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Amélie et les voisins

Chapitre 2

Trash
Amélie sonna chez les voisins ; un homme qu’elle ne connaissait pas lui ouvrit, un verre à la main.
— Bonjour Monsieur.— Tu dois être Amélie, la petite voisine. Moi, c’est Benoît ; appelle-moi Ben.
Il se pencha pour embrasser Amélie sur les deux joues ; elle se sentit rassurée par cet accueil. Ben était un grand Noir au visage ouvert, yeux sombres brillants de malice et – peut-être – d’alcool. Elle entra et il lui laissa découvrir le séjour encombré de cartons mais avec trois grand canapés et une télé géante où passait un clip de musique latine. Shakira se trémoussait en chantant.
— Nous travaillons tous à Blagnac, personnel au sol. Nous louons ici en coloc, entre Antillais. Pourquoi tu souris ?— Je m’en doutais, c’est tout ; je ne voulais pas me moquer de vous.— Pas de lézard. Tu es rudement jolie, dis donc. Tu dois avoir plein d’amoureux !— Non. Je veux dire, j’ai Monsieur Jules, et voilà.— Ce Monsieur Jules, ce doit être un drôle de numéro pour te faire cet effet.
Amélie rougit et baissa la tête, ne sachant que répondre ; à ce moment, les deux Noirs qui étaient venus la voir la veille entrèrent dans le séjour et s’approchèrent d’elle.
— Salut, Amélie. Tu vas bien ?— Bonjour Monsieur ; oui, ça va.— Tu es jolie comme un cœur dans cette petite robe fleurie. Au fait, moi c’est Jérémie, lui André ; méfie-toi : c’est un bourreau des cœurs !— Alors, comment ça se fait qu’une jolie fille comme toi reste enfermée toute la semaine ? Il te bat ? Et tu ne pars pas ? Tu ne portes pas plainte ?— Non, je l’aime bien. Mais je suis triste, il me trompe, maintenant.— Il est vraiment con ! Une petite perle comme toi…
Les deux autres occupants entrèrent alors en riant.
— Salut, la miss. Moi, c’est John ; et le beau gosse, c’est Valentin. J’ai l’impression que tu es la seule voisine à avoir accepté de venir : les autres ont tous décliné. Alors bienvenue, et merci.

Ils lui firent de grosses bises en la serrant dans leurs bras musclés un peu plus longtemps que nécessaire, lui faisant sentir leurs musculatures puissantes. Amélie se sentait un peu rassurée dans les bras de ces jeunes qui semblaient ouverts et sympas ; elle se disait que, tout compte fait, elle avait bien fait d’accepter et qu’elle se ferait de nouveaux amis. Vu que Jules ne s’intéressait plus à elle, ça lui faisait du bien d’avoir de l’animation autour d’elle. Son moral était un peu en hausse ; elle accepta un verre de punch et trinqua avec ses cinq nouveaux voisins.
Le punch était chargé en rhum, mais très doux et parfumé : orange, mangue, grenadine. Après vingt minutes, Amélie était un peu pompette, plus décontractée ; elle riait aux blagues un peu grivoises des cinq hommes. Ils étaient passés sur la terrasse carrelée autour d’une jolie piscine à l’eau bleue turquoise. Les hommes se retrouvèrent très vite en maillot de bain, mais Amélie hésitait : elle savait que son cadenas était trop gros pour être masqué par son slip de bain.
— Allez, Amélie, tu veux de l’aide ? Je suis prêt à t’aider, mais tu vas te retrouver à poil !— Non, je vais le faire ; je finis mon verre et je vais me baigner. Allez-y déjà, vous…— Je sens que tu veux de l’aide, sûrement de Valentin : tu le regardes sans arrêt !
Amélie rougit jusqu’aux oreilles ; heureusement, ce n’était pas trop visible avec sa couleur de peau, mais c’est vrai qu’elle trouvait Valentin super mignon. Elle prit son courage à deux mains et souleva sa robe pour la passer au-dessus de sa tête, apparaissant en bikini bleu ciel à fleurs jaunes et rouges.
— Tu es canon, la petite puce. Un petit lot comme toi, ton ami est un imbécile de te laisser seule toute la semaine.— Merci, vous êtes gentil.— Tu nous tutoies ; tu nous trouves si vieux que ça ?— Non, c’est Monsieur Jules qui veut que je vouvoie tout le monde ; il dit que je ne suis qu’une gamine idiote et que je dois montrer que je suis polie.— Eh bien, il a des idées bizarres, ton Jules ! Et tu lui obéis toujours ? Il te punit ? Quand je t’entends parler de lui, je me dis que vous avez de drôles de relations, tous les deux.
Sans préavis, il sauta sur Amélie en riant, la souleva et la jeta dans la piscine ; elle hurla jusqu’à ce que l’eau se referme sur elle puis nagea vers le bord, évitant Valentin qui avait sauté à l’eau. Il comprit qu’elle nageait bien mieux que lui, un vrai poisson, glissant sur l’eau ou sous l’eau tout en ondulations, sortant la tête un instant pour reprendre de l’oxygène. Elle riait quand elle ressortit à quelques mètres de lui, ses yeux noirs plissés de contentement.
— Les gars, cette gamine est une vraie loutre ! Tous avec moi : à cinq, on va bien réussir à l’attraper, cette jolie crevette !
Amélie poussa un cri perçant quand ils plongèrent tous et foncèrent sur elle ; elle essaya de sortir mais n’eut pas le temps ; une main la tira en arrière par la cheville et elle se retrouva rapidement ceinturée et entourée par les cinq hommes. Valentin la prit dans ses bras et la serra contre lui. Elle avait posé les mains sur ses épaules et ne souriait plus, un peu inquiète quand même. Elle se raidit quand son soutien-gorge fut délacé ; elle se doutait que ça allait arriver. De toutes manières, sa poitrine était si menue qu’elle n’en avait aucunement besoin. Mais elle protesta quand son slip descendit soudain jusqu’aux genoux, puis sur ses pieds avant de tomber au fond de la piscine.
— Pas ça, vous exagérez… Je suis toute nue, je ne veux pas !— Tu veux qu’on fasse pareil ? D’accord, voilà ! Tu es satisfaite ?
De nombreuses mains caressaient son dos, ses fesses, ses cuisses. Sachant que c’était inutile, elle ne protestait plus, accrochée au cou de Valentin. Elle avait posé la tête dans le creux de son épaule, fataliste. Troublée aussi par toutes ces mains qui la caressaient, par le corps viril contre lequel elle se collait. Elle frémit quand Valentin la souleva par les fesses et se sentit obligée d’écarter les jambes pour croiser les chevilles sur les reins du garçon ; dans cette position, elle était à la même hauteur, ses yeux bleus fixés dans ceux de Valentin, pleins d’appréhension.
— Vous n’allez pas me faire de mal ! J’ai peur…— Ma puce, nous sommes des bourrins, mais pas des brutes ni des salauds. Dès que tu en as assez, tu dis stop et nous te respecterons. Et moi le premier ; tu es si jolie, si fragile ; pour rien au monde je ne te blesserais ni ne laisserais quelqu’un le faire.
Il sortit de la piscine en serrant Amélie qui ne disait rien et le fixait toujours aussi gravement, et s’assit sur un bain de soleil qui craqua un peu sous son poids. Et il embrassa Amélie, doucement, sur les lèvres ; à sa surprise, elle ne se déroba pas et inclina la tête en ouvrant la bouche, acceptant sa langue et dardant la sienne toute fine. Le petit baiser tendre se transforma en danse des langues et échange de salives. Amélie embrassait comme si elle se donnait entièrement, en poussant de petits cris de gorge. Ses mamelons turgescents étaient durs et se frottaient contre le torse de Valentin qui était aux anges.
Lequel était gagné par la fièvre, le baiser torride échangé avec la belle jeune fille consentante faisant bouillir son sang dans ses veines. Après quelques minutes, il souleva Amélie et la posa devant lui, debout entre ses cuisses écartées ; il était le seul à porter un maillot de bain, et celui-ci était déformé par une monstrueuse érection. C’est quand il se recula pour admirer le corps menu d’Amélie qu’il aperçut le cadenas ; doucement, il passa la main sur le pubis et toucha le métal froid et mouillé, soudain conscient que la jeune fille était au bord des larmes.
— Il t’a fait ça, le fumier ! Ma puce, c’est rien, je vais t’enlever cette saloperie, tu n’as pas à avoir peur… Ne pleure pas, ma puce ; tu es avec des amis, personne ne te fera de mal. Tu as une clé ?— Non, il la garde sur lui. Je suis désolée…
Maintenant, elle pleurait silencieusement ; de grosses larmes roulaient sur ses joues. Il l’a serrée contre lui, lui laissant le temps de se calmer en caressant doucement son dos, ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle frissonne. Puis il a soulevé son menton et lui a donné un petit baiser sur les lèvres, et elle lui a fait un pauvre sourire.
— Tu sais que nous sommes de pauvres bricoleurs, nous tous, mais on va te l’enlever, je te le promets.— Merci, vous êtes trop gentils, tous les cinq ; je vous aime bien.
Et elle embrassa Valentin, un nouveau baiser torride qui embrasa leurs deux corps. Après quelques minutes, elle se laissa glisser à genoux devant lui et lui fit un sourire espiègle ; il se leva et immédiatement Amélie baissa le maillot jusqu’au sol. La lourde verge de Valentin jaillit, enfin libre, devant son visage ; les yeux de la jolie eurasienne s’arrondirent en voyant la taille de l’engin. Et encore plus quand elle fut entourée par les quatre autres hommes, dont les virilités n’avaient rien à envier à la première.
Elle baissa la tête, confuse, troublée. Elle n’avait jamais fait l’amour avec deux garçons en même temps ; alors cinq ! Elle se disait qu’ils seraient gentils avec elle, bien plus que ne l’avait été Jules pendant tous ces mois. Par contre, elle ne savait pas si elle supporterait d’être sodomisée par des verges si épaisses. Elle avait un peu peur, mais elle était excitée par la situation ; son ventre était lourd de désir, en attente. Elle murmura, si bas que seul Valentin put comprendre :
— J’ai un peu peur ; Valentin, tu veux bien me prendre le premier ? Ne me blesse pas, s’il te plaît.
Amélie l’avait tutoyé tout naturellement, et Valentin comprit que c’était le premier blocage qui disparaissait sur le long chemin vers la liberté qui l’attendait.
— Ma puce, je vais faire attention, je te promets. Bien te préparer et te lubrifier ; tu as vu nos queues…— Elles sont énormes ! J’en ai envie, tu sais, mais elles sont toutes sacrément grosses… Je n’y suis pas habituée.— Viens, on va dans ma chambre, rien que toi et moi. Comme ça, tu seras rassurée, je pense.— Oui, merci ; je n’osais pas te le demander.
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