activités nocturnes, dépassait mes espérances… Je quittai la bibliothèque pour filer droit à mon appart. A peine la porte passée, je filai à la douche, avant de m’installer pour manger tranquillement. J’étais impatient concernant la possible séance de ce soir, mais quelque chose me dérangeait. Je ne savais pas encore quoi. Puis cela me frappa d’un coup. Des voix. J’entendais discuter à côté. Pas seulement la voix de la voisine, mais une autre, plus grave, un homme ? Je ne pouvais saisir le sens de ce qu’ils se disaient, mais intérieurement, je ne pouvais qu’espérer… Et si c’était un possible amant ? Et s’ils allaient baiser cette nuit ? Je serais aux premières loges si c’était le cas… J’entendais toujours les voix, indistinctement, mais surtout, j’entendais la voisine rire. Ce rire cristallin, craquant. Et puis je me disais, si elle rit, c’est un bon point pour celui qui l’accompagne… 

Minuit, je devrais commencer à tendre l’oreille. Je collai mon oreille au mur, pour ne pas en perdre une miette. Les voix s’étaient tues. Mince. Et tout à coup, des gémissements, masculins cette fois. Non je ne rêvais pas, elle était probablement en train de s’occuper de lui. J’imaginais sa langue parcourir un membre tendu, avaler le gland… Mon érection était à son comble, les murs étaient suffisamment fin pour me permettre de deviner ce qui se passait à côté, sans pour autant entendre les bruits de succion… Puis ce fut à elle de gémir. Il devait la lécher, lui titiller le clitoris avec sa langue, et pourquoi pas, la doigter tendrement…

Les gémissements se firent plus intense, j’imaginais donc que cette fois, ils étaient passés à la vitesse supérieure. Les bruits qui accompagnaient les gémissements me donnèrent raison, on entendait le lit bouger, je la voyais jambes écartées, sur le dos, recevant le membre durci de son amant… Puis tout s’accéléra, cette fois, j’entendais le lit taper contre le mur à chaque coup de bassin du mâle. Il y avait d’autres bruits de claquement, accompagnés de longs gémissements de plaisir… Des fessées ? Les gémissements devinrent plus intenses, presque des cris, et moi, inconsciemment, je m’astiquais le membre, tout tendu et rougi par l’excitation. J’avais chaud. Je ne pouvais que les imaginer à côté, elle à quatre pattes, les fesses tendues, et lui, lui ramonant son intimité… Je m’imaginais aussi à la place de son amant, lui saisissant les seins et les malaxant fermement, au rythme des coups de butoirs.

Les gémissements se transformèrent en longs « oui », aigus, appuyés, et devinrent finalement des râles de plaisir, me faisant comprendre qu’elle venait de jouir. Mais ce que j’entendis ensuite me rendit fou. Elle le dit avec une voix de cochonne, une voix de femelle en rut « viens sur mon visage ». Ce fut de trop, et je ne pus me retenir, giclant de longues trainées de sperme chaud sur mon ventre nu... Il faudra nettoyer ça… Ensuite, plus rien. Il ne me fallut pas longtemps pour sombrer dans le monde des rêves.

Les soirs suivants, elle semblait-être seule, puisque je n’entendais plus la voix de l’homme. Mais elle n’était pas en reste, puisque je l’entendais toujours se faire du bien, au moins une fois par soir… Parfois, ses couinements étaient tellement aigus que je me demandais si elle utilisait un gode, ou si elle se doigtait l’anus… Rien que cela décuplait mes fantasmes.

Chaque jour, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui m’attendait le soir. Mais j’avais aussi la tête remplie de diverses questions…

Est-ce qu’elle m’entend quand je me branle ? Si oui, est-ce que ça l’excite aussi ?Est-ce qu’elle va ramener d’autres mecs ? J’espère…Est-ce qu’elle aime être soumise ? J’espère aussi… Comment je peux faire pour me retrouver moi aussi dans son lit ?

C’est cette dernière question qui me préoccupait le plus. La plus importante. Celle qui déciderait du reste.
A suivre.
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