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Amour, amitié et saloperies

Chapitre 8

Inceste
Au lendemain du plan à trois qui avait réuni Karine, Sophie et Axel, j’allai trouver ma soeur qui s’affairait dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner afin de connaître ses impressions par rapport à la situation.
— Ça a été hier soir ?— Oui, oui. — Est-ce que tu as eu des nouvelles d’Axel ou de Sophie ?— Pas encore mais, comme je le connais, Axel ne va pas tarder à m’envoyer un SMS sulfureux comme il l’a déjà fait. — Et que ferais-tu s’il t’écrivait ?— Je le ferais venir ici bien sûr !— Je vois...
Nous mangeâmes notre collation sans plus de cérémonie puis, après avoir fait la vaisselle et m’être changé, je pris le parti d’aller me promener un peu dans la ville, estimant qu’au stade où la situation se trouvait, Karine n’avait plus besoin de moi.
Ne sachant pas trop où aller, je décidai de faire un tour dans un centre commercial. Là, je décidai de regarder ce que proposait une boutique de jeux vidéo et de matériel informatique. Dans le magasin, je fis finalement l’acquisition d’un jeu pour PC et d’une clé USB, estimant que celle-ci pouvait m’être utile en temps voulu, et sortis de la boutique pour me rendre dans une librairie située non loin de là.
Dans la librairie, je pris un roman policier dont je commençai la lecture, assis sur un fauteuil mis à disposition par la librairie. Lecteur vorace de ce genre littéraire, j’étais arrivé environ à la moitié du livre lorsque je sentis mon téléphone vibrer dans ma poche.
Le règlement de la librairie interdisant de répondre au téléphone dans son enceinte, je remis le livre là où je l’avais pris et sortis pour répondre à l’appel. En sortant mon téléphone de ma poche, je vis que le nom de Karine était affiché sur l’écran. Je répondis en me demandant ce qu’elle pouvait bien me communiquer.
— Allô ?— Salut. Il faut absolument que je te parle. Face à face. — C’est à propos d’Axel ?— Oui mais pas uniquement. — Bon, très bien. Je suis au centre commercial. J’arrive à la maison dans une quinzaine de minutes. — D’accord. À plus tard. — À plus tard.

Je coupai la communication et, le roman policier m’ayant bien captivé, je décidai de l’acheter. Mes acquisitions en main, je pris la direction de mon domicile en cogitant sur ce que Karine pouvait bien avoir à me dire de si important que cela nécessite que je me trouve en face d’elle.
Après un quart d’heure de marche, j’arrivai chez moi et posai mes achats dans ma chambre avant de rejoindre ma soeur qui m’attendait dans le salon.
— Alors, Karine ? Que se passe-t-il de si important ?— Axel m’a envoyé un message assez hot, comme je pouvais m’y attendre.
Ma soeur me montra le message qu’elle avait reçu de celui qu’elle aimait. Celui-ci était accompagné d’une photo de sa verge à son plus haut niveau de rigidité.
« J’ai adoré le plan à 3 que j’ai eu avec Sophie et toi mais je te veux, toi, toute seule. Maintenant que Sophie m’a enfin laissé pénétrer une autre fille qu’elle, je veux que tu me laisses t’aimer. Je sais que tu le veux toi aussi. »
— Visiblement, votre petit plan à trois n’a pas eu l’effet escompté sur le couple de Sophie et Axel. — Pas sur Axel, en tout cas. — Et donc ? Tu comptes le faire venir ici ?— Oui mais je souhaite être totalement prête à me donner à lui sans tabou, sans aucune limite. — Au vu des gémissements que je t’ai entendue pousser hier soir, il me semble que c’est déjà le cas. — Tu as peut-être raison mais je veux que notre première fois uniquement entre lui et moi soit parfaite. Par conséquent, il faut que je m’entraîne. — Que tu t’entraînes ?— Oui.
Karine retira son top, découvrant sa généreuse poitrine, et entreprit de faire glisser la fermeture éclair de mon short.
— Qu’est-ce que tu fais ?!— Je t’ai dit qu’il fallait que je m’entraîne. Et tu es le seul homme avec lequel je peux le faire. — Mais je suis ton frère ! Je croyais que ce qu’il s’était passé entre nous à la plage naturiste était juste un petit jeu entre nous qui ne se reproduirait jamais. — Je le croyais aussi mais, après mûre réflexion, je me rends compte que tu peux encore me rendre bien service. — Ce genre de service ne fait pas très « frère et soeur ».— C’est vrai mais je ne pense pas que l’on soit tout à fait des frère et soeur ordinaires. Je doute que les grandes soeurs demandent à leurs petits frères de les aider dans leurs conquêtes amoureuses et les laissent voir leurs ébats. Et puis, si cela peut te rassurer : nous serons frère et soeur en public et amants en privé.— Bon, dans ce cas...
Forte de sa petite victoire rhétorique, Karine finit de se déshabiller et me demanda d’en faire autant. La vue de son corps nu ne tarda pas à me procurer une puissante érection malgré le fait que j’avais ma soeur en face de moi et non pas n’importe quelle femme.
— Très belle queue, Xavier ! Décidément, j’ai de la chance avec les hommes. Attends deux petites secondes, je reviens. Surtout, reste bien dur.
Karine alla dans sa chambre et en ressortit, une règle à la main. Elle cala le zéro contre la base de mon sexe et le reste de l’instrument sur toute sa longueur.
— Eh ben, dis donc ! C’est une queue vraiment énorme que j’ai branlée à la plage naturiste ! 22 cm ! Deux centimètres de plus que celle d’Axel !
Ma soeur posa la règle sur la table basse du salon et entreprit de me masturber d’un lent mouvement de poignet afin de me faire savourer l’instant présent.
— Hum... Oui... S’il y a au moins une qualité que je dois reconnaître chez Axel, c’est qu’il ne ment pas. Tu fais ça vraiment bien !— Si tu aimes que je te branle, attends de voir la suite.
Karine fit glisser sa main jusqu’à la base de mon sexe et l’enfourna jusqu’à la moitié dans sa bouche pour me prodiguer une belle et douce fellation. Le contact de sa langue sur ma verge et mon gland eut le mérite de m’émoustiller davantage et je me mis à onduler du bassin pour lui faire savoir que j’appréciais ses talents buccaux.
— Axel a raison en ce qui te concerne : tu suces vraiment trop bien !
Sans répondre, ma soeur accéléra son mouvement, ce qui provoqua quelques petits bruits de succion qui eurent pour effet de faire monter mon excitation d’un cran supplémentaire.
Karine s’appliqua à s’occuper de ma verge durant quelques instants encore tout en la léchant de temps à autre avant de la gober à nouveau et de la libérer de sa bouche.
— Maintenant, on va commencer les choses sérieuses, frangin.
Ma soeur se releva et appuya ses mains contre un mur du salon en se cambrant autant qu’elle le pouvait.
— Allez, Xavier, fais-moi sentir de quoi sont capables tes 22 cm de queue !
Piqué au vif par cette provocation de la part de Karine, je me positionnai derrière elle et enfonçai ma verge d’une seule poussée dans sa grotte d’amour déjà suintante de cyprine. Les mains crispées sur ses hanches, je me mis à la pilonner avec force, mes testicules venant buter contre ses fesses à chaque poussée.
— Hum... Oui ! J’adore ta grosse queue ! Continue à pilonner ta salope de soeur !
Je ne me fis pas prier pour accéder à la requête de Karine et mis davantage de force dans mon mouvement, lui arrachant des gémissements d’extase.
— Hum... C’est bon ! Tu me remplis bien la chatte ! Allez, petit frère, bourre-moi le cul avec ton énorme bite !
Sans répondre, j’obéis à l’injonction de Karine et fis pénétrer ma verge dans son sombre conduit. Comme je m’étais appliqué à le faire pour son calice, je lui pilonnai puissamment le derrière, lui donnant à nouveau le besoin de m’encourager à y aller plus fort.
— Oh oui ! C’est bon d’avoir ta grosse pine dans le cul ! Encule-moi bien profond, frangin. Fais voir à ta pétasse de soeur à quel point tu baises bien !
Comme Karine l’exigeait, je mis toutes les forces qu’il me restait pour la sodomiser, à tel point que je sentis la jouissance m’envahir inexorablement.
— Ah ! Je vais jouir !
Karine fit sortir mon sexe de son fessier et s’agenouilla devant moi en le logeant habilement dans le sillon de ses seins.
— Et mes gros seins ? Tu les aimes, hein ? Je sais que tu meures d’envie de jouir sur les miches de ta chienne de soeur.
Tout en prononçant ces mots, ma soeur se mit à me prodiguer une somptueuse branlette espagnole. Agréablement giflée par ses seins volumineux, ma verge ne tarda pas à secréter son jus blanc pour en maculer la poitrine de Karine.
Apaisés, ma soeur et moi nous rhabillâmes et discutâmes de la suite du programme de la journée.
— Je ne te connaissais pas une telle vulgarité, Karine. Tu parleras comme ça si Axel te baise ?— Non, la vulgarité, c’était juste pour t’exciter un peu. — C’est plutôt réussi dans ce cas. Mais s’il doit y avoir une prochaine fois entre nous, pas besoin de te dénigrer de la sorte en te traitant de "salope", de "chienne", de "pétasse" ou d’autres noms d’oiseaux. — C’est promis. Merci, Xavier. Tu m’as bien préparée. Je vais envoyer un message à Axel pour qu’il vienne ici à 19h ce soir. — Pas besoin de me dire ce que je dois faire : je resterai dans ma chambre sans faire un bruit puisque je suis sensé être de sortie. — Tu as bien appris ta leçon.
Karine envoya un message à son amoureux pour lui fixer un rendez-vous et nous passâmes le reste de l’après-midi à regarder des films et à jouer à des jeux de société en attendant, non sans une impatience palpable du côté de ma soeur, l’arrivée d’Axel.
[ à suivre ]
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