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L'amie de ma femme

Chapitre 1

Hétéro
L’amie de ma femme est une coquine. Elle s’appelle Céline, bien plus jeune qu’Émilie mon épouse mais surtout avec un cul qui m’a toujours fait fantasmer. J’ai toujours pensé qu’elle devait être une fervente adepte de la sodomie certainement à cause de ses hanches fines mais malgré tout féminine grâce à des fesses fermes, bien dessinées et, une forme évasée non pas comme ce qu’on appelle la disgracieuse « culotte de cheval », mais assez prononcée pour immanquablement, attirer les regards. J’ai d’ailleurs à plusieurs reprises, constater dans le regard de la gente masculine, que son arrière-train était un atout apprécié.Pour en revenir à Céline, la séparation récente d’avec son « mari » enfin, son concubin depuis de nombreuses années, l’avait beaucoup déstabilisée. Elle n’allait pas très fort, doutant d’elle, de l’attirance qu’elle pouvait exercer sur les hommes à cause d’une infidélité de sa moitié, bref, elle passait beaucoup de temps à la maison.Elle trouvait auprès de nous ou plus exactement de ma femme, réconfort, amour, se refaisant une santé morale dans les meilleures conditions.Plusieurs semaines se passèrent sans que rien de particulier ne se passe. Céline allait de mieux en mieux, recommençait à « piquer » des bosses de rires faisant plaisir à voir. De plaisanteries en plaisanteries, on en vint à parler sexe comme c’est souvent le cas quand les gens se sentent en confiance.Pour Céline, c’était vraiment le désert. Elle avait d’ailleurs l’air de beaucoup en souffrir car c’est sans détour qu’elle nous avoua mais je pense que ma femme était parfaitement au courant, qu’elle y était accro et que dans la situation présente, c’était sans aucun doute, une des raisons de son mal-être latent.Paradoxalement, bien qu’accro comme elle disait, il n’était pas question pour elle, de se laisser « sauter » par n’importe quel mec. Il lui fallait être en confiance pour se donner, un minimum de confiance. C’est à ce moment qu’elle laissa échapper une confidence qui nous fit penser (à ma femme et à moi) qu’elle venait de nous lancer un appel à l’aide tout à fait particulier. En effet, elle ajouta :Tu vois, ici, je me sens bien avec vous, avec toi, chose que je ne peux absolument pas ressentir avec un inconnu ou une simple connaissance.Se rendant compte qu’elle était allée un peu loin dans ses propos elle rectifia immédiatement en précisant qu’il s’agissait d’une image, qu’elle ne voulait pas coucher avec nous etc. etc. mais bon, le message avait été lancé. La balle était dans notre camp. Comment allions-nous gérer çà ?Le soir même, Émilie me demanda si je trouvais Céline à mon goût. L’allusion était directe, sans fioriture. Je lui demandais :Tu penses à ce qu’elle a dit tout à l’heure ?Oui, c’est exactement à çà que je pense. Et toi, tu n’y a pas pensé ? Je t’ai souvent vu lui mater le cul ces derniers temps.Oui, c’est vrai, c’est une belle femme. Elle a quelque chose qui me plaît. Je ne saurais trop te dire quoi exactement mais elle a vraiment quelque chose de spécial.Et ????Et rien, juste que ta copine est une belle femme et je m’étonne qu’elle n’ait pas encore trouvé chaussure à son pied, c’est tout.Moi, je la trouve plutôt canon comme nana. Je serais un mec, j’aurais aimé me la taper comme vous dites entre vous.Oui sauf que c’est ta copine et surtout, que je n’ai aucune raison de te tromper, même si tu n’es pas aussi disponible que je le souhaiterais.Pas assez disponible tu dis ?On en a déjà parlé, ne fais semblant de ne pas comprendre !Justement, si j’étais d’accord ! Ça ne te dirait rien ?D’accord ????Là c’est toi qui fais semblant de ne pas comprendre. Ne te fais pas plus bête que tu ne l’es.La conversation commençait à devenir chaude bouillante.Où veux-tu en venir exactement ? Oui, Céline me plaît mais non, je n’ai pas l’intention de te tromper avec elle. Voilà, comme çà c’est clair ???C’est très clair mon chéri mais tu sais, tromper ce serait si je n’étais au courant et surtout pas d’accord, alors que là, je serais au courant et mieux, ça m’arrangerait que ça se passe avec elle plutôt que tu finisses par aller trouver n’importe où ce que je n’arrive pas à te donner aussi souvent que tu le voudrais.C’est vrai que ça serait bien en y pensant sérieusement. D’autant qu’étant tellement souvent à la maison, que personne n’y prêterait attention ou bien peut-être que les gens se sont déjà fait un film de nos relations depuis longtemps.
Et tu verras ça comment ?J’sais pas moi. A toi de voir !Ici ?Pourquoi pas ? J’aimerais bien. J’pourrais prétexter un gros coup de fatigue pour vous laisser seuls et puis, t’en profiterais non ?Tu m’intéresses, continue.Et puis j’reviendrais sans faire de bruit pour voir comment tu t’y prendrais avec elle.J’te savais pas aussi coquine et voyeuse en plus.Tu vois, t’me connais pas si bien que çà ! Tu pourrais apprendre à mieux me connaître en même temps.C’est vrai, çà m’excite ta petite histoire.Pour de vrai ? Laisses-moi voir ! Waouhhhhh, effectivement, ça t’excite grave on dirait. Tu bandes comme un cerf, mon salaud. Elle t’excite ma copine hein ?Oui mais c’est surtout ton scénario qui m’excite. Vous en avez parler ?Non, mais j’lui ai fait comprendre qu’avec moi, t’étais en manque et j’pouvais quand même pas me forcer pour te faire plaisir, que t’étais trop demandeur pour moi.Et alors ?Alors elle avait paru plutôt intéressée. J’suis sûre qu’elle devait mouiller en s’imaginant me remplacer.Arrêtes. J’ai envie de toi maintenant.T’as envie d’baiser oui. Ce serait les fesses de Céline, tu te la ferais sans trop te poser de questions, non ?La faute à qui ? J’ai envie maintenant. Tournes-toi.La conversation l’avait aussi émoustillé car c’est sans protester qu’elle me présenta ses fesses en s’agenouillant sur le canapé. Je lui relevais sa robe sur ses reins, faisait glisser son string pour dégager sa raie et y plonger deux de mes doigts. Elle était trempée.C’est comme ça que tu vas la prendre ?Ça t’excite on dirait !C’est vrai, ça m’excite. Racontes-moi comment tu vas l’enfiler. J’suis sûre qu’elle a envie de prendre ta grosse queue dans le ventre. J’l’ai vu dans ses yeux !J’vais lui écarter les fesses comme çà.Je faisais exactement ce que je lui racontais. Elle se mit à pousser des gémissements que je ne lui connaissais pas. Un filet de mouille coulait carrément de son trou, je ne l’avais jamais vu mouiller comme çà.Je continuais en lui disant que j’allais poser mon gland doucement dans l’entrée de sa vulve puis, m’enfoncer très lentement pour bien sentir ses chairs s’ouvrir, m’accueillir, me sucer la queue. C’en était déjà trop. Ma femme se mit à jouir, me demandant de continuer à lui parler, à lui raconter comment je ferais jouir son amie.Je passais une de mes mains sur son ventre pour glisser deux de mes doigts dans sa fente jusqu’à son bouton que je me mis à masser. Elle s’écroula le visage enfouie dans un des coussins du canapé, marmonnant des mots sans suite, succombant à un violent orgasme. Je la laissais récupérer un court instant puis, je recommençais à la pilonner en lui caressant les fesses, les reins, ce qu’elle adore après avoir joui.Je poursuivais mon récit, lui affirmant qu’après avoir fait connaissance avec son ventre, je m’attaquerais à son petit cul. Oh oui, oui. Racontes-moi çà.Je lui écarterais les fesses pour bien dégager son anus, ignorant ses protestations car j’étais certain qu’elle adorait se faire sodomiser avec son ex. Je mouillerais mes doigts dans sa chatte puis, j’enfoncerais mon majeur dans son fourreau en le faisant tourner tout doucement pour assouplir ses chairs puis, j’y glisserais un deuxième doigt toujours aussi lentement, toujours en les faisant tourner jusqu’à ce que son anus s’ouvre de lui-même comme pour appeler ma bite raide d’excitation. Je la couvrirais de salive et, en m’aidant avec ma main, j’enfoncerai le gland dans son anus. Je m’enfoncerais alors en lui mettant des petites poussées pour ne pas lui faire mal puis quand tout le gland sera engagé, je l’attraperais par les hanches pour l’attirer vers moi et l’empaler en douceur. Elle va protester en me demandant d’arrêter, qu’elle avait mal, que c’était pas bien, qu’il ne fallait pas mais je ne l’écouterais pas car son cul lui me ferait savoir qu’il aimait ce que j’étais en train de lui faire subir.Ce faisant, j’étais en train de sodomiser ma femme, elle qui ne m’avait accordé ce privilège que deux fois depuis que nous avions commencé à faire l’amour. Et elle aimait çà, reculant ses fesses de plus en plus violemment à la rencontre de mon chibre.Oh oui mon amour. Prends mon cul comme tu vas prendre le sien bientôt. Bourres-moi fort, j’ai envie de te sentir jouir entre mes fesses. Prends-moi fort. Je suis à toi, mon amour.Je n’en pouvais plus tant l’excitation d’entendre ma femme prendre autant de plaisir par là. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps. Ma femme le sentit aussi. Elle souffla :Oui, mon amour, oui. J’ai envie, laisses-toi aller. Remplis-moi les fesses. Jouis.Je l’attrapais par les hanches plus sèchement pour lui asséner plusieurs violents coups de reins.Oui, je vais finir comme çà. Lui remplir les boyaux de mon sperme, jouir dans son petit cul.Ma tête explosait, j’étais en train de jouir, un orgasme énorme, puissant, total. Je me laissais retomber sur son dos, à bout de souffle, au bout de mon plaisir.Une soirée mémorable venait de se terminer. La suite restait à venir.
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