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L'amour d'un père

Chapitre 8

Inceste
Chapitre 8 : Erika
  Je suis une perverse ; je le sais, mais je l’assume parfaitement. Le sexe est une chose si délicieuse, pourquoi s’en priver ? J’aime sentir la sensation d’une bite en train de me ravager, et celle de mon frère en ce moment est particulièrement savoureuse. Je couche avec lui depuis plusieurs mois maintenant. C’est un très bon amant ; et savoir qu’il est de ma propre famille rajoute du piment à nos ébats.
— Putain, Erika, ce que j’adore ta chatte ! me dit-il.— Et moi, j’adore ta queue ! fais-je en guise de réponse.
  Je suis à quatre pattes, il me prend comme sa chienne, c’est exactement ce dont j’ai envie. J’aime sentir un homme me désirer, savoir qu’il bande rien qu’en pensant à mon corps, qu’il s’imagine me faire plein de choses salaces en me regardant et le laisser me les faire après l’avoir allumé comme une salope ; et je l’ai beaucoup allumé aujourd’hui le pauvre. Il est en train de se venger, je ne peux pas lui en vouloir : ce matin, je me suis faite sautée par mon copain. J’ai crié très fort exprès sachant qu’il était en train d’étudier de l’autre côté de la cloison. Il m’a confié quelques minutes plus tôt qu’il s’était branlé en nous entendant tant il n’arrivait plus à se concentrer, mais qu’il s’est retenu de jouir pour mieux pouvoir me sauter plus tard. Ce moment, il a dû l’attendre tout le reste de la journée. Il n’a pas arrêté de chercher une occasion de me coincer pour me prendre, mais j’ai tout fais pour l’éviter ou ne pas rester seule, jusqu’au soir. Il n’a pas perdu son temps. Je peux sentir son état de manque à ses coups de reins. Il m’enfonce son chibre jusqu’au raz des couilles, cela me fait gémir de plaisir. Je suis totalement offerte à lui ; il peut me faire ce qu’il veut. Je veux qu’il se serve de moi comme sa chose pour se faire jouir, et qu’il me fasse jouir au passage.
    Soudain, il se retire de ma chatte pour me pénétrer le cul. Je hurle de surprise. J’adore être enculée. Il se penche vers moi pour jouer avec mes seins. Je sens son souffle sur mon cou. Il est comme un animal sautant sa femelle. Ses assauts sont puissants. Il me fait défaillir.
  Il se redresse et me tire par les cheveux. Le salaud ; j’aime qu’on me domine, me faire posséder par un homme, qu’il essaie de me faire sienne. Pour l’exciter davantage, je lui balance des mots crus :
— Défonce mon petit trou, Sébastien. Prends le fort, je ne suis pas fragile. Je veux que nos cousins sachent que je me suis faite enculée en me voyant boiter. — Salope ! Salope !
  Cela a l’effet escompté, il redouble de vigueur. Lorsqu’il me relâche, j’écroule mon torse sur le matelas pour mieux me cambrer et lui offrir mon cul. Il me lime de plus en plus fort. Je sens qu’il n’en a plus pour longtemps, moi non plus. Il en arrive au point où il ne cherche plus à me faire du bien, mais juste à se faire éjaculer ; c’est mon moment préféré. Il utilise mon anus comme son sac à foutre. Il pousse un grognement, je comprends ce qui est en train de lui arriver. Sa queue pulse et explose brusquement dans mon cul. Cela déclenche mon propre orgasme, je crie avec lui.
— Je t’aime Erika, je t’aime !
  Moi aussi je l’aime, mon grand frère. Je veux qu’il se vide les couilles en moi. Je le sens en train de déverser son sperme tandis que je tremble sous l’effet du plaisir. J’ai encore la tête dans les nuages lorsqu’il a fini et qu’il se retire. Il me force à me redresser pour me coller contre lui. Il tire mon visage vers le sien puis m’embrasse tendrement. Je lui rends son baiser.
— Tu m’as follement faite jouir, lui dis-je. — Moi aussi. J’adore ton cul, je ne peux plus me passer lui.— Il ne peut plus se passer de toi, il sera toujours ouvert pour toi.

  Comme je suis une perverse, je me cambre un peu pour qu’il puisse admirer le cratère qu’il a laissé. Je pousse pour laisser s’écouler un filet de sperme de mon anus sur les draps.
— Raah, salope ! geint-il.
    Je glousse en le voyant devenir fou. Je regrette qu’il soit mou, je voudrais qu’il me reprenne aussitôt.
    Nous passons le reste de la nuit ensemble, collé l’un à l’autre. Je sais que ce n’est pas sage, il ne faudrait pas que notre secret s’ébruite, mais nous n’avons pas envie de nous séparer.
  Vers trois heures du matin, il me réveille pour me rebaiser. Je le repousse faussement pour le plaisir de le voir insister ; j’aime le voir en manque. Quand il a enfin ce qu’il veut, il me saute en missionnaire comme sa pute. Il a juste besoin de tirer un coup, d’éjaculer un peu de sperme. Je me laisse faire en totale soumise. Je prends mon pied à sentir le besoin qu’il a de mon corps. Il me caresse les seins et prend mes tétons en bouche. Je jouis avec lui quand je le sens éclater dans ma chatte. Je suis heureuse, il peut me réveiller comme ça quand il veut.
  Nous nous levons tôt au matin, afin que personne ne nous soupçonne. Nous reprenons notre vie chacun de notre côté. Nous ne sommes pas un couple, nous ne sommes pas amoureux. Nous baisons simplement pour exprimer notre amour fraternel et pour le bien que cela nous procure. Voilà à quoi ressemble mon quotidien aujourd’hui. Notre mère est au courant de notre relation incestueuse, mais elle nous laisse faire. J’ai de la chance d’avoir une maman aussi ouverte d’esprit, même si cela n’a pas été aussi facile au début. Je n’aurais jamais cru une chose pareille.
    Je ne suis pourtant pas satisfaite pour autant. J’ai envie d’aller encore plus loin. Je suis vraiment une perverse : j’ai maintenant des vues sur mon cousin Lucas. Malgré ses airs de geek, il est plutôt mignon, et je trouve son côté timide et coincé craquant. Il est encore vierge, mais j’ai envie de faire de lui un homme. Je veux être la première femme à avoir son sexe en bouche et que ma chatte soit la première dans laquelle il s’enfoncera. Mais ce que je veux par dessous tout, c’est le pervertir. Je veux le transformer, le voir passer du mec sérieux et tout propre sur lui à un obsédé du sexe qui n’ai pas peur de venir me sauter pour se soulager. Quand j’y pense la nuit, je mouille et je me caresse en imaginant qu’il me martèle. J’ai vraiment trop envie de me lancer dans ce défi, cela m’excite, au point que je finis par me décider et d’échafauder un plan. Je ne veux pas lui sauter dessus. Je suis certaine qu’il céderait trop facilement, comme mon frère, et ce ne serait pas drôle. Non, je veux que ce soit lui qui fasse le premier pas, pour cela, je vais devoir le séduire et le chauffer à fond. Cela va prendre du temps, mais j’ai l’intention de nourrir en lui du désir pour moi au point qu’il ne puisse plus se retenir. Je vais le faire bander à chaque fois que j’entre dans une pièce, il sera tellement gêné qu’il ne saura plus rester en place.
  Je commence par me rapprocher un peu plus de lui. Puisque nous avons le même âge et sommes dans la même classe, je trouve le prétexte d’avoir de plus en plus besoin de lui pour réviser mes cours. Je m’habille de sorte à mettre mes formes en valeur, avec parfois un petit décolleté. Je lui souris quand je vois ses yeux dévirer sur ma poitrine. J’ai beau être sa cousine, il reste un homme. Plus le temps passe, plus ses regards deviennent fréquents. Je ne sais pas s’il croit que je ne vois rien, ou au contraire si mon manque de réaction l’encourage, mais je me dis que suis sur la bonne voie.
    Être seul tous les deux me donne une bonne excuse pour engager des conversations plus intime. Nous avons toujours été proches en tant que membre de la même famille qui vit sous le même toit, et avec ma réputation, il n’est pas plus surpris que ça lorsque je me mets à parler de sexe. Il est gêné, mais il se prête au jeu. Il rougit quand je deviens un peu trop crue. Je lui parle de mon petit copain, je partage certaines de mes expériences, et il me confirme qu’il est puceau lorsque je lui demande de partager les siennes.
— Oh ! Je suis désolée, je ne savais pas, Lucas ! lui dis-je en mentant et en faisant semblant de m’apitoyer sur son sort.
  Je le rassure en lui disant que cela lui arrivera un jour, je le titille un peu en lui répétant combien c’est incroyablement bon, puis je lui dis que si cela le dérange qu’on parle de ça, on peut changer de sujet. Il se défend en disant que, non, non, cela ne le dérange pas du tout. Vu la bosse qu’il a dans le pantalon, tu m’étonnes. Je suis certaine qu’il pense à moi dans des positions pas très catholique et que, dans ses pensées, je ne suis pas avec mon copain.
  Je lui pose beaucoup de questions pour savoir si, même sans expérience, il y a des choses qui lui plait plus que d’autres, ou s’il y en a qu’il voudrait essayer. Ses premières confidences sont très réservées. Il me parle de chose assez banale et je sens bien qu’il retient la vérité. Il doit avoir peur de me choquer ou de passer pour un pervers. Peur de ça, avec moi... il est mignon.   Les jours passent et je le taquine en lui reposant la question. Il joue toujours les gênés en rougissant.
— Mais je t’ai déjà répondu ! rétorque-t-il pour essayer de m’échapper.— Allez, soit honnête, il y a bien plus que ça ! Raconte-moi ! dis-je pour essayer de le pousser.
  Au fur et à mesure qu’il est de plus en plus à l’aise avec moi, il me confie une ou deux choses qui me laissent entrevoir son vrai visage. Il m’avoue qu’il aimerait qu’une fille l’avale et qu’il est tenté par le sexe anal. Je l’allume un peu en répondant :
— Quoi ? C’est tout ? Mais je fais ça tout le temps, moi ! Suffit de demander !
  Il réagit en admettant qu’il s’en doutait pour l’anal, vu comment je marchais parfois bizarrement. Cela me fait mouiller.   J’essaie de le mettre de plus en plus à l’aise. Je lui parle de mes pratiques à moi. Je lui dévoile que j’adore être prise comme une chienne, que j’aime qu’on me donne la fessée, qu’on me tire par les cheveux. Il a beaucoup de mal à cacher son excitation quand je parle de tout cela, ce qui me fait intérieurement plaisir.
  Il finit par se lâcher de plus en plus, il m’avoue qu’un de ses fantasmes serait d’éjaculer sur le visage d’une fille pour la voir recouverte de sperme, et qu’un autre serait de participer à un gangbang. Curieuse, je l’interroge sur cette dernière révélation. Il me confirme honteux qu’il aimerait beaucoup prendre une fille avec un autre gars, pour la remplir par tous les trous. Il me surprend, mais c’est loin de me déplaire ! Cela m’excite de savoir qu’il a ce genre d’idées au fond de lui. Je savais qu’un pervers se cachait derrière ses airs de coincé, il me ne reste plus qu’à le faire éclater au grand jour.
  Une semaine plus tard, je romps avec mon copain. Mélancolique, j’en profite pour me confier à lui. Je sais ce que les gens pensent de moi : que si mes relations ne durent jamais bien longtemps, c’est parce que je cherche juste à m’envoyer en l’air et rien d’autre ; mais c’est faux. Je lui explique que mon problème, c’est que je n’arrive pas à m’attacher à mes hommes. Côté sexe, ok, c’est toujours super, mais je n’ai jamais su trouver une personne avec qui créer une réelle connexion, cela m’affecte beaucoup plus que ce que l’on peut croire. Si je les largue, ce n’est pas parce que je me lasse de leur queue ou qu’ils ne me font plus jouir, c’est juste que je cherche cette autre chose qu’ils ne peuvent me donner. Il m’écoute attentivement, avec beaucoup de compassion. Je ne joue pas cette fois-ci, je lui dis toute la vérité. Je ne réalise pas l’effet que cela peut avoir sur lui quand je lui dis que, finalement, les gens de ma famille sont les seuls avec qui je me sens vraiment bien, et que je regrette parfois qu’ils le soient ; ce n’est qu’après coup que je remarque que cela a provoqué chez lui une érection. Je crois qu’il serait plus que capable de commettre un inceste avec moi. Je suis vulnérable, il pourrait me cueillir tout de suite s’il en avait envie, mais il n’en fait rien. Je sais que c’est un signe de respect, mais j’en suis déçue quelque part. J’ai envie de lui. Ce soir-là, heureusement, mon frère est là pour me consoler avec une bonne baise.
  Durant plusieurs jours, Lucas respecte une sorte de période de deuil durant laquelle il évite de parler de sexe avec moi et où il est très tendu. Je ne pense pas en avoir vraiment besoin, mais je l’en remercie quand-même. C’est sa façon de me dire qu’il partage ma peine, je dois dire que cela me fait du bien. Je l’aime très fort, mon cousin. Les choses redeviennent néanmoins normales très rapidement et je reprends mon entreprise. Je tourne les événements à mon avantage en lui donnant des signes que je suis ouverte et disponible. Je lui mens en disant à quel point je suis en manque depuis que je suis célibataire. Je lui raconte que je me masturbe la nuit, que j’ai besoin d’un homme, que je serais prêt à tout pour une bonne bite. Parallèlement, j’exprime notre rapprochement en me montrant de moins en moins pudique. Je n’ai pas peur de me balader en culotte et en nuisette devant lui, sous prétexte que, de toute façon, nous sommes "en famille". Je le sens me dévorer des yeux, j’adore ça. Le pauvre, cela doit être dur pour lui. J’espère qu’il se branle dans son lit en pensant à moi. Je deviens plus câline, également. Je me presse contre lui quand nous regardons la télé ensemble, je m’assois sur ses jambes lorsque nous étudions ensemble, etcétéra. Je peux parfois sentir sa verge se dresser dans son pantalon. J’ai atteint la phase que je voulais : il me veut, mais il n’ose pas. Il me reste plus qu’à le pousser un petit peu.
  Du moins, je le pensais. J’essaie, j’essaie, mais rien ne vient. Je me demande vraiment ce qu’il attend. Je sens qu’il est torturé. Il est puceau, il a envie de baiser et il passe beaucoup de temps avec une fille disponible qu’il sait capable de réaliser tous ses fantasmes ; alors qu’est ce qui le retient ?! Je multiplie les provocations, mais en vain.    Le printemps est arrivé depuis un bon moment et l’été n’est plus très loin. Il fait anormalement chaud pour cette période de l’année, du coup, nous avons prévu d’aller bientôt à la piscine en famille. J’y vois une occasion de sortir l’artillerie lourde. Je l’invite dans ma chambre pour une séance d’essayage de maillot. Je justifie cela en disant que je ne sais pas ce que je vais porter et que j’ai peur qu’il m’en faille peut-être un nouveau. Je lui montre plusieurs de mes bikinis. Il bande comme jamais en me voyant à demi-nue. Il est gêné, je trouve ça adorable, mais j’ai envie qu’il craque. Il ne peut pas s’empêcher de poser ses yeux partout sur mon corps. Quand il essaie de s’en détourner, j’insiste en lui disant :
— Non, mais, regarde-moi, qu’est ce que tu en penses ?!
  Et il se retourne vers moi le visage rouge comme une pivoine.
  Au bout d’un moment, il n’en peut tellement plus qu’il trouve une excuse pour s’absenter quelques minutes. Je soupire de désespoir. Je veux qu’il me saute dessus, au lieu de ça, il est parti se calmer un peu. Je réalise que je vais devoir prendre les choses en main si je veux que quelque chose se passe. Je m’interroge sur le "comment" il est en train d’essayer de se calmer et je pars à sa recherche avec un espoir en tête.
  Je me dirige vers la salle de bain. Il n’y a jamais eu de verrou, j’y pénètre comme si j’avais un besoin pressant et le surprend devant les toilettes en train de se masturber le froc baissé, pile comme je le pensais.
— Erika ! Je... !
  Embarrassé, il remonte vite fait son pantalon en s’excusant. Je joue les filles choquées, je m’emporte contre lui en le traitant de pervers, avant de lui rendre un sourire coquin en lui demandant :
— Dis-donc, c’est moi qui te fais cet effet là ?— Non voyons ! rougit-il. Enfin... si... un peu...— Je suis désolée. Je n’aurais jamais dû te demander ça. J’aurais dû demander à Lily, c’est ma faute ; je ne pensais pas que cela provoquerait chez toi une envie de...
    Tu parles. Je mens comme je respire, mais il gobe tout.
— Non, non. C’est moi ! me coupe-t-il. Je... je suis désolé. S’il te plait, Erika, va-t-en ! C’est tellement gênant.— Non, attends, laisse-moi t’aider, mon pauvre. C’est la moindre des choses pour me faire pardonner. — M’aider ? Mais... bégaye-t-il tandis que je m’approche dans sa direction.
  Je ne lui laisse pas le temps de réagir, que je me colle contre son dos, fait tomber son pantalon et attrape sa verge d’une main.
— Erika, qu’est ce que tu...— Chuuut, lui dis-je. Laisse-moi faire. Je vais t’aider à éjaculer. Tu as l’air d’en avoir tellement besoin.
  Je le branle doucement, il ne se défend pas, il en meurt d’envie. Je l’entends soupirer en fermant les yeux.
— Ca va ? C’est bon ?
Il hoche de la tête en se pinçant les lèvres. Il n’ose même pas l’avouer à voix haute.
— Je suis désolée, tu sais. Parfois, j’en oublie que tu es puceau et que tu peux avoir des envies ; mais c’est parce que je suis tellement détendue avec toi. Ce n’est pas grave, je vais t’aider, rien que pour cette fois. — Merci, répond-t-il, penaud.
  Il baisse des yeux et regarde ma main s’activer sur sa queue. Il en a une belle, je dois dire ; plus longue que ce à quoi je m’attendais. J’en profite pour bien sentir sa taille. Cela me fait mouiller la chatte. Je me presse contre lui pour qu’il puisse bien sentir mes seins contre son dos. Je le sens durcir entre mes doigts.
— Erika... soupire-t-il.
  Il doit avoir une furieuse envie de me baiser en ce moment, mais au lieu de cela, il me laisser le masturber. Je voudrais qu’il m’interrompe pour me prendre comme une chienne et qu’il se soulage dans ma chatte. Si je regrette sa passivité, la situation m’excite néanmoins follement.
— C’est la première fois qu’une fille te branle ? dis-je pour jouer un peu avec lui.— Oui, répond-t-il. — Tu aimes ? — Beaucoup.
  J’augmente le rythme tandis qu’il pousse un râle. J’aime savoir qu’il est totalement à ma merci.
— Cela première fois que cela t’arrive ? Tu t’es déjà branlé en pensant à moi ? — Je... oui... cela m’est déjà arrivé.
  Son honnêteté me touche. Je pensais qu’il essaierait d’abord de me mentir, mais il semble avoir tellement envie de moi au fond qu’il a envie de me le faire savoir.
— Je suis désolé, ajoute-t-il.— Ce n’est pas grave. Je trouve ça plutôt flatteur. Tu me trouves jolie ?— Très.— C’est mignon. Tu n’es pas mal non plus tu sais. Si tu te mettais un peu plus en valeur, tu aurais toutes les filles à tes pieds.
  Je lui embrasse le cou et lui caresse le torse. Ses bourses pleines ne demandent qu’à exploser, mais j’ai envie de le torturer un peu. Je lui donne du plaisir en prenant soin de ne pas le faire éjaculer. Je suis à l’écoute de son corps pour deviner s’il est proche ou s’il s’éloigne. Je suis surprise qu’il ne m’ait pas déjà supplié de l’achever. Il a les joues rouges tellement il est embarrassé.
— Il ne faut pas avoir honte, tu sais, dis-je pour le rassurer. Ce n’est pas grave. Tu peux te branler pour moi autant que tu veux, cela ne me dérange pas. Imagine-toi en train de me faire tout ce que tu veux, pourvu que cela te soulage.
  Il y a un peu de pré qui sort du méat. Je le récolte d’un doigt et l’utilise pour le lubrifier un tant soit peu, mais ce n’est pas suffisant.
— Erika, j’ai envie de jouir... me confie-t-il.— Pour moi ? — Oui...— Attends. Ce serait du gâchis.
  Je me mets à genou devant lui et le branle à deux mains en lui lançant un sourire coquin :
— Je vais te sucer. Tu peux jouir dans ma bouche dès que tu en as envie. Tu sais que cela ne me dérange pas d’avaler du sperme, je sais aussi que c’est l’un de tes fantasmes.
  Il ne dit rien. Je commence à le pomper. Il soupire et gémit de plus en plus fort. Il passe une main sur mes cheveux pour me caresser. Nos yeux se croisent. Il m’admire à l’œuvre avec beaucoup d’intérêt. C’est la première fois qu’il se fait sucer, cela doit lui faire un sacré effet de voir son sexe disparaitre entre les lèvres d’une fille.
  J’aime sentir sa queue au fond de ma gorge. Je descends une main sur ma chatte pour jouer avec mon clitoris. Il ne rate rien du spectacle. Je l’aspire et je lèche goulument. J’aurais envie de faire durer le moment rien que pour mon propre plaisir de faire une fellation, mais je crois que le pauvre ne le supporterait pas. Je ne joue plus avec lui, je cherche à le faire jouir le plus vite possible. Il se retient le bougre, je ne comprends pas. Je pense que la gêne lui interdit de se laisser éjaculer. Pourquoi se fait-il tant de mal ? Je lui ai clairement dit que je le voulais. Je m’applique davantage. Je le prends en entier jusqu’au raz des couilles en lui faisant des gorges profondes. Je cherche à lui aspirer son sperme comme du pus d’une plaie. Je sens qu’il est en train céder.
— Erika... Ça vient ! Ça vient !
  J’ai l’impression de sentir sa queue trembler comme un volcan qui s’apprête à entrer en irruption. Il pousse un râle avant de m’envoyer une première giclée de sperme dans la bouche. Je gémis de bonheur en l’avalant directement. Il se détend enfin, il m’envoie d’autres jets, cela ne s’arrête pas. Il se laisse se vider sans retenue et je déguste sa semence avec amour. Les salves de foutre deviennent moins abondantes, jusqu’à s’épuiser totalement. Je presse sa tige pour en récolter les dernières gouttes pendant ses derniers soubresauts, puis je le suce jusqu’à ce qu’il ramollisse dans ma bouche.
— Erika, je... Tu es incroyable ! s’exclame-t-il. — Je sais, fais-je d’un ton faussement blasée.
  En vrai, j’apprécie beaucoup le compliment.
— Ça t’a plus, alors ? Tu vas mieux ? fais-je en me léchant les doigts. — Oui... merci. Mais... toi, tu n’as pas joui. — Non, évidemment. Ce n’était pas le but. Je voulais juste t’aider à te soulager. — Mais je t’ai vu te caresser. Tu dois en avoir envie, non ?— Tu t’inquiètes pour moi ? souris-je. C’est mignon. Ne t’en fais pas. Je vais aller me masturber tout de suite dans ma chambre. — Je... je peux regarder ? demande-t-il tout penaud.— Tu veux me voir en train de me masturber ? dis-je, agréablement surprise. Tu es un petit coquin, toi.
  Il rougit encore et me répond en bégayant :
— Oublie, je suis désolé, je n’aurais jamais dû...
  Je l’interromps avant qu’il ne dise une bêtise :
— Chuut, ne dit rien. Je t’ai vu en train de jouir, il est normal que je te rende la pareille. Tu veux me voir en train de me masturber ? Alors regarde.
  Je baisse la planche des toilettes et m’assieds dessus face à lui. J’écarte les cuisses et la partie du maillot qui recouvre ma chatte. Il la regarde avec des yeux ébahis, cela doit être la première fois qu’il en voit une en vrai. Je me caresse doucement le clitoris et je soupire bruyamment en fermant les yeux. Je surjoue pour l’exciter un peu. Je veux lui donner un show qu’il n’est pas prêt d’oublier de sitôt. Pour être honnête, c’est la première fois que je fais ça. Je lui offre mon plaisir sans aucune pudeur. Cela me fait mouiller de penser que je vais me faire jouir toute seule devant lui. Je prends un de mes seins en main tout en m’enfonçant deux doigts. Ils en ressortent luisant, je les portes à mes lèvres pour les gouter avec plaisir. Je sens que cela lui fait de l’effet quand je les introduis dans ma bouche en lui lançant un regard sulfureux. Je l’allume un peu :
— Ça te plait ce que tu vois ? — Beaucoup...
  Je me pelote les nichons en me pinçant les tétons. Je remarque qu’il est déjà en train de rebander. Il se branle aussitôt. Je voudrais qu’il agisse en homme et vienne me l’enfoncer sans me demander mon avis, je dois néanmoins avouer que cela m’excite beaucoup de le voir résister malgré sa furieuse envie de me baiser. J’ai envie de pousser le bouchon pour voir jusqu’où il peut aller. Je retire rapidement la culotte de mon maillot et relève le bassin pour lui offrir une vue sur mon cul. J’y insère deux doigts en même temps que deux autres dans ma chatte. Il augmente le rythme sur sa queue, c’est parfait. Je vais plus vite moi aussi au fur et à mesure que mon plaisir s’accroit. J’enfonce mes doigts aussi loin que je peux et me fouille comme s’il s’agissait de bites énormes qui me ravageaient. Il me fixe la bave aux lèvres. Je lui dis des mots crus pour le rendre encore plus dur :
— Hmm, c’est si bon Lucas. Je m’imagine que c’est ta queue en train de me ramoner. Ça me fait un bien fou.— Putain... Erika... — J’ai trop besoin d’une bite dans le cul. Si tu savais combien j’aime la sodomie. — Salope !
    Je le sens déjà à l’agonie. Moi aussi, j’en ai plus pour longtemps. Balancer des phrases salaces a autant d’effet sur lui que sur moi :
— Oui, ta cousine est une salope et elle va se faire jouir devant toi en s’imaginant que tu la baise.
  Je rajoute quelques doigts. Je me lime moi-même au bord de l’orgasme.
— Je vais venir Lucas, je vais jouir !
  J’ai besoin de partager ça avec lui.
— Erika...
Il se masturbe comme un malade. Je n’arrive plus à détourner les yeux de sa belle bite. Soudain, je sens la vague de plaisir m’emporter. Je crie en me laissant jouir. Au même moment, je le vois éjaculer dans le vide. Je me régale du spectacle de sa queue baveuse expulsant du sperme rien que pour moi. Nous jouissons tous les deux, s’exposant l’un à l’autre. Je tremble sous l’effet du plaisir, je monte au septième ciel. Je voudrais ne plus jamais redescendre. J’ai le souffle coupé. J’ignore combien de temps cela dure, mais cela finit hélas par passer. Je parviens à nouveau à respirer, je reprends lentement conscience d’où je suis. Je rouvre les deux et lui souris. Je suis encore à moitié étourdie.
— Hmmm, c’était bon. J’en avais besoin.— Moi aussi, dit-il.
  Je regarde le sperme qu’il a envoyé sur le sol : quel gâchis. Connaissant son fantasme, je suis surprise qu’il n’ait pas profité de l’occasion pour s’approcher de moi lorsque j’étais sans défense pour me recouvrir de son foutre. Il est encore coincé, trop coincé ; mais cela lui passera, je compte bien m’en charger.
  Après s’être rhabillés et nettoyés un peu le carrelage, nous nous séparons. Malgré qu’il ne m’ait pas baisée, je suis satisfaite. Je crois qu’il va se rappeler de cette journée pendant longtemps.
  Je m’attendais à ce qu’il passe à l’action les jours suivants, mais il ne fait toujours rien. J’agis comme si rien ne s’était passé entre nous. J’ai toujours la ferme intention d’attendre que ce soit lui qui fasse le premier pas. Lui, je sens qu’il est depuis très gêné en ma présence. Il doit repenser sans arrêt à ce que nous avons fait. Dès qu’il me regarde, je suis certaine qu’il doit avoir cette image en tête de moi en train de le sucer à genou. Il lutte intérieurement. Il a envie de moi, mais des barrières l’empêchent encore de laisser libre court à ses instincts. Je sens pourtant qu’il essaie vraiment de faire sortir le pervers qui est en lui comme un oisillon qui perce sa coquille ; comme la fois où, tout timide, il me dit sans détour :
— J’ai fais comme tu m’as dis, je me suis branlé en pensant à toi aujourd’hui.
  C’est mignon. J’imagine que cela doit lui arriver souvent. Je me dis que ce n’est plus qu’une question de temps.
  Quand nous faisons des révisions ensemble et que je m’assieds sur ses jambes, je peux ressentir son érection. De temps en temps, je joue avec lui en remuant innocemment le bassin pour mieux le sentir. Quelque chose me dit qu’après qu’on ait fini, il va se dépêcher d’aller faire un détour aux toilettes pour se soulager un bon coup. Un jour, tandis que nous étudions, il pose ses mains sur mon ventre comme pour m’enlacer. J’ai des papillons dans le ventre quand ses mains se font un peu baladeuses et que l’une d’entre elles remonte sur un de mes seins. Il le caresse et le masse. Je me retourne furieusement vers lui en faisant semblant d’être choquée :
— Lucas ?! Mais qu’est ce que tu fais ?!— Je suis désolé. Mais tu es trop belle, j’ai trop envie. — Tu repenses encore à l’autre jour, c’est ça ?! Je t’ai dis que cela n’arriverait qu’une fois. Il faut arrêter maintenant. Je suis ta cousine !
  Je le taquine un peu, mais j’ai peur qu’il soit tellement coincé qu’il finisse par renoncer. Pour mon plus grand bonheur, il insiste :
— Je n’en peux plus Erika, j’ai trop envie de toi. J’ai envie... de te faire l’amour.
  Ses attouchements sont plus pressants. Il me serre contre lui en calant sa tête sur mon épaule pour humer mon parfum. Il est comme dingue, j’adore ça :
— Tu es fou, on ne peut pas ! — Oui, je deviens fou. Pitié, rien qu’une fois !
  Je soupire pour montrer ma résignation, puis je lui réponds :
— Ok, mais rien qu’une fois !
  Je sens un changement se produire subitement chez lui, comme s’il venait d’être libérer d’un poids. Il m’embrasse le cou et passe une main sous mon pantalon. Il se dirige vers mon entrejambe. J’écarte légèrement les cuisses pour lui donner un meilleur accès à ma chatte. Je sens ses premiers doigts atteindre mon clitoris. Il prend son temps, il explore l’extérieur comme une curiosité, jouant avec mes grandes et petites lèvres. Le visage tourné vers lui, nous nous embrassons, tandis que son autre main est également passée sous mes vêtements pour pouvoir mieux profiter de mes seins.
  J’enlève mon haut, et lui demande de m’aider pour enlever mon soutien-gorge. Il s’émerveille en les voyants à l’air pour la première fois, sans maillot pour en recouvrir les tétons. Il les prend et les pince comme il m’a vu le faire dans les toilettes. Cela me fait gémir.
— Erika... Tes seins sont si beaux... Les garçons doivent adorer jouer avec.— Tu n’as pas idée, dis-je. Mais aujourd’hui, ils sont rien à quoi.
  Il me les presse davantage tandis qu’il enfonce enfin deux doigts dans me vagin.
— Mon dieu, tu es trempée ! s’exclame-t-il.— Tu croyais quoi ? Moi aussi j’ai très envie.
  Je le laisse continuer de jouer avec mon corps comme si j’étais sa poupée. Je suis cependant très impatiente de passer à la suite.
— J’ai envie de toi, Erika. J’ai envie de te faire l’amour. — Moi aussi, j’ai envie que tu me prennes. — Tu veux bien... me sucer un peu avant ? Comme la dernière fois ?— D’accord, mais promet moi de ne pas jouir ! J’ai envie de sentir ton gros bout dans ma chatte. — Promis.
  Je me mets à genou devant lui et extirpe son sexe bien dur de son pantalon. Je le suce goulument en le fixant dans les yeux. Il soupire de bonheur. Je lèche le gland comme un bonbon la bouche ouverte pour qu’il ne rate rien de la scène, puis je fais tourner ma langue autour du méat suintant avant de l’engloutir à nouveau. Je salive beaucoup pour le lubrifier, ça glisse tout seul. Sa belle queue me fait rêver, j’ai hâte qu’elle vienne me ravager. J’aime jouer avec l’instrument qui va me faire jouir avant de passer à l’acte.
  J’ai une envie folle de lui sauter dessus et de m’empaler sur sa bite, mais je veux que ce soit lui qui me lime. Je veux qu’il assume ses pulsions et qu’il prenne ce dont il a envie.
— Tu vas me baiser maintenant ? lui dis-je presque suppliante. — Oh oui, répond-t-il.
  Je me relève et me mets à quatre pattes sur le lit, le cul bien en l’air en sa direction :
— Alors viens, je t’attends !
  Je lui offre mon corps comme une salope, il se déshabille à toute vitesse pour venir s’en saisir. Il monte sur le matelas pour me rejoindre en se plaçant derrière moi. Je frémis d’impatience. Il me caresse le cul et profite de cette vision de rêve un instant, puis il prend sa verge en main pour la diriger vers mon entrée trempée.
— Viens ! fais-je. Fais de toi un homme !
  Et il m’enfonce lentement sa queue jusqu’à la garde.
  Je gémis de bonheur. Ça y est, je suis en train de prendre la virginité de mon cousin. Je suis follement excitée, lui aussi. C’est la première fois qu’il s’enfonce dans une chatte, il doit avoir l’impression de vivre un rêve. Il met ses mains sur mes hanches et démarre son va-et-vient. Je me régale de chaque centimètre de son chibre qui m’écarte les chairs. Je le voulais tellement depuis si longtemps. C’est qu’il m’a fait attendre, ce con ! Je suis si heureuse de savoir que je suis sa première, qu’il me désire à ce point, que c’est avec moi qu’il veut devenir un homme.
— Oooh, Erika...— C’est bon ? Tu aimes être dans ma chatte ?— C’est divin ! Jamais je n’aurais cru que c’était aussi bon.— Profite-en. Lime-moi bien. Tu peux me faire tout ce que tu veux, mais rien que cette fois.
  Il me baise de façon maladroite, je ne peux pas lui en vouloir pour sa première fois ; il me fait néanmoins beaucoup de bien.
— Je n’arrive pas à croire que je ne suis plus puceau, dit-il, et que je te fais enfin l’amour.
"Faire l’amour", il est décidément mignon. C’est baiser que nous faisons, mais il a encore manifestement du mal à l’assumer à voix haute.
— Aaah. Erika ! Erika ! — Lucas...
  Il va de plus en plus vite. Il ne sait pas comment ménager son plaisir. Il est perdu dans ses instincts et me fourre comme un animal qui a besoin de se soulager. J’aime le sentir dans cet état pour moi, mais j’ai peur qu’il vienne trop rapidement.
— C’est bon ! C’est bon ! geint-il.
Il se penche vers moi en m’agrippant par les seins. Il me saute en se collant moi comme si j’étais sa chienne. Cette façon qu’il a de me prendre me fait défaillir. Je sens son souffle sur mon cou. Il m’embrasse l’épaule. Il ne pense pas à moi, il se sert de mon vagin pour se faire jouir. Puis ce qui devait arriver arriva :
— Ca y est, Erika ! Je vais jouir !
  Il ne tarde pas à éclater dans ma chatte. Il me la remplit de sperme en criant sa délivrance. Il se soulage comme s’il s’était retenu pendant trop longtemps. Il continue à me donner des coups de reins même lorsqu’il n’a plus de jus à m’envoyer, puis il s’arrête peu à peu, complètement épuisé comme un coureur à la fin d’un marathon.
— Je... je suis désolé, dit-il en se rendant compte que je n’ai pas jouie, mais c’était trop bon.
  Frustrée, je m’emporte contre lui :
— Crétin ! Je ne suis pas une poupée gonflable dans laquelle on se vide un coup ! Moi aussi j’avais besoin de jouir ! Merde ! — Je suis désolé, Erika.
Il est rouge de honte. Je me débats et le repousse violemment.
— Tu as eu ce que tu voulais, dégage maintenant ! Fou-moi la paix !
  Il ramasse ses vêtements tandis que je lui balance ses pantoufles à la figure. Il s’enfuit de ma chambre sans avoir pris le temps de se rhabiller. J’espère pour lui qu’il ne croisera personne dans le couloir.
  Malgré ce que je lui ai dis, je ne suis pas vraiment fâchée. Ce qui est arrivé est normal, je ne m’attendais pas à mieux de la part d’un puceau, mais il faut qu’il apprenne qu’il doit faire attention à l’avenir, et que le sexe, ça se fait à deux. Je reste cependant ravie de ce qui s’est passé, il s’est enfin décidé à faire le pas. Je lui ai dis que ce n’était que pour cette fois, mais je m’attends évidemment à recommencer. Je ne lui ai raconté ça que pour voir s’il va se renfermer à nouveau sur lui-même, ou s’il va définitivement libérer sa sexualité.
  Le fait que je n’ai pas joui me laisse particulièrement frustrée. Je prenais tout de même beaucoup de plaisir avant que cela se finisse trop précipitamment. Dans un élan salope, je vais voir mon frère pour lui faire comprendre que j’ai envie de tirer un coup. Il ne dit évidemment pas non. C’est un amant formidable, il me baise comme un vrai mâle. C’est exactement ce dont j’avais besoin. Il me défonce vigoureusement le cul de toute sa longueur. Cela ne l’empêche pas de remarquer un filet de sperme tâcher les draps.
— Tu viens de t’envoyer en l’air ?! s’exclame-t-il étonné. Mais avec qui ?! Tu n’as plus de copain ! — À moitié dans les vapes à cause du plaisir, je lui dis la vérité sans aucun filtre : — Par Lucas, je viens de prendre sa virginité !— Lucas ?! Mais c’est notre cousin, Erika ! Tu n’es vraiment qu’une salope ! — Je sais, mais j’en avais trop envie. Il m’excite ! Il a une belle bite ! — Salope ! Salope ! rugit-il en cherchant à me forer l’anus. — Je suis désolé, je suis désolé ! fais-je les larmes aux yeux par le bonheur de me faire enculée par mon frère pendant que je lui révèle mon secret honteux.
  Il me donne enfin l’orgasme libérateur auquel j’aspirais avant d’éjaculer dans mon cul. J’adore ce moment où nous jouissons ensemble. Nous restons un moment dans le lit tous les deux à parler. Il n’a pas l’air trop jaloux de savoir ce que j’ai fais avec Lucas, ni de savoir que je ne compte pas en rester là. Il est choqué, surpris, oui, mais pas jaloux. Je lui demande si cela le dérange ; il prend le temps de réfléchir avant de me dire non. Il a l’air morose. J’essaie de savoir si quelque chose ne va pas, mais il essaie d’éviter la question. C’est après avoir insisté qu’il me fait une révélation : il couche avec notre mère. Je lui demande de me répéter ça tant je n’en crois pas mes oreilles. Pourtant, en y réfléchissant, cela explique son soudain changement d’avis à notre sujet.
— Cela faisait longtemps que je voulais t’en parler. Ça me tue d’avoir des secrets entre nous, poursuit-il, mais... maintenant que tu dis que tu couches avec notre cousin, j’ai un peu moins honte.
  Cela doit être à la fois sa façon de me dire qu’il comprend ce que j’ai fais et que je suis mal placée pour juger ce que lui a fait. Il n’a pas tout à fait tord sur ce dernier point. À vrai dire, je ne sais pas trop quoi en penser. D’un côté, je crois que c’est la différence d’âge qui me choque plus que l’inceste lui-même. D’un autre, je pense que maman a droit à un peu de bonheur. Si elle peut en trouver en couchant avec mon frère et que celui l’aime à ce point, pourquoi pas ? Enfin, je me dis qu’on est quand-même une famille de malade.
  Le soir, je me remémore les événements de cette longue journée dans mon lit. J’ai hâte de voir ce que la suite va me réserver. Je m’endors, mais je suis réveillée au cours de la nuit sans en connaître la raison. J’ouvre les yeux et regarde autour de moi pour découvrir Lucas qui me surplombe.
— Lucas ! fais-je pour m’insurger. Qu’est ce que tu fais ici ! Vas-t-en ! — Je sui venir me faire pardonner, Erika. Cela m’obsède depuis cet après-midi. Je veux te faire jouir. — Il est trois heures du matin ! Tu n’as rien à faire ici ! Si quelqu’un se rend compte que tu es là...
Mais il ne m’écoute pas, au contraire me saute dessus. Il cherche à me caresser et à me peloter. Il est comme fou.
— Je vais te faire du bien ! Je te le promets ! Je te le promets !
  Je me débats un peu pour la forme, puis le laisse faire. Le voir dans cet état est exactement ce que je voulais. Cela me fait mouiller comme pas possible. Il ose enfin faire ressentir le mâle qui est en lui et il est venu prendre ce qu’il veut. Je ne demande qu’à le lui offrir. J’ai une envie folle qu’il me baise.
  Il m’arrache ma culotte et me lèche la chatte. Son premier cunni...
— Oooh, Lucas... l’encourage-je en lui caressant les cheveux.
  Je le guide pour qu’il apprenne à me donner du plaisir, puis il sort sa queue pour venir me sauter en missionnaire sans tarder. Il me lime comme un soudard, avec des coups puissants. Il est collé à moi en me caressant partout. On dirait un petit chien en manque. Il joue avec mes seins qu’il embrasse et dont il mordille les tétons. Cela me fait couler encore plus. Je lui balance des mots salaces pour l’exciter, il me ramone d’autant plus fort :
— Vas-y, Lucas, baise-moi comme une salope. Fourre-moi bien avec ta queue ! Fais-moi jouir cette fois ! Je veux jouir sur la bite de mon cousin !
  Il se fatigue vite mais il se retient. Ses efforts me touchent profondément. Il m’embrasse avec la langue tout en me fixant dans les yeux avec un regard qui me fait fondre. Je peux y voir tout le désir qu’il a pour moi ainsi que le désespoir qu’il ressent de vouloir me faire jouir.
  Je l’enlace par les épaules pour le sentir tout contre moi. Note tête son collé l’un contre l’autre. J’écarte et relève les cuisses pour mieux m’offrir à lui. Je sens sa queue me défoncer. Je gémis pour lui pour lui faire savoir qu’il me fait du bien. Quand je lui confie que je ne vais pas tarder à jouir, il redouble de vigueur.
— Oui, oui. C’est bon Lucas ! fais-je pour l’encourager. Continue ! Tu fais ça bien. C’est bon. Baise-moi encore ! Tu vas me faire jouir !
    Je sens la vague de plaisir arrivée. Je m’accroche fermement à lui puis je crie quand mon orgasme m’emporte enfin au nirvana :
— Lucaaaaaaaaaas, tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiir !
  Cela devait être le signal qu’il attendait, car il se relâche subitement. Je l’entends grogner avant d’éjaculer dans ma chatte. Le malheureux devait être à l’agonie depuis un bon moment. Nous jouissons ensemble pour la première fois, c’est tout simplement fabuleux. Il se vide en moi et déverse autant de sperme qu’il peut dans mon vagin. Il s’écroule ensuite sur moi. Je lui caresse les cheveux quand je redescends moi-même du ciel.
— Oh, Lucas, tu as été merveilleux. — Je t’ai fais jouir ? Pour de vrai ? s’inquiète-t-il. — Oui. Tu as été parfait. Tu es un homme maintenant. Je suis heureuse.— Moi aussi. C’est si bon de te faire l’amour. Dis, on pourra le refaire ?— Quand tu voudras.
  Il m’embrasse avant de repartir dans sa chambre. Je m’endors comblée comme sur un petit nuage. Mais tout ceci n’est que le commencement. Certes, il n’est désormais plus puceau, mais maintenant, je veux faire de lui un véritable pervers.
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