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Amandine, ma fille coquine, de son papa aime la pine..

Chapitre 1

Inceste
Bonjour.Je m’appelle Philippe, j’ai 52 ans.Je voudrais vous parler de ma soirée idéale : un bon repas à la maison, un bon film avec un bon verre de vin, tout ça dans mon canapé. Et surtout, le top du top, lorsqu’on est tous seuls avec ma fille Amandine, une bonne fellation comme elle sait si bien les faire.Oui, je l’avoue, dès qu’on en a l’occasion que ma femme d’absente, j’adore que ma fille chérie prenne ma grosse queue dans sa bouche pour la sucer jusqu’à me sentir gicler dans sa gorge. Je n’y peux rien si j’adore ça, et cette petite coquine en redemande elle aussi. 

Car ma petite chérie, depuis qu’elle est devenue une belle et grande jeune fille, s’est aperçue que pour me prouver son amour elle pouvait me faire toutes sortes de gâteries. Elle a compris que j’étais très sensible à ses caresses. Il faut dire qu’elle a des mains de fée. Sans parler de l’habileté de sa langue. Bien sûr, je ne l’ai bien sûr jamais obligée à faire quoi que ce soit. C’est elle qui un jour s’est mis en tête, de me faire bander. 

La première fois qu’elle a fait ça, c’était un matin de très bonne heure, dans le lit conjugal, alors que ma femme était là, qui dormait à coté. Amandine était venue se blottir contre moi, comme elle faisait lorsqu’elle était petite. Mais là ce n’était plus une petite fille innocente que j’avais sous les draps. J’ai senti sa main discrète sur ma queue et j’ai sursauté de surprise. Heureusement ma femme, qui dormait toujours profondément, ne s’est aperçue de rien.Car je me suis mis à bander comme un fou sous les draps, dans les mains d’Amandine. Puis, comble de surprise, ma petite chérie est descendue sous les draps et j’ai senti qu’elle prenait mon sexe dans la bouche. J’étais stupéfait. Et ravi !Je ne quittais pas ma femme des yeux de peur qu’elle ne se réveille, mais elle ronflait, profondément endormie.Alors je me laissais aller au plaisir des délicieuses caresses buccales de ma fille. Malgré son jeune age elle était incroyablement douée. Si bien que je ne tardais pas sentir la jouissance monter. Je voulais dire à Amandine d’arrêter, mais j’avais peur de réveiller sa mère. J’essayais de me retenir. Mais c’était impossible. Alors je me suis laissé allé à jouir. Loin de la dégoûter, elle se régala de sentir mon sperme couler dans sa bouche. Elle ne retira pas ma queue, avala jusqu’à la dernière goutte de mon jus. Jamais ma femme ne m’avait fait ça. Michelle n’avait d’ailleurs jamais mis beaucoup d’entrain au sexe, et ne m’excitait même plus beaucoup. Elle était devenue grosse et ne faisait plus attention à elle. J’avais même du mal à bander avec elle. Alors qu’avec Amandine, il suffisait que j’aperçoive son petit cul tout rond pour sentir ma queue durcir. Je sais que ce n’est pas bien de la part d’un papa respectable, mais c’est la vérité...D’autant plus qu’Amandine n’a jamais été spécialement prude et se baladait souvent dans la maison en petite culotte...des pièces de tissu qui ne cachaient pas grand chose, d’ailleurs...Un jour, alors que nous étions seuls, un après midi d’été, Amandine avait retiré sa culotte et m’avait présenté son petit minou.— Papa, j’ai envie que tu me le fasse aussi. C’est toujours moi qui te le fait !Quelle bonne idée ! Mettre le nez dans sa petite chatte fut un plaisir incroyable. Comme c’était bon le sexe d’une jeune fille ! C’était plein de parfums si excitants. Je me régalais de sucer, lécher, déguster son jus qui embaumait mes narines, coulait dans ma bouche. Là aussi je comparais avec sa mère. Le sexe de Michelle avait depuis quelques années un goût rance. Même si elle se lavait, ca sentait la chatte mal aérée...Du coup, quelle différence avec la fraîcheur de la chatte d’Amandine ! Je revivais, c’était une nouvelle naissance pour moi. Je rentrais mon nez tout au fond de sa chatte, et plus Amandine mouillait, plus je me régalais de son suc. J’en étais fou.Un samedi matin, Michelle était partie tôt pour faire des courses. En entendant sa mère sortir, Amandine vint me rejoindre au lit. Elle se saisit de ma queue pour jouer avec, comme à son habitude. Je lui proposais un 69. — Tu vas voir, ma chérie, c’est très sympa et agréable !On s’est mis à poil, je me suis allongé sur mon lit, et j’ai demandé à Amandine de venir au dessus de moi. En même temps qu’elle attrapait ma queue dans sa bouche, je commençais à lui brouter le minou.Autant vous dire qu’Amandine a adoré. Mais au bout d’un moment, elle m’a regardé d’un air triste. — Papa, je te plais pas ?— Tu es folle, ma chérie ? Bien sûr que tu me plais ! Pourquoi tu me dis ça ?
— Parce que je suis là, on est tous les deux tous nus, et jamais tu me proposes de... enfin, d’aller jusqu’au bout, quoi....

J’hallucinais. Ainsi ma fille me proposait de la baiser...Je ne pouvais refuser.— Ok ma chérie. Je t’aime et on va le faire. C’est bien ça que tu veux ?— Oui papa. Je veux sentir ta queue au fond de moi.

J’évaluais l’horaire de rentrée de ma femme. Elle en avait au moins pour une heure.Largement de quoi s’éclater un bon coup avec Amandine.Alors je me suis allongé sur elle, j’ai écarté ses jambes et doucement j’ai rentré mon sexe. Bien sûr ma chérie était vierge et son vagin était très étroit. Cela ne gâcha en rien notre plaisir.J’ai ainsi entamé tout une série de va et vient à l’intérieur. C’était le bonheur total. Je regardais avec satisfaction ma queue aller et venir dans sa vulve mignonne. Comment aurai je pu m’imaginer un jour pénétrer cette jolie fente que j’admirais depuis des années, mais qui en théorie est interdite aux papas.— Plus fort, papa, je ne suis pas en sucre ! Alors j’y allais de plus belle. Je démontait littéralement ma puce de grands coups de rein vigoureux. En la baisant, je l’attrapais par les fesses et la soulevais littéralement du lit.Amandine gémissait de plaisir.— Ca va ma chérie ? Je te fais pas mal ?— Ha non papa, continue, je t’en supplie. C’est trop bon ! Je m’appliquais, redoublais d’ardeur.Amandine gémissait, se tortillait de plaisir dans tous les sens. Puis d’un coup elle poussa un cri de plaisir. — Ha c’était bon ! Papa, je sais pas ce qu’il y a... Je me suis senti toute drôle. C’était délicieux, comme une vague qui m’emportait. Qu’est ce qui s’est passé ?— Tu as joui, ma chérie ! Amandine ferma les yeux profitant encore du plaisir.Je continuais mes va et vient doucement en elle.— Que c’est bon, papa ! Ca fait tellement du bien !Elle ouvrit les yeux, me regarda avec un air interrogateur. - Et toi papa ? Tu veux gicler en moi ?— Tu es folle ma chérie, c’est pas possible. Tu ne prends pas la pilule, n’est ce pas ?— Heu, non...Je sentis qu’Amandine était déçue.— Alors viens jouir sur mes seins, papa.Décidemment ma fille chérie avait de très bonne idées...Je ressortais alors ma queue de son délicieux petit vagin et venais la placer entre ses seins.C’était une des rares choses qu’Amandine et sa mère avaient en commun : une paire de seins tout à fait conséquents, des belles mamelles, qui avaient poussé très tôt chez ma fille, pour le plus grand plaisir de son papa... Je repris quelques va et vient entre ces magnifiques seins. C’est à ce moment là qu’un bruit de moteur raisonna à l’extérieur de la maison. C’était la voiture de Michelle.— Merde, maman reviens déjà ! s’écria Amandine, dépêche toi papa !J’étais trop excité pour m’interrompre. J’accélérais mes mouvements entre les nichons de ma fille. Qu’ils étaient beaux ses seins ! Je sentis à mon tour la jouissance me gagner. Je me lâchais sur cette belle poitrine. Un jet de sperme blanc inonda ses seins, jusqu’à son visage. Amandine en avait partout. Elle se l’étala sur les seins avec délectation. Elle voulu mettre ma queue dans sa bouche pour finir de lécher mon foutre, mais je dû l’interrompre.— Ta mère va rentrer d’une minute à l’autre. Va vite dans la salle de bain, ma chérie !Toute dégoulinante de mon jus, Amandine se précipita dans la salle de bain, pendant que j’essuyais les traces de sperme sur le sol. J’avais à peine enfilé mon caleçon, que Michelle passa la tête à la porte de la chambre.— Coucou ! Alors, pas encore levé ?Allez debout, je vous ai apporté des croissants.— Ha super, répondis je un peu gêné quand même. J’arrive !Je rejoignai ma femme dans la cuisine. Quelques minutes après Amandine ressortit de la salle de bain avec son peignoir sur le dos.— Ha tu es déjà là, maman ?— Oui ma chérie. J’ai des croissants . Tu en veux ?— Ho oui cool ! Je ne sais pas ce que j’ai ce matin, j’ai très faim ! Amandine me jeta un rapide clin d’oeil. Son peignoir était négligemment ouvert sur sa poitrine. Elle me fit même aperçevoir un bout de téton. Puis, profitant que sa mère avait le dos tourné, elle se pencha vers moi et me susurra :— J’ai encore envie de ta queue, papa... 
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