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Un amour de jumelle

Chapitre 2

Inceste
— Attention! C’est sensible.— Tu ne vas quand même pas dire que je t’ai fait mal.— Non mais ça fait des choses.— Et toi, tu crois que tu ne me fais rien?Marion s’arrête soudain. Elle n’y avait pas pensé. Elle l’avait fait parce que ça l’intéressait et l’amusait, mais elle n’avait pas vraiment pensé à lui jusque-là. Elle laisse alors retomber ses bras, se dévoilant.— D’accord, tu peux toucher.Il se rapproche alors, saisit l’un de ses seins et pose l’autre main sur son ventre puis la fait doucement descendre. Au contact de la première main, Marion sent un frisson de plaisir la parcourir, mais quand la seconde se pose sur elle et commence son parcours, c’est une nuée de papillons qui se réveille dans son ventre et vole en tous sens. Elle pose la main sur le sexe tendu de Luc. C’est dur mais très doux également, et la chaleur est agréable. Avant même d’y penser elle commence à en repousser la peau pour faire apparaître un gland pourpre et luisant.Elle ne sort de sa contemplation qu’en sentant le doigt de Luc frotter son clitoris, lui arrachant par surprise un gémissement de plaisir. Elle agrippe alors les épaules de son frère pour ne pas tomber, ses jambes soudain incapable de la porter sous cette onde de plaisir.— Ça va?— Oh que oui ça va! Tu t’y connais on dirait!— Ben... pas vraiment. Enfin si, en théorie, mais là je dois avoir de la chance.Elle va répondre au moment où le doigt de Luc fait un nouveau passage sur son petit bouton, et elle ferme au plus vite la bouche pour ne pas laisser échapper un nouveau gémissement.— Tu es trempée!— Vue la situation, ça t’étonne vraiment?— Ce n’est pas ça, je croyais que les filles mettaient bien plus de temps à... enfin, à être prêtes.— Arrête la télé et les psys à deux balles, les filles aiment autant ça que les garçons, enfin moi j’aime autant ça je pense.— Tu veux dire que tu as déjà...— Non, mais ça ne m’empêche pas d’y penser!Il la pousse alors pour l’allonger sur le lit du bas sans cesser de lui caresser le clitoris. Entre deux gémissements étouffés elle murmure:— J’en ai envie...A ces mots il stoppe son mouvement.— Qu’est-ce qui t’arrive?— Je pense qu’on ne devrait pas. T’es ma sœur après tout.
— Qu’on ne devrait pas? Je ne... oh! je pensais juste à l’orgasme! Recommence vite!Il la regarde alors, à la fois soulagé et vexé. Ses doigts reprennent alors leur mouvement, énergiques, comme pour se venger, lui prouver qu’il est un homme, un vrai! Le plaisir la prend par surprise tant il vient vite et monte haut. Tout juste a-t-elle le temps de saisir son oreiller pour le plaquer sur son visage et étouffer un gémissement involontaire. Elle ne veut pas s’avouer vaincue pour autant et parvient à saisir le sexe de Luc qu’elle branle vigoureusement. C’est très difficile avec son orgasme qui est là, imminent, mais elle ne sera pas juste son jouet; elle veut garder la main. Mais le plaisir la submerge et elle gémit de plaisir dans son oreiller, assez fort pour que Luc l’entende et pour que cela le pousse au-delà de ses limites. Il jouit à son tour, maculant de blanc la blancheur du ventre de la jeune femme.Il cesse alors et elle, libérée enfin de ce plaisir souverain, ôte l’oreiller pour respirer. Ils se retrouvent ainsi, face à face, elle maculée de sperme et lui rouge et haletant. Après un instant d’incrédulité ils éclatent de rire.— Espèce de salaud! Tu sais t’y prendre en fait!— Et tu peux parler! Regarde ce que tu m’as fait faire!— Ne t’en fais pas va, un peu de savon et d’eau et on n’en parle plus. Une chance que ce ne soit pas tombé sur les draps, il paraît que ça tâche.— Désolé si je fais cliché, mais ça m’a tué!— Ne t’en fais pas, je suis crevée moi aussi.Lorsqu’elle revient de la salle de bain il dort déjà. Après ce moment si intense elle aurait tellement envie de câlin, mais elle se résigne et rejoint son lit. C’est Morphée qui l’étreint alors presque à l’instant.Lorsqu’elle se lève le lendemain matin, Luc est déjà parti au lycée. Il est en L et elle en S, et leurs emploi du temps ne sont pas du tout les mêmes. Elle sait qu’elle ne le reverra pas avant le soir, pour le goûter. Les souvenirs lui reviennent et l’envie avec eux. Se blottissant sous la couette, elle va faire jouer ses doigts sur son bouton mais ce matin c’est décevant. C’est comme un repas de cantine juste après le réveillon. Bien sûr ce n’est pas mauvais, et il y a tout mais il y manque quelque chose: la qualité, mais la compagnie aussi. Et merde! Elle ne va pas lui demander à chaque fois qu’elle aura une envie tout de même! En y repensant, en revoyant ses doigts glissés sur elle, le désir revient comme un boomerang. Elle se sent trempée, haletante. Ce sera une journée de merde, elle le sent!
Par chance les cours se succèdent de façon idéale: d’abord le cours d’histoire passionnant avec monsieur Mac Alister et sa voix suave et chaude qui vous berce et vous fait rêver, puis le sport qui vous vide l’esprit. Arrivée à midi, Marion a tout oublié et le reste de la journée se passe sans mal. Au moment de revenir chez elle, son frère et la nuit dernière n’occupent pas la moindre place dans son esprit. Elle goûte puis se met au travail, mais à peine rentrée dans la chambre, ce mobilier et tous ces éléments si familiers réveillent dans son esprit les souvenirs de la nuit passée. Elle ressent cette douce chaleur dans sa main, ce frisson qui est né dans son intimité et a rayonné dans tout son bassin. Elle se donne deux petites claques pour se réveiller et se met au travail. Il y a une dissertation de philo à faire pour dans trois jours, et elle n’a déjà que trop tardé pour s’y mettre. Il est pourtant dur de se concentrer.Cela fait une demi-heure que son travail a commencé quand la porte de sa chambre s’ouvre pour laisser apparaître Luc. Elle reste alors là, figée, à le regarder sans pouvoir réagir, comme hypnotisée. Il se rapproche, avance une main vers sa poitrine et fait sauter deux boutons de sa chemise en un geste, puis glisse ses doigts dessous. Elle les sent se poser juste sous son cou, descendre sous son soutien-gorge, et lui caresser le sein. Elle ferme les yeux pour mieux profiter de la moindre sensation. Sa poitrine se tend, son bassin s’inonde, c’est tellement agréable.Le bruit de la porte d’entrée qu’on claque la réveille de sa rêverie. Merde! C’était si bon! Dans l’entrée Luc lui crie:— Salut Marion! J’ai reçu un message de papa: maman et lui sont bloqués à Besançon par une grève surprise de la SNCF. Ils ont pris un hôtel et dormiront sur place.Marion se regarde dans le miroir qui occupe la porte de sa chambre. Débraillée comme elle l’est, autant finir le travail. Elle défait donc les deux derniers boutons de sa chemise, ôte son soutien-gorge qui ne cachait déjà plus ses seins, et fait tomber à terre d’un même mouvement jupe et culotte. Elle se regarde. C’est vrai que ses seins sont petits, et il paraît que les hommes préfèrent les sexes épilés mais bon... Elle n’est pas moche non plus. Elle déglutit un bon coup et ouvre la porte pour rejoindre Luc. Il se trouve dans la cuisine et est bouche bée en la voyant. Ses yeux sont brillants et son air plutôt ravi... Elle en rougit de plaisir. Elle n’est pas une fille de magazine, mais au moins semble-t-elle lui plaire.....
A suivre....
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