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Amours avec Huguette

Chapitre 1

Hétéro
Nous finissons notre jeu particulier qui dure depuis presque deux heures. C’est long de rester ainsi tout ce temps pour Huguette à mouiller et moi à bander. Nous sommes mariés depuis quinze ans. Nous sommes dans notre grande maison. Il nous arrive de passer des jours sans nous toucher et d’autres périodes à faire les fous. Presque tous les jours, vers dix sept heures, elle m’appelle pour que je monte la voir. Depuis le temps je me doute que même ma secrétaire se doute de ce qui se passe. Je trouve Huguette nue allongée les jambes ouvertes sur le lit, souvent la porte de la chambre ouverte. Elle a sorti ses deux godes le plus gros et le plus petit qu’elle a déjà installé dans son anus. Elle le fait aller et venir pour jouir simplement du cul. Elle adore se faire jouir ainsi. J’arrive presque au moment de l’orgasme que j’accompagne par un long baiser sur la bouche. Un baiser qui se fini par ma langue qui lèche ses lèvres : ça nous excite. Pendant le baiser elle se fourre le gros gode dans le vagin. Mon rôle est simple, ma présence et mes caresses sur ses seins lui suffisent. Même si je bande, je ne fais que la regarder se masturber : c’est joli une femme qui se donne du plaisir, je regarde la pénétration et ses traits qui montrent son plaisir qui monte. Mon tour arrive quand elle le veut, elle sort ma bite du pantalon, l’embrasse juste sur le bout, lèche la première goutte de sperme avant de la branler à sa façon. Sa main prend ma bite, descend doucement le prépuce, ça peut durer plus d’une minute pour le mettre tout en bas. Ce n’est qu’ensuite qu’elle passe aux choses sérieuses : me donner du plaisir et me faire jouir. Le seul inconvénient est qu’elle fait durer la chose longtemps. Mais que l’orgasme et formidable avec cette masturbation. Autrement dit, elle s’occupe seul de nos deux plaisirs. Par contre c’est moi le chef quand nous baisons le soir. Je la déshabille toujours, elle ne me le fait jamais. Pendant le court instant de ma mise à nue, elle est pressée, elle se caresse déjà le clitoris. Je la laisse faire en bandant, elle me plaît toujours pendant qu’elle se masturbe sans honte, comme par exemple sous la douche. Sa main va vite presque trop vite. Ses yeux sont sur ma bite, elle aime me voir bander en pensant que tout à l’heure elle l’aura dans le ventre. Je caresse sa poitrine, mes mains descendent sur son ventre, je m’attarde volontairement sur son nombril dans lequel j’entre un doigt. Ensuite ma main arrive à sa fourrure que je peigne avec mes doigts écartés. J’arrive sur sa chatte, je caresse la main qui la branle, elle me cède la place, presque avec des regrets. Je suis enfin libre de lui faire ce que je veux. Je ne m’en prive pas , je sais tout ce qu’elle aime, alors je la contente tout simplement. Je la masturbe en caressant son bouton, sa tête fait des allers et retours de gauche à droite, elle pousse ne nombreux soupirs. Quand elle arrête de se plaindre, l’orgasme arrive, c’est juste au moment où elle jouit, elle crie doucement. Depuis le commencement elle parle enfin :— C’est bon j’aime quand tu me branles. Encore une fois.— Oui, chéri, je te branle encore, après je te baiserais, je te sucerais et je t’enculerais. — Oui tu m’enculeras et je me branlerais, tu veux.— Bien sur, nous jouirons ensemble dans ton cul.— Et dans ma bouche ?— Si tu veux,C’est rare qu’elle me demande de jouir dans sa bouche, le sperme l’écœure facilement. Notre relation s’engage sur de bonnes bases, je continue de la masturber, ma bouche se pose d’abord sur ses lèvres pour un profond baiser qui dure, juste le temps de l’exciter encore un peu. Je m’attaque à sa poitrine qu’elle n’a pas tellement sensible, sa main gauche prend ma bite pour une légère caresse, mes couilles aussi ont droit à sa visite. Ce soir elle va plus loin, comme rarement elle cherche mon cul, je sens son doigt très près de mon anus, quand elle le trouve, sans perdre de temps elle le caresse légèrement avant de s’y enfoncer presque complètement. Elle règle ses va-et-vient sur la masturbation qu’elle accepte en ce moment.— Baise-moi maintenant.— Si tôt ?— Oui, j’en crève d’envie. Je me pose sur elle de tout mon long pour lui faire sentir tout mon poids. Je suis entre ses jambes écartées, c’est elle qui prend ma queue pour la placer dans son puits. Je me soulève sur mes bras avant d’entrer, je repère tous les endroits sensibles de son con avec ma pine. Je m’enfonce doucement, trop doucement sans doute, elle donne de furieux coups de reins. Je retiens mon souffle, je ne veux surtout pas jouir rapidement, je lui ai promis de l’enculer. Elle décrit ses fantasmes, qui vont de se faire baiser par deux ou trois hommes à se faire gouiner par deux femmes. Elle se laisse aller à un orgasme suivit presque aussitôt d’un autre encore plus fort. Je sors d’elle pour me coucher sur le coté à sa gauche, nos jambes sont entremêlées, sa main revient sur sa chatte pour se masturber, je pose ma queue sur l’entrée de son rectum , Je ne sais pas comment elle fait, j’entre sans forcer. Lentement je la lui mets doucement. Je continue sur ses fantasmes en en rajoutant, elle est violée par un couple de marginaux et un policier. Je sens avec plaisir ses chairs s’écarter devant ma pine, seul j’assure le va-et- vient. Elle murmure des mots incompréhensibles. Je crois comprendre qu’elle aime l’avoir dans le cul, que ses doigts lui font du bien et qu’elle jouit. Quand je sens mon plaisir arriver, je m’enfonce encore le plus possible au fond de son cul et je décharge tout ce que j’ai comme sperme. J’y reste jusqu’à ce que je débande. Je sors,ma bite est toute molle et flasque. J’ai pourtant envie de lui faire encore connaître d’autres orgasmes. C’est simple, je m’installe la tête entre ses jambes, je lèche l’intérieur de la cuisse droite, du genou jusqu’en haut, pas loin de son sexe, pour recommencer la même chose avec l’autre cuisse. Cette fois ma langue lèche d’abord un peu son cul pour venir enfin sur son bouton. Elle relève un peu ses cuisses comme pour m’emprisonner. J’arrive quand même à sa poitrine que je caresse toujours : j’aime ses seins. Huguette s’installe confortablement pour la suite, je pose ma bouche ouverte sur son pistil, je le lèche longuement sans aller trop vite. — Lèches moi plus vite pour me faire encore jouir.— Attends un peu. Je ne l’écoute pas, je fais comme j’ai envie, je ne vais plus vite qu’un bon moment plus tard, elle se tend longuement avant de pousser un grand soupir de soulagement. Je sens ses spasmes sur son clitoris, Je ne bouge pas, je la laisse jouir dans ma bouche, dès qu’elle a fini sa jouissance, je ne lui laisse même pas le temps de récupérer, je la suce encore, l’orgasme arrive dans les secondes qui suivent. Je reste toujours comme je suis, Je la suce encore, cette fois sa jouissance et tellement longue que je continue. Elle me repousse avec ses mains et me dit :— Arrête je n’en peux plus.C’est comme si elle parlait avec un sourd, je tiens à la crever de jouissance. Pour parfaire son bonheur qu’elle ignore encore, ma bouche étant toujours sur elle, je lui mets deux doigts dans le cul. Elle cri qu’elle jouit, elle demande d’arrêter ce que je fais. Pendant cette inhabituelle séquence de cunnilingus je bande à nouveau. Elle me voit bander, elle tient parole, elle me prend dans la bouche en tenant ma bite à la base avec une main bien serrée, comme si j’allais partir. Sa langue fait le tour du gland, je sens ses lèvres entourer ma bite, j’y suis aussi bien sinon mieux que dans son cul. Arrive le moment délicat , je vais jouir, Je lui dis, elle n’en tient pas compte, chose promise, je gicle dans sa bouche. Je m’attends à la voir aller cracher dans le lavabo ou aux toilettes, elle reste devant moi, la bouche ouverte pour me montrer la quantité de sperme sur sa langue. Puis, lentement elle l’avale, en gardant à peine pour le partager avec moi.Quand nous regardons l’heure il est trois heures, nous avons baisé plus longtemps que les autres fois, je ne suis pas étonné de me réveiller un peu avant elle vers dix heures. Nous sommes nus, elle me tourne le dos, ses fesses me tentent, je ne vais pas la sodomiser alors qu’elle dort. J’arrive à la positionner sur le dos sans la réveiller, j’écarte ses jambes pour voir son sexe qui est encore un peu humide. J’ai l’intention d’aller y déposer un baiser, baiser chaste. Elle se réveille juste à ce moment là. Elle appuie ma tête sur sa chatte, nous voilà encore embarquer pour je ne sais combien de temps.
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