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Amandine, ma voisine d'en face

Chapitre 5

Erotique
— J’ai mis la tenue que tu m’as demandée...
Je regarde Amandine dans son jean, son top qui ne couvre pas le bas de ses seins. Elle se tourne vers la glace, commence à énoncer chacun des vêtements qu’elle porte, jean taille basse moulant mode, tee-shirt à brides fines...
— Pas de soutien-gorge...
Disant çà, elle se pince les lèvres, regarde son reflet. Ses doigts glissent sur le tissu blanc, s’arrêtent à hauteur de la pointe du sein, le massent. Je le vois qui se tend...
— Mes cheveux, je les ai laissé libre. C’est le coté nature du jean. Il ne faut pas le contrarier...
Ses doigts s’immiscent sous le haut. Sauvage, sa main pétrit son sein. Le bout des doigts excite le téton. Elle ferme les yeux. Sa langue passe sur ses lèvres. Elle a un gémissement...
— Enlève ton jean !...
Elle rouvre les yeux, mord le bord de sa bouche, regarde à la fenêtre, hésite. Personne. Elle défait un bouton, deux, trois, descend le pantalon de toile bleue, le fait passer par dessus ses pieds nus...
— Tu portes un string ?...— Oui... Plutôt simple. De couleur blanche, de tissu douillet, évasé sur les fesses...— Enlève-le !...
Elle se mord, regarde à la fenêtre, le descend. Elle est nue, les fesses à l’air. D’où je suis, on ne voit pas devant...
— Je suis debout, face à la glace. Je n’ai que mon tee-shirt blanc...
Il y a une musique qui sonne...

— Excuse-moi, Mathis !...
Elle court vers son sac à main, en sort son portable qu’elle ouvre...
— Florent ?... Je n’ai pas trop le temps. Qu’est-ce que tu veux ?...
De dos, ses fesses rondes presque collées à la fenêtre, m’attirent...
— Écoute, je ne peux pas te répondre. Rappelle toute à l’heure !...
Elle coupe le portable, reprend le téléphone...
— Je dois y aller, Mathis !...— Maintenant ?...— Oui. J’ai un rendez-vous urgent...— On reprendra demain ?...— Non, je ne préfère pas...— Quand ?...— Jamais !...
Elle se mord les lèvres, raccroche. Je me retrouve bête. Je la vois enfiler à pleine vitesse son jean. Elle n’a pas remis le string. Je regarde cette fille en tee-shirt et blue-jean avec rien dessous. Je prend le téléphone, refais son numéro...
— Amandine, je dois terminer mon enquête !...
Elle hésite...
— D’accord !... Rappelle demain !...
Je raccroche. Elle reste là, devant la glace, ramène ses cheveux à l’arrière, tourne la tête, de droite à gauche, de gauche à droite pour mieux se voir. Tenant d’une main sa queue de cheval improvisée, elle fait passer l’autre sous son haut, caresse son sein, se mord...

On est le lendemain. Elle sort de sa chambre. Elle tient contre elle un gros oreiller blanc. Rien d’autre. Elle se dirige vers le téléphone...
— Bonjour Mathis !...
Elle lève un bras en l’air pour s’étirer de tout son long, baille lentement...
— Huuuummm, je me réveille. Je ne vais pas pouvoir rester. Je ne suis pas très habillée. Je n’ai sur moi qu’un oreiller...
Elle se met à rire...
— C’est la seule chose que j’ai trouvé pour me couvrir !...
Elle se tourne vers la fenêtre pour voir si quelqu’un regarde. Non. Un sourire se dessiné sur son visage quand elle revient à moi. Elle semble électrique. Sa nuit n’a pas dû l’être moins...
— Ah si, j’oubliais, j’ai aux pieds une paire de petits talons hauts...
Menteuse !... Je vois bien qu’elle n’a rien. Elle sourit, se mord les lèvres...
— Beaux, de cuir noir, tenus par des brides fines, ils mettent en valeur le galbe de ma peau jusqu’aux bout des orteils. Je les portais hier lors de mon entretien. Je t’ai peut-être dit... J’avais une robe légère, décolletée, qui avait tendance à voler. Dessous, un tanga fin. Je ne le sentais pas. En haut, je n’avais rien. Il a fait si chaud !...

Elle passe sa main dans ses cheveux, les plaque contre sa peau. Ses cuisses pressent le bas de l’oreiller...
— Je voudrais que tu voies...
Elle rit...
— Ce n’est pas très pratique au téléphone. Heureusement, d’ailleurs !... Avec la tenue que j’arbore tout de suite, tu aurais une vue plongeante sur l’oreiller qui me couvre, mes talons hauts et mes fesses, bombées, rondes, ressortant sous la chute des reins. Je vais devoir y aller !... Si un voisin me voyait à la fenêtre comme çà !...— Tes seins ?...
Elle sourit, baisse un peu son oreiller faisant apparaître le bord de sa poitrine...
— Ils sont mignons, je crois, un peu présents sans trop, les aréoles claires...
Elle remonte l’oreiller sur sa poitrine...
— Et en bas ?...— Écoute, Mathis...
Elle resserre ses jambes sur l’oreiller...
— Comme toutes les femmes...
Elle entoure le duvet, se mord, élance un peu sa tête vers l’arrière...
— Rien d’original. Une toison douce qui s’étale le long d’une fente...
Elle serre l’oreiller plus fort. Elle ferme ses yeux. J’entends son souffle monter...
— Elle n’a rien de spécial. Si ce n’est le fait que je l’ai faite tailler, hier. Juste avant mon entretien...
J’entends son souffle monter. Elle bouge ses cuisses sans cesse, se presse à l’objet de plume oubliant qu’on peut la voir. Des sons parviennent à mes oreilles...
— Mmmmmm... La jeune fille qui s’est occupée de moi était une vraie artiste. Elle avait des doigts doux. Elle les passaient sur mon corps, serrée contre ma peau. Le tissu de sa blouse courte, s’ouvrait, caressait le bord de ma jambe. Les lèvres entrouvertes pour mieux se concentrer, elle s’appliquait de son mieux. Il faisait chaud. Un moment j’ai cru que j’allais m’évanouir.Après, quand je me suis regardée dans le miroir qu’elle m’a donné, j’ai trouvé çà parfait. Rien ne dépassait. La forme était superbe. On aurait dit de l’art. Certaines mains ont parfois quelque chose de magique pour dessiner des lignes, des courbes. Si tu pouvait le voir, Mathis...— Je vais venir !...
Sa main s’enlève d’un coup.
— Non, ce n’est pas possible...— Si.
Elle se pince les lèvres...
— Il te faudrait beaucoup trop de kilomètres pour que tu puisses me rejoindre...— Non, j’habite pas très loin de chez toi...
Elle s’affole un peu, semble désorientée. Elle me dit que ce n’est pas possible, que je suis sur Paris ou sur une autre plate-forme quelque part ailleurs !... Je lui explique que j’habite sa ville, que je vais venir...
— Écoute, Mathis, je suis mariée. Je crois que je me suis un peu laissée aller. Je ne voudrais pas que tu penses... Je ne veux pas te voir. Je me suis emportée, voilà tout. D’ailleurs on va arrêter là. Je n’ai plus le temps pour l’enquête. J’ai des entretiens. Je dois les préparer. Adieu !...
Elle me raccroche au nez. J’essaie de rappeler toute la matinée. Elle ne me répond pas...
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