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Un amour interdit ?

Chapitre 1

Inceste
« Quel bien ça fait ! » pense Mme Doubrit en s’allongeant dans sa chaise longue.Après une matinée entière consacrée au grand ménage, une salade de tomates au thon vite avalée et une cuisine méticuleusement rangée, Mathilde se dit qu’elle l’a bien méritée, cette petite sieste qu’elle compte s’octroyer. Le cadre s’y prête parfaitement : une aire d’une quinzaine de mètres carrés située au fond du jardin, protégée de tous côtés par une haie de thuyas bien épaisse avec comme seule ouverture, un passage sur le côté droit. Son mari l’avait aménagée à l’époque où leur vie sexuelle était assez torride, pouvant ainsi faire l’amour, nus au soleil. Le temps a passé, leurs jeux ont cessé à l’approche de la cinquantaine et ce lieu est devenu un havre de paix pour Mathilde.Comme à son habitude, elle s’est mise nue, appréciant les chaudes caresses du soleil sur son corps. Coquine, elle écarte légèrement ses jambes pour le laisser s’immiscer dans son antre intime.Ce sont les rires de son fils Thomas et de son grand copain Ludo qui la font sursauter. Elle reste quelques instants immobile dans sa chaise longue, le corps relevé, les nerfs tendus. Quand elle prend conscience de l’origine de ce bruit soudain, elle s’allonge à nouveau et scrute le ciel où quelques nuages fluets s’approchent du soleil. « Ah ! Non !, se dit-elle intérieurement, je suis trop bien ! Ils ne vont pas me gâcher mon plaisir ! » Les dieux météorologiques finalement, l’écoutent et Mathilde en profite pour se tourner et offrir son joli cul aux rayons solaires.Les deux jeunes, uniquement séparés par la haie de conifères, se sont tus quelques instants pour récupérer de leur grand fou-rire. Mathilde les imagine assis sur le banc qu’elle a elle-même placé à cet endroit pour enjoliver cet espace. C’est Ludo qui rompt le silence :« - Tu sais, hier, j’ai croisé Sylvie ! Elle m’a encore parlé de toi. Visiblement, elle est mordue !— Je te la laisse. Elle ne m’intéresse pas, du moins, pas en ce moment !— Tu as tort, elle a un de ces culs et elle est chaude d’après ce que tout le monde dit.— Je sais mais je m’en tape de Sylvie. — C’est pas à moi que ça arriverait une telle chance ! Elle est vraiment folle de toi, tu sais !Mathilde sourit en entendant les propos de Ludo. C’est vrai que son fils est beau, très beau même et elle comprend que des jeunettes soient folles de lui.Après un nouveau silence, c’est au tour de Thomas de prendre la parole :« - Je ne veux pas de Sylvie … parce que je suis amoureux !— Toi, amoureux, bah ! il va pleuvoir !— Non, sérieusement, amoureux fou, mais c’est un amour impossible !— Comment ça impossible ?— C’est une vraie femme et non une gamine !— Waouh ! Alors là, tu m’épates ! Et pourquoi c’est pas possible ?Mathilde dresse l’oreille. Pour une surprise, c’est une surprise ! Et comme les jeunes demeurent silencieux, elle fait le tour de ses amies pour deviner qui pourrait être l’élue de son cœur. Elle ne voit pas et dodeline de la tête en se disant que Thomas est un peu fou. Elle n’est pas au bout de ses surprises.« - Eh ! Thomas, on se dit tout d’habitude !— Je sais, mais c’est pas facile à dire !— Je vais t’aider ; elle a quel âge ?— Elle va avoir 48 ans dans trois semaines !
— Bah ! Mon salaud ! Tu t’emmerdes pas ! Et elle le sait ?— Non, évidemment !Mathilde s’est dressée sur ses coudes. Elle est blême ! Car une femme proche de Thomas qui a cet âge-là, elle en connaît une mais elle se dit qu’elle se trompe. Ce n’est pas concevable !« - Je cherche parmi les femmes que nous connaissons et je ne vois vraiment pas ! Là, je donne ma langue au chat ou plutôt à la chatte ! » plaisante Ludo.Mathilde entend Thomas se racler le fond de la gorge. Elle comprend que ce ne soit pas facile à dire et a hâte de savoir. Elle ne va pas être déçue !Après plusieurs tentatives qui ne laissent sortir aucun son de sa bouche, Thomas se jette à l’eau :« - Bah voilà ! C’est une femme que j’aime d’un amour naturel depuis toujours mais depuis quelque temps, ce n’est plus le même amour ou plutôt à cet amour-là, s’est greffée une attirance physique qui me fait bander à en avoir mal !— Dis, tu accouches ou quoi !— Cette femme, c’est, … c’est, …, c’est ma mère !— Ta mère ?— Oui, Mathilde, cette femme qui m’envoûte et m’ensorcelle ! Tu t’ rends compte, j’ai envie de faire l’amour à ma mère ! Je suis fou, hein, dis-moi, complètement cinglé !Mathilde est blême, les larmes aux yeux. Elle l’avait déjà deviné dans les propos précédents mais elle se refusait à croire que c’était elle. « Mon fils a envie de moi ! Mon fils a envie de moi ! » La phrase tourne sans relâche dans sa tête et ce qu’elle entend la fige :« C’est vrai qu’elle est canon, ta mère ! Rien que ses seins, j’m’en f’rais bien un coussin ! Et ce cul, ce cul !— Toi aussi, tu as remarqué !Mathilde se dit qu’elle est folle, qu’elle fait un rêve et qu’elle va se réveiller. Mais la chaleur du soleil sur sa peau la convainc qu’elle ne rêve pas.« - Et ça t’a pris quand ? » enchaîne Ludo.— Bah ! Petit à petit, je me suis mis à la regarder différemment, à loucher dans son décolleté, à tenter de voir sous ses jupes et puis, y’a un mois, je l’ai entendu dire à sa copine Lucie qu’elle adorait venir dans la « niche » faire la sieste après le déjeuner et à poil !— C’est quoi la niche ?— C’est derrière nous, le petit coin au milieu des arbres !— Et alors ?— Bah ! dès le lendemain, après le déjeuner, je lui ai fait croire que j’allais te voir, je suis parti avec mon vélo et dix minutes après, je suis revenu mais en laissant mon vélo sur la route et en venant me cacher au sous-sol. Quand je l’ai vue se diriger vers la niche, j’ai attendu encore de longues minutes et je me suis approché de la niche, je l’ai entendue ronfler ou plutôt ronronner et je me suis encore approché. Elle était là, nue, ça m’excitait, tu peux pas savoir. J’ai fini par sortir ma queue et je me suis branlé et j’ai juté en la regardant.Puis, je suis parti pour mieux revenir quelques minutes après et je suis resté longtemps à la regarder et je bandais encore comme un âne. J’ai résisté le temps que j’ai pu. C’était délicieux de ne pas se toucher alors que j’en mourais d’envie et … j’ai fini par jouir dans mon slip, tu t’rends compte !— Bah ! mon salaud !— Une autre fois, elle avait gardé son maillot de bain et … je l’ai vue se caresser, les yeux fermés ! Tu t’rends compte, ma propre mère en train de se branler ! Elle avait mis sa main dans sa culotte et je voyais les doigts qui s’agitaient. A un moment, elle s’est crispée, je l’ai entendue gémir. C’est sûr, elle venait de jouir.— Waouh !— Le soir, j’ai eu une idée de vicieux ! Je suis allé dans la salle de bains, j’ai ouvert le bac à linge et j’ai trouvé son slip de bain et je l’ai chapardé. Depuis, tous les soirs, je me branle en sentant les bonnes odeurs qui sont dedans. Si tu savais !Mathilde pleure ! Elle fait des efforts surhumains pour ne pas crier ! C’est horrible, c’est monstrueux. Et ce qui la terrifie, c’est que son corps réagit à ce qu’elle vient d’entendre. Ses seins se sont gonflés et surtout, de sa chatte, elle sent couler sur sa cuisse la mouille qui révèle un plaisir très fort !Quand elle prête à nouveau l’oreille pour suivre la conversation des garçons, c’est pour entendre Ludo dire qu’il est temps de partir pour rejoindre les copains au bistrot et de demander à Thomas de continuer la suite en chemin.Désormais seule, elle se retourne sur sa chaise longue. Dans sa tête, ça se bouscule ! Elle veut crier sa honte mais aucun son ne sort de sa bouche. Son fils, son fils ! Comment peut-il avoir de telles idées en tête ? Et elle, pourquoi est-elle trempée comme une cochonne ? « Je me fais horreur ! Une douche, voilà ce qu’il me faut, je me suis laissée aller, cela ne se reproduira plus ! »Elle se rhabille rapidement et court vers la salle de bains.Mais la douche ne la calme pas autant qu’elle le voudrait. Quand elle ferme les yeux, elle voit Thomas qui lui sourit, qui lui tend les bras ! Horrifiée par ce qui lui arrive, elle abrège la douche, se sèche aussi vite que possible, s’habille telle une somnambule sans prêter trop attention à ce qu’elle met puis se précipite dans le jardin et multiplie les tâches pour ne pas laisser son esprit la perturber. Ne plus penser, tel est son souhait. Le temps passe ainsi et quand elle voit le soleil commencer à décliner, elle se change à nouveau pour une tenue plus habillée afin de préparer le dîner. Son mari et Thomas arrivent en même temps, le repas se passe et elle évite au maximum de regarder son fils. Elle a sa tête des mauvais jours et son mari ne tarde pas à s’en rendre compte :« Y’a quelque chose qui ne va pas ? » interroge-t-il.— Non, rien de particulier, ma sieste n’a pas dû me faire du bien !C’est au tour de Thomas de devenir pâle comme le linge. « Ce n’est pas possible, se dit-il, elle n’était pas dans la niche, elle m’avait dit qu’elle passait l’après-midi chez Lucie, sa copine ! »Thomas voudrait interroger sa mère, mais il n’ose pas. Il tente un regard vers elle mais leurs yeux ne se croisent pas. Mathilde est fâchée et surtout, fâchée contre elle-même.Une heure vingt, Mathilde vient de regarder le radioréveil pour la énième fois. Pas moyen de dormir. Elle a beau se tourner et se retourner, Thomas est devant elle et depuis quelques minutes, elle le voit souriant, nu, le sexe à la main ! Et le pire pour elle, c’est que ce mirage s’accompagne de cette délicieuse chaleur au bas de son ventre qu’elle connaît bien et qu’elle recherche souvent quand son mari dort. D’habitude, ce qui l’excite c’est d’imaginer être prise par plusieurs hommes, souvent des noirs avec des sexes monstrueux, mais ce soir, bien qu’elle ne le veuille pas, c’est son fils qui l’excite. Non, elle ne cèdera pas … et les larmes reviennent, encore plus fortes que cet après-midi.Elle ne sait quelle heure il est quand elle s’endort, mais dix heures sonnent au clocher de l’église quand elle refait surface. Son mari est bien sûr déjà debout. Elle pense : « Merde, mon footing ! »Elle se dresse alors rapidement dans son lit, se précipite vers la salle de bain où elle se donne un rapide coup de gant sur le nez tel un chat, se met rapidement en tenue, passe devant la chambre de Thomas sans s’arrêter puis fait marche arrière : « Tu viens courir avec moi ou pas ? »Elle n’attend pas la réponse espérant qu’il dorme à poings fermés.Alors qu’elle grille son pain pour son petit déjeuner, elle entend son fils descendre, lui aussi en tenue et tout souriant, s’approche de sa mère pour un tendre bisou sur la joue.Mathilde n’ose le regarder alors que son fils lui dit qu’il va, comme à l’habitude l’accompagner.« On est pas en avance ce matin ! » lance-t-il.— J’ai mal dormi et je n’ai pas vu l’heure !— Moi aussi, j’ai mal dormi !Ce sera leur seule conversation du matin !
Leur footing, c’est sacré ! Et surtout pendant les vacances scolaires. Une bonne heure à courir, à se lancer des défis sur quelques sprints (le premier arrivé à la barrière, là-bas, …) ; mais, ce matin, pas un mot pendant leur course. Mathilde se sent bizarre ; elle a le sentiment que son corps lui échappe. Son corps est troublé par Thomas et elle voudrait le refuser mais n’y arrive pas.Quant à Thomas, il voudrait être sûr que sa mère était bien hier chez Lucie, sa copine, mais il n’ose lui demander.« Non, mais, vous avez vu l’heure ! » hurle Frédéric, le mari de Mathilde.Les deux sportifs se regardent et ni l’un, ni l’autre ne comprend.« Vous avez oublié qu’on déjeunait chez les Dumoulain !« Ah ! C’est vrai ! J’étais persuadé que c’était demain ! » rétorque Mathilde.Mais déjà Frédéric s’en est retourné vers son journal et ne répond que par un haussement d’épaules.« Une douche vite faite et on est prêt ! » ajoute Mathilde.— Bah ! Vous n’avez qu’à la prendre ensemble, ça ira plus vite ! » grogne Frédéric en se plongeant dans sa lecture.C’est au tour de Mathilde de hausser les épaules.« Allez, Thomas, file à la douche ! Ne ferme pas à clé ! J’arrive de suite ! » clame Mathilde alors que ses pensées lui disaient de ne pas prononcer ces mots.Thomas obtempère et alors que l’eau coule sur lui, il sent cette petite boule dans son ventre en imaginant ce qui pourrait se passer dans les minutes à venir.Mathilde ne tarde pas à entrer dans la salle de bains, pose les sous-vêtements qu’elle est allée chercher et se déshabille rapidement.Quand elle se redresse, une fois son slip enlevé, elle reste figée. Dans la douche à l’italienne, face à elle, Thomas la fixe également. Ce qu’elle remarque immédiatement, c’est qu’il bande et que sa bite est bien belle ! Elle rougit, il rougit également et c’est Mathilde qui rompt le silence :« Allez ouste, à mon tour ; tu dois être propre ! » et elle s’invite sous la douche en poussant Thomas hors du receveur. Pour éviter de le voir, elle prend immédiatement le gel douche, le dos tourné à son fils, se recouvre le corps de crème et enchaîne avec le shampoing dont elle recouvre sa courte chevelure. Elle se retourne enfin mais conserve les yeux fermés avant de se glisser sous le jet d’eau.Quand elle rouvre les yeux, c’est pour voir Thomas au milieu de la salle de bains, la bite à la main et qui se branle ! Elle n’a pas le temps de prononcer le moindre mot qu’elle voit des giclées de foutre sortir de la bite de son fils et s’étaler sur le carrelage. Leur stupeur à tous les deux semble s’éterniser puis tel un automate, elle débarrasse de son corps l’enveloppe de savon et de mousse pendant que Thomas, à l’aide d’une serviette qu’il prend sur le lavabo proche, essuie son foutre.« Pardon maman mais ça a été plus fort que moi ! »Mathilde ne répond pas et Thomas croit deviner un léger sourire.Alors, il ose : « Hier, tu étais dans la niche quand j’ai parlé à Ludo, sur le banc ? »Mathilde ne peut prononcer le moindre mot mais elle hoche la tête.Thomas se précipite vers la porte, rouge de confusion et pris par je ne sais quelle audace, il lance :« S’il te plaît, mets ta petite robe jaune, elle te va à merveille ! » et ferme bien vite sans attendre la moindre réponse.Mathilde est toute tourneboulée et fait durer plus que de raison le jet en augmentant le débit. Puisque cela reste sans effet, elle tourne le robinet passant du tiède au froid pour tenter de calmer son corps qui réclame son lot de caresses.Enfin refroidie, ou tout du moins au niveau de ses muscles, elle s’essuie rapidement, enfile culotte et soutien-gorge avant de gagner sa chambre où elle remet en place la tenue qu’elle avait préparée puis sort de son armoire la robe voulue par son fils. Elle sourit à l’image qu’elle voit peu de temps après sur la grande glace de l’armoire. Elle se sent belle, attirante !« Je suis folle » se dit-elle.
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