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Amandine, ma voisine d'en face

Chapitre 1

Erotique
Je lève la tête de mon écran. Je la vois en tee-shirt. Elle accompagne son copain, son mari, je ne sais pas, vers la porte, lui dit au revoir. Elle file vers la salle de bain. Quand elle sortira, elle sera habillée...
Je me remets à l’ordinateur. Il faut que je m’active. Il me reste plein de sites à voir. A priori, elle aussi, doit être à la recherche d’un travail. Elle vient d’arriver dans la ville. J’ai vu par la fenêtre sa plaque... « 31 », Toulouse...
Jolie comme elle est, elle n’aura pas de mal à trouver. La voir déambuler, vaquer à ses occupations au fil de la journée, va me manquer. Je consulte les pages à l’écran qui défilent. Dès que cela ressemble de près ou de loin à mon profil, je clique pour marquer. Aujourd’hui, je vais envoyer une dizaine de CV.
Par la fenêtre ouverte de son appartement, j’entends le téléphone sonner. Peut-être un employeur qui la contacte... Déjà !... La porte de la salle de bain s’ouvre. Une main sur une serviette plaquée contre ses seins, elle se rue vers le téléphone dans le fond du salon. Elle décroche, pressée... Houuuuh !... Sa serviette ne la couvre pas derrière. Ses fesses m’apparaissent, douces, rondes...
Elle se rend compte de sa tenue. Elle tourne le regard vers mon immeuble. Elle scrute de haut en bas les étages. Elle dit deux-trois mots à son interlocuteur, raccroche. Elle se tourne pour voir. Personne. D’où je suis, elle ne peut pas m’apercevoir. Elle retourne vers la salle de bain, ferme la porte derrière elle. Je fixe le grand aplat de peinture blanche qui s’étale sur le bois. J’ai sur la rétine imprimé ses jambes, son dos, ses deux rondeurs blanches...
L’après-midi, je sors. Je ne sais pas pourquoi, plutôt que de rester sur mon trottoir, je me dirige vers l’immeuble en face. J’entre. Je scrute les boîtes. Troisième étage, il n’y a qu’une plaque. Normal, l’appartement à coté du sien n’est pas loué. Je lis : « Amandine et Florent Colin »... Amandine !... Huuummm, joli prénom !... J’entends venir. J’ai peur. Je sors à toute vapeur dans la rue, essoufflé avec le coeur qui bat. Je ne sais pas pourquoi je réagis comme çà. Elle ne m’a jamais vu. J’aurais pu venir voir quelqu’un dans son allée. Je ris de moi...
Le lendemain matin, son mari est parti. Elle est dans la salle de bain. Je suis sur mon écran, pas du tout à mon travail. Il me vient une idée. Je regarde l’annuaire en ligne... Colin, 10 passage du Printemps... Oups !... Amandine et Florent, c’est çà !... Je vois le numéro, je compose. J’entends le téléphone sonner chez elle. La porte de la salle de bain s’ouvre. Elle court dans sa serviette qu’elle plaque contre ses seins...
— Oui ?...
Je regarde ses fesses. J’ai du mal à parler...
— Oui, allo ?...
Sa voix est douce, chantante comme le Sud-ouest de la France...
— Heu... Bonjour... Pourriez-vous répondre à quelques questions pour un sondage ?...— Je n’ai pas trop le temps.— Il y en a pour deux minutes...
— C’est sur quoi ?...— La mode !...— Ah ?... C’est d’accord !.. Mais rappelez dans un quart d’heure. Là, je ne peux pas vous répondre...
Un peu plus tard elle réapparait, petite robe d’été, les cheveux coiffés. Elle s’installe sur le canapé, près du téléphone, attrape un magazine, le feuillette. Je me mets à penser qu’elle attend mon appel. Cela me fait drôle de le savoir. Le regard rivé sur elle, un à un, je compose les dix chiffres de son numéro...
— Oui ?...
Je n’ai rien préparé. Il me faut assuré. Je me lance. Je pose quelques questions bateau sur la mode en général. A priori, elle n’a pas l’air de trouver çà trop idiot. Elle s’applique à répondre, réfléchissant sur chacun de ses oui, non, peut-être, j’aime assez, bien, beaucoup. On sent le plaisir qu’elle a à parler de ce sujet qui la touche. Cela me rend plus sûr. Mes questions se précisent. A un moment, je lâche..
— Là, vous portez quoi ?...
Ma demande est abrupte. Je n’aurais jamais dû poser çà. Elle va se douter que je ne suis pas enquêteur, me raccrocher au nez. C’est tout l’inverse qui se passe... Son sourire s’élargit, un peu comme si elle avait prévu cette question, la trouvant tout à fait normal dans un sondage sur ce thème. Sans attendre, elle parle de sa robe claire qui se ferme par des boutons jusqu’en bas à l’arrière. Elle décrit le tissu, la forme, la couleur, la hauteur sur la cuisse, le nombre de boutons. Je n’en demandais pas tant. Je ne sais plus quoi dire...
— Bien... Je vous remercie, d’avoir accepter de répondre...— C’est fini ?...— Oui...
Elle semble déçue. Je me pince les lèvres. Dans un instant, elle va me dire au revoir, raccrocher. Je ne peux pas laisser faire...
— Par contre...— Oui ?...— Par contre, j’ai une autre enquête plus longue sur le même sujet. Vous seriez intéressée pour y participer ?...— Pourquoi pas ?...— Je peux vous rappeler demain ?...— Oui... A la même heure si vous voulez ?...— D’accord !...
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