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Amis pour toujours

Chapitre 1

Erotique
Amis pour toujours

Je connaissais Sven depuis plus de 14 ans, et lorsqu’il était prêt, je ne l’étais pas, lorsqu’il était prêt, j’étais avec un autre. Ni lui, ni moi ne voulions être les premiers à tricher et à briser la confiance que nous avions des autres, mais la tension sexuelle était si forte que je ne pense pas que nous aurions pu être dans la même pièce sans nous déshabiller. J’avais rencontré Ben, après que nous eûmes terminés nos études secondaires pour entrer à l’université. Nous avons vécu près l’un de l’autre depuis six ans mais nous ne nous sommes pas souvent rencontrés parce que nous ne fréquentions par le même lycée. A l’époque j’étais célibataire, mais je ne le connaissais pas assez bien pour faire le premier pas. Il semblait être un garçon assez cool, mais je ne savais pas grand chose de lui. Ce que je savais cependant était intéressant. Nous étions nés le même jour, et nous étions très semblables, et les autres ça les rendaient fou. Je pouvais dire ce qu’il pensait, parce que je pensais comme lui. Il était un peu plus grand que moi, avec les cheveux roux et les yeux bleus. Il était en pleine forme, même si ça n’a pas fonctionné. Il allait faire du cheval avec son père toutes les fois qu’il faisait beau. Il avait un côté mauvais garçon, mais il se conduisait comme un brave garçon que toutes les mères adorent. Je voulais le faire sortir de sa coquille, mais Sven luttait bec et ongles tout le temps. Lorsque les cours ont commencé en septembre nous courions ensemble sur le campus, mais rien ne se produisait. J’avais été fiancée récemment, donc je ne recherchais plus une relation intime avec Sven. Au cours de années suivantes, nous avons passé davantage de temps ensemble et nous traînions quand nous n’avions pas cours. Puis mes fiançailles ont été rompues et nous passions tous les week-ends à nous balader en voiture et en faisant pas mal de conneries en écoutant du rock des années 80. Je voulais qu’il fasse le premier pas. Sven était un garçon catholique, il attendait jusqu’au mariage et je faisais de mon mieux pour le faire changer d’avis."Viens", dis-je en avançant vers un parking réservé aux chasseurs dans les bois. "Ensuite on pourra parler sans avoir gaspillé l’essence à tourner en rond". Il faisait plus chaud que d’habitude ce week end de printemps et nous pouvions laisser les fenêtres ouvertes, pour laisser passer l’air pendant que le moteur ne tournait pas."Vous voulez que je gare le camion, aussi je vais faire attention à toi au lieu de surveiller la route", disait Sven déplaçant le camion exactement où je lui avais dit. "Et le problème c’est quoi ?", demandais-je en défaisant ma ceinture de sécurité. "Vous aimez faire attention à moi ?"Il étendit la main et retourna à la console, retirant le barrière entre nous. "Oui, j’aime faire attention à toi, mais je préfère, quand tu fais attention à moi", disait-il.Je changeais de position, aussi je m’agenouillais sur le siège lui faisant face. Je me penchais en avant de façon à ce que nos lèvres se touchent presque. "C’est bien,j’aime faire attention à toi aussi." Sa main releva doucement une mèche de mes cheveux de mon visage en se penchant légèrement pour m’embrasser. Des papillons commencèrent à "voler" dans mon ventre, puis rapidement se propagèrent dans ma tête.Je saisis l’occasion pour poser mes mains sur le corps de Sven. Je déboutonnais ses jeans et je tirais pour l’ouvrir. Je tirais vers le bas pour les descendre sur ses jambes."E...Emma, chérie, que fais tu ?" disait Sven en interrompant le baiser :"Que ressens tu ? disais-je, "Je retire ces sacrés pantalons!Je tirais vers le bas pour arriver à mes fins. Je commençais à l’embrasser de nouveau en essayant de le distraire suffisamment longtemps pour défaire complètement ses jeans. Comme nos langues s’entremêlaient, je glissais ma main dans son slip pour sentir sa bite déjà dure. J’enroulais ma main autour de sa pine et en la caressant, je sentis qu’il gémissait, sa bite était plus grosse que je ne pensais , je pouvais à peine en faire le tour. Ses mains se glissèrent sur mes cuisses, sous ma robe. Je pouvais sentir combien j’étais mouillée et je n’aurais pas été surprise de voir une petite flaque sous moi sur le siège du camion. Il cessa de m’embrasser pour s’occuper de mon cou avec ses dents, laissant de légères marques comme il le fit plus loin sur mon corps. Soudain il s’arrêta, "Emma, nous ne pouvons pas faire ça. Pas ici, pas maintenant, dit-il. Tu sais ce que je ressens, je ne peux pas faire ça."Il m’arrêta. Je voulais tant le faire changer d’avis, je voulais qu’il me désire . "Je sais ce que tu ressens, Sven et je sais ce que tu as dit. Je ne sais pas pourquoi tu ne veux pas que je revienne" dis-je en faisant la moue. Même si je savais que j’étais loin de faire l’amour, avec lui, je le désirais quand-même . "Putain Emma, je te désire, je veux te baiser à en être épuisé. Je ne sais pas comment t’expliquer, mais j’ai promis de ne pas faire encore l’amour. Je voudrais monter sur toi maintenant et te baiser ardemment, mais je ne peux pas" dit-il, en regardant ailleurs.Je baissais les yeux, c’était encore difficile et il n’avait pas encore fait un mouvement pour enlever son pantalon. Je pouvais voir un peu de foutre sur la pointe de sa bite. Je me baissais le prenant dans ma bouche, faisant tournoyer ma langue sur la pointe de sa bite qui ressemblait à un champignon et le grignotant légèrement sur le bord. Sven passa ses doigts dans mes cheveux. Je levais les yeux pour voir sa tête et sa bouche ouverte de plaisir. Je commençais à caresser sa bite, tout en suçant et en léchant son gland. Il allait décharger, si c’était la dernière chose que je lui fis. Ses hanches commencèrent à se presser contre moi à mesure que son orgasme approchait. Je pouvais entendre ses gémissements de plus en plus fort et sa respiration s’accélérer. Je me préparais et j’enfonçais sa bite profondément dans ma gorge, je me cramponnais et m’assurais de sucer jusqu’à la dernière goutte qui sortait de sa bite adorable."Mon Dieu, Emma... baise...Oh! mon Dieu ... c’était..," dit Sven en essayant de reprendre son souffle et le cours de ses pensées en même temps."Tu vois ce que tu aurais manqué dis-je ? J’étais une petite putain et je le savais, mais j’avais besoin de sexe et je mis ma main sous ma robe, tirant ma petit culotte et je frottais mon doigt de haut en bas sur ma chatte trempée, en poussant un doigt, puis deux doigts sur mon point G . Je ne voulais pas, mais j’arrêtais avant de pouvoir jouir. J’enfonçais mes deux doigts dans sa bouche ouverte."Voici encore quelque chose qui te manquait." disais-je. Il suça et lécha goulûment mes deux doigts pour les nettoyer. "Tu as un bon goût, Emma." Il mit ses mains sous ma robe et il commença à baisser ma petite culotte en commençant aussi à m’embrasser de nouveau. Mes mamelons était durs comme le roc et pointaient à travers ma chemise. Une fois que ma culotte était sur le plancher du camion, il commença à enlever mon chemisier et à m’embrasser sur le ventre pour me taquiner. Avant qu’il ait pu dégrafer mon soutien gorge, son portable sonna. Je pouvais entendre sa mère lui crier dessus, parce qu’il était déjà tard et qu’il n’était pas rentrer à la maison. J’ai regardé mon téléphone, il était 1h15 du matin et j’ai vu que nous étions à une heure de notre domicile.Le mois suivant, les week ends étaient tous semblables. Nous partions roulant pendant des heures sans fin. Je me jetais sur lui, mais il ne cédait pas. Cela m’ennuyait, mais il ne cédait toujours pas et j’espérais qu’il le ferait quand même. Je cessais de le voir et je cherchais un autre partenaire. J’ imaginais qu’en agissant ainsi, je pourrais réduire la tension entre nous, mais j’avais tort. Nous avions des cours ensemble au moins deux fois par semaine au cours des deux années qui suivirent. Il venait et s’asseyait près de moi, parfois je pensais que c’était pour m’ennuyer. Je croyais que je pouvais gérer ça. Mais j’avais tort. Un jour, un an plus tard environ tout a changé. Ben entra dans la classe de psychologie et de droit et s’assoit près de moi comme d’habitude."Salut dit-il sans même lever les yeux""Salut et il mit sa main sous mes jupes."Salut, dis-je en changeant de ton. Tu as eu l’occasion de faire ce que je voulais, tu n’auras rien maintenant dis-je en espérant qu’il continuera son jeu. Il répondit en prenant ma main et la posa à l’endroit où une bosse s’était formée dans mes jeans. Je sentis que sa bite était déjà dure. Refusant de le regarder, j’aperçus son agenda. Il avait écrit une note : Je voudrais te parler, sortons d’ici. Je ne savais pas comment répondre, le cours était ennuyeux, je ne voulais vraiment pas être là, mais si Sven partait , je ne pourrais pas lui parler. Je levais les yeux et je le vis quitter la classe. Sans même y penser, j’étais déjà derrière lui. "OK , me voici qu’est-ce que tu as de si important à me dire pour que nous soyons obligés de quiiter la classe ? " demandais-je. Il se pencha en avant et m’embrassa très fort. Tu ne veux pas savoir ? Je le suivis jusqu’à son camion. Nous nous assîmes sans dire un mot et nous sommes partis chez lui. Il fallait donc que tu me conduises chez toi pour me parler!.Qu’est-ce que tu as Sven, disais-je, tu veux me faire chier?" "Tais toi et rentre à la maison. Je ne pouvais pas le faire à l’école" dit-il retenant la porte ouverte pour me faire entrer. Lorsque j’entrais chez lui, il vint vers moi par derrière et m’embrassa dans le cou. J’oubliais ma résolution et je on corsage. Je croyais tu ne pouvais pas faire ça, disais-je, et ta promesse?"Oublie ma promesse." J’ai vingt ans et je ne peux plus attendre dit-il en déboutonnant et en retirant mon chemisier. J’étais dans la salle de séjour n’ayant sur moi que mon soutien gorge, ma petite culotte et mes chaussures. Mes mamelons frottaient contre le tissu de mon soutien gorge et ma petite culotte collait aux lèvres mouillées bien propres et bien rasées de mon con. Sven retira sa chemise, ses jeans et ôta ses chaussures em même temps. Il se pressa contre moi et m’embrassa longuement. Ses main défirent mon soutien gorge. Un de mes nichons, puis l’autre sortit du soutien gorge et toucha sa poitrine. Sven dégrafa mon soutien gorge, commença à pincer mes mamelons tout en embrassant mon cou."Oh Sven, c’est si bon," dis-je, pendant qu’il prenait un mamelon dans sa bouche et le taquinait avec sa langue, avec son autre main il tira sur le côté ma petite culotte et commença à embrasser mon clito. Mes jambes plièrent lorsque les ondes de plaisir parcoururent mon corps. Il tâtonna pour découvrir mon point G. Ma mouille coula sur sa main quand il me doigta. Steve m’entraîna dans la chambre et enleva ma petite culotte et la posa sur mes autres vêtements. Pendant un an, j’ai rêvé de te "goûter" de nouveau. Cette nuit dans le camion, ce n’était pas suffisant", dit-il en se plaçant entre mes jambes". Je sentais sa langue lécher ma fente lentement, quand je levais mes hanches du lit. Il tira mes hanches vers lui pendant que sa langue s’enfonça dans les profondeurs de ma caverne humide. Il bougea et sa bite était à l’entrée de ma chatte. Il s’enfonça dans ma chatte mouillant le gland de sa bite la rentrant puis la sortant entièrement de mon trou d’amour. Je gémis et je poussais contre lui, pour renouveler le plaisir et je collais mes hanches contre lui. Il glissa lentement sa bite raide en moi et je sentis ses couilles toucher mon cul, lorsqu’il gémit. Je l’entourais avec mes jambes et je l’attirais contre moi, utilisant mes muscles pour "traire" sa bite . "Emma si tu continues comme ça ...Je vais...et j’entendis les prémisses de son orgasme se déclencher. De fortes giclée de sperme se répandirent dans mon minou."Maintenant que nous avons savouré ces premières giclées, nous pouvons nous préparer pour la deuxième phase de nos jeux amoureux. Je l’allongeais sur le dos et je l’embrassais sur la bite encore dure. La prenant dans ma bouche je nettoyais sa pine pour la sécher. Avant que sa bite ramollisse, je lui montais dessus et j’enfonçais sa pine en moi. Balançant mes hanches d’avant en arrière et sur les côtés, je contrôlais la cadence et pour arriver à un orgasme quand je le voulais. Je fis sortir sa pine presque complètement de ma chatte et avant de la renfoncer, j’utilisais mes muscles pour l’amener au bord de la jouissance, puis je le laissais jouir. Lorsque je sentis mon orgasme approcher mes muscles serrèrent sa bite, quand je me penchais rapidement contre lui pour que ne puissions jouir ensemble. Mon jus le trempa ainsi que les draps, lorsque sa deuxième giclée de foutre rejoignait la douce mouille poisseuse dans mon con. Je m’effondrais sur lui en sueur et hors d’haleine. "Si tu me fais attendre aussi longtemps pour te baiser je ne te parlerais jamais plus.""Chérie, je ne te ferai plus jamais attendre" disait-il en m’embrassant.Je n’ai jamais parlé de cette après midi à mon copain. En fait, 12 ans après cette aventure, Sven et moi-même nous avons eu une liaison assez poussée, surtout via l’ordinateur au cours des 5 années qui suivirent nos premiers ébats amoureux, car Sven était parti vivre dans un autre état. Il sera de retour en ville pour le week end.Je me demande ce qui va se passer....
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