Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 90 J'aime
  • 4 Commentaires

L'amour d'un père

Chapitre 13

Orgie / Partouze
Chapitre 13 : La réunion de famille
    Cela faisait longtemps que je n’avais pas fais l’amour à trois avec les mères de mes enfants. Il faut dire qu’elles ont du mal à trouver le temps. Je suis si jaloux qu’elles vivent ensemble et d’être ainsi mis à l’écart. Je trouve mon seul réconfort en sachant qu’elles en souffrent autant que moi.
  Nous avons fait l’amour comme autrefois, en abusant de nos jouets. Angela s’est faite enculée par sa sœur tandis qu’elle me suçait, puis nous l’avons prise en double. Elle pleurait de bonheur, cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas ressenti notre amour dans ses deux orifices en même temps. Je me suis ensuite amusé avec leurs chattes et leurs culs pendant qu’elles faisaient un soixante-neuf. Mes petites filles, malgré l’âge, elles sont toujours si mignonnes quand elles sont ensemble. Nancy a réclamé son double après cela et nous l’avons fait jouir férocement. À la fin, je n’en pouvais plus. Elles m’ont achevé en me suçant toutes les deux comme des chiennes, me suppliant que je leur donne mon sperme. Elles m’ont fait éjaculer sur leurs visages avant de faire leurs toilettes en se léchant l’une l’autre. Aaah, mes petites filles, vous êtes mes petites salopes pour la vie.
  Nous nous quittons avec tristesse sans savoir quand sera la prochaine fois que nous pourrons remettre ça. Ce n’est pas plus mal, selon moi. Je deviens vieux et je ne suis plus aussi endurant que dans ma jeunesse. Il me faut plusieurs jours pour récupérer après de telles prouesses. Elles vont finir par avoir ma peau, mais je n’imagine pas plus belle mort que de mourir en baisant mes filles. M’enfin, je dis ça pour rire, je n’imagine pas le traumatisme si cela devait vraiment arriver.
  Quelques jours plus tard, je reçois la visite impromptue de Lily. Je suis surpris, c’est assez inhabituel qu’elle vienne chez moi en dehors de nos weekends. Elle me dit qu’elle n’est pas venue faire l’amour, mais pour parler. Je m’inquiète, ça doit être grave.
  Je l’installe dans la cuisine et lui sert quelque chose à boire. Elle ne dit pas un mot, elle semble troublée. J’essaie de la faire parler, mais il faut que j’insiste beaucoup pour qu’elle me confie enfin ce qu’elle a sur le cœur. Elle m’avoue ainsi qu’elle baise avec ses frères et même avec sa sœur. Elle me raconte qu’ils couchent tous ensemble chacun de leur côté et qu’ils ont même déjà fait une partie à quatre. Il y a des choses que je savais, d’autres qui me sont des révélations. Je l’écoute jusqu’au bout sans l’interrompre ni porter de jugement. Lorsqu’elle a fini, elle baisse des yeux tellement elle est gênée. Je trouve ça adorable.
— Pourquoi me racontes-tu tout cela, Lily ? — Parce que j’en ai marre des secrets ! s’exclame-t-elle. Tout le monde baise avec tout le monde dans cette famille, mais chacun se cache dans son coin en en ayant honte. Personne n’en parle ! J’en ai marre de devoir me cacher et de me sentir coupable ! — Tu as raison, Lily. Je pense que nous devrions un jour tous nous installer autour d’une table et en parler sérieusement pour mettre les choses au clair.
  Elle me regarde les yeux pétillants d’espoir. Je ne sais pas pourquoi c’est si important pour elle ; pour moi, cela toujours été du domaine du détail : chacun fait ce qu’il veut dans son coin, cela ne me dérange nullement ; mais si elle veut plus de transparence, je ne vois pas où est le problème. J’organise donc une réunion de famille chez eux. Je crois que c’est la première fois que nous faisons ce genre de chose, nous n’en avons jamais eu besoin. J’en cache la raison jusqu’à la dernière minute. Lorsque nous nous installons autour de la table de salle à manger, je sens bien que tout le monde est nerveux et se demande de quoi il peut bien s’agir. Même Lily qui est pourtant au courant semble mal à l’aise.
    Je prends la parole en premier et j’explique la situation. Je dévoile tous nos secrets : mes relations avec Nancy et Angela, mon lien de parenté avec mes petits enfants, mes garçons qui baisent leurs sœurs, la relation entre Nancy et de Sébastien, tout, vraiment tout. La plupart de ces choses n’étaient plus un secret pour personne, mais au moins, tout le monde sait maintenant officiellement que tout le monde est au courant. Certains des faits ignorés en ont choqués quelques uns, mais il n’y a eu personne pour faire un scandale ou démarrer une dispute. Nous en parlons calmement, posément ; nous mettons les choses à plats. Personne n’est innocent dans cette histoire, nous avons tous pratiqué l’inceste, nous sommes donc mal placé pour juger les actes des autres. À la fin, nous sommes tous d’accord pour dire qu’il n’y a rien de grave à ce que nous faisons. Nous sommes simplement une famille particulière qui a une façon particulière de montrer son amour les uns pour les autres. Il n’y a aucune raison pour que nous arrêtions, et désormais, il n’y en a plus non plus pour nous en cacher. Je lis le soulagement dans beaucoup de regards, cette conversation semble avoir fait beaucoup de bien. Les mères surtout semblent plus sereines que leurs enfants sachent la vérité et le prennent aussi bien. Je pense aussi que de savoir qu’ils couchent eux-mêmes ensemble les aide à se sentir moins coupable de ce qu’elles ont fait avec moi.
  Pour nous prouver que nous nous aimons et qu’il n’y a aucune honte à avoir, je propose que nous faisons l’amour tous ensemble. Là, ici, maintenant, tout de suite. Surpris, les regards se cherchent comme pour sonder les avis dans la pièce. L’inquiétude qui transpirait les premières secondes se change rapidement en excitation. Nous allons le faire. Nous allons baiser en famille sans tabou ni pudeur.
  Des couples se forment rapidement. Sébastien se met avec sa mère et l’embrasse tendrement, Erika vient sur mes genoux et fait de même. Je suis agréablement surpris en voyant Lucas s’approcher de sa mère. Ils n’ont jamais rien fait ensemble, mais je peux lire le désir dans leurs yeux. Angela regarde son fils avec étonnement. Elle est brulante d’envie mais je sens qu’elle a peur aussi. Je me demande ce qu’elle craint : que son fils ait envie d’elle ? Ou de réaliser le contraire ? Elle le fixe pleine d’attentes ; quand il se penche vers elle pour coller ses lèvres aux siennes, ma petite fille s’illumine de bonheur. Je savais qu’au fond elle avait envie de son fils depuis bien longtemps, je suis heureux pour eux.
  Je vois Lily rester désespérément seule. Elle regarde tout le monde échanger des baisers avec jalousie et tristesse. La pauvre doit se sentir délaissée. C’est stupide : tout le monde l’aime, elle n’a qu’à choisir avec qui elle veut aller, personne ne la repoussera, mais elle est trop timide pour faire le premier pas. Je sens qu’elle a besoin d’un coup de main :

— Viens Lily, vient voir papa, lui dis-je. Je vais te faire l’amour à toi et à ta sœur.
    Elle est plus que ravie de me rejoindre. Nos langues s’entremêlent rapidement, je me sens le plus heureux des hommes d’avoir ces deux jeunes filles rien que pour moi. Mes deux adorables petites filles, je suis si fier d’elles ; et de moi de les avoir faites.
  Nancy se met à genoux devant son fils et se met à le sucer. L’amour qui pétille dans ses yeux fait plaisir à voir. Timidement, Angela entreprend de faire de même. Lucas se met debout tandis qu’elle défait sa braguette. Elle fixe le sexe bandé qui en sort avec fascination. Il est beau, il est gros, il est jeune, et c’est celui du bébé qu’elle a porté dans son ventre. Je sens qu’elle un peu honte d’en avoir envie, mais sa libido prend vite le dessus : elle l’avale avec bonheur et lui montre comment sa mère sait faire une pipe à un homme.
  Mes deux petits anges aussi commencent à défaire mon pantalon après d’être mis à genoux devant moi. Elles jouent avec mon sexe bien dur sans se servir de leurs mains. Elles le coincent entre leur bouche et font coulisser leur langue du long de la tige jusqu’au gland ; c’est splendide, on dirait qu’elles ont fait ça toute leur vie.
Assit sur ma chaise, je me régale du spectacle de mes deux petites chiennes qui cherchent à me donner du plaisir. Je leur caresse les joues et les cheveux. Elles sont si mignonne, j’ai hâte de m’enfoncer dans leurs chattes et leurs culs.
  Je jette un coup d’œil autour de moi. Les mères sucent leurs fils, tandis que ceux-ci soupirent de bonheur. Je n’ai jamais été aussi fier de ma petite famille. C’est moi qui l’ai fondée, ce sont tous mes enfants, je suis leur patriarche. Pour le moment, les filles s’attèlent à faire du bien aux garçons, mais bientôt, nous leur rendrons la pareille. Cela ne tarde d’ailleurs pas. Nancy, impatiente, bondit sur la table et s’allonge sur le dos en se retenant par les coudes. Le fixant d’un regard aguicheur, elle écarte lentement les jambes pour lui dévoiler son intimité.
— Viens, mon chéri, dit-elle. Maman a envie de toi.
  Il ne se fait pas prier : il s’approche d’elle, son sexe en main, profite de la vue un instant, puis s’introduit dans son conduit d’amour accueillant. Ce n’est pas la première fois que je vois mon petit baiser sa mère, mais c’est toujours aussi fabuleux. Nancy parait tellement heureuse, cela me réchauffe le cœur.
— Oh, maman, maman, gémit Sébastien.— Tu aimes, mon chéri ?— J’adore, je t’aime. Tu es si belle, ma maman chérie. — Et toi, tu aimes, Lucas ? demande Angela à l’intéressé. Cela te plait de te faire sucer par ta mère ?— Oh oui, maman. C’est si bon. — Tu as une si belle queue. Je vais prendre soin de toi.— Tu as toujours su prendre soin de moi, maman.
  Elle replonge sur sa bite et le pompe goulument en le branlant d’une main. Elle est tellement dévouée à lui faire du bien, c’est admirable. C’est de l’amour à l’état pur.
  Je retourne à mes petites chéries. Erika me lèche les couilles tandis que Lily m’avale. Je presse cette dernière contre ma queue pour la forcer à me faire une gorge profonde. Elle me prend entièrement malgré ma taille. Lorsque je la relâche, c’est sa sœur qui s’empresse de m’en faire une comme si elle était jalouse. Je grogne de bonheur. Mes filles sont de sacrées cochonnes, leurs mères les a bien éduquées.
— Ooh, mes petits anges, vous êtes fantastiques. — Ça te plait ? Tu vas nous baiser toutes les deux alors ? me demande Erika pour m’exciter.— Oh ça oui alors !
  Mon sexe est couvert de leur bave.
  Angela et Lucas ont décidé de passer aux choses sérieuses. Angela se penche sur la table pour lui offrir son cul. Son fils en profite pour lui bouffer la chatte. Je ne vois rien mais je sais qu’elle doit mouiller comme une folle. Le plaisir se lit sur son visage, elle est magnifique. Si je n’étais pas en train de me faire pomper par deux petites déesses, j’irais la baiser sur le champ. Lorsqu’il se redresse, il l’attrape par les hanches et lui enfourne son manche. Je suis si fier de lui, il n’a même pas hésité, il a vraiment envie de faire l’amour à sa mère. Mon chaton soupire de plaisir. Cela m’émeut de pouvoir assister à leur première fois, ils sont si beaux à regarder.
— Oh, mon chéri, mon chéri, dit-elle.— Maman... gémit Lucas. J’ai trop envie de toi.— C’est vrai ? Tu ne dis pas ça juste pour me faire plaisir ?— Non, je te le jure.— Tu n’imagines pas combien cela me rend heureuse. J’en avais envie depuis si longtemps. — Maman... je suis désolé d’avoir attendu autant. Je t’aime tellement. J’aurais dû venir te faire l’amour plus tôt pour te le montrer. — Moi aussi, je t’aime. Alors profite-en. Je suis ta pute ce soir. Fais-moi tout ce que tu veux. Montre-moi que tu me désires.— Je te veux maman, je te veux. Je vais te baiser comme ma pute, puis je t’enculerais et je te ferais jouir ! — Oh oui ! Vas-y, je suis toute à toi.
  Il la lime comme un animal affamé. On dirait un couple de puceau qui découvre le plaisir du sexe pour la première fois. Mon garçon semble si amoureux, comme si chaque coup de queue voulait dire je t’aime, et vu l’expression du visage de ma petite Angela, elle reçoit très bien le message.
  De son côté, Sébastien s’est penché sur sa mère pour l’embrasser, cette dernière l’a agrippé par le dos pour l’obliger à rester fiché en elle. Ses coups de reins la fait défaillir. Son corps a besoin de se nourrir de l’amour de son fils. Ils sont en parfaite fusion. C’est si beau de voir un couple baiser pour montrer qu’ils s’aiment.
  Jalouse que je sois distrait par ce qui se passe autour de moi, Erika décide de prendre les choses en main :
— Ça suffit, dit-elle. C’est avec nous que tu baises. Tu n’as pas le droit de regarder ailleurs.
    Sans crier gare, elle me grimpe dessus et s’empale sur ma bite. Elle me force à la fixer en me maintenant le visage. Je me sens coupable ; elle veut toute mon attention rien que pour elle, et elle va l’avoir. Je m’abandonne dans son regard tandis qu’elle me chevauche passionnément. Elle m’aime et elle me veut, je le sens. Je la désire aussi de toute mon âme. Elle est si belle, je n’arrive pas à croire que ce soit moi qui ai fait un être aussi parfait.
    Elle se penche sur moi et m’embrasse chaudement. Nos langues se dévorent. J’ai si faim d’elle que je suis frustré lorsqu’elle met fin à notre échange. Nous lisons le plaisir de l’autre dans ses yeux afin de décupler le nôtre. C’est tellement intense que je me sens presque honteux de briser notre connexion en baissant les miens vers ses seins. Ce n’est pas ma faute, ils sont si beaux, avec des beaux tétons pointus, je ne peux pas y résister. Je suis hypnotisé par la vue de son corps magnifique qui ondule et par les sensations de son vagin humide qui me masse la verge. Mes mains ne cessent de voyager de ses fesses à ses hanches pour la caresser. Comprenant mon intérêt pour sa poitrine, elle se redresse et attire ma tête vers ses mamelons. Les voir de si près me rend fou. Je les attrape avec la bouche pour les sucer et les mordiller, elle en soupire de plaisir. Elle me fait passer de l’un à l’autre pour être certaine que je n’en délaisse aucun.
— Oooh mon papa chéri, me fait-elle.
Je ne peux plus me retenir de les peloter, je presse ses seins et joue avec comme si c’était la première poitrine que je voyais. Cela doit l’exciter, car elle augmente soudainement le rythme.
— Humm, tu as une si bonne bite, s’exclame-t-elle.
  Sa façon de bondir sur ma queue pour se faire du bien me fait fondre, les traits de son visage en plein extase sont incroyablement érotiques. Elle est maintenant perdue dans son monde, je n’existe plus, je suis juste un chibre sur lequel elle s’enfonce dont elle a désespérément besoin. Je la laisse faire, trop heureux de profiter du bien qu’elle me procure.
  Je détourne le regard une seconde, et découvre ma Lily à genoux qui nous regarde. La pauvre petite, je l’avais presque oubliée. Elle est tellement absorbée par ce qu’elle voit qu’elle se masturbe comme une folle. Je ne peux imaginer combien elle doit avoir hâte que ce soit son tour. J’ai trop mal de la voir souffrir, c’est cruel de la délaisser ainsi. Je demande à Erika d’arrêter pour laisser sa place à sa sœur.
— Papa ! Non ! Je veux jouir !— Ne soit pas égoïste. Pense un peu à ta sœur, elle aussi à le droit de prendre du plaisir.
J’ai dû mal à la convaincre, mais elle finit par accepter. Je la sens frustrée lorsqu’elle se retire ; on dirait une gamine qui fait la gueule parce que sa sœur a volé son jouet.
  J’invite Lily à venir sur moi. Elle fixe ma verge dressée avec envie, mais je la sens un peu apeurée. Je la reconnais bien là : ce qu’elle aime, c’est se faire prendre et se faire utiliser comme un jouet, elle est trop timide pour oser chevaucher un garçon ; elle a néanmoins trop envie de sexe pour refuser de le faire. Fébrilement, elle me monte avant d’attraper ma queue pour la faire glisser dans son vagin. Elle pousse un petit couinement trop craquant lorsqu’elle s’empale à fond la première fois. Son regard trahit combien sa chatte avait besoin d’être remplie d’une bonne bite. Elle se met tout de suite à faire un va-et-vient rapide, c’est comme si elle n’avait pas baisé depuis des mois. Elle passe ses mains autour de mon cou pour venir m’embrasser. Notre échange est doux et passionné, nos lèvres ne décollent plus les unes des autres. Je la sens terriblement en manque, cela me fait fondre. Elle bondit sur moi comme si elle avait désespérément besoin de se faire fourrer, elle a vraiment besoin d’une bite au fond d’elle. Je la tiens par les hanches pour l’aider dans ses mouvements. Elle est si mince et si fragile, j’ai presque peur de la briser, c’est mon petit trésor à moi.
  Si toutes mes pensées sont centrées sur elle, je peux néanmoins entendre que les autres ont l’air de bien s’amuser eux aussi :
— Aaaah ! Baise ta mère ! s’écrie Nancy. Baise ta mère comme seul son fils peut le faire ! — Oooh, maman ! Je veux te faire jouir, je veux te rendre folle ! — Mais tu me rends déjà folle !
  Du côté d’Angela et Lucas, cela s’exclame beaucoup aussi :
— Aaah ! Ma maman ! soupire mon fils. — Non, ta pute. — Ma pute de maman que je vais user tellement qu’elle est bonne. — Oh oui, use-moi !— Tu es à moi ! Je vais te voler à papa ! Je veux que m’appartienne !— Je suis à toi, mon chéri. Je serais toujours là pour toi quand tu auras besoin de tirer un coup pour te soulager. Tu m’entends ? Toujours...— Oh maman...—Tu viendras, hein ? Tu me promets ?— Oh oui, promis, maman, je viendrais. Je viendrais te baiser quand je serais en manque.
  Décidément, qu’est ce que c’est excitant d’écouter sa petite famille en train de copuler. Je suis si heureux.
— Et toi, ma Lilly, tu es heureuse ? lui fais-je. — Oui, papa, je t’aime tellement ! Je te veux ! — Moi aussi mon trésor, tu es si mignonne.
  Pendant qu’elle se fait du bien avec ma queue, Erika nous observe, jalouse. Contrairement à sa sœur, elle ne supporte pas d’être passive. Elle finit donc par craquer et par s’interposer entre nous pour m’embrasser. Nos joues se creusent tandis que nos langues se rencontrent. Elle m’abandonne ensuite pour se tourner vers Lily qui remue toujours désespérément du bassin. Elle s’approche d’elle lentement, leurs regards se croisent, puis elle l’embrasse à son tour. Elles sont magnifiques à regarder. Je suis heureux de constater que mes deux bébés s’aiment autant que leurs mères. Au point que lorsqu’Erika décide de mettre fin à leur échange, Lily a ce réflexe de se pencher en avant pour chercher ses lèvres.
    Erika trouve d’autres moyens de s’occuper : elle joue un moment avec les seins de sa sœur avant de disparaitre derrière elle. Je m’interroge sur ses intentions avant de comprendre quand je la sens me lécher les couilles.
— Ah ! Salope ! dis-je. Tu vas me faire gicler dans ta sœur si tu continues comme ça. — Pitié papa, laisse-moi te sucer un peu, rétorque-t-elle.
  Je soulève Lily pour faire sortir ma queue de sa chatte. Elle a à peine le temps de retrouver l’air libre qu’Erika plonge dessus pour la prendre en bouche. Elle l’avale de toute sa longueur et la dévore goulument ; elle me fait beaucoup de bien. Lorsqu’elle estime en avoir eu assez, elle redirige mon sexe vers le con de sa sœur. Cette dernière s’empresse de se laisser retomber dessus quand elle sent le bout de mon gland à son entrée ; elle en gémit de bonheur.
— Vous êtes beau ensemble, commente-t-elle en nous regardant copuler. Je suis jalouse.— Tu n’as pas à être jalouse, ma puce, fais-je. Je vous aime toutes les deux, et vous ferais l’amour avec la même passion.— En attendant, ma chatte se sent se vide et mon cul hurle aussi pour de l’attention. — Hmm, tu as raison, je ne peux pas te laisser comme ça. Lily, cela ne te dérange pas ?
  Elle fait non de la tête. Erika prend alors sa place. Je gémis lorsque je retrouve son vagin, il a l’air plus trempé qu’avant :
— Aaah, putain, ce que j’adore vos chattes.— Moi, j’adore ta queue, mon papa chéri, répond-t-elle. Tu as la plus grosse de la famille.
    Je me demande ce que quelqu’un dirait s’il entrait et nous découvrait en train de baiser tous ensemble de la sorte. C’est une véritable orgie. La pièce est remplie de nos cris et de nos soupirs. Nous exprimons notre amour les uns pour les autres sans contrainte ni pudeur. Je suis si fier de mes enfants et si fier d’être leur père. J’espère que nous organiserons ce genre de petite soirée régulièrement, c’est tellement bon.
    Erika se déchaine comme une furie. Je pense qu’elle n’est plus très loin de l’orgasme, je le lui demande pour en avoir confirmation :
— Tu vas bientôt jouir, ma chérie ?— Oh, oui papa, je n’en peux plus, j’en ai trop besoin. — Ne te retiens pas ma puce, jouis pour papa, je veux te voir en train de prendre du plaisir.— Oooh, aaaah, hmmm, ouiiiii...

  Elle cherche à se finir. Je lui pince un téton et prend l’autre en bouche pour l’aider. Cela à l’effet escompté : elle se cambre brusquement avant pousser un long râle de plaisir.
— Vas-y, ma chérie, jouis sur la bite de papa.— Oooooooooooh, papaaaaaaaaaaaaa, crie-t-elle. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii.
  Elle est si belle à regarder quand elle jouit, je n’en rate pas une miette. Ses mouvements ralentissent jusqu’à s’arrêter complètement. Elle s’écroule contre moi, ses bras autour de mon cou. Je le lui embrasse tendrement et la caresse avec amour tandis qu’elle récupère. J’ai dû faire un effort surhumain de me retenir d’éjaculer en elle, mais j’ai encore ma Lilly à satisfaire.
— Tu veux bien laisser ta place, Erika ? lui dis-je. C’est au tour de ta soeur maintenant.— Quoi ? Oh. Oui, oui, pardon.
Elle se retire, toujours un peu étourdie, je fais signe à Lily de venir la remplacer :
— Tu veux jouir aussi ma Lily ? Viens, viens sur papa.
  Cette fois-ci, elle ne montre aucun signe d’hésitation. Ça a dû lui en couter tout à l’heure de tout arrêter. Elle s’empresse de me monter dessus pour se fourrer la chatte avec ma queue. Elle rebondit sur moi avec vigueur pour chercher à se faire jouir toute seule. C’est un spectacle magnifique, mais je ne peux pas m’empêcher de vouloir l’aider. Je presse alors son petit corps frêle et fragile contre le mien et lui donne des coups de reins. Elle frémit de plaisir.
— Aaah ! Papa ! gémit-elle.— Je veux te faire jouir, ma Lily. — Oooh, oui papa. Je veux jouir ! Je veux jouir ! Fais-moi sentir tout ton amour ! — Oooh, mon poussin...
  Elle ne remue plus, je suis seul à faire tout le travail maintenant. Je la lime fort, de toute ma longueur, en l’enserrant comme un amant. On entend le claquement de mes couilles contre ses fesses. Elle m’a agrippé par le cou et a collé sa joue contre la mienne. Sa respiration est de plus en plus saccadée, jusqu’au moment de l’explosion.
— Aaaaaaaaaaaaaaaah ! Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! — Ma Lily ! Ma Lily d’amour !
  Ça y est, elle jouit. Je la bourre férocement pour décupler son orgasme. Sa chatte débordante m’inonde de mouille. Les soubresauts de son vagin m’invitent à me laisser éjaculer pour la remplir de sperme. J’essaie de me retenir, je veux faire jouir mes filles encore au moins une fois avant, mais c’est trop tard, je me sens partir. La valve s’est ouverte malgré moi et je sens mon jus prêt à éclater.
— Putain, Lily, je viens moi aussi ! — Oh oui, papa ! Donne-moi ton sperme !
  Je cesse de me débattre et je me détends. Je sens ma semence grimper le long de ma tige avant de gicler dans la chatte de ma Lily. Je ne pense désormais plus qu’à une seule chose : la remplir d’amour. Je lui donne des coups pour chercher à me vider les couilles en elle.
— Aaaaaah ! Lily ! Ouiiiiiiii !— Mon papaaaaaaaaaaaaa !
Nous jouissons ensemble, c’est merveilleux. Je suis l’homme le plus heureux du monde. Je me perds dans un autre monde avant de redescendre lentement sur terre. Je suis essoufflée par la puissance de mes émotions. Il n’y a décidément rien de meilleur que de jouir dans une de ses filles.
    Son orgasme est lui aussi passé. Dans notre position, je n’ai rien pu en voir. Je me console en découvrant son regard ravi lorsqu’elle se redresse. Je réponds à son sourire par un baiser.
  Lorsqu’elle se relève, un filet de sperme s’échappe de sa chatte et coule le long de ses cuisses. Elle observe un instant l’étendue des dégâts que j’ai causé. Elle semble très satisfaite de l’effet qu’elle a provoqué chez moi. Elle récolte mon jus avec ses doigts et les porte à sa bouche pour le gouter.
— Hmm, j’adore le sperme, fait-elle avant de glousser.
C’est devenu une vraie petite salope. J’ai dû mal à croire qu’elle a été innocente un jour.
Jalouse, sa sœur se place entre ses jambes et vient lui brouter le minou ; elle aussi veut sa part de ma crème.
— Erika ! Non ! Il a joui en moi, il est à moi ! proteste-t-elle.— Lily, partage un peu avec ta sœur, voyons, interviens-je.
  Résignée, elle pousse pour en donner un peu à sa sœur. Celle-ci ouvre grand pour attraper une longue trainée qui lui tombe directement dans la bouche. Elle finit de faire sa toilette en y allant avec sa langue et ses doigts. Malgré ses plaintes de toute à l’heure, Lily semble y prendre un certain plaisir. Lorsqu’elle ne trouve plus de sperme, Erika se relève et embrasse sa sœur. Je réalise alors qu’elle n’avait rien avalé, et qu’elles se partagent mon jus durant leur baiser. Cela me fait presque rebander de voir ma semence couler le long de leurs lèvres et recouvrir leur langue.
    Elles se lèchent l’une l’autre jusqu’à ce qu’il n’en reste rien, puis elles viennent s’installer à mes côtés pour mater avec moi mes fils baiser leurs mères. Le spectacle est saisissant. Sébastien et Nancy sont collés l’un à l’autre. Toujours assise sur la table, il la maintient par les fesses en lui donnant des coups puissants. Leurs visages sont presque collés l’un à l’autre.
— Jouis, maman ! Je veux que tu jouisses ! — Oooh, mon bébé ! Ta queue est si bonne !— Vas-y, maman ! Laisse-toi aller ! — Toi aussi alors, joui avec moi.— Je peux ? Dans ta chatte ? — Oui, mon chéri. Je te veux. Vas-y ! — Ooh, maman, oui, je viens... Je viens pour toi !— Aaah ! Ouiiiiiiiiiii ! Oooooh !
  Je regarde ma fille jouir par la bite de son enfant qui se déverse en elle, c’est sublime. Elle le presse contre sa poitrine et il en profite pour les dévorer les seins. Lorsque son corps a fini de trembler, elle l’embrasse en lui caressant les cheveux amoureusement. — Mon bon garçon, dit-elle.— C’était bon maman ? Tu as bien jouie ?— Oui, mon chéri, tu as été remarquable. Je t’adore. Et toi ? — Moi aussi, c’était fantastique. Je t’aime maman. Qu’est ce qu’ils sont beaux tous les deux. Nancy enlace son bébé pour lui faire un câlin, c’est adorable.   Il ne reste plus qu’Angela et Lucas dans la course. Angela est en train de se faire sauter comme une chienne par son fils. Lucas presse une main contre son épaule pour la plaquer contre la table. Ses seins sont écrasés contre le bois. Il la lime avec fureur, on dirait un mâle possédant sa femelle. Manifestement, elle adore ça :— Ah oui oui ! crie-t-elle. — Aaah ! Ma salope de maman ! J’ai besoin de te bourrer.— Bourre-moi alors ! Plus fort ! Prends-moi plus fort ! Il lui obéit en y allant plus vite. C’est difficile de croire que c’est la première fois qu’ils couchent ensemble. Lucas, que je pensais généralement plus timide, se laisse totalement aller. Je ne l’imaginais pas baiser une femme comme ça, encore moins sa propre mère. C’est devenu un homme qui n’a pas honte de son plaisir. Angela ne peut qu’être fier de lui vu comment elle en profite. Servir de trou à bite à son fils, c’est un fantasme qu’elle devait nourrir depuis longtemps. Je pense qu’elle ne croyait pas que cela se réaliserait un jour. Je suis si heureux pour elle. — Maman, maman, je n’en peux plus, je vais jouir !— Oh oui, mon chéri. Finis-toi dans ma chatte, éjacule dans ta pute. — Aaah, oui ! Salope ! Je vais venir ! Prends ! Prends !
Il la tire par les cheveux, mon chaton est en extase. Elle a toujours été une sacrée perverse. Il est facile de voir combien elle aime que son fils la traite comme sa chose. Sentir qu’il veut qu’elle n’appartienne qu’à lui, lui fait ressentir qu’il n’appartient qu’à elle. Sa brutalité est une preuve d’amour dont elle se délecte. Elle veut qu’il ait besoin de la baiser, et aux vues de la réaction de mon fils, c’est parfaitement le cas.
— Ça y est ! Je viens ! crie Lucas. Je jouis ! Aaah ! Salope ! Salope ! Prends ! — Aaaaaaaaaaaaaaaah !— Mamaaaaaaaaaan !
  Il se vide enfin en elle. Angela partage un orgasme avec lui. Je devrais peut-être être jaloux, mais j’adore voir un couple qui s’aime jouir ensemble. Tout le monde est en train de les regarder, mais ils n’y font pas attention, ils profitent du plaisir qui les frappent tous les deux sur le moment. Lucas finit par s’écrouler sur elle. Il la caresse et lui embrasse l’épaule. Mon chaton est trop épuisé pour pouvoir bouger. Elle sourit comme si elle était au paradis. Son tout petit lui a fait l’amour, il l’a follement faite jouir, et elle est pleine de son sperme. Ce dernier commence à s’échapper de sa chatte lorsque sa bite ramollie se retire ; il ne l’a pas ratée.
  Nous restons ainsi chacun calmement en couple, ou en trio dans mon cas, à profiter du bonheur post-coït. Nous parlons peu, nous nous caressons et nous embrassons en restant blotti les uns contre les autres. Nous nous sentons amoureux, unis comme une famille.
  Je devrais me sentir repus, mais j’ai encore envie. Voir mes fils baiser leurs mères m’a fait rebander. Après les avoir laisser récupérer un peu, je leur propose de poursuivre notre orgie. Tout le monde est plus que partant. Je suis heureux de constater que mes fils sont redevenus dur rien qu’à l’idée de retirer un coup malgré leur éjaculation récente, cela doit être la vigueur de la jeunesse.
  Je leur propose qu’Angela et Nancy se mettent par terre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre, et leurs filles s’installent en face d’elles dans la même position. Je veux qu’elles puissent se voir l’une l’autre pendant que nous les prenons. Nos petites femmes acceptent et se mettent en place. Je profite de cet incroyable spectacle : mes quatre bébés d’amours, nues et offertes, attendant impatiemment qu’on vienne les baiser tel des chiennes en chaleur. Certaines sont tellement en manque qu’elles remuent leurs culs pour nous inviter à les prendre. Les chattes de Nancy et d’Angela sont débordantes de foutre, cela me donne une trique d’enfer.
  Mes garçons se mettent à genoux derrière leurs mamans, la bite en main. Sébastien est le premier à passer à l’action en s’exclamant :
— Oh, maman, je n’en peux plus, il faut que je t’encule !— Oh oui, mon chéri ! Encule ta mère ! répond celle-ci avec enthousiasme.
  Son gland lui chatouille l’œillet quelques instants avant de parvenir à la pénétrer. Mon bébé hurle de plaisir lorsqu’il se fiche entièrement en elle et qu’il se met à la limer.
— Maman, je n’en peux plus non plus, déclare Lucas.
  Il imite son cousin en s’enfonçant dans l’anus de sa mère pour le défoncer. Angela se met à crier comme une chienne. Je crois qu’elle attendait ça depuis longtemps.
  Devant moi, mes deux petites filles attendant ma bite. La verge tendue, je me demande laquelle je vais prendre en premier. Elles se tournent vers moi en me suppliant :
— Moi d’abord, papa ! fais l’une. — Non, moi ! fais l’autre. J’ai été la plus gentille !
  Je cesse de réfléchir et m’insère le premier cul qui passe à ma portée, c’est celui de Lily. Erika fait un peu la gueule, ce n’est pas grave, elle aura son tour. Je bourre mon bébé sans aucune douceur, je me sers d’elle pour me faire du bien, je sais combien elle adore ça. Angela, le visage à peine à quelques centimètres du sien, la regarde en train de prendre plaisir à se faire sodomiser. Elle détourne le regard quand elle s’en rend compte tellement elle en a honte. Il n’y a pourtant vraiment pas de quoi, sa mère est dans la même position. Je suis un vrai pervers de leur avoir infligé ça, mais je trouve ça follement excitant.
— Allez-y, mes garçons, dis-je pour encourager mes fils. Enculez vos mères, je sais à quel point elles adorent ça. Donnez leur tout votre amour, elles le méritent. Elles vous ont portés, elles vous ont élevés, elles vous ont aimés. Je ne connais pas de femmes plus dévouées qu’elles. Elles ont tout sacrifié pour vous. Elles méritent que vous leur rendiez cet amour en les baisant jusqu’à les faire jouir. Regardez combien elles n’attendant que ça ! Elles ont besoin de vos bites, les pauvres !
— Oooh, maman, fait Lucas. Je t’aime ! Je t’aime ! Je veux te le montrer.— Oui mon chéri, montre-le moi, fais-le moi sentir ! supplie Angela. — Moi aussi, je t’aime, maman, déclare Sébastien. Je veux prendre soin de toi.
La pièce est de nouveau envahie de sons gutturaux de plaisir. Il y a règne une puissante aura de sexe. Je prends moi-même un pied comme jamais. Lily avait raison, c’était tellement meilleur de pouvoir baiser sans devoir se cacher. Je vais enfin pouvoir baiser mes filles comme je veux. Toutes mes filles.   Je change de trou pour m’occuper un peu d’Erika. Mon dieu, si sa cousine fait sa timide, elle, c’est une vraie salope qui n’a aucune honte. Elle me fait penser à sa mère. Elle crie son plaisir en me demandant de la prendre plus fort tout en remuant d’elle-même pour bien s’empaler sur ma queue. Elle va avoir ma peau, ce n’est plus de mon âge. Lilly reste en position, à quatre pattes, nous regardant avec envie. Je lui glisse un petit doigt dans le fion pour ne pas qu’elle se sente délaissée. Son corps réagit par un frisson.
  Tandis que je baise mes petites filles, le spectacle en face de moi est tout aussi bandant. Mes deux jeunes garçons sautent leur maman comme si leur vie en dépendait. L’expression de pur bonheur qui se lit sur leurs visages me comble de joie. Ils les aiment de tout leur cœur. Elles aussi, elles sont en extases. On dirait qu’elles ont attendu toute leur vie de devenir les chiennes soumises de leurs enfants.
— Maman, maman, ton cul est si bon ! s’exclame Lucas. — Non, je ne suis pas ta mère. Je suis ta demi-sœur qui t’a porté, c’est tout. — Maman...— Tu n’as plus besoin de maman, maintenant. Tu es un homme. Dorénavant, je suis ta sœur, appelle-moi Angela. — Angela...— Oui, mon petit frère... Baise-moi comme tu baises tes autres sœurs. Montre-moi comment tu les prends. — Oui, Angela. Je vais te prendre. Je vais te montrer combien je suis devenu un homme ! — Oh oui ! Aaaaaaaaah ! Je suis si fière de toi, mon chéri !
De mon côté, je retourne dans le cul de Lily. Putain, elles sont aussi bonne l’une que l’autre. Angela est vraiment en transe. Elle regarde sa fille se faire sauter avec beaucoup d’attention. Soudain, elle se penche vers elle et l’embrasse. Je suis surpris : Lily se laisse faire. On dirait même qu’elle semble beaucoup apprécier d’échanger ce baiser avec sa mère.
— Toi aussi, tu es ma sœur, lui dit Angela. Ma petite sœur adorée. Je t’aime. — Je t’aime aussi maman, répond Lily.
Elles s’embrassent à nouveau. Décidément, une nouvelle idylle est née. Je sens que mon chaton va beaucoup abuser de ses enfants dans les semaines qui suivent. Je suis heureux pour elle. Ce n’était pas juste que Nancy puisse profiter des siens et pas elle.
  Nous continuons de copuler ainsi comme des animaux durant de longues minutes. Je me régale d’entendre les gémissements de mes quatre filles en chaleur. Cela m’excite énormément. Je change régulièrement de partenaire à chaque fois que je sens que celle que j’encule est proche de l’orgasme. Je joue ainsi avec leur frustration. C’est encore plus pénible pour elles de voir que leurs mères, elles, jouissent comme des folles sans retenue. Leurs enfants leur fait un bien monstrueux. Mes petites filles veulent connaître la même chose, la même délivrance, mais je le leur refuse.
  Quand je me retire de l’une, je prends un malin plaisir à regarder le cratère que j’ai fais de leurs culs. Ils sont tous les deux complètement dilatés, je me demande s’ils pourront se refermer un jour. Le pire, c’est qu’elles en réclament toujours plus, c’est dingue de voir combien elles aiment l’anal, cela me donne envie de les enculer encore plus fort. Je prends mon pied comme je l’ai rarement pris, je baise mes bébés comme si elles étaient mes choses. Elles sont à moi, je les ai faites, je peux en faire ce que je veux ; elles sont mes trous à bite perso. Erika gueule comme une chienne quand je la défonce. Lily, elle, essaie de se retenir, elle se pince les lèvres, mais finit toujours par exploser au bout d’un moment. En face, mes deux petites femmes ont l’air de sacrées salopes soumises à la bite qui leur ramone l’anus. Mes fils en profitent un max. Lucas qui encule sa mère pour la première fois semble particulièrement aux anges, il est en train de devenir accro, j’en suis sûr. Tout deux font preuve d’une endurance admirable. Vu le nombre d’orgasmes qu’ont déjà eu leurs demi-sœurs, ils pourraient se laisser décharger en elles sans honte, au lieu de cela, ils persistent à les faire jouir encore et encore, comme si c’était la dernière fois de leur vie qu’ils pourraient les baiser et qu’ils voulaient en profiter.
  Lucas défonce Angela comme une véritable trainée. Il lui donne de violents coups de reins en l’agrippant par les hanches. Je n’ai jamais vu un homme avoir aussi faim d’un cul. Le corps de mon chaton se balance sous ses assauts, elle a tellement joui qu’elle ne sait plus où elle est. Elle est à moitié écroulée sur le ventre, à bout de force, à attendre que cela se termine tant elle en peut plus d’être inondée de plaisir. Nancy s’est redressée et Sébastien l’a prise dans ses bras pour la coller contre lui. Il l’embrasse tout en la baisant. Il en profite pour lui peloter les seins. Une de ses mains descend sur sa chatte, il lui caresse le clitoris avant de lui enfoncer deux doigts, cela provoque en elle un nouvel orgasme.
  De mon côté, je sens mon endurance arriver à son terme, je décide alors de donner à mes petites filles ce qu’elles veulent. Je commence par Erika. Je la prends par les hanches et lui lime le fion, elle est plus en chair que sa sœur. Elle gémit comme une chienne en manque de bite. Je l’attrape par les cheveux et lui donne des fessées, elle sourit comme si ce n’était qu’un jeu.
— Tu es une sacrée petite salope, Erika, tu sais ça ?— Oui, mais je suis la salope de mon papa, me rétorque-t-elle.
J’aurais bien envie de lui gicler dans l’anus, mais une fois encore, j’ai Lily à faire jouir après. J’augmente la cadence pour essayer de la finir. Je sens qu’elle n’en est plus très loin. Je m’enfonce en elle jusqu’aux couilles, elle semble adorer ça. Quand je lui gifle une nouvelle fois les fesses, je l’entends pousser un long cri de jouissance. Ça y est, elle a atteint le nirvana. Je continue de lui donner des coups de bassin, mais sentant les soubresauts de son cul qui cherchent à me traire, je préfère me retirer avant qu’il ne soit trop tard. Elle est sublime à regarder pendant l’orgasme, elle est si belle.
— Oooh, papa... dit-elle, le souffle court, une fois sa vague de plaisir passée. — Tu as aimé ? — Oui. Salaud, tu m’as follement faite jouir...
Lily ne dit rien, elle se contente de nous regarder, mais je sais à quel point elle est impatiente de connaitre le même bonheur
— C’est ton tour ma chérie, lui dis-je.— C’est vrai ? Tu vas me faire jouir comme elle ?— Plus fort encore, mon trésor.— J’en ai tellement besoin...
  Je m’enfonce dans son cul et la bourre comme ma chose. Cela m’excite de voir mon énorme queue disparaitre dans son minuscule petit anus. Je suis si bien en elle, les sensations sont incroyables.
  La pauvresse n’en peut tellement plus que ses bras n’arrivent plus à la supporter. Elle se laisse retomber sur le sol, le torse écrasé contre le carrelage. Elle crie à chaque coup de reins, elle va avoir du mal à s’assoir demain.
— Aaah, papa, dit-elle.— Tu aimes ça, ma puce ?
Elle ne répond pas, elle en a trop honte.
— Dis-moi que tu aimes ça, ou je m’arrête et je jouis dans ta sœur.— Non ! Non ! J’aime ça !— Je n’ai rien entendu, répète !— J’aime être enculée !— Tu aimes être enculée par la bite de ton papa ?— Oui...— Alors dit-le. Dit-le à ta mère.
Elle tourne ses yeux vers sa mère qui est dans la même position qu’elle et lui dit :
— Aaaah ! Maman, j’aime être enculée par la bite de mon papa !
C’est une perverse, elle fait sa timide, mais je sens que cela l’excite de se lâcher et d’enfin oser le dire à voix haute.
— Dit-lui que tu es une salope.
Elle rougit de honte de se faire sauter comme une pute devant sa propre mère qui la regarde, mais elle le fait quand-même :
— Je suis une salope, maman, je suis désolée.
  Elle a les larmes aux yeux à la fois de bonheur et de gêne.
— Ma chérie... fait Angela. — Dit-lui combien tu es une salope, ou je m’arrête ! crie-je. — Je suis une salope qui aime la bite ! J’aime être baisée ! J’aime être enculée ! Je suis désolée, maman, je suis désolée.
— Raaah, tu es un vrai sac à foutre, Lily ! — Oui ! Je suis un sac à foutre ! Pitié ! Ne t’arrête pas, papa, je veux jouiiiiiiiiiiiiir ! Aaaaaaaaah !
  Sur ces mots, elle est brutalement frappée d’un orgasme, comme si avoir dit toutes ces choses tout haut l’avait libérée d’un poids. Son corps tremble sous mes coups de bassins tandis qu’elle pousse un long râle qui n’en finit pas. Elle jouit sans aucune pudeur sous le regard de sa maman. Ses yeux implorent son pardon d’être une fille aussi perverse et débauchée. Elle a peur. Pour la rassurer, Angela tend ses lèvres vers les siennes et l’embrasse. Elle lui fait ainsi comprendre qu’il n’y a rien à excuser.
— Je t’aime, ma chérie, lui dit-elle. Moi aussi je suis une salope. Nous sommes toutes les deux des salopes. — Maman... soupire-t-elle durant les derniers instants de son orgasme.
  Je me retire, satisfait de mon travail. Erika n’a pas bougé, je peux contempler une dernière fois les trous béants des culs de mes petites filles. Elles gisent au sol, épuisées, le sourire béat. J’ai eu beaucoup de mal à ne pas éjaculer dans Lily, mais j’ai envie de me finir autrement. Je veux les souiller en les couvrant de foutre toutes les deux.
— Relevez-vous, mes petites chéries, leur dis-je alors en me remettant debout. Papa veut que vous l’aidiez à jouir. — Oh, pauvre papa chéri, fait Erika. On va bien s’occuper de toi pour te remercier d’avoir pris si bien soin de nous.
  Elle est la première à se remettre à genoux pour me sucer. Lily a besoin de plus de temps pour venir la rejoindre tellement je l’ai usée, mais une fois que c’est fait, elle ne me pompe pas moins avec dévotion.
  Il semblerait que j’ai donné des idées aux autres. Après avoir jouies une dernière fois, les mamans se mettent à sucer leurs fils avec l’intention de les faire éjaculer avec leur bouche. C’est merveilleux de voir nos petites femmes s’occuper de nous ainsi. Elles cherchent à nous faire exploser les couilles. Angela regarde son enfant droit dans les yeux tandis qu’elle lui lèche les bourses et lui branle la queue. On dirait qu’elle lui réclame son sperme. Nancy aussi fait du va-et-vient rythmé le long de la tige de Sébastien. La façon dont ses joues se creusent alors qu’elle le masturbe me fait vraiment penser qu’elle cherche désespérément à tirer le jus de son bâton d’amour. De mon côté, mes deux petites filles jouent avec mon sexe comme s’il s’agissait d’un objet de vénération. Elles le câlinent de baisers et le chouchoutent de léchouilles. Elles me branlent toutes les deux en me prenant en bouche chacune à leur tour. Je ne vois aucune rivalité entre elles. Elles font preuve au contraire d’une grande complicité pour me faire du bien. Je ne parviens pas à retenir mes gémissements.
— Hmm. Alors, mes fils, leur dis-je. Ce n’est pas bon de se faire sucer par nos chiennes ? — Oh oui, papa, répond Sébastien. Elles sont incroyables. — Ooh, je suis jaloux que tu aies pu profiter d’Angela toutes ces années, papa, fait Lucas.— Elle est à toi autant qu’à moi, maintenant, fils. Saute là quand tu as envie, elle ne te dira jamais non ; mais ne délaisse pas pour autant tes autres soeurs. — Promis papa. — Je vais aussi pouvoir bien prendre soin de mes petites filles, maintenant. Je n’ai plus besoin de rester en retrait à jouer les papys. Je vais passer plus de temps avec vous, je vous en fais la promesse moi-aussi.— Alors donne-nous ton sperme, déclare soudain Lily. On le veut, on le veut.
Je suis surpris d’entendre cette supplication de la part de la petite timide. Cela m’excite terriblement.
  Nous sommes tous pas loin de jouir, nos petites femmes font un travail remarquable. C’est Sébastien qui éjacule en premier. Il se vide dans la bouche de sa mère en poussant un long gémissement. Elle avale son précieux nectar sans jamais déglutir. Elle se délecte de chaque goutte en cherchant à en aspirer le plus possible.
— Oooh, putain, maman, dit-il, papa avait raison : tu es vraiment une suceuse hors-pair. — J’aime tellement ton sperme, mon chéri. Il est délicieux, fait Nancy.
  Quand Lucas montre à son tour des signes de fatigue, Angela décide de le branler fermement en pointant sa queue vers son visage. Elle va le faire éjaculer sur elle pour lui montrer à quel point elle peut être salope. Elle tire la langue pour l’encourager à venir. Cela semble beaucoup plaire à son fils :
— Aaah ! Angela ! Je vais jouir ! — Oui ! Vas-y ! Donne à ta grande soeur !
Il lui jute en pleine figure à coups de grosses trainées de sperme. Elle continue de le masturber fermement pour décupler son plaisir et la quantité de foutre. Elle dirige sa bite de façon à ce qu’elle en ait partout et qu’il la souille un maximum. C’est vraiment une perverse. Lucas ne rate rien du spectacle :
— Aaah ! Putain ! Angela ! Tu es vraiment une salope ! — Oui ! Ta pute, petit frère. Celle que tu peux venir couvrir de ton foutre dés quand tu as envie. — Aaaaah !
En voyant ça, j’atteins moi-même mes propres limites et sens que mes bourses sont prêtes à cracher leur venin. J’attrape ma queue pour m’astiquer devant le visage de mes deux démons. Celles-ci se collent joue contre joue devant ma bite en ouvrant la bouche pour me recevoir comme des chiennes dociles. Je leur gicle dessus en hurlant. Je les salis de mon jus qui éclate en salves copieuses. Je vais de l’une à l’autre pour essayer de ne pas faire de jalouse. Je leur en fous sur le nez, les cheveux et les yeux. Lily est obligée de fermer le gauche. Elles dégoulinent de partout comme si un régiment venait de leur passer dessus. Quand j’ai enfin fini, j’ai besoin de m’assoir. Ces petites jeunes m’ont complètement vidé, elles sont chaudes comme leurs mères. Mon foutre patriarcal coule le long de leur corps, sur leurs seins jusqu’au nombril. Je contemple avec fierté ce que je viens de faire. Ce sont MES filles couvertes de MON foutre. Je viens de marquer mon territoire comme pour défendre quiconque de s’en approcher.
  Elles se tournent vers l’autre et se lèchent le visage pour récolter mon sperme, elles se font leurs toilettes comme deux petites chattes en chaleur. Erika me lance des regards pour m’exciter davantage. Elles échangent le fruit de leur labeur avec de langoureux baisers. Des filets de foutre relient parfois leurs lèvres avant de se détacher. Je soupçonne que ce n’est pas la première fois qu’elles font ça. Elles ont déjà dû s’amuser à ce petit jeu avec leurs frères. Elles s’enlacent ensuite tendrement comme si elles étaient amoureuses, c’est craquant. Leurs seins couverts de traces de sperme se pressent les uns contre les autres. Voilà qui va encore alimenter mes fantasmes durant un moment.
  Après cela, nous nous installons ensemble dans le salon afin de reprendre nos esprits. Nous ne disons pas grand chose. Nous sommes affalés chacun avec nos partenaires. J’ai mes petites filles dans chacun de mes bras qui posent leurs têtes contre mon torse. Personne n’a pris le temps de faire sa toilette. Angela a toujours le visage couvert du foutre de son fils. Nous sommes heureux, sereins, apprécient simplement la compagnie des uns des autres.
  J’ai enfin pu dormir dans le lit de mes deux petites mamans ce soir-là. Cela faisait plus d’une décennie que ce n’était plus arrivé. Ce sont peut-être mes filles, mais dans mon cœur, ce sont mes femmes, et je suis leur mari ; c’est ici qu’est ma place. Elles m’ont réveillé par surprise avec une pipe. Ce que cela me manquait ce genre de petite gâterie du matin. Je leur ai fait l’amour après qu’elles aient fini de dévorer ma bite. Je les ai baisées, je les ai enculées, puis que je me suis vidé dans la chatte de Nancy. Ma petite affamée d’Angela lui a fait un cunni après pour y récolter mon foutre. Je suis heureux, nous sommes enfin ensemble sans avoir à se cacher. Nous avons pu gémir et crier sans peur de se faire remarquer ; car même si nous l’avons été, cela n’a plus aucune importance. Peut-être que cela a donné des idées à nos enfants qui nous ont imité par la suite, ou peut-être même que l’un d’entre eux s’est masturbé en nous observant ; peu importe, nous n’avons plus aucune limite. Il aurait pu même nous rejoindre, bien que je suis content que personne ne nous ait interrompu, ce moment n’appartenait qu’à nous.
  Tout a radicalement changé à partir de là. Je passe mes journées et mes nuits chez mes enfants. Je dors tous les soirs auprès de mes deux femmes. Elles-mêmes sont ravies de ne plus devoir se cacher en dormant dans des chambres séparées. Nous avons fait de celle de Nancy notre lit conjugal. Parfois, il y a des exceptions et l’une d’entre-elles dort avec un de ses enfants ou de celle de sa sœur. Je ne me gêne pas non plus pour coucher avec mes autres filles. Elles me le réclament d’ailleurs d’elles-mêmes assez souvent. De la part d’Erika, je ne suis pas étonné, elle est si salope, mais je trouve ça craquant quand c’est Lily qui vient me le demander avec son air tout timide. Sous ses airs innocents, c’est la pire d’entre toutes. Elle aime vraiment se faire sauter comme la dernière des trainées. Je la sens frustrée quand on ne l’utilise pas comme un simple objet sexuel. Quand j’y pense, je n’arrive pas à y croire. Quand elle était plus jeune, je m’étais toujours imaginé que ce serait une fille romantique qui trouverait le sexe bien trop dégueulasse pour oser faire des choses vraiment coquines. Cela me donne encore plus envie de la souiller pour la voir se comporter comme un sac à foutre.
  Malgré le nombre de fois que les hommes de la maison lui passent dessus, il n’est pas rare de la surprendre en train de se masturber. Ça peut lui prendre n’importe où, même dans la cuisine ou dans le salon. Quand cela arrive, elle ne reste pas seule très longtemps, quelqu’un se dévoue rapidement pour l’aider à se soulager, en se soulageant au passage.
  Sa mère aussi profite bien d’elle en l’enculant à coup de gode ceinture. Même sa tante lui passe dessus. Elle est vraiment la pute de la famille, mais que de la famille. Elle ne sort jamais avec un garçon, cela m’inquiète un peu ; même dans les bras d’une fille, cela ne m’aurait pas dérangé. Elle se dévoue entièrement à nous, nous sommes le centre de son univers. Plus rien d’autre ne compte pour elle au point que ses notes ont drastiquement chuté. On dirait que, dorénavant, le seul avenir qu’elle désire, c’est de nous servir de vide-couilles. Je vais devoir arranger la situation au plus vite. J’aime ce que nous vivons avec elle, mais cela ne peut durer indéfiniment. Un jour, elle va devoir prendre son envol. Ça, même Erika l’a bien compris.  Finalement, je ne passe presque plus dans ma vieille maison hormis pour aller chercher des affaires. Mes femmes et moi songeons sérieusement à la vendre. Cela me fait mal au cœur quelque part, il y a tellement de souvenir là-bas, mais c’est chez mes enfants mon véritable foyer désormais. L’excuse pour justifier cela aux yeux du monde est déjà toute trouvée. Si on nous pose des questions, je suis tout simplement trop vieux pour vivre seul, et mes deux filles ont préféré m’héberger pour prendre soin de moi plutôt que de m’envoyer dans une maison de retraite. Personne ne pourrait remettre ça en cause.     Je suis heureux de pouvoir vivre avec tous mes enfants et j’adore particulièrement vivre sous le même toit que mes coquines de filles. Je sens que les dernières années de ma vie s’apprêtent à devenir les meilleures.
Diffuse en direct !
Regarder son live