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Un ami dans le besoin.

Chapitre 1

Travesti / Trans
Un ami dans le besoin.
La nuit est silencieuse, l’aube va bientôt pointer son regard sur la ville. La porte de mon appartement claque en se refermant et brise le silence ambiant. Rien n’a changé depuis notre départ quelques heures plus tôt, les bières vides sont encore sur la table, le cendrier est toujours rempli de mégots, la seule différence est probablement l’absence du fumées qui s’en échappent. Florian titube jusqu’au canapé qui jouxte la table basse, et il s’y effondre avec fracas. Sa main cherche le contact du cendrier, et dans un mouvement il rallume un reste de cigarette. Les cernes sous ses yeux sont importantes, sa tignasse blonde est en bataille. En le voyant je n’ai qu’une crainte, qu’il vomisse son excédent d’alcool. C’est une vision assez pitoyable à vrai dire, voilà six mois qu’il passe ses nuits à faire la fête et à se mettre minable, soit depuis que Caroline l’a quitté. C’est fatigué et la démarche hésitante que je me dirige vers le plan de travail pour faire deux expressos. En revenant je me rends compte qu’il navigue sur mon ordinateur portable. Je lui tends son café et me pose mollement à ses côtés. Je somnole rapidement quand tout à coup un bruit brise le silence._ Ouah, la vache mais c’est qui cette bombe atomique !!!Je sors de ma torpeur. Il est en train de regarder le dossier Noémie, Gloups. Il n’aurait jamais dû tomber dessus, je pensais l’avoir soigneusement dissimulé. Je deviens moite et commence à paniquer. Quant à lui on dirait qu’il en bave d’envie. _ Hey mon pote, c’est quoi cette bombe que tu as en photo ? Elle est grave bonne, c’est qui ? _ Un peu de respect tu parles de ma cousine là. Finis-je par articuler toujours inquiet. _ Un peu de respect tu parles de ma cousine là. _ Oh excuse-moi mais ta cousine c’est un avion de chasse, regarde-moi les poses d’allumeuse qu’elle prend… et toute ces photographies d’elles en bikinis ou en sous-vêtements. Hum et pourquoi tu as des photographies aussi chaudes de ta cousine ? Un amour interdit ? (il se met alors à rire, du rire si caractéristique d’une personne ayant un peu trop forcée sur la boisson). _ Très drôle, tu m’as pris pour un Lannister ? Ma cousine est juste fan de mode et aime bien faire du mannequinat amateur, or elle est incapable de retoucher correctement une photographie une vraie, blonde… C’est quoi ce sourire sur ton visage ?_ Beau cousin… _ C’est mort, tu ne t’approche pas de ma cousine. (Son air devient triste)._ Tu sais, depuis que Caroline m’a quitté j’ai l’impression d’être un boulet, une loque humaine. Je n’arrive pas à l’oublier. Voilà maintenant six mois que l’on écume les bars et les boites de nuits et je n’ai toujours pas réussit à rencontrer quelqu’un, j’ai l’impression d’être repoussant, qu’aucune fille ne voudra plus jamais de moi… (Puis il éclate en sanglots)._ Flo…_ Allez sois un frère, demande lui juste un rendez-vous, juste un, pour moi. J’aimerai avoir l’impression de revivre ne serait-ce qu’une soirée.Sa tristesse me brise le cœur, je me sens navré pour lui. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai accepté de lui présenter Noémie vendredi soir. Son désespoir a pris le dessus sur mes réserves. Ma gentillesse me perdra.

Vendredi soir, quelques heures avant le rendez-vous de Florian avec Noémie. Pendant que l’eau chaude de ma douche coule sur mon corps, la boule au ventre qui me tiraille devient de plus en plus forte. Je ne sais pas ce qui m’a pris d’accepter de lui présenter Noémie. Je n’ai jamais eu de cousine. La vérité c’est que Noémie c’est moi, j’ai accepté un rendez-vous galant avec l’un de mes meilleurs amis. Depuis mes quatorze ans je suis une jeune travestie. Quand j’ai vu Florian fouiller dans mes dossiers et découvrir mon autre moi j’ai paniqué et j’ai dit la première chose qui m’est passée par la tête et donc me suis inventée une cousine. Comment vous dire la situation délicate dans laquelle je me suis mise et l’angoisse profonde qu’elle m’inspire. Malheureusement je n’ai pas le courage de poser un lapin à mon ami, il est déjà tellement au fond du gouffre. Finalement c’est la peur au ventre mais déterminée que je quitte le confort et la cadre sécurisant de ma douche. Le fait qu’il me connaisse va m’obliger à sortir le grand jeu. Pour vous dire la vérité je passe déjà la moitié de mon temps à vivre en femme, je n’ai donc pas un immense travail de base à faire, je prends déjà grand soin de ma peau, et de mon hygiène, par exemple Mes sourcils sont déjà taillés et le peu de poils que je possède déjà épilés. Malgré tout je décide tout de même de me poser un masque pour l’occasion. Une fois l’étape des soins corporels passée, je me dirige vers mon dressing. J’ai décidé de faire le plus discret possible, je veux lui faire passer un agréable moment pour lui remonter le moral, pas le séduire. J’opte donc pour un ensemble string/soutien-gorge push-up noir, un grand classique. Puis j’enfile une robe noire avant de compléter mon ensemble par des collants couleurs chair, et une simple paire de ballerine noire. Malgré tout je me trouve séduisante, j’ai pour moi l’avantage d’une taille fine et des traits doux. Pour compléter ma tenue je choisis un vernis bleu ciel discret. Pour le maquillage j’aime surligner mon regard par des traits fins noirs et un petit rouge à lèvre rose discret, qui fait contraste avec ma peau claire. Je fini par enfiler ma perruque rousse à boucle tombant jusqu’aux épaules, un véritable travail d’artiste, seul un œil exercé pourrait douter sur le fait que ce ne soit pas mes vrais cheveux. Enfin une petite touche de la vie est belle et quelques bijoux et me voilà fin prêtes pour mon rendez-vous.

Me voilà à quelques mètres du bistro, Florian m’attend devant, il ne m’a pas encore remarqué. A une époque j’étais angoissée de sortir en femme dans la rue, j’avais l’impression d’être le centre du monde que tout le monde me regardait et connaissait mon secret. Mais avec l’expérience et l’entrainement je me suis rendu compte que mon passing était bon et qu’il était quasiment impossible de me différencier d’une femme. Depuis il m’arrive régulièrement de sortir en femme. Ah il m’a enfin vu, il affiche un grand sourire et viens me faire la bise en posant déjà rapidement une main sur mes hanches pendant la manœuvre… Ça commence bien. Il me parle rapidement et me complimente, puis me dit que c’est fou comme on se ressemble avec mon cousin (oui oui si tu savais, heureusement que tu es le genre de personne toujours à l’ouest et à ne jamais regarder les choses en détail).Le serveur nous installe à une table confortable, il m’offre un mojito à la fraise, et commence à raconter sa vie, c’est fou comme il monopolise la conversation, parfois son pied frôle le mien. Je comprends pourquoi il a dû mal avec les filles, il manque clairement de conversation, je dois avouer qu’il n’est pas très intéressant, mais je fais bonne figure après tout je suis là pour le réconforter et lui redonner confiance en lui. Pour le repas il commande une bouteille de rosée, et me remplit le verre chaque fois que celui-ci est proche d’être vide. Il essaie de me soûler. Plus le repas avance plus son pied devient insistant sur le mien, mais le pire c’est sa conversation, après la phase inintéressante voilà qu’il me raconte toute sa vie avec Caroline, et notamment des aspects sexuels.Je sais maintenant à 100% pourquoi il traverse une période de disette, il est totalement en chien, il sent le mec en manque à des kilomètres, je suis très gênée, dans son regard on peut clairement sentir qu’il veut me passer sur le corps. Si l’on rajoute un physique banal et une absence de conversations voilà un cocktail détonant. Pour le dessert il me sert un digestif, puis pendant que j’avale délicatement un sorbet sa main se pose sur la mienne, tétanisée je n’ose la retirer. Enfin l’heure de quitter le restaurent arrive, et enfin son premier bon point, il a payé l’addition. Il me propose d’aller boire un dernier verre avant de me raccompagner. Problème en vue je ne peux pas le laisser suivre son plan il s’apercevrait alors immédiatement de la supercherie en revenant à mon appartement. Je décide de l’accompagner pour gagner du temps. Hum le bar est sympathique et l’ambiance cosy.

La nuit est silencieuse, l’aube est encore loin de se lever. La porte de son appartement claque et brise le silence ambiant. Des mains caressent mes hanches, elles me plaquent avec vigueur contre la porte qui vient de se refermer. Mes mains s’attardent sur le bas du dos de Florian. Ma bouche s’ouvre avec passion, la langue de Florian entre en contact avec la mienne, nos lèvres se rencontrent, de son baiser se dégage une odeur de cigarette et d’alcool mais je ne peux stopper son étreinte, je suis totalement sous le charme de ses baisers et de ses caresses. Il commence à jouer avec sa langue, elle explore mon coup, mes oreilles, le jeu de sa bouche sur mon corps me fait craquer. Dans un soupir je me dégage de son étreinte et le prend par la main pour le guider vers le canapé. Je suis dans un état second, je suis totalement lascive. Je monte sur ses genoux pour l’embrasser avec passion, mes mains écartent les boutons de sa chemise, elles explorent son torse lentement. Puis je quitte le confort de ses lèvres pour laisser ma langue glisser le long de son torse. Puis lentement je dégrafe son pantalon, son sexe forme une formidable bosse sous son caleçon, lentement je le fais glisser également. Son sexe en érection se dresse fièrement devant moi, il est magnifique, son odeur me rend folle. Lentement je dépose de petits coups de langues pour le gouter, Florian commence déjà à gémir. Puis lentement ma bouche s’ouvre pour aspirer son gland, je suis accro aux sexes d’hommes, j’adore sucer. Son pénis est vaillant dans ma bouche, mes mains jouent avec sa verge. Je n’entends plus que ses gémissements de plaisirs, ses mains caressent mon cou et mes cheveux, je le sens me donner quelques petits coups de queues par moment. Rapidement je sens sa verge se raidir, et sans prévenir une décharge de sperme remplie ma gorge, sous la surprise je tousse, le gout est acide mais j’apprécie plutôt. Malgré tout je suis déçue, déjà, moi qui voulais me faire prendre ce soir… Mais bon, après six mois de disette il était évident qu’il ne tiendrait pas longtemps.Je commence à me relever, et à remettre ma robe en place, quand une main ferme m’attrape, « attend », puis il m’attire contre lui et commence à m’embrasser fougueusement, je réponds à ses baisers de manière toute aussi fougueuse, le canapé devient le lieu de combat de nos étreintes passionnées. Puis tout à coup je sens son sexe en érection contre moi et sa main glisser vers mon string et le retirer, puis elles reviennent vers mon entre-jambe, paniquée je lui attrape les mains et lui murmure dans un souffle « pas par-là ». Je ne sais pas si il a compris le message mes ses mains m’empoignent les hanches et il me plaque avec vigueur sur la table haute. Je sens ses doigts commencer à jouer avec mon anus, à y renter, le titiller, puis un changement humide, il s’est rempli les doigts de lubrifiants, mes fesses s’écartent de plus en plus sous son action, il y mêle également la langue, je n’ai plus qu’une envie, qu’il me prenne, ici, maintenant sur cette table, je gémis de plaisir. Puis sans prévenir il me rentre son sexe d’un coup sec m’arrachant un cri et une larme, puis après une seconde de repos il commence ses vas et viens, de manière sportive, assortissant parfois ses coups de reins d’un petit « salope », ou tu « aime ça, hein ». Rapidement la douleur laisse place au plaisir, je cris de plaisir sous ses coups de butoirs. Puis je le sens gémir de plus en plus fort et s’effondrer sur mon dos avant de pousser un immense râle de plaisir en lâchant son sperme épais et chaud dans le préservatif au cœur de mes fesses…

Une sonnerie de téléphone brise le silence de ma chambre, le soleil éclaire la pièce depuis des heures. J’ai un terrible mal de crane, j’ai encore trop bu hier soir, également un mal de fesses. Dans une semi torpeur je réponds à l’appel c’est Florian… Il est terriblement existé et il me raconte tout le rencard avec ma cousine, qui visiblement est une sacrée salope et qu’il l’a enculé comme une grosse chienne… merci pour ma cousine, je suis sûr qu’elle apprécierait d’être appelée de la sorte (goujat). Puis une fois l’appel fini je reste immobile dans mon lit. Comment ai-je pût en arriver là, la nuit dernière j’ai couché avec l’un de mes meilleurs amis, profitant du fait qu’il soit trop bourré pour me reconnaitre. J’ai un sentiment de honte en moi, pas d’avoir cédé à ses avances, mais de me sentir si comblée après cette nuit avec lui…
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