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L'amour dans les cordes

Chapitre 9

SM / Fétichisme
L’heure de la vengeance avait sonné. J’avais hâte. Au début je voulais le réveiller avec un verre d’eau dans la figure mais ... Non ça aurait été gâcher de l’eau. Je me suis contenté de le gifler.
— Eh oh ? La marmotte, tu te réveilles ?— Aïe ! mais ça ne va pas ? T’es folle ça fait mal ...... Mais tu fais quoi à poil ? Et pourquoi je suis attaché ? ..... Euh c’est qui ce gros type à poil derrière toi avec sa cagoule ?— Ah lui ? ... Tu vas regretter d’avoir posé cette question. Vois-tu, cet homme c’est nounours. C’est mon amant.— Hein mais ..... Non arrête tu me fais marcher. Hahaha ! Je suis mort de rire. Allez détache moi.— Je ne plaisante pas. Quand j’ai découvert que tu couchais avec d’autres femmes lors de tes voyages ...— Qui t’as raconté ça ?— Toute la boite ! Les chauffeurs routiers, le boss, le service administratif ... Bref tout le monde. — Mais je t’avais dit qu’ils aimaient raconter des conneries. Tu ne vas pas les croire quand même ?— Si et encore plus devant ça.
C’est là que je lui ai sorti la vidéo que ma copine Valérie avait faite de lui et d’une de ses conquêtes du moment (voir chapitre un). On le voyait clairement lui rouler un gros palot. Puis on les voyait entrer dans un hôtel en plein après-midi.
— Ça te rafraichit la mémoire ?— C’est ..... c’est un montage. — Non ce n’est pas un montage ni une supercherie. En tout cas pas plus que les marques de rouge à lèvres que tu nettoyais grossièrement chaque semaine.— Tu les as vus ? Répondit-il surpris.— Tu vois ! Elles existent toutes ces pouffes !— Mais non mais ..... C’était pour les embrouiller. C’était des clientes. Tu sais ce que je prépare. Il fallait bien que je les convaincs de ...— Laisse tomber. J’ai aussi toutes les factures d’hôtel avec « deux petits déjeuners ».— ...... Je suis désolé. Mais je t’aime. Tu sais ... durant la semaine ..... j’avais besoin d’amour ...— Si tu m’aimais vraiment, tu aurais gardé ta queue dans ton pantalon et attendu pour le weekend. Tu mérites une punition. Je te quitte ...— Non pas ça !— Si ! Je te quitte. Maintenant j’ai un boulot et je peux m’assumer. Mais avant tu vas ressentir la douleur de la trahison.
— Comment ça ?— On va baiser. Pas toi et moi non. Lui et moi, là devant toi. Ainsi tu sauras tout le mal que tu m’as fait et ce que j’ai ressenti.
Je lui ai mis un bâillon sur la bouche et j’ai rejoint Nounours qui m’attendaient nu sur le lit ne portant que sa cagoule. Je me suis allongé sur lui on s’est embrassé, on s’est caressé et au moment de faire un « 69 », il s’est positionné de telle sorte qu’Antoine puisse me voir en train de sucer la queue de mon amant. Quand je jetais un coup d’œil sur Antoine, il me regardait avec des yeux haineux. Moi je souriais. Après quelques minutes, Nounours s’est positionné derrière moi alors que j’étais en doggystyle. Il a dit « Et c’est parti pour un tour » et il a commencé à me labourer l’entrejambe tout en me garnissant les fesses de quelques fessées.
Franchement je ne me souviens pas ce qui était le meilleur à ce moment-là. Patrick/Nounours qui me faisait mon affaire ou Antoine qui souffrait. Oui je sais, c’est très sadique mais quand je décide de me venger c’est toujours disproportionné avec moi. J’étais à quatre pattes sur le lit. Nounours, qui me tenait à la cuisse d’une main, avait posé son autre main sur mon épaule. Il me tirait ainsi vers lui pour que je me cambre. Il poussait des soupirs rauques et lui comme moi on profitait bien de ce moment. C’est avec un sourire sadique que je regardais Antoine devant moi en me mordant la lèvre et en poussant des « Mmmmh ! Oh oui encore » pendant que Nounours me disait des saloperies du style « Oui petite salope je vais tellement te remplir que ça va déborder de partout ». A un moment, Nounours m’a lâché et il s’est retiré. Il m’a allongé sur le dos et m’a prise, disons-le de manière classique. Il ne cessait de me galocher pendant que ses fesses allaient et venaient, faisant coulisser son gourdin dans ma fente chaude et humide. A un moment il a ralenti l’allure et s’est tourné vers Antoine.
— Oh bon sang ce qu’elle est bonne. — Mmmm— T’es vraiment le roi des cons. Tu le sais ça ?— Mmmm— Si moi, dès le départ, j’avais eu une fille comme ça à la maison ... Mais jamais je ne serais allé voir ailleurs. — Mmmm— Pardon ? Tu peux articuler ?— Mmmm— Hehehe ! Non tu ne peux pas. Tant mieux d’ailleurs tu serais capable de raconter encore plus de conneries que tu en as déjà faites.— Mmmm— Ne t’en fait pas je vais bientôt te retirer ton bâillon ... Au fait tu savais qu’elle aime être attachée ? — Mmmm— Non ? t’auras appris quelque chose alors. Dommage pour toi c’est moi qui vais en profiter tout seul. Bon je finis avec madame et on pourra parler.
Il a continué jusqu’à jouir en moi et ... Je me suis rendu compte que c’était rare qu’on fasse ça de manière classique sans que je sois attachée. Ce n’était pas si mal. Nounours était en sueur quand il s’est relevé et moi je reprenais mon souffle. Nounours s’est levé, a retiré son bâillon à Antoine et là, ça a été une succession d’insulte.
— Gros connard, salop, vieux tas de merde, ...— Hola ! Encore une et je te le remets.— Je suis sûr que c’est toi qui l’as pervertie. Elle était si douce avant. Elle .....— Je t’arrête tout de suite. Quand on s’est vu la première fois, elle avait déjà décidé de te tromper. Moi je n’ai fait que réveiller chez elle des envies qu’elle avait besoin et envie de satisfaire.— En l’attachant comme tu disais hein ? En fait t’es qu’un lâche. Tu attaches les femmes pour les violer. Tu te planques derrière ton masque et ... Mel, mais tu fais quoi là ?— Bah ça se voit non ? Elle me suce la queue pour la nettoyer. — Ça me dégoute ! — T’as tort. C’est une vraie pro de la pipe ... Pfff bon sang ce que c’est bon.— En tout cas Mel compte sur moi pour te faire chier jusqu’au bout pour le gamin. Je ne te ...— T’avais raison quand tu disais qu’il était très con. Il n’a rien compris. Dit alors en s’adressant à moi.
Antoine s’arrêta de suite. Il commençait à entrevoir la vérité. C’est là que je me suis arrêté après lui avoir offert une vision de ma langue en train de titiller le gland de Nounours.
— Tu ne feras rien du tout. Ai-je dit avec assurance.— Et pourquoi ?— Tu crois vraiment que je me serais laissé engrosser par toi ? — Mais alors qui ... Ah d’accord ... Dit-il après avoir compris.— Bah oui ! Le papa ce n’est pas toi c’est Nounours. Ai-je dit avant de rouler une pelle à celui qui était maintenant mon homme.
Antoine a commencé alors à sangloter mais ce n’était pas fini. Patrick voulait en remettre une couche pour l’achever.
— Ne crois pas que j’en ai fini avec toi, petit con.— Quoi mais ... Je ne vous ai rien fait moi ?— Bien sûr que si. T’as failli mettre plein de gens au chômage mais grâce à MA femme, la boite est sauvée et elle va prospérer. Dit alors nounours en s’agenouillant devant Antoine, toujours assis et attaché sur sa chaise.— La boite ? Mais t’es qui à la fin ?— Regarde-moi bien dans les yeux. Et réfléchi.— Non ... Je ne vois pas.— Et si je parle avec ma vraie voix ? Si je ne force plus sur les graves ?— Attendez ... Patrick ?— Et bien t’en a mis du temps. Lui dit-il alors en retirant sa cagoule.— Mais ...— Mais quoi ? Mel a réussi à ouvrir ta mallette et m’a fourni une copie de tous les documents qu’elle contenait. Après, avec elle, on a pris un malin plaisir à renégocier, en personne, avec tous les clients que t’as essayé de nous piquer. Autant te le dire que, à l’hôtel, on s’est éclaté toutes les semaines.Chaque nuit, on entendait le lit qui grinçait.— J’en ai assez entendu. Annonça-t-il résigné de la situation.— Tu sais, lundi matin quand tu es venu pour m’annoncer que Mel était enceinte, en fait, Mel n’était pas sortie. Elle était dans la pièce avec nous.— Hein ? Mais non on était seuls.— Non, elle était là. Seulement elle ne pouvait pas parler. Comme tu le sais on ne parle pas la bouche pleine. Hehehe ! Eh oui, elle était sous le bureau. Chose qu’elle fait avec beaucoup de talent et de zèle d’ailleurs .....— C’est bon. Ça suffit ! J’ai compris pas la peine d’en rajouté... Donc je suppose que ... Je suis viré ?— Oui et je te veux dans mon bureau lundi matin. — ..... OK— Et inutile de chercher un autre boulot. Tu ferais mieux de chercher un avocat d’ailleurs. — Pourquoi ça ? — Parce que la répression des fraudes va s’intéresser à ton cas et si tu n’as pas de bons arguments, c’est la taule qui t’attend ..... A l’expression sur ton visage je constate que tu comprends de quoi je veux parler.— ...... Oui— Bien ! C’est marrant tout se résume à une histoire de barreau finalement. Toi, t’as pas su garder le tien dans ton froc, tu vas devoir t’en chercher un ténor sous peine de te retrouver derrière pendant que ton ex-femme s’occupera du mien. J’ai hâte d’y être. Bon bah nous on va se barrer.— Euh vous allez me détacher ? Vous n’allez pas me laisser là, ligoté à une chaise ?— Ne t’inquiète pas. On va te détacher. Mais après que tu aies bu ça. Lui dit-il en lui donnant un verre.— C’est quoi ? Je ne boirais pas n’importe quoi.— C’est le même somnifère que tu as bu en arrivant. Aller ouvre la bouche.— Non— Ouvre la bouche ... Aller ... fais plaisir à Patoche ... Lui dit-il alors qu’il lui pinçait le nez pour le forcer à avaler.— Pouah ! ... C’est dégueulasse.— Oui cette fois on l’a mélangé à de l’huile de foie de morue. On avait plus de jus d’orange comme pour le premier.— Je vais vomir.— Tu dormiras avant t’en fais pas ..... Aller ma chérie on va prendre une douche ? a-t-il dit en me serrant contre lui.
On est parti dans la salle de bain et on y est resté un petit moment. On s’est embrassé, on s’est savonné ce qui nous a donné un prétexte pour se caresser et quand on est sorti, Antoine dormait. On a pris nos affaires et on l’a détaché avant de partir. Ça y était, on s’était vengé tous les deux. On était content et on a fêté ça dans un bon restau. Le lundi matin fut glacial au niveau de l’ambiance. Toute la boite savait qu’Antoine venait pour se faire virer. Au regard glacial des collègues, il a vite compris que tout le monde avait eu connaissance de sa petite manigance. Un des chauffeurs lui a même fait un croche-patte en lui disant « bah alors ? On ne sait plus marcher droit ? ». Dans le bureau de Patrick il s’essaya à un trait d’humour avec moi en me disant « Tiens t’es pas sous le bureau ? T’as mal aux genoux ? » J’ai moyennement apprécié. Heureusement, je pouvais compter sur celle qui était désormais ma belle-sœur. Elle proposa des cafés à tout le monde et au moment de le proposer à Antoine elle lui a demandé « Ton café tu le veux allongé comme une pute ou dans la gueule ? ».
Quand il est sorti des bureaux pour partir, tous ceux qui n’étaient pas partis étaient là comme pour faire un cortège au futur condamné. Je l’ai quand même guidé vers la sortie par politesse mais ça n’a pas empêché Le Gros Roger, celui qui fait figure de pointure et de modèle parmi les chauffeurs de lui cracher sur la tête en lui disant « Eh Casanova ! Fait gaffe il pleut ».
A partir de là, je ne l’ai revu qu’au tribunal pour sa condamnation pour escroquerie plusieurs semaines plus tard. Et dire que si je l’avais suivi j’aurais surement été condamné pour complicité ... Merci Patrick !
Jusqu’à présent personne ne savait pour l’heureux évènement à part la DRH. Ce n’est que quinze jours après le départ d’Antoine de la boite, lors de la fête d’anniversaire organisée pour le demi-siècle d’un des chauffeurs que tout le monde l’a su. A un moment durant la fête, on a voulu porter un toast et, voyant que je n’avais qu’un verre avec du jus d’orange, celui qui faisait office de Barman pour la soirée m’a dit : « Oh aller, tu ne vas pas te finir au jus de fruit quand même ? Aller bois une coupe, lâche-toi, t’es pas enceinte alors vas-y ». Vous savez comment ça se passe dans ce genre de situation. C’est au moment de la phrase gênante que tout le monde se décide à se taire. Résultat tout le monde a entendu la dernière phrase. Du coup, je m’en suis voulu sur le moment mais j’ai un peu volé la vedette à celui qui était la star du jour. Patrick est passé rouge pivoine et tout le monde, le connaissant, a fini par deviner que le barman avait visé juste. La fête a alors un peu changé de visage.
Désormais, j’avais un nouveau mec, un nouveau boulot, des nouveaux amis et collègues... Bref une nouvelle vie. Patrick était très prévenant à la maison, un peu trop d’ailleurs. Dès que je me lançais dans un truc il me faisait « Non ma chérie ne te fatigue pas. Laisse-moi faire ». C’était sympa ! Le soir je n’avais presque plus qu’à poser les pieds sous la table. J’avais beau lui dire que j’étais enceinte et non en sucre, je pouvais faire des choses. A partir du moment où il a su que j’attendais son enfant, il a tout de suite commencé à préparer la chambre et pour ça, il avait pris une décision. Supprimer son bureau ? Non il en avait encore besoin. La seule pièce qui pouvait être sacrifiée, c’était son donjon personnel. Je sais que ça lui a fait un crève-cœur quelque part car on s’y est beaucoup amusé et parfois ce n’était pas moi qui étais attaché.
Je me souviens d’une fois où, sans le prévenir je me suis dit « d’habitude c’est moi qui suis attachée. Maintenant c’est ton tour ». Il était parti mettre de l’ordre dans cette pièce car la veille nous nous y étions beaucoup amusés. Il avait, malgré tout, fait une journée complète de boulot et, la fatigue aidant, il s’était assoupi sur son fauteuil. Ce fauteuil, je le connaissais bien pour y avoir été attaché plusieurs fois. Je savais qu’il y avait plein d’anneaux dans lesquels on pouvait passer des cordes. Ça faisait un moment que je m’étais préparé à jouer le rôle de maîtresse. J’avais d’ailleurs préparé une tenue exprès. Je n’avais pas encore de ventre et quand je l’ai vu assoupi sur le fauteuil je me suis dit « c’est le moment ». Je lui ai attaché ses mains aux accoudoirs du fauteuil et les pieds au repose-pied. Je me suis habillé et j’ai mis une musique d’inspiration satanique en route. Il a été un peu paniqué quand il s’est réveillé mais a très vite compris ce qui l’attendait.
— Mmmmh ... Merde j’ai dormi. Il est quelle heure ? ... Mais je suis attaché ? C’est quoi ce bordel ? Melinda ? T’es là ? Ce n’est pas vrai mais qui m’a fait ça ? Se demanda-t-il en tentant de se libérer.— Alors on a été un vilain garçon ? ai-je dit en apparaissant devant lui dans l’embrasure de la porte en combinaison cuir avec un masque façon catwoman et avec un faux fouet à la main.— Mais ...— Silence ! Désormais c’est moi qui commande c’est compris ? Lui ai-je- demandé en lui passant le fouet autour du cou et en m’en servant pour rapprocher sa tête de mon visage.— Oui maitresse. Dit-il alors en esquissant un sourire coquin.— C’est bien. Tu es un esclave obéissant. Ton but sera d’être gentil avec moi. Tu as compris ?— Oui maitresse — Bien ! Si tu fais bien tout ce que je veux, peut-être que je te récompenserai.— Merci maitresse.
J’ai alors retiré mes bottes en cuir, j’ai tendu la jambe de manière à faire arriver mes doigts de pieds dans sa bouche. C’est là que j’ai sèchement ordonné « lèche ! » après lui avoir donné un peu plus de mou dans les liens qui lui entravait les bras. Il m’a tenu la jambe, tant mieux car sinon j’allais tomber, et il m’a léché les doigts de pieds, d’abord la jambe droite puis la jambe gauche. Pour que ce soit plus agréable pour lui, j’avais bien sûr pris une douche mais j’avais aussi pris un bain de pied avec une huile parfumée. Ça donnait à ma peau un petit gout fruité. Il m’a léché les orteils et ..... Ça chatouillait ! Quand il en a eu fini, j’ai resserré ses liens.
Ensuite j’ai posé ma jambe sur l’accoudoir du fauteuil et j’ai retiré la pièce de cuir de la combinaison qui faisait office de culotte. Ayant mon entrejambe à l’air libre, je lui ai saisi la tête avec mes mains pour guider sa bouche sur mon entrejambe. Là j’ai ordonné : « Va-z-y ! Fais jouir ta maitresse ! ». Il n’a même pas pris le temps de répondre qu’il était déjà à l’œuvre ... Bon sang ce que c’était bon. J’ai vraiment apprécié. Il était dorénavant temps pour lui d’être récompensé. En le laissant attaché je me suis mise à genou, entre ses jambes. Je commençais à sortir son attirail et il avait bien compris que c’était l’heure de son cadeau.
J’ai commencé à le sucer et je pouvais voir un large sourire sur son visage. Puis, j’ai arrêté mais c’était pour lui passer une sorte de laisse autour du cou. Je lui ai donné une couverture à étendre sur le sol, ce qu’il a fait alors que je le tenais en laisse et je lui ai sèchement ordonné : « Maintenant, si tu veux ta récompense, tu retires tout ». C’est tout nu qu’il s’est allongé et je pouvais voir fièrement son mât se dresser devant moi. Ni une ni deux, je me suis empalé dessus et je me suis déhanché comme jamais jusqu’à le sentir jouir en moi. Alors qu’il reprenait son souffle, je me suis levé et je suis sorti de la pièce. J’y suis revenu juste après, le temps pour moi de retirer mon masque.
— Alors ? Comment j’étais ? ai-je demandé avec seulement ma tête qui dépassait de l’embrasure de la porte.— Génial ! Franchement on devrait inverser les rôles plus souvent. Me répondit-il avec le sourire.— J’ai eu peur de me planter et j’ai voulu t’en faire la surprise. Ai-je dit en ne me cachant plus.— Mais c’était réussi. J’ai vraiment apprécié. C’est bien la surprise, il faut que le maitre ne dise rien. Tu as tout compris. Me confirma-t-il, toujours allongé sur la couverture— Ravi que ça te plaise.— On voyait que tu n’avais pas l’habitude mais pour une première fois, c’était vraiment bien. M’a-t-il dit en se relevant et avant de me prendre le menton pour m’embrasser tendrement.— Bon ... Je tacherai de faire mieux la prochaine fois.— J’ai hâte de voir ça. Allez maman, on va à la douche. A-t-il dit en se mettant dans mon dos et en me faisant une petite tape sur les fesses.
Pour une première fois en tant que maitresse, j’étais contente. Mon homme avait aimé et moi aussi. Je ne lui avais rien dit mais j’avais déjà d’autres idées. Par contre il allait falloir en faire certaines avant que je ne m’arrondisse.
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