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Amandine : la rencontre

Chapitre 1

Divers
 Amandine...
 Cette histoire s’est déroulée durant ma troisième année à l’université. À l’époque, je n’étais pas très expérimenté sexuellement. J’avais eu deux copines avant Amandine ; pas de relation sexuelle avec le première des deux, et la deuxième était si réservée que je ne m’étais jamais fait sucer. Elle n’était pas très douée en général, ce qui est assez frustrant, quand on a les couilles pleines à craquer et une envie qui nous ferait décharger dans le premier thon croisé dans une épicerie pourrie un soir d’averse, pourvu que ça ait un cul. Bref ! Heureusement que j’ai rencontré par hasard une fille qui me réservait bien des surprises, et bien des occasions de me vider les couilles de la meilleure des manières, c’est-à-dire avec elle, ou plutôt sur elle, ou dans tous les jolis trous où je pouvais me glisser.

 À cinq heures, je suis sorti du dernier cours magistral de la semaine, un peu assomant, même si mes études me plaisaient. Il y a des moments où il devient difficile de se concentrer, surtout là, au bout de six mois sans baiser, ou ne serait-ce que me faire pomper la queue par une jolie demoiselle. Mes couilles étaient pleines à craquer. Je n’étais vraiment pas dans l’état psychologique et physique adéquat pour faire une rencontre aussi bouleversante pour ma pauvre queue sans défense... C’est donc à ce moment que j’ai levé mes petits yeux, occupés à vagabonder dans le hall en imaginant y trouver une belle poitrine à contempler. Et qu’est-ce que j’ai vu ? Deux grands yeux bleus, qui, eux seuls (signe prémonitoire, peut-être), auraient pu me faire venir dans mon pantalon. (Je vous jure... Quand on les connaît...) Cette belle créature, c’était Amandine, emmitouflée dans son manteau et dans son écharpe.
— Est-ce que ça va ? (un soupçon d’inquiétude dans la voix)— Moi ? Euh... Oui ! (Je me réveille.)— Tu faisais une tête... (en me regardant d’un oeil joueur)— Oui, ça m’arrive de rêvasser... Moi, c’est ******.— Amandine !
 Ses lèvres sont rouges. Sa peau est d’un blanc éclatant. Ses cheveux roux lui tombent sur les épaules, en petites boucles... Je ne devine pas ses formes à travers son manteau épais, mais elle me plaît déjà beaucoup... J’ai déjà envie de barbouiller ma queue de rouge à lèvre.
— Ca te dis pas, plutôt, d’aller discuter autour d’un café ?— Oui ! Avec plaisir !
 Nous allons à la cafétéria de la fac, je lui offre un café, on bavarde, elle n’est pas exubérante, mais elle a de la conversation ; elle est en master, et... j’ai du mal à me souvenir ce qu’elle m’a appris d’autre, puisque ma mémoire a comme... planté, quand elle a enlevé son manteau, son écharpe, ses gants, tout ce qui m’empêchais de me rincer l’oeil en faisant mine de discuter. Elle pose son sac à côté de sa chaise. Elle commence par enlever son écharpe, tout en continuant de me parler. Elle me dévoile son cou, d’un blanc à tomber, j’ai déjà envie de l’embrasser. Viennent les gants. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours adoré les belles mains de femmes. Quand je vois de jolis doigts aux ongles soignés, ça peut provoquer une trique d’enfer. Sur ma queue, je vous laisse imaginer. Et elle sort une main, blanche, comme le reste de son corps, ornée d’ongles plus que soignés : une manucure, en dégradé, du rouge à la base, au noir au bout, décorée de paillettes dorées. Il n’y a pas plus classe que de belles mains, c’est la cerise sur le gâteau. En parlant du gâteau, c’est au manteau de sauter ! Et c’est là, véritablement, que tout le sang qui circulait dans mon cerveau migre dans mon sexe. Elle porte des escarpins noirs vernis, que je n’avais pas remarqué ; mais au bout de ses jambes, ça fait tout de suite son effet. Une jupe moulante, et... "remplie", par un cul que je prendrais bien en levrette, là, devant tout le monde. Elle se baisse, pour mettre quelque chose dans son sac. Je bande énormément, c’en est presque douloureux. Elle se retourne. Elle pose sa main gauche sur la table : un doigt posé sur ma queue et je décharge, c’est à peu près ça qu’on pourrait attendre de moi. Elle porte une chemise, qui laisse deviner une poitrine imposante (sur laquelle je giclerais bien tout de suite !). Je suis presque furieux, tellement je suis excité. Et elle, elle me parle... Je cache mon érection sous mon manteau. J’ai envie de la faire taire avec ma queue ! Si elle continue, je vais devenir fou ! Je lève les yeux un instant, pour tenter de reprendre le contrôle. Mais mon regard redescend sur elle, et ça ne s’arrange pas. Pas du tout.
— Il fait chaud ! Tu ne trouve pas ?, dit-elle, insouciante...— Moi, ça va. (Je tente de garder mon calme.)
 Elle lève alors sa main droite, et la porte aux premiers boutons de sa chemise. Elle attrappe le premier, entre ses doigts aux ongles vernis, et le défait. Un peu plus de peau blanche, je bande encore ! Elle a du mal à défaire le deuxième, elle y va à deux mains, et écarte les deux pans de tissu. Encore plus de peau, je ne sens plus ma queue.
— Excuse-moi, dis-je poliment, il faut que j’aille aux toilettes (me finir).— Pas de souci, je t’attends.
 Elle me fait un clin d’oeil. Je pars. Vite, très vite. Je me dirige vers les toilettes, passe la porte, entre dans une cabine, ferme le verrou, et baisse mon pantalon et mon boxer. Ses grands yeux bleus, les boucles rousses qui tombent sur la peau blanche de son cou, ses lèvres rouges, ses mains manucurées, son décolleté. Je saisis ma queue. Un vas-et-viens. Et je gicle avec une telle puissance que j’asperge le mur en face de moi. J’ai failli tomber tellement l’orgasme a été violent... Je ne prends même pas la peine de nettoyer, tellement ça m’a calmé. Je reviens dans la cafétéria. Elle m’attendais, elle me souris quand j’arrive. Son regard a changé.
— Cochon, me sort-elle.— Hein ?, je feins la surprise.— Petit cochon, ajoute-t-elle en me faisant un clin d’oeil.— Je... (Je ne sais pas quoi répondre. Je suis un peu gêné. Mais cette complicité soudaine provoque une nouvelle érection.)— Rejoins-moi à vingt-et-une heures, devant chez moi.
 Elle écrit son adresse sur un bout de papier. Elle part, son manteau à la main, en se déhanchant un peu. Elle sait que je la mate. Elle se retourne, et m’envoie un baiser, de ses jolies lèvres, de ses jolies mains. Je suis fou. Je retourne aux toilettes.
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