Le lendemain, après le déjeuner pris ensemble, alors qu’ils ne sont plus que tous les deux, Thomas s’approche de sa mère qui est en train d’arroser les orchidées du salon :« Prête pour mon nouveau jeu !— Tu es sûre que je vais aimer ?— Tu vas adorer ! Laisse-moi faire. Pour commencer, je voudrais que tu mettes ta guêpière rouge et tes bas noirs !— Mais comment sais-tu que j’ai cette guêpière ?— Parce que j’ai fouiné dans tes affaires !— Mais tu n’as pas le droit, c’est mon intimité !— Allons maman, tu ne crois pas que notre intimité est devenue commune !— C’est vrai, … Mais quand même !— Donc, tu mets ta guêpière rouge et tes bas noirs.» …Quelques minutes après, Mathilde apparaît devant Thomas installé dans le salon.La guêpière dans sa partie supérieure laisse apparaître les tétons (bien durs, pour l’heure) comme le feraient des bonnets de soutien-gorge dépourvus de leur partie haute. Plus bas, c’est le mont de vénus orné d’une touffe parfaitement délimitée de poils bien taillés qui saute aux yeux, les bas donnant aux jambes un effet érotique des plus réussis avec cette partie de chair que l’on sait si chaude et cet espace soyeux si doux au toucher que l’on imagine caresser rien qu’en le voyant. Son sourire est éloquent sur la beauté de sa mère : » Que tu es belle et bandante !— J’espère bien ! »Thomas prend le masque pour les yeux (héritage d’un voyage en avion) posé à côté de lui et le tend à sa mère :« Voilà, je voudrais que tu mettes ce masque pendant que nous jouons ! Tu verras, les sensations te paraîtront encore plus fortes ! »Mathilde lui sourit et place l’objet sur ses yeux.« Je ne vois plus rien ! » lance-t-elle en tendant ses bras comme on le fait quand on joue à Colin-maillard.— C’est normal, c’est fait pour ça ! » plaisante son fils tout en s’approchant de sa mère pour qu’elle s’appuie sur lui.Il la prend par les mains et la guide au milieu de la pièce près de coussins qu’il avait disposés sur le sol.« Tu vas te mettre à genoux, les mains derrière le dos – interdiction absolue de les bouger - et devoir me sucer mais attends que je me déshabille ! »Elle se laisse porter par les mots de son fils et se met en position sur les coussins. Il poursuit :
« Nous allons jouer dans un silence total. Ni toi ni moi ne devrons parler. »Mathilde hoche la tête en signe d’accord déjà effectif pour elle.Thomas précise : « Comme je veux voir mon foutre glisser dans ta bouche, je te pincerai, mais délicatement, le nez pour que tu mettes bien ta langue en avant et que je lâche mon foutre dessus ! Je te pincerai à nouveau le nez pour que tu avales le foutre et tu devras ensuite ouvrir grande ta bouche pour que je vois qu’elle est propre et je te redonnerai ensuite ma bite à nettoyer ! D’accord ? »Nouvel hochement de tête approbateur de sa mère.Suit un temps de silence avant que Mathilde ne perçoive le bruit de quelqu’un qui ôte ses vêtements près d’elle. Pourtant, Thomas s’est quelque peu éloigné, a saisi le caméscope qu’il avait préparé à l’avance et filme. Mathilde sent une bite toucher ses lèvres ; elle ouvre immédiatement la bouche et commence à sucer avec ardeur ce qu’elle croit être la queue de son fils. Or, il ne s’agit pas de lui mais de Ludo que Thomas n’a eu nulle peine à convaincre de participer à ce jeu particulier. Il sait qu’il a ordre de se taire, de ne pas émettre le moindre gémissement et que cela ne va pas être facile. Les consignes ont bien été passées et Mathilde savoure la tige qu’à certains moments elle bécote ou lèche de haut en bas ou de bas en haut avant de la reprendre profondément dans sa gorge.Thomas est aux anges, zoome sur le visage de sa mère pour bien mettre en valeur la joie qu’elle éprouve à sucer cette bite bien raide.…Pour Ludo, la situation devient quasi intenable : il voudrait crier sa joie ! C’est la première fois qu’une femme le suce et quelle femme ! En plus, il sait qu’il va lui jouir dans la bouche et qu’elle va avaler.Il ne résiste pas longtemps avant de pincer comme convenu le nez de Mathilde.Zoom de Thomas sur la langue de sa mère qui attend son offrande. Elle ne tarde pas : des giclées de foutre se succèdent et elle a du mal à garder la bouche ouverte au vu de la quantité de sperme qui entre dans sa bouche.Zoom arrière de Thomas pour montrer les deux protagonistes en pleine action.A nouveau zoom avant quand Ludo pince une nouvelle fois le nez de Mathilde qui avale tout le foutre de son sympathique donateur. Thomas laisse le caméscope braquée sur la bouche de sa mère qui s’ouvre à nouveau pour montrer qu’elle est vidée du sperme reçu un peu plus tôt. Ludo tend à nouveau sa queue vers la mère de Thomas qui se fait un devoir de la nettoyer.…Puis Ludo recule, regarde Thomas qui lui fait signe avec son pouce que c’est OK et se rhabille prestement avant de quitter la pièce. Thomas a pris sa place, s’agenouille pour être à hauteur de sa mère et l’embrasse fougueusement, partageant avec elle les parfums de foutre qui sont encore présents.« Tu as aimé ? » dit-il en enlevant le masque de sa mère.— J’aime tout de toi, mon chéri ! Mais, mon cochon, en tout cas, toi, ça t’excitait parce que je n’ai pas le souvenir que tu m’aies giclé autant de foutre qu’aujourd’hui !Ils se sourient puis s’embrassent à nouveau, les doigts de Thomas venant se nicher dans le con de sa mère.« Je veux te faire jouir avec ma langue ! »Sa mère, consentante, se lève pour aller s’asseoir sur le canapé où elle se positionne de manière à mettre son sexe hors du siège.« Je vais faire comme le chien qui veut lécher sa maîtresse ! » et il fait le maigre espace qui le sépare de sa mère, à quatre pattes.« Tu es un dégoûtant personnage de dire des choses pareilles ! » gémit-elle tout en s’avançant encore davantage pour mieux se prêter au jeu de son fils qui reste à quatre pattes, jouant avec sa langue comme le ferait un animal dépourvu de bras.Ses coups de langue sont à la fois désordonnés, violents voire sauvages et sa mère adore si on en juge les gémissements qui sont les siens. Des bruits variés de lèche et de succion se font entendre et s’ajoutent au plaisir que ressent Mathilde. Il n’en faut pas plus pour qu’elle se laisse submerger par l’émotion et prononce des mots qu’elle se croyait incapable de dire :« Oh ! Le bon chien ! Qu’il lèche bien ! Encore mon chien ! … Mets ta langue bien au fond de ma chatte et bois mon jus ! Aspire ma mouille ! … Je dégouline mon bon chien et c’est pour toi ! ... Lèche-moi le cul aussi ! … Oh oui, comme ça ! … Mais c’est qu’il est vicieux mon chien ! Il veut mettre sa langue dans mon cul ! Oh, le coquin ! … Je vais jouir mon chien ! … Je sens que ça va être un feu d’artifice ! … Ne bouge plus ! AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! »Mathilde appuie sur la tête de son fils pour qu’il ne bouge plus ; elle jouit, elle jouit à en avoir mal tellement c’est fort !C’est son bouton qui est un peu douloureux mais la jouissance est si forte !…« Ah ! Mon adorable amour ! Tu en as de ces idées … mais tu m’excites tellement ! »Thomas est venu s’asseoir à côté d’elle et enlace sa mère tout en lui murmurant :« Tu es merveilleuse maman, je t’aime et j’aime tellement Mathilde quand je la sens en chaleur comme elle l’a été maintenant ! »Sa mère lui caresse la joue : « Tu me rends heureux comme je ne l’espérais même pas ! J’aimerais que cela dure, dure !— Ça durera toujours, mon amour si tu veux toujours de moi !— Mais pourquoi je ne voudrais plus de toi ?— Si je te fais faire des choses qui te fâchent !— Mais rien de toi ne peut me fâcher !Et c’est un nouveau baiser plein de tendresse et de douceur.La sonnerie de la porte d’entrée les ramène à la réalité.« Va voir qui c’est pendant que je mets une tenue convenable ! » lance Mathilde en se précipitant dans sa chambre.Quand elle redescend, c’est pour voir son fils suivi de Ludo qui la salue au passage, rougissant à sa vue (on peut comprendre et il pense : « Si tu savais ce que tu as fait ! ». Thomas entraîne son copain vers le jardin pour échafauder un nouveau plan.…
