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L'amour d'un père

Chapitre 14

Orgie / Partouze
L’amour d’un père
Chapitre 14 : Sept à la maison
   Je ne m’attendais pas à ce que les choses changent autant après la réunion de famille. Maintenant que les tabous et les secrets sont tombés, tous le monde s’est mis à baiser avec tout le monde, n’importe où et n’importe quand. Comme l’autre jour, je rentre à la maison après les cours, quand je découvre mon frère Lucas en train de prendre notre tante en levrette dans le salon. J’étais sidérée. Je n’ai pas pu m’empêcher de m’approcher d’eux pour les observer. Ils savaient que j’étais là, mais cela ne semblait les gêner nullement, ils ont continué comme si de rien n’était.
  Tatie Nancy avait le torse pressé contre le siège du sofa tandis que son neveu lui défonçait le cul. Elle gémissait et le suppliait de la prendre plus fort. Quelle salope, cela ne lui suffit pas de baiser avec son propre fils, il lui faut mon frère ! Je me suis sentie jalouse.
— Lily ? me fit-elle soudain l’air de rien. Tu tombes bien. Tu veux nous rejoindre ?
  Je n’ai pas pu dire non, j’avais la chatte trempée. Je me suis installée à côté d’elle dans la même position après m’être déshabillée ; Lucas m’a enculé tout de suite, ce que je peux aimer sa bite... Il nous a baisé toutes les deux. J’ai pris beaucoup de plaisir. Après qu’il m’ait faite jouir, tatie lui est montée dessus pour le chevaucher. Elle s’est servie de lui comme un gode michet jusqu’à se finir toute seule. Elle a le même sourire béat après l’orgasme qu’Erika, c’est bien sa mère.
  Nous avons ensuite sucé notre amant pour le remercier. Nous avons joué avec ses couilles et lécher son bâton d’amour. Il semble avoir beaucoup apprécié d’être pompé par deux femmes en même temps. Quand j’ai senti qu’il allait éjaculer alors que tatie Nancy était en train de le traire avec sa bouche, j’ai eu une nouvelles pointe de jalousie. Je l’ai alors poussée de là pour prendre sa place. C’est MON frère ! Donc c’est MON sperme ! Je le voulais pour moi toute seule. Il a éclaté au fond de ma gorge et j’ai tout avalé.
— Tu aurais pu partager, petite égoïste, m’a reprochée ma tante.
  Elle avait l’air plus amusée qu’agacée par mon geste. Elle s’est approchée de moi et m’a embrassée sur la bouche. Sans doute plus dans l’espoir de gouter un peu le jus de Lucas que par acte d’amour. J’ai eu néanmoins des papillons dans le ventre.
  Dans la liste des changements, papy, enfin, papa, est venu vivre avec nous. Il dort avec nos mamans. Ça m’a fait bizarre au début. Pourtant, en y réfléchissant, c’est parfaitement normal. Ce n’est pas un couple, c’est un trio. Ils s’aiment tous les trois entre eux. C’est notre papa et nos mamans. Je suis heureuse qu’ils puissent être enfin ensemble.
  On me prend toujours pour la pute de la maison. Je trouve ca dégradant, mais excitant aussi. J’en ai honte, j’ai dû mal à admettre à haute voix que j’aime ça. Cela me condit à quelques surprises parfois. Comme la fois où ma mère pénètre dans ma chambre et me force de me déshabiller avant de m’attacher à la barre de lit. Je ne comprends pas ce qui se passe, mais j’ai obéis comme une bonne petite fille docile. Elle disparait tandis que je suis là à quatre pattes à me demander ce qui va m’arriver. Lorsqu’elle revient, elle est complètement nue, avec un gode ceinture. J’écarquille les yeux, je ne parviens pas à y croire : je vais me faire baiser par ma propre mère !
  Ni une, ni deux, elle me saisit par les hanches et m’encule d’un trait. Je hurle à cause de la taille de l’engin.
— Tu es ma fille, ma petite fille à moi, me dit-elle. Moi-aussi j’ai le droit de te baiser quand je veux !

 Elle me saute comme une vraie chienne, je n’ai jamais imaginé maman faire ce genre de chose. Elle me tire même par les cheveux.
— Aaah ! Maman ! Maman ! fais-je en beuglant.
  Je ne peux pas me défendre, je suis attachée au lit. Je me fais limite violée par ma propre mère. Pourtant, j’adore ça, je finis même par en jouir.
— Aaaaaaaaaaaaaah !— C’est bien ma chérie, jouis ! Jouis pour maman !
  Je suis prise de spasmes, il me faut un peu de temps pour me calmer. Je m’écroule quand elle sort de mon cul. J’ai le souffle court. Elle vient me détacher, je pense que c’est enfin terminé, sauf que j’ai rapidement une nouvelle surprise : elle retire la ceinture et  elle me l’a tend en me disant :
— C’est à ton tour maintenant. Mets-là et prends-moi.
 Je ne sais pas quoi faire, je n’ai jamais fais ça. J’obéis lorsqu’elle insiste. C’est la première fois que j’ai un gode ceinture entre les mains. Je remarque qu’il y a un bout qui doit entrer dans ma chatte et qui remue avec le reste. Cela doit être pour donner du plaisir à celui qui le porte. Maman s’allonge sur dos en écartant les cuisses pour m’inviter à venir. Cela me fait tout drôle. Je suis généralement celle qui se fait prendre, par l’inverse. Je ne me sens pas dans mon élément.
— Viens, ma chérie, m’encourage maman. N’aie pas peur. Je fais ça tout le temps avec tatie Nancy. Tu vas voir, c’est très bon.
  Je fais ce qu’elle me dit, je la pénètre avec l’engin en lui donnant des coups de bassin comme un homme. Le bout en moi me fait effectivement du bien en bougeant, je commence à remouiller.
— Plus fort ! Plus fort, mon chaton ! me dit-elle.
  J’accélère le rythme. Même si ce n’est pas trop mon truc, je me prends au jeu. J’ai envie de ma mère, j’ai envie de lui donner du plaisir. Je l’aime, je veux la rendre heureuse et être une bonne fille. Si c’est ce qu’elle attend de moi, alors...
  Je joue avec ses seins avant de l’embrasser. Elle me rend mon étreinte de façon chaude et passionnée. Elle passe ses mains dans mon dos pour me forcer à rester collée contre elle.
— Maman... fais-je en soupirant.— Non, je suis juste ta grande sœur. Ta grande sœur qui t’aime.— Je t’aime aussi, maman.
  Je la lime de plus en plus fort. Elle est belle. Après plusieurs minutes, elle m’avertit :
— Je vais venir Lily ! Continue ! Je viens ! Je viens !
  Je suis au premier plan pour la voir en train de jouir. Cela déclenche chez moi un second orgasme, bien moins puissant que le précédent, mais bon quand-même. Elle le remarque et cela la comble de joie de voir que nous jouissons ensemble. Elle m’enlace ensuite tendrement en caressant mes cheveux blonds comme lorsque nous faisions des siestes ensemble quand j’étais petite. Cela me fait drôle de la voir devenir tendre après ce qu’elle m’a fait tout à l’heure.
— Je t’aime, ma chérie, me dit-elle.— Je t’aime, maman, lui dis-je en guise de réponse.
   Je sais qu’elle aurait préféré que je l’appelle "grande sœur", mais je n’y arrive pas à m’y faire.
  Ce n’était que notre première fois. Cela arrive souvent maintenant. Elle vient pour me sauter comme sa chose. Tantôt avec le gode pour me prendre comme un homme, tantôt sans. Dans ces cas-là, elle m’ordonne de la lécher et de la doigter. Je fais usage de tout ce que j’ai appris avec Erika. Je lui ai dis que je n’aimais pas trop porter la ceinture, alors elle ne me le demande plus, par contre, elle aime beaucoup m’attacher pour faire de moi ce qu’elle veut, elle joue alors avec mon corps et m’enfonce ses jouets dans la chatte et le cul, parfois les deux en même temps. Elle me torture en me maintenant à la limite de l’orgasme. On dirait que ça l’amuse quand je la supplie de me laisser jouir :
— Maman, maman ! Pitié ! Je veux jouir ! dis-je en lui criant dessus, mais elle n’en à rien à faire.
  Elle me refuse la délivrance en me traitant de pute et de salope à réclamer ainsi du sexe. C’est une perverse ! Elle aime vraiment me voir en état de manque profond, quand je suis prête à tout pour un coup de bite. Elle me laisse dans la frustration pendant ce qui me semble une éternité, puis elle accepte finalement de m’achever. Je suis alors enfin au paradis. Je hurle de plaisir, on doit m’entendre dans toute la maison. Elle a raison, je suis une trainée, une droguée à l’orgasme. J’en veux tout le temps et ferait n’importe quoi pour en avoir un. Je dois être pire qu’Erika. J’ai honte.   
  Je suis sa fille, sa chose, et il lui arrive même d’en faire profiter les autres. Comme le jour où elle m’a attachée à mon lit avec un bandeau sur les yeux. À quatre pattes, elle m’a d’abord léché le cul et m’a doigté la chatte, puis elle m’a enfoncé des boules de geisha dans l’anus. Je suis toujours abasourdie par la variété de sa collection d’ustensiles. Au bout de dix minutes à jouer avec moi comme ça, j’ai finis par la conjurer de me faire jouir. C’est là qu’elle a tout arrêté et que je l’ai entendue partir. J’ai cru à une farce. Elle ne pouvait pas me laisser comme ça, c’est impossible. Je l’ai appelée plusieurs fois sans avoir de réponse. Elle n’était vraiment plus là. Je n’ai jamais été aussi frustrée. ! Ma chatte trempée dégoulinait sur les draps. J’avais besoin de baiser ! J’avais besoin de jouir ! J’ai commencé à crier :
— Pitié ! Pitié ! Ne me laisser pas comme ça ! N’importe qui, venez me baiser !  Comme personne ne venait, j’ai commencé à me lâcher :
— Allez ! Venez ! N’importe qui ! Servez-vous de moi comme votre pute ! J’ai besoin qu’on m’utilise ! Je veux de la bite et du foutre ! Je suis une décharge à sperme ! Venez tirez votre coup !
  Mon cœur fit un bond dans ma poitrine quand j’ai entendu la porte de ma chambre s’ouvrir. Était-ce maman qui était revenue ou une autre personne ? Je ne voyais rien, j’avais toujours le bandeau. Qui que c’était, quel spectacle je devais lui offrir : attachée à quatre pattes comme une chienne sur le lit, complètement à poil, avec le cul bien relevé comme implorant d’être pris ; un vrai trou à bite offert. J’ai entendu des bruits comme quelqu’un qui se déshabille, puis des grincements lorsqu’il est monté sur le lit. Je frissonnais d’impatience. Je ne savais même pas si c’était une fille où un garçon :
— Baise-moi, s’il te plait, dis-je. J’ai besoin de jouir.
  C’était un homme, j’ai senti la pression d’une queue à l’entrée de mon vagin brulant. J’ai gémis lorsqu’il s’est fiché entièrement en moi. Il m’a limée alors que j’avais encore les boules de geisha dans mon cul. Il n’avait aucune douceur, il me sautait juste pour se vider les couilles. Je l’ai encouragé pour qu’il y aille plus fort. Il m’a tiré par les cheveux et donner des fessées. En l’entendant gémir et soupirer, j’ai reconnu Lucas.
  Je me suis rendu compte que maman était revenue que lorsque je l’ai entendue s’exclamer :
— Notre petite chienne à enfin trouver quelqu’un pour la monter. Baise bien ta sœur Lucas. Tu as entendu comment elle a hurlé pour qu’on vienne la baiser ?
— Oh, oui, putain, répondit-il. Je n’ai pas pu résister. — Tu aimes sauter ta sœur, hein mon chéri ? — J’adore ! C’est la meilleure ! Je veux la baiser jusqu’à la fin de mes jours !— Regarde-là, cette salope, elle ne demande que ça. Elle aime la bite, ça se voit. Encule-là, mon chéri. Je veux la voir se faire enculer.
  Sans autres préliminaires, il retira délicatement les boules de geisha de mon cul et les remplaça par sa queue pour me ramoner. J’avais la tête dans l’oreiller à moitié sonnée par le plaisir qu’il me procurait.
— Hmm, vous êtes si mignon à regarder tous les deux, déclare maman.
  Je l’imaginais en train de se toucher en nous regardant.  
  Je me moquais d’avoir des spectateurs, je prenais un pied monstrueux. J’avais enfin ce que je voulais : une bonne bite qui me lime l’anus. Je sentis mon orgasme approcher. Je n’osai pas le dire de peur qu’on me joue un nouveau mauvais tour. Maman exhorta Lucas à me faire des choses. Ils échangèrent des propos salaces et parlèrent de moi comme si je n’étais pas là :
— Putain, maman, elle a un cul incroyable ! — Bourre-le, mon fils. Je veux que tu en fasses un cratère béant. Souille-la ! — Oh ! Putain ! Oui !
  Cela a continué, mais je ne les entendais même plus. J’étais trop proche de jouir. Je finis par éclater à grand cri. Mon corps trembla tandis que je me tortillais dans tous les sens. Ce fut tellement intense, une véritable libération tant j’ai attendu mon orgasme depuis longtemps. J’ai eu l’impression de perdre connaissance. Lucas s’est arrêté le temps que je profite de ma jouissance, mais il reprit au moindre signe d’apaisement. Je n’ai pas eu le temps de récupérer. Il me baisa comme une vulgaire poupée de chair, mon corps ne répondit plus, engourdi par la vague de plaisir qui venait de le secouer. Ses coups furent violents, mon cul n’était qu’un trou dans lequel il se faisait du bien. Soudain, il se ficha au fond de moi en hurlant, puis je le senti gicler. Je fus surprise à jouir une seconde fois comme pour partager son orgasme. Avoir un homme qui déverse son sperme en moi m’a toujours fait un effet démesuré. Il se retira de mon cul, à moitié flasque, après s’être bien vidé les couilles. J’étais usée, totalement épuisée.
  Maman vint me retirer mon bandeau avant de m’embrasser. Elle me félicita pour le spectacle que je venais de lui donner.
— Vous êtes si beau mes enfants quand vous faites l’amour. Je suis fière d’être votre mère. Promettez-moi de toujours vous aimer comme ça.
   Je m’attendais à ce qu’elle me libère, mais elle n’en fit rien. À la place, elle s’est mise à sucer Lucas pour gouter le mélange de nos jus respectif. Je tournis la tête pour mieux les observer, comme si j’en avais pas eu assez.
  Elle le pompa jusqu’à le rendre dur à nouveau, puis elle lui dit :
— Viens Lucas, vient me souiller à mon tour.
  Je dois dire que je fus épatée de son endurance.
  Il la pilonna en missionnaire sur mon propre lit, juste à côté de moi. J’avais beau me tordre, je les entendais plus que ce que je ne les voyais. Je n’arrivais pas à croire qu’ils faisaient comme si je n’existais pas, me laissant trainer là comme un vieux déchet, le cul débordant de sperme.
— Oh, maman ! Tu es trop bonne ! s’exclama mon frère. — Fais-moi l’amour, Lucas. Saute-moi comme ta sœur. Moi-aussi je suis une perverse qui aime ta bite. — Je vais te la donner, maman, elle est à toi !
  Je ne saurais pas dire combien de temps cela a encore durer, mais il a finit par éjaculer sur elle. Elle avait le visage plein de foutre. Cela me fait toujours bizarre de voir ma mère se comporter et se faire salir comme une jeune salope. Elle est venue vers moi après cela, pour m’embrasser afin de me faire gouter son jus. Avide, je l’ai léchée pour tout récolter. J’adore le sperme.
  Au lieu de me remercier d’avoir fait sa toilette en me libérant, elle me laissa une nouvelle fois planter là pour faire un câlin avec Lucas. Ils sont restés collé tendrement ensemble en m’ignorant complètement. Ce n’est que lorsqu’ils se sont séparé que l’on m’a enfin détachée. Elle m’a embrassée une dernière fois avant de me quitter. Étrangement, malgré tous ces abus, j’étais sur un petit nuage, heureuse.
  Papa aussi aime me traiter comme son sextoy. Depuis qu’il vit avec nous, il ne s’en prive pas. L’autre fois, j’étais sous la douche lorsqu’il est entré dans la cabine sans prévenir et qu’il m’a sauté comme sa trainée. Il s’est servi de mes orifices pour se faire du bien, il a éjaculé dans ma chatte, puis il est parti sans demander son reste. Ce salaud m’a faite jouir. Il a cette façon de me baiser qui me fait sentir indispensable à sa vie. J’arrive à ressentir son amour même à travers ses coups de bite et ses insultes. Il m’a même avoué une fois que j’étais sa préférée entre moi et Erika. Cela m’a énormément touchée qu’on puisse me préférer à elle. Il peut décidément me faire tout ce qu’il veut. Je resterais sa petite pute pour toujours.
  Cette scène de la douche décrit assez bien mon quotidien. Où que je sois, quoique je fasse, une fois dans la maison, je sais que quelqu’un peut venir me sauter à tout moment, même tatie Nancy s’y est mis. De temps en temps, nous faisons même ça à plusieurs. Papa et maman m’ont pris une fois en double avec son gode ceinture. J’ai jouis à de nombreuses reprises à être ainsi utilisée comme leur jouet. Papa s’est ensuite vider sur nous après qu’on l’ait sucé. À une autre occasion, c’est carrément maman et tatie qui sont venues jouer avec moi. Hormis le double, nous nous sommes adonnées à une position totalement surréaliste : moi à quatre patte, enculée par le gode de ma mère, elle même enculée par celui de tante Nancy. Maman remuait comme une folle pour mieux sentir les godes bouger dans ses deux trous. Nous avons joui comme ça toutes les trois.   Je dois être une perverse, mais j’aime cette vie. J’aime être usée par ma famille ; qu’on m’aime et qu’on ait envie de moi. On peut me faire tout ce qu’on veut. Parfois, je suis tellement impatiente que quelqu’un vienne me faire l’amour que je dois me masturber. Quand cela ne suffit pas, je me balade devant les garçons en tenue légère pour leur faire comprendre que je suis disponible. Cela ne rate jamais.
  Cela m’excite de penser qu’à toute heure, un couple doit être en train de baiser dans la maison ; qu’importe qui est avec qui. Je sais que lorsque j’entre dans une pièce, j’ai une chance de tomber sur des membres de ma famille en train de copuler. Les fois où ca arrive, je ne peux pas m’empêcher de leur demander si je peux me joindre à eux. Sinon, j’admets que je deviens vite jalouse. J’ai peur d’être délaissée, c’est ma plus grande phobie. Parfois, juste pour me frustrer, on m’autorise à simplement regarder. Ils savent que l’effet que cela a sur moi, je suis obligée de me masturber. Je les supplie alors de me donner quelques coups de bites, sachant qu’ils leur arrivent parfois de succomber.
  Pour officialiser mon statut de pute, ma mère m’a offert un collier en cuir. Je n’y croyais pas sur le coup ! Ma propre mère qui me déclare elle-même officiellement pute de la famille ! De la part de mon frère, je m’y serais attendu, mais pas d’elle ! J’étais à la fois choquée, mais heureuse aussi d’avoir son approbation. Je dois le porter dès que je suis à la maison, c’est la règle. Je dois aussi toujours y porter mon plug anal en permanence. Le pire, c’est qu’ils vérifient régulièrement ; et s’il découvre que je ne l’ai pas, je suis punie sévèrement par privation de sexe.
  Comme si ce n’était pas assez dégradant, maman a acheté une laisse qu’on peut attacher au collier. Au début, ce n’était que pour qu’elle puisse s’amuser avec moi. Mais rapidement, tout le monde à commencer à s’en servir depuis que je m’amuse à marcher à quatre pattes comme une chienne dès que quelqu’un la sort. Cela les excite toujours beaucoup de me voir ramper nue, le plug anal toujours fiché au fond de mon cul. On me promène dans la maison, avant de me tirer comme la pire des salopes.
  Les gens ont vite pris le coup de main avec moi. On me traite comme un animal. Dès qu’un garçon m’appelle, je sais ce que je dois faire : je me mets à genou pour sucer. Comme l’autre jour, je croise Sébastien au hasard d’un couloir quand il me dit "Lily" en ouvrant sa braguette. Je l’ai pompé sans discuter jusqu’à le faire jouir dans ma bouche.  Même si j’aime bien faire l’amour avec des filles, je préférerais toujours les hommes. J’aime le foutre et les faire éjaculer, c’est comme un jeu pour moi. Dès que je vois une bite dure, il faut que je fasse tout pour la faire éclater. J’aime la regarder ramollir lentement par après, repue.
  Un de mes jeux préférés, du coup, c’est quand les garçons me demandent de les sucer alors qu’ils regardent la télé. Je fais tout pour les exciter. J’essaie de les rendre le plus dur possible et détourner leur attention de l’écran. Je suis toujours éprise d’un sentiment de triomphe lorsqu’un éjacule finalement dans ma bouche. Je m’amuse parfois à le faire éclater sur mon visage pour mieux exciter le suivant. Ils adorent me voir souillée de sperme.
  Il arrive que je ne sois pas seule à jouer à ce jeu-là. Toutes les filles de la maison aiment y participer de temps à autre. Cela me fait toujours un peu bizarre de voir maman ou tatie Nancy, qui sont pourtant des femmes matures, sucer les garçons comme des petites soumises, mais c’est terriblement érotique.
  Le pire qu’on ne m’ait jamais demandé ainsi, je crois que c’était durant un repas de famille. Nous étions tous assit en train de manger, quand Lucas m’a fait signe. Je suis passée en dessous de la table pour le pomper. Tout le monde était là, tout le monde l’a vu, mais personne n’en était gêné. C’est comme si c’était normal. Je l’ai fais giclé dans ma bouche et j’ai tout avalé. J’ai repris ensuite ma place sans que personne ne fasse de commentaire.
 On ne me demande pas que de faire des pipes, évidemment, on m’use aussi comme un sac à foutre. Je suis le garage à bites de la maison dans lequel on vient se soulager à la moindre envie, peu importe l’heure. Une nuit, Sébastien s’est réveillé frustré après un rêve érotique et il est venu me baiser dans ma chambre juste pour se vider un coup. Il y a des périodes où je peux me faire tirer comme ça plusieurs fois dans la journée. Un matin, papa est venu me réveiller pour baiser. Il m’a forcé à le sucer, puis il m’a prise comme une pute en usant de tous mes trous avant de se vider dans ma chatte. Même pas une heure après, en allant dans la salle de bain, c’est mon frère qui débarque pour venir se servir de moi.
— Putain, Lily, il n’est même pas neuf heures du mat’ que tu es déjà pleine de sperme ?! s’exclame-t-il en se rendant compte que j’ai déjà été souillée. Qui t’a fais ça ?!— Papa, parviens-je à répondre entre deux gémissement. — Rah, le salaud ! Je voulais être le premier !
  Après s’être bien amusé avec moi, il m’a demandé de me mettre à genoux pour m’éjaculer à la figure. Il s’est vidé sur moi comme il se serait vidé dans des toilettes, puis il a remonté son pantalon et il est parti. Le pire, c’est qu’il m’a faite jouir.
  J’ai récolté tout le sperme que j’avais sur le visage pour l’avaler. Je suis vraiment une tordue. Ce qui me rassure, c’est que je ne suis pas la seule à la maison. Les autres sont toutes des sacrées perverses elles-aussi. Il n’est pas rare qu’une situation anodine finisse en petite orgie improvisée ; comme ce matin-là où je vais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Je vois que maman et papa m’ont déjà devancé. Ce dernier, debout devant le plan de travail, est en train de lui préparer un petit quelque chose. Il me dit bonjour et me propose si j’en veux moi-aussi.  Je lui réponds que oui. Bref, tout se passe comme dans une famille normale ; jusqu’à ce que maman se lève de sa chaise pour se mettre à genou devant papa. Elle lui défait sa braguette et, sans qu’il ne proteste, se met soudainement à le sucer devant moi. Je suis hyper gênée. Je ne sais pas comment je dois réagir. Dois-je rester ? Dois-je partir ? J’essaie de détourner le regard, mais je ne peux m’empêcher de les mater. Malgré l’obscénité de la scène, je commence à mouiller. J’ai envie de me masturber. Je glisse une main vers mon entrejambe et commence à me caresser discrètement. Pas assez manifestement car maman le remarque et s’interrompt pour me dire :
— Tu en as aussi envie ma chérie ? Viens, viens sucer ton père avec moi.
  En tant que pute de la maison, je n’ai pas le droit de refuser, mais c’est surtout l’envie qui me fait obéir. Je vais rejoindre maman et engloutis le sexe de papa avec plaisir. Je le suce, je le lèche, je le pompe comme si c’était mon petit-déjeuner, pendant que maman joue avec ses couilles ; puis c’est elle qui prend le relais.
— Rah, telle mère, telle fille, fait papa, vous êtes toutes les deux de sacrées petites salopes ! — Ça te plait, papa ? fais-je en bonne fille obéissante. — Oh oui, ma chérie. Continue. Continuez toutes les deux.
  Il a arrêté ce qu’il faisait pour mieux se concentrer sur notre fellation. Il nous sourit en nous caressant les cheveux. Il semble plus qu’heureux d’avoir deux femmes à genoux rien que pour lui pour bien prendre soin de sa bite.
— Tes bourses sont pleines de sperme, papa ? Tu vas tout nous donner ? fais-je pour l’exciter un peu.— Hmm, oh oui, mes petits démons, je vais tout vous donner.
  Bien que je ne sois pas pressée, j’ai déjà hâte de le faire éjaculer.
  Je suis tellement dans mon univers que j’en avais presque oublié que je vivais dans une famille nombreuse, c’est donc sans grande surprise qu’une autre personne vient nous rejoindre dans la cuisine. Lucas est un peu décontenancé en y découvrant ce qui s’y passe, la gêne se lit rapidement sur son visage. Ne voulant pas nous interrompre, il fait mine de partir pour nous laisser tranquille quand maman le retient :
— Reste mon chéri, où pars-tu ?— Je ne veux pas vous déranger, répond mon frère, les joues rouges, je repasserais.— Ne dit pas de bêtise. Allez, viens, je vais te sucer la bite.
  Hésitant au départ, mais bien trop heureux de pouvoir participer, Lucas nous rejoint sans tarder. Maman lui baisse fait son pantalon et se mets à le pomper. Si quelqu’un d’autre arrive encore, quel spectacle cela va être pour lui, les filles de la maison en train de sucer leurs hommes en famille. J’ai l’impression qu’ils sont nos mâles et que nous sommes leurs petites chiennes soumises. Je ne porte pas mon collier pour rien.
  Nous nous exécutons avec beaucoup de dévotion, les garçons semblent plus que satisfait vu comment ils gémissent. J’essaie de faire éjaculer papa dans ma bouche. J’ai soif de son sperme, je veux en faire mon repas. Maman semble avoir la même intention avec son fils, on dirait qu’elle cherche à aspirer le contenu de ses bourses. Je pense qu’elle et Lucas n’en ont plus pour longtemps, quand celui-ci s’exclame :
— Maman, j’ai trop envie de toi ! — Tu as envie de baiser ta vieille mère ? s’interrompt l’intéressée. — Oh oui, je n’en peux plus.— Très bien, si c’est ce que tu veux, je suis toute à toi.
  Elle se relève pour s’assoir sur la table en écartant les cuisses. Mon frère s’agenouille et lui lèche la chatte. Vu les bruits de succion qu’il fait, elle doit être en train de littéralement couler. Après avoir bu sa dose de mouille maternelle, il se redresse et la fourre d’un coup, maman crie de bonheur. Je les mate avec jalousie, il la baise comme un homme qui n’a pas vu une femme depuis des mois.
— Tu en veux aussi, ma chérie ? me demande papa qui a bien remarqué mon grand intérêt pour les activités de l’autre couple.
 Je hoche la tête timidement en guise d’affirmation.
— Viens alors, je vais te baiser moi aussi.
  Je me remets debout et, en bonne soumise, je me penche sur la table de la cuisine en montrant mon cul. Je reste immobile comme un objet qui attend qu’on vienne s’en servir. Papa me rejoint pour retirer mon pantalon de pyjama. Il s’exclame heureux par sa découverte :
— Tu portes bien ton plug anal dès le matin, c’est bien, tu es une bonne petite fille. — J’ai été bonne, papa ? J’ai mérité une récompense ?— Oui, tu as bien mérité ta récompense. Je vais te baiser comme tu en as envie. Dis-moi simplement ce que tu veux. — Je veux que tu me baises la chatte. — Avec ton plug encore dans ton cul ?— Oui, avec le plug encore dedans. — Hmm, je reconnais bien là ma petite tordue.
 Il joue un peu avec moi. Il caresse mes fesses comme une chose précieuse, il les embrasse, me doigte la chatte pour bien me faire mouiller, il s’amuse même à retirer et à me remettre le plug pour me faire gémir. Il a l’air de beaucoup apprécier de voir mon cul dilaté. C’est une torture, je suis obligé de lui crier :
— Papa ! Je veux sentir ton chibre dans mon vagin !— Oh, désolé ma puce, je me suis un peu égaré.
  Je suis au comble du bonheur quand je le sens s’enfoncer finalement en moi. Je me sens comme une droguée qui a enfin sa dose. Je suis une droguée à la bite. Avec le jouet dans ma raie, j’ai l’impression d’être prise par deux hommes, j’adore ça. Maman est en train de se faire prendre juste à côté de moi. L’expression de son visage indique qu’elle est heureuse elle-aussi. Elle est belle, radieuse. Lucas est collé contre elle et joue avec ses seins. Il prend ses tétons en bouche et les suce comme un bébé.
— Maman, ma maman, s’exclame-t-il en lui donnant des coups de bassins secs.
  Il a l’air d’un gamin qui a besoin d’exprimer son amour pour sa mère comme un animal. Il vénère son corps et profite de sa chaleur. Elle le ressent, j’en suis sûre, et c’est ça qui la fait monter dans les étoiles.
— Oooh, mon tout petit, fait-elle, tu as besoin de ta maman ?— Oui ! Oui ! gémit Lucas. — Maman est là pour toi, maman sera toujours là pour toi.
 De mon côté, mon papa me fait un bien fou. Il a vraiment une bite énorme ! Il me lime comme sa petite pute. Je peux sentir son désir pour moi à chacun de ses vas-et-viens. Cela m’excite de savoir que c’est mon père, que c’est lui qui m’a faite ; lui, et cette salope qui se fait prendre par son propre fils juste à côté de moi. C’est sa bite qui m’a mise au monde, et je peux enfin en profiter moi-aussi.
— Aaah, mon chéri. Continue, maman va jouir !
 Le cri de maman me sort subitement de ma torpeur. Je jette un coup d’œil en leur direction. Elle sert fermement son enfant contre sa poitrine, ce dernier la saute comme si sa vie en dépendait.
— Joui, maman, joui ! l’encourage Lucas. Je veux te faire jouir !— Oh oui, mon bébé, mon tout petit, je... aaaaah ! Ouiiii ! Je jouis sur la bite de mon fiiiiiiiiiiiiiiiiiiils !
  Je la regarde avoir son orgasme avec jalousie. Elle est splendide. Lucas ralentit la cadence puis s’arrête pour lui laisser profiter de ce pur moment de bonheur. Tandis que mon père continue de me ramoner la chatte, j’observe le couple qui profite ensemble de ce moment post-coït. Ils sont tendres, ils se fixent comme des amoureux. Lucas semble toujours aussi dur lorsqu’il sort de sa chatte. Je ne pense pas qu’il ait joui, il voulait juste faire plaisir à sa mère.
  Papa s’arrête subitement et enlève son gros dard de mon vagin lui-aussi. Je ne comprends pas trop ce qui se passe.
— Fils, cela te dérange si je prends le relais ? J’ai envie de ma petite femme. — Bien sûr que non, papa. — Occupe-toi bien de ta sœur en attendant. Elle a besoin de beaucoup d’amour.   Les garçons échangent leur place. Papa s’approche de sa femme en la regardant avec amour. Il l’embrasse avant de lui demander :
— Alors, tu es heureuse ? Notre fils t’a donné du plaisir ?— Hmm, oui, c’est un bon baiseur, il a de qui tenir ; mais c’est toi que je veux maintenant, dans mon cul. — Hmm, mon chaton...
  Maman se retourne et se place à côté de moi dans la même position. Elle me lance un sourire complice, je me sens toute gênée. Je n’ai pas bougé d’un poil, toujours aussi offerte, attendant docilement la suite des événements. Lucas me caresse un peu les fesses avant de me retirer le plug que j’ai dans l’anus :
— J’ai envie de t’enculer, Lily, me confie-t-il.— Vas-y, petit frère, mes trous ont besoin d’être usé.
 Il enfonce son pénis dans mon cul. J’ai beau être déjà dilatée, je gémis de bonheur en le sentant me pénétrer. Il se fiche une première fois lentement jusqu’aux couilles pour se frayer un chemin, puis il commence à me limer avec ardeur. Je le sens particulièrement excité. Le pauvre, ça a du lui en couter de ne pas jouir avec maman. Il doit avoir sacrément besoin de se décharger un coup. Cette dernière est en train de subir le même traitement. Elle a l’air de prendre son pied malgré son orgasme récent.
— Oooh, mon papa, mon homme, mon amant, gémit-elle. — Oooh, ma petite femme à moi, dit-il.
  Quelque part, je trouve ça touchant de voir papa et maman baiser ensemble. Après tout ce temps, ils s’aiment toujours autant et ont toujours une vie sexuelle super active. J’espère qu’à leur âge, mon frère et mon cousin continueront à me sauter avec la même vigueur.  
  Lucas est vraiment en train de me ramoner le cul, il m’utilise comme son petit garage à bite. Il cherche à se faire gicler. J’ai hâte de sentir son foutre chaud éclater dans mon cul. Je me sens proche de l’orgasme moi-aussi.
— Regarde ça, mon chéri, fait-maman, ils ne sont pas beaux nos enfants en train de copuler ensemble ?
— Oh si, ils sont magnifiques. C’est bon de les voir s’aimer de cette façon.
 Maman se penche de mon côté pour m’embrasser. Je le lui rends avec passion. Cela semble beaucoup exciter les garçons.
— Ah ! Putain, ça vient, je vais gicler ! crie Lucas. — Vas-y, fils, l’encourage papa, donne lui tout ton amour. — Ah ! Ouiii ! Aaaaaah !
  Je le sens soudain exploser dans mon anus. Cela déclenche ma propre jouissance, je crie avec lui mon bonheur de me faire sodomiser par mon propre frère. Il se vide les couilles en se servant de moi comme un réceptacle à sperme.  
— Ah ! Lily ! Lilyyyy ! Ouiiiii !
 J’adore l’entendre hurler mon nom, de sentir combien il me veut, de savoir que c’est moi qui le fais éjaculer. Je suis perdue dans mon propre monde de plaisir. J’aime mon frère, j’aime sa bite, j’aime le sexe et j’aime jouir. J’aime être la pute de la famille, je veux les rendre heureux.
  Je suis encore en plein orgasme quand Lucas a fini de décharger son foutre. Je suis affalée contre la table, incapable de bouger. Quand je reviens à moi, je ne sais pas combien de temps s’est écoulé. Mon frère s’est retiré et j’ai le cul qui déborde de sperme.  Je sens soudain comme si quelqu’un était en train de le lécher. Je me retourne et je vois le visage de maman collé contre mes fesses. Manifestement, elle et papa ont dû finir en même temps que moi. Je n’arrive pas à le croire, elle est en train de récolter le foutre de son fils à coup de langue.
— Maman ?!— Hmm, j’aime le gout de ton frère, sur ta rosette en plus... Pousse, pousse, ma chérie, donne-le moi.
 Je m’exécute, je pousse pour faire sortir le jus de mon cul tandis que ma mère boit tout. Les garçons s’exclament devant l’obscénité de la scène. Ma mère est décidément aussi tordue que moi. Quand elle a fini de faire ma toilette et qu’il n’en reste plus une goute, elle m’invite à l’aider de finir papa en le suçant.  
— Papa n’a pas encore joui ? dis-je étonné. — Non, répond-t-il. Je tenais à ce qu’on reprenne là où nous avons commencé.
 Maman et moi nous mettons à genoux devant l’énorme bite de notre géniteur pour le sucer ensemble. Pendant ce temps, Lucas est assis à la table de la cuisine et récupère. Nous lui faisons chacune des gorges profondes, cela le fait râler de plaisir.
— Oooh, mes petits anges... Vous prenez si bien soin de moi...
  Je lui lèche le gland et joue avec ses bourses tandis que maman fais glisser sa langue sur sa tige. Je ne cherche pas à l’exciter ou à simplement lui faire du bien, je veux le faire jouir. J’ai hâte qu’il se vide les couilles et m’envoie son délicieux jus dans la bouche. Je veux le gouter. Je sens qu’il n’en a plus pour très longtemps. Je suis frustrée quand ma mère me chasse pour prendre ma place. Elle le pompe énergiquement en le branlant d’une main. Soudain, je l’entends grogner. Sa queue vibre comme un volcan prêt à entrer en irruption. J’espère que maman se retire pour qu’il nous asperge toutes les deux, au lieu de cela, elle affirme sa prise sur sa bite. Papa pousse à râle tandis que son corps est pris de convulsion. Je suis jalouse, il éjacule dans sa bouche et elle ne m’en laisse rien. J’en voulais moi-aussi ! Il jouit tellement fort que ses lèvres débordent et qu’un filet de sperme coule lentement de son menton. Je le récolte d’un coup de langue comme une affamée qui n’a rien d’autre à se mettre sous la dent. Maman aspire tout son jus jusqu’à ce qu’il arrête de trembler. Il est aux anges, moi, je suis en colère :
— Maman ! Ce n’est pas juste ! Je voulais du sperme moi aussi ! Tu as tout avalé ! Je te déteste !
 Ses lèvres s’éloignent enfin de la bite de papa. Elle se tourne vers moi en me faisant un sourire la bouche toujours fermée. Elle s’approche pour venir m’embrasser ; malgré que je sois fâchée, je le lui rends. C’est quand je veux lui mettre la langue que je m’aperçois qu’elle avait tout gardé. Elle me donne une partie du foutre comme un animal nourrissant son petit. Nous partageons le gout délicieux de notre papa commun en même temps que notre salive. Lorsque notre baiser prend fin, j’avale ma part et elle fait de même. Je suis trop heureuse, je ne lui en veux plus.
 Papa et Lucas nous regarde d’un air médusé. Il nous en reste un peu au coin de la bouche.
— Nous avons été de bonnes petites filles, mon papa chéri ? lui dis-je. — Oh oui, répond-il. Je suis fier de vous.
  Voilà le genre de scène qui arrive quotidiennement dans un recoin de la maison. Il n’y a aucun tabou ni aucun gêne, juste du plaisir. Tout le monde couche avec tout le monde sans que personne ne soit délaissé. Aucun d’entre nous ne restera jamais en manque de sexe très longtemps.
  En tant que sac à foutre de la famille, ma vie est parfois un peu dure. Je dois être disponible à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, et si on me demande, je dois abandonner ce que je suis en train de faire pour servir de jouet sexuel à qui a envie de m’utiliser. Heureusement que j’aime ça, au point que j’en ai perdu le gout de sortir et que j’en ai délaissé mes études. Il n’y a plus que le sexe qui m’intéresse ainsi que ma dévotion pour ma famille.
  Et pour être dévouée, je suis dévouée. L’autre soir, alors que j’ai enfin trouvé le courage de travailler un peu, Erika fait irruption dans ma chambre pour me prévenir que les garçons sont dans le salon et veulent me voir. Vu qu’elle a sorti la laisse, je devine vite quelles sont leurs intentions. J’espère que ça la rend jalouse que ce soit moi qu’ils ont demandé et pas elle.
  Comme une bonne petite chienne docile qui porte son collier, je laisse mes livres et mes cahiers en plan et me mets tout de suite à quatre patte. Elle attache la laisse et me traine ainsi jusque dans le salon où nos mâles sont en train de regarder la télé tous les trois. Erika me fait ramper jusque devant eux avant de leur dire :
— Messieurs, elle est à vous. Tous ses orifices sont à votre disposition, amusez-vous bien.
 Puis elle s’en va.
— Ah Lily, nous sommes contents de te voir, dit papa. Nos deux mamans sont en train de baiser ensemble et nous n’avons pas été invités. Nous sommes un peu frustrés. Tu veux bien prendre soin de nous s’il te plait ?
 Quand je commence à les sucer chacun à leur tour, je suis loin de m’imaginer ce qui va se passer. Au début, il n’y a rien d’inhabituel, je vais d’un siège à l’autre en marchant comme un animal pour aller les pomper. Puisqu’ils sont absorbés dans leur film, je me dis qu’ils vont se contenter d’éjaculer un petit coup dans ma bouche et que je vais me régaler. Les choses se corsent alors que Papa et Lucas se lève de leur siège tandis que je suis en train de sucer Sébastien. Ils se mettent tous les trois debout et me présentent leurs verges qui réclament de l’attention. Je les branle et les pompe comme je peux. Ils sont parfois si impatient qu’ils m’attrapent par la tête ou me tire par la laisse pour me baiser la bouche. Vu comment ils semblent particulièrement excités, je comprends que je vais prendre cher ; j’ai un peu peur.
  J’ai déjà couché avec deux d’entre eux en même temps, mais les trois ensemble, c’est une première. Je mouille comme une folle. Je me fais traiter de salope lorsqu’ils le remarquent. L’odeur de ces trois bites tendues rien que pour moi me rend folle. J’entre en transe. Je veux les rendre flasque après les avoir fait éjaculer et qu’ils soient satisfaits de moi.
  Les choses sérieuses arrivent rapidement. Lucas me prend en levrette tandis que les deux autres me force à les sucer, puis ils m’échangent en changeant de position à chaque fois. Ils m’utilisent comme une vieille pute. Je suis leur jouet, leur petit garage à bite. C’est pour cela qu’ils m’ont fait venir, pour me prendre comme un déchet. Ils se servent de mon corps en ne pensant qu’à leur propre plaisir, sans imaginer à quel point ils me font jouir.
  À un moment, papa est en train de m’enculer alors que je suis allongée sur le dos sur la table basse du salon. Il m’a prise par les jambes et me lime comme un animal. Lucas et Sébastien sont de part et d’autre de la table et me demandent de les sucer, quand soudain, ce dernier me gicle à la figure :
— Aaah ! Lily, je n’en peux plus, tu es trop bonne, aaaaah !
  Il m’asperge de son foutre en astiquant sa queue avant de se retirer, me laissant avec deux males en rut. Ceux-ci enchainent en me prenant en double. Ils me coincent entre leurs corps et me ravagent comme des bêtes. C’est fou comme ils ont besoin de mes trous, je ne les ai jamais vu comme ça ; je ne compte plus mes orgasmes.
  Papa éjacule plus tard dans mon cul. Je pense que j’en ai bientôt terminé, jusqu’à ce que je voie Sébastien bander à nouveau. Il vient prendre rapidement sa place dans mon anus et me le lime comme si c’était sa première fois.
  Bon sang, ils ne sont que trois, mais j’ai l’impression que c’est tout un troupeau qui est en train de me passer dessus. J’ai l’impression d’être la seule fille dans une orgie de plus d’une dizaine de mâles. J’ai beau ne rien faire à part me faire prendre, je n’en peux plus à force de jouir.
   Je me sens soulagée en voyant Erika débarquer soudain dans le salon. Comme je la connais, cette perverse à dû nous mater depuis le début mais n’a pas pu se retenir de nous rejoindre pour participer. Elle va pouvoir prendre le relais. Peu importe que ce soit moi où elle, les garçons ont juste besoin de se vider les couilles dans une fille. Elle est déjà nue et prête. Elle s’installe dans un des sièges et commence à se masturber avec un gode.
— Ne vous dérangez pas pour moi, je voulais juste vous observer de plus prêt.
  Je suis stupéfiée. Au lieu de s’occuper d’elle, ils font comme si elle n’était pas là. Ils continuent de me ravager sans qu’elle ne demande même d’avoir droit à quelques coups de bite. Quelle salope ! En plus, elle utilise même mon propre plug anal pour jouer avec son cul.
  Les garçons jouissent mais continuent de se relayer. Ils sont infatigables, comme s’ils n’avaient pas tiré un coup depuis des mois. Je n’arrive pas à croire ce qui m’arrive. Il y a encore quelques mois, j’étais vierge et j’avais peur de finir vieille fille, aujourd’hui, je suis maintenant couverte de sperme et j’ai les orifices qui débordent. Je n’ai jamais autant mérité mon statut de sac à foutre. Ils grognent et m’insultent en voyant combien je suis docile.
— Oooh, Lilly, tu es vraiment la meilleure des putes, gémit Sébastien. — Ooh, mon bébé, tu es encore meilleure que ta mère, fait papa. — Lily ! Tu es trop bonne, tu es trop belle quand on te souille, me dit mon frère. Comme si ce n’était pas assez humiliant comme ça, maman et tatie Nancy sortent de leur chambre et débarque dans la pièce. Elles ont manifestement fini de baiser. Elles sont choquées par ce qu’elles voient, mais au lieu d’y mettre un terme, elles finissent par rejoindre Erika pour se masturber avec elle. Les salopes, il n’y a donc personne qui viendra à mon secours ?
  Rapidement, se masturber ne leur suffisent plus. Elles s’embrassent, se caressent et se lèchent le minou. Après quelques minutes, nos mamans vont même sortir leurs jouets pour baiser toutes les trois. Erika se fait prendre en sandwich avec leurs godes ceintures et hurle sa jouissance. Moi, il ne me faut plus très longtemps pour finir à bout de force. Je ne sais plus où je suis ni à qui sont les bites qui sont en moi. Je ne suis plus qu’une frêle poupée de chair, une machine à jouir au bord de l’évanouissement. Je réagis à peine lorsque je sens que quelqu’un me décharge son sperme en plein de la figure.   Je ne sais pas après combien de temps cela a fini par s’arrêter. Je suis à peine consciente. Je me rappelle juste et la vision des filles, satisfaites, collées l’une à l’autre comme des amoureuses et la voix des garçons qui échangent des remarques salaces sur leur performance.
— Putain, je me suis jamais autant vidé les couilles.— Il n’y qu’avec Lily qu’on peut faire des trucs pareils. — Cette petite va me tuer, ce n’est plus de mon âge.
  Tout le monde est parti, mais je m’endors là, incapable de rejoindre ma chambre. Je me réveille le lendemain sans me rappeler comment je suis arrivé là avant de m’en souvenir en me voyant couverte de sperme séché. Je devrais prendre une douche, mais je suis d’abord trop affamé pour penser à mon hygiène. Je retrouve Maman et Sébastien qui me sourient en voyant mon état. Ils ne me font aucune remarque, comme si c’était un matin comme les autres.
  Je crois que cela a dû être la soirée la plus intense de ma vie, du moins jusqu’à maintenant. Les garçons ont été brutal, mais je ne peux pas leur en vouloir, ayant moi-même aimé ça. J’aime ma famille, plus que tout au monde, je suis heureuse de vivre avec eux sous le même toit. Le fait qu’on baise tous ensemble renforce notre lien. Nous n’avons jamais été aussi unis, j’espère que cela durera pour toujours.
FIN
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