Notre journée à la plage allait bientôt toucher à sa fin et cela faisait un moment que je n’avais plus revu Sophie. Karine ayant regagné son bungalow après sa baignade, je décidai de me risquer à faire un tour du côté du bungalow d’Axel et Sophie afin d’y voir quelque chose susceptible d’intéresser ma soeur. Plus je m’approchais du bungalow 17, plus mon pouls grimpait en flèche. Si Axel savait qu’il ne devait rien dire à propos de la présence de Karine, il n’avait, en revanche, pas connaissance de la mienne. Dans cette situation, je devais donc éviter d’être aperçu par lui ou Sophie. Fort heureusement, je parvins jusqu’au bungalow du couple sans me faire repérer. Je risquai alors un oeil curieux par la fenêtre de l’habitation. Axel et Sophie n’y étaient pas mais leurs affaires s’y trouvaient encore. Partant de ce constat, j’en déduisis que le couple n’avait pas encore quitté la plage. Pensant à nouveau à Sophie, je me souvins de sa rencontre avec cette inconnue qui l’avait emmenée dans son bungalow. Je me pris à penser que les deux filles pouvaient encore s’y trouver. Je me dirigeai donc vers le bungalow 5 qui avait été attribué à la mystérieuse femme dont j’avais surpris la rencontre avec Sophie. Lorsque je me trouvai devant la porte du bungalow, j’entendis deux voix féminines. Désirant mettre des visages sur ces voix, au risque de me faire repérer, je jetai un oeil par la fenêtre. Mon intuition était confirmée. Il s’agissait bien de Sophie et de l’inconnue qui l’avait invitée chez elle. À travers les murs très fins du bungalow, je surpris une conversation intéressante. — Maintenant que je t’ai tout raconté et qu’on s’est entraînées comme des folles, on pourrait retrouver mon copain pour lui montrer ce qu’on sait faire.— Tu es sûre qu’il appréciera de nous voir en train de nous embrasser et de nous lécher la moule ?— C’est un mec. Bien sûr qu’il appréciera. Et puis, on ne fera pas que ça, Jenny. On le sucera, on le branlera, il nous baisera et il nous enculera aussi. — Dans ce cas, j’espère que ta petite surprise lui plaira.— Elle lui plaira, j’en suis sûre. Je suis confiante. Estimant en avoir suffisamment entendu, je revins sur mes pas aussi discrètement que possible et allai retrouver Karine à son bungalow pour lui faire part de ma découverte. Parvenu au bungalow de ma soeur, je frappai à la porte et sa voix me répondit d’entrer. — Ah, c’est toi, Xavier ! Tu as appris quelque chose ?— Oui, il faut que je te raconte. — Je t’écoute.
— En suivant Sophie, je l’ai vu avec une fille qui s’appelle Jenny. Elles sont allées dans le bungalow de Jenny et elles ont parlé d’une surprise que Sophie souhaite faire à Axel. — Quel genre de surprise ? — Le genre « plan à trois ». — Très intéressant.— Que vas-tu faire par rapport à Axel maintenant que tu sais ça ?— Ça dépend.— Comment ça ?— Disons que Sophie a commis une petite erreur en utilisant le recours d’une autre fille. Connaissant Axel, il s’empressera de me raconter en personne sa partie de jambes en l’air et je le laisserai me faire tout ce que Sophie l’aura laissé faire avec cette Jenny.— Beau plan. Tu ne veux pas aller voir ce qu’ils font ?— Non, nous allons bientôt rentrer et je fais confiance à Axel pour me raconter les détails.— Très bien. Dans ce cas, je vais aller chercher mes affaires et t’attendre à la sortie. Sinon, contente de cette journée ?— Plus que tu ne pourrais l’imaginer. — Je suis content pour toi. Alors que j’allais tourner les talons, ma soeur me pria de rester. — Je sais que tu as voulu m’aider mais je ne souhaitais pas que tu te prives de quelques plaisirs. Je te vois encore tout dur.— Ça ne fait rien. Je survivrai. — Je sais mais il ne faudrait pas que l’un de nous deux finisse frustré par sa journée. Assieds-toi près de moi. Je m’assis aux côtés de Karine et celle-ci entoura mon sexe de sa main. Paniqué, je lui bloquai le poignet. — Qu’est-ce que tu fais ?— Ça me fait beaucoup de peine de te voir ainsi. Je souhaite que tu rentres satisfait de ta journée. — Je suis ton frère. Tu ne vas quand même pas me branler ?— Détends-toi, Xavier. Ce sera juste pour cette fois et puis ça n’ira pas plus loin entre nous. Un peu plus rassuré par les promesses de ma soeur, je lâchai prise sur son poignet et elle commença à masturber. De prime abord, le fait de me voir caressé par ma propre soeur me mettait mal à l’aise. Puis, au fil du traitement, je finis par me rendre compte qu’Axel n’avait pas tort : Karine avait un sacré tour de poignet. Je savourai donc cette habile masturbation que me prodiguait ma soeur en me disant que ce serait la première et la dernière. — Tu aimes ? Allez, ne sois pas timide : caresse-moi les seins. Sans attendre ma réponse, Karine abandonna temporairement mon sexe pour plaquer ma main sur sa poitrine puis reprit son mouvement. Etrangement, le fait de toucher le corps de ma soeur ne me gênait pas. Je sentis ses tétons se durcir sous mes doigts. Surpris de l’effet de ma caresse, je m’accordai l’audace de placer mon autre main sur son sexe. Tandis que ma main gauche malaxait les seins de Karine, ma main droite caressait son calice et se trouva au contact d’une zone érigée que j’assimilai à son clitoris. J’appuyai sur ce joli bouton avec mon pouce, ce qui eut pour effet d’arracher un gémissement de plaisir à ma soeur qui accéléra davantage son mouvement. Nos râles résonnèrent dans le bungalow durant quelques instants puis nous fûmes simultanément emportés par la jouissance. D’abord stupéfaits par ce que nous venions de faire, ni Karine ni moi n’osions briser le silence qui s’était installé. Lorsque je me sentis le courage d’aborder notre masturbation insolite, j’eus le soulagement de constater que ma soeur y avait pris autant de plaisir que moi. — Tu sais que tu es vraiment une grande soeur géniale ?— Tu t’es bien débrouillé, toi aussi. Mais, que l’on soit clairs, toi et moi : il n’y aura pas de prochaine fois. — Je suis tout à fait d’accord. On gardera ce qu’on vient de faire comme notre petit secret. Karine et moi nous serrâmes la main en signe de conclusion de notre accord puis, après avoir récupéré nos affaires et restitué les clés au réceptionniste, nous prîmes la direction de notre domicile. Loin de nous avoir éhontés, notre rapport avait plus que jamais soudé notre complicité et Karine, de son côté, attendait impatiemment qu’Axel lui raconte son plan à trois avec Jenny et Sophie. [ à suivre ]
