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Amoureuse des fesses de femmes

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Je n’ai pas eu de mal à trouver le bouton que je me suis mise à titiller doucement de la pointe de ma langue. Dans le même temps, j’écarte d’avantage ce magnifique fessier pour que mon nez tente de pénétrer l’étoile. Je suis vraiment aux anges. Je mouille intensément. Fabienne dit avec douceur tout en se trémoussant sur mon visage :
— Tu es bien là ? Ce n’est pas trop fort ?
J’extrais juste un instant mes lèvres pour dire :
— C’est merveilleux, vous ne pouvez savoir combien c’est bon.
— Si je sais mon ange, mais pour toi, je ne trouve pas les mots, tu es si fraîche.
Je ne réponds pas mais presse seulement les fesses de mon aimée. Je me crispe de plaisir alors que ma bouche s’emplit soudain d’une petite coulée. Je gémis de désir, me crispant toute, remuant du bassin, sentant dans le même temps la bouche de Fabienne sur ma vulve. Nous en soixante-neuf. Il n’y a pas de mots pour décrire ma félicité. Une langue agile suce ma chatte que je sens toute coulante. Une sorte de jouissance latente me tient toute en permanence alors que mon visage est enfoui entre les fesses d’une si jolie femme, comme je l’ai tant rêvé. Mes râles emplissent la pièce. J’absorbe, non, je me délecte du fluide qui jaillit tout en caressant les magnifiques parties charnues, je les écarte encore plus, introduisant mon nez dans l’anneau qui fleure si bon et dans lequel je voudrais plonger toute entière. Elle se redresse enfin et son visage effleure le mien, puis elle prend mes lèvres nullement dégoûtées et nos langues se joignent encore, puis elle murmure:
— Toi au moins, on peut dire que t’aimes ça.
— Oui et tu ne peux savoir à quel point.
— Comment je peux te remercier ?
— Avec une vraie femme comme toi, je ne l’oublierais jamais tu sais.
— Beaucoup de femmes ici seraient heureuses de faire ce qu’on vient de faire. Moi j’ai jouis comme pas une. Maintenant, il faudrait qu’on retourne si tu veux bien.
— Oui mais pas avant ça...
C’est moi cette fois qui oblige ma chérie d’un soir, à se retourner en se plaçant à genoux sur le divan, la croupe bien en évidence. Je lui murmure à l’oreille :

— Laisse-moi encore t’admirer et goûter ton joli petit cul.
— Oh toi alors. Oui, aller, vas, mange bien ma rosette.
Fabienne arrondit du mieux qu’elle le peut toute sa croupe offerte j’enfonce mon visage, je pointe ma langue dans la bague qui s’ouvre. Je ne peux m’empêcher de me caresser tout en gémissant. Nous restons ainsi encore quelques trop courtes minutes. Nous nous sommes vêtues remis de l’ordre dans notre maquillage pour retourner dans la salle. En sortant elle me dit :
— Merci pour ce merveilleux moment.
Nous sommes donc à nouveau en bonne compagnie, Fabienne reste un moment avec moi avant de rejoindre la piste de danse. Je vois Karine qui est tendrement enlacée dans les bras d’une jeune femme, elle me fait signe de m’approcher et me dit :
— Alors, c’était bon ?
— Délicieux !
Sur la piste et dans l’ensemble de la salle règne une ambiance aussi démesurée que possible. Beaucoup de femmes sont dépoitraillées. D’autres exhibent franchement leurs seins. Certaines se frottent à leur partenaire d’une manière éhontée, se malaxant réciproquement leurs fesses, leurs cuisses alors que des mains retroussent de courtes jupes ou mises à nu des postérieurs rebondis. Lorsque tante Françoise m’accoste :
— Ca va toi ?
Elle me pose cette question d’un air moqueur, il est indéniable que Fabienne lui a parlé de moi mais peu m’importe, je suis dans une excitation latente, ma gorge est nouée en permanence.
— Oui, oui je vais bien merci tante.
Je pense que ma petite aventure a déjà fait le tour de l’assistance, ça me fait frissonner. Je sens soudain la main de ma tante qui m’entraîne vers son canapé. Elle m’invite à m’asseoir et en fait autant à côté de moi.
— On continue au Champagne ? Me demande-t-elle les yeux chatoyants.
— Oui, il ne faut pas casser le rythme.
Nous sirotons notre verre, puis elle m’entraîne sur la piste. Je tremble de tous mes membres. La mère de Karine me presse dans ses bras, nous dansons et je me laisse guider, joue contre joue. Je sens ses baisers fous et ardents dans mon cou, elle me prend le menton entre le pouce et l’index, elle me regarde franchement dans les yeux.
— Alors ?
Son regard est interrogateur, je ne sais quoi dire, je suis trop émue Françoise le sait.
— Je te comprends, c’est tellement nouveau pour toi. Je crois que tu aimes bien cette ambiance n’est-ce pas ?
— Oh oui tante.
— Et Fabienne, elle t’a plu ?
Je ne sais plus où me mettre tellement je suis rouge de confusion. Mais ma tante me serre plus fort dans ses bras et soudain je sens ses lèvres sur ma bouche, je m’abandonne à elle ainsi que tout le reste de mon corps. Elle poursuit:
— Tu n’as pas à avoir honte, je ne veux que ton bonheur, si tu veux vivre encore des moments de bonheur, alors laisses-toi aller.
Je ne peux m’empêcher de murmurer:
— Je t’aime tante, tu es tellement différente de maman, tu es ma reine, je donnerais n’importe quoi pour être la sœur de Karine !
— Je veux que tu sois libre. Libre comme l’air et..... Heureuse.
— Il faudra bien que je retourne chez moi.
Françoise paraît songeuse un court instant, puis elle fait:
— S’il te plait, tu oublies ta mère le temps que tu vas passer chez moi, d’accord !
Mes yeux sont baignés de larmes tellement je suis heureuse. Elle ajoute dans un souffle :
— C’est toi que je veux..... Oui !...... Oui mon ange !...
Elle passe ses doigts sur mes lèvres puis en enfourne deux dans ma bouche. Machinalement, je les suce.
— J’ai envie de ta petite bouche partout !
Ma tante semble tout aussi excitée que moi, le champagne, l’ambiance. Je réponds du tac au tac
— Partout où tu voudras...
Tout en dansant on s’approche de la porte du fond, je ne peux m’empêcher de palper son fessier tout en pensant que c’est quand même la sœur de ma maman. Je constate toutefois combien les deux mappemondes sont rondes sous la robe fine de satin. J’en bave d’envie. Nos bouches se joignent encore. On longe le long couloir qui dessert quelques chambres et autres servitudes pour arriver dans une petite chambre d’amis décorée très coquettement. On s’embrasse, ma tante entreprend vite de me dénuder. Je me laisse faire bien évidemment puis à son tour elle se met nue également. Sous la faible lumière, je vois combien ce corps est merveilleux, j’en reste bouche bée. Des jambes longues, des hanches larges, des seins pas très gros en forme d’obus, à peine plus gros que les miens, impeccablement balancés, un corps intégralement bronzé. Le triangle noir parfaitement taillé sur une peau parfaite,
— Tu es sublime tante ! Vraiment, je…
— Arrête Chantal, je n’ai plus ton âge. Me répond-elle.
J’ai une féroce envie de lui sauter dessus pour me régaler d’elle, mais je veux avant tout lui plaire, la séduire, ce n’est pas la même chose qu’avec Fabienne, c’est ma tante et je l’aime……..Presque d’amour. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine tandis que ses mains se mettent à palper mes cuisses..
— Qu’est-ce, que t’es bien foutue Sophie, tu es plus douce que de la soie.
— Et toi, ta peau et ton odeur m’excitent !
Nos gestes deviennent plus osés, quand sa bouche englobe mes tétons, les croquent et les aspirent.
— Tu me laisses m’occuper de toi ? Me demanda-t-elle
Nous investissons le grand lit. Elle m’allonge sur l’édredon douillet, écarte mes cuisses, lui offrant mon minou, elle ne tarde pas à l’assiéger.
— Hum… Quelle douceur…
La langue de Françoise me lèche avec gourmandise, ce qui me fait gémir assez fort. Ce traitement de choix se poursuit durant une bonne dizaine de minutes avant que je ne perde patience, exténuée, je manifeste l’envie de goûter à mon tour à ce fruit tant désiré. Je m’approche avec hésitation et commence à lui caresser la chatte avant d’aller plus loin. La touffe bien taillée lui recouvre le pubis jusqu’à l’œillet et cache à peine les grandes lèvres très charnues. Ma tante ferme les yeux, j’approche mon visage. La forte odeur qui s’échappe provenant de la danse et de la chaleur, m’attire encore plus. Ma langue effleure le clitoris j’écarte ses grandes lèvres de deux doigts, pour enfouir carrément ma langue dans la caverne. Tante sursaute en se prenant vite au jeu et cette odeur âpre qui se renforce de plus en plus finit rapidement par m’exciter terriblement, le jus est aussi généreux que les senteurs ! Je continue de m’en délecter et m’applique à bien faire, je ne veux surtout pas la décevoir.
Tante, s’il te plait, mets-toi à quatre pattes.
Sans la moindre contrariété, Françoise se plie à mon désir et m’offre sa magnifique croupe. Je coince rapidement mon visage entre ses fesses, ma langue se remet à l’ouvrage. Cette fois-ci, ma tante se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute. Je lui saisis les miches, remonte ma langue sur sa rosette. Tante n’objecte pas, pas avant qu’elle ne sente que j’entre un doigt dans son derrière.
— Heu…. Sophie,
— Qu’y a-t-il ma douce, ce n’est pas bien ce que je te fais ?
— Oh si ! Mais…
— Alors laisse-toi faire !
— Oui !
À peine a-t-elle accepté que je lui rentre directement ma langue dans la rosette et deux doigts dans la chatte l’envoient au septième ciel. Ma tante est déchaînée et ce ne sont pas moins de deux orgasmes successifs qu’elle subit et le troisième va être phénoménal.
— Oh que c’est bon ! Vas-y, continue, continue, continue… Ouiiiii !
Sa jouissance est terrible, mais à peine ses vocalises se sont tues qu’un son étrange siffle à mes oreilles en accord parfait avec une giclée je prends en pleine figure et d’un torrent qui se déverse sur son corps et sur le lit !
— Mais qu’est-ce que tu mouilles tante !
— Oh pardon Sylvie ! Je ne pensais pas que ça arriverait. C’est que tu m’as tellement fait jouir……..C’était sublime !
— C’est que je ne m’y attendais pas. Mais c’est très impressionnant !
On s’est étendues sur le lit, ma tante me complimente :
— Eh bien dis donc, si on m’avait dit ça de toi.
— Je te surprends à ce point, je pense que je suis comme Karine, j’aime seulement les fesses beaucoup plus qu’elle.
— Hum, je suis sûre qu’on va bien s’amuser toutes les deux… Me lance-t-elle en me caressant.
Je l’embrasse, et approche ma bouche de son oreille.
— Tante, je crois que j’ai envie de faire pipi, je reviens dans deux minutes.
— Je te suis dans la salle de bain, tu vas adorer !
Ma tante me prend par la main, m’entraîne énergiquement dans la grande cabine de douche
— Tu vas voir comme c’est bon !
Au comble de l’excitation j’obéis avec un plaisir non dissimulé, mais je me demande quand même où elle veut en venir.
— Tu vas faire ton pipi sans t’occuper de moi. Vas-y, laisse-toi aller, ne te retiens pas…
— Oh je n’ose pas tante !
— Vas-y, mon petit chou, vas !
Elle met sa main sur mon bas-ventre et exerce une pression pour m’aider à me soulager.
— Oh tante, je me sens partir, je peux plus me retenir…
Françoise me saisit fermement et me plaque contre la paroi, elle se colle littéralement contre moi pour ressentir le long jet de liquide chaud qui s’écoule de mon intimité et qui inonde nos cuisses. Sans même toucher nos sexes, nous jouissons, je réalise que je viens encore d’avoir une nouvelle expérience, quelle soirée ! Délicatement, on se laisse choir en se donnant un baiser qui va transformer cette aventure en union de rêve pour toutes les deux.
— Je suis contente d’être amoureuse de toi.
Ma tante à cet instant est plus qu’aux anges. Elle m’embrasse tendrement et fait couler la douche, une douche bien réconfortante.
franvel@hotmail.fr
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