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Amours culottés

Chapitre 1

Inceste
Amours culottés – I

Les Martin avaient toujours mené une vie paisible et sans histoire. Gabriel, un homme de 49 ans, grand et encore séduisant, avait la direction d’une entreprise pharmaceutique, filiale locale d’un groupe allemand. Line, son épouse, de 43 ans, petite et très mignonne, était employée dans le service communication d’une administration territoriale. Il n’avait eu qu’un seul enfant, Brice, mais c’était un choix assumé dès le départ. Line, étant l’ainée d’une famille de sept enfants, estimait avoir déjà assez materné dans sa vie et n’en voulait absolument pas plus d’un. Gabriel avait très vite accepté la décision d’enfant unique de sa femme et avait prit une part active dans leur contraception en décidant de subir une vasectomie. L’opération était alors interdite en France et ils durent se rendre en Angleterre pour le rendre stérile. Line, qui l’aimait déjà follement avait été profondément touchée par cette preuve d’amour qui la libérait de la contrainte d’une pilule ou d’un stérilet et des risques d’oubli ou d’échec. De fait, ils avaient une sexualité épanouie qui, même les années passant, les satisfaisait encore pleinement.
Brice, avait 18 ans, il était un peu plus petit que son père auquel il ressemblait beaucoup par ailleurs. C’était un garçon brillant qui s’orientait vers une carrière médicale. Il avait un petit côté introverti, ne sortait pas souvent, pour ne pas dire jamais, mais il avait quand même quelques amis et ses parents lui avaient connu deux flirts, alors ils ne s’inquiétaient pas trop.
Tout avait commencé par un matin d’automne, juste après sa rentrée universitaire. Brice était seul chez lui, ses parents étant déjà parti travailler et il trainait dans la salle de bain après sa douche. Le panier à linge était ouvert et une petite culotte en dentelle reposait négligemment sur le bord supérieur. Il songea d’abord à la mettre à l’intérieur et refermer le panier, mais  lorsqu’il eut le morceau de tissu entre les mains, dans un geste qu’il ne s’expliqua pas, il le porta à son nez. Aussitôt, les parfums intimes de sa mère envahirent ses narines et chamboulèrent son cerveau. Il en ressentit une vive émotion qui se traduisit par une érection phénoménale. Brice serra le fond de la culotte contre son nez, le lécha timidement du bout de la langue et, en fermant les yeux, il se masturba sauvagement avec sa main libre.
Réalisant ce qu’il venait de faire, Brice en rougit de honte. Il jeta la culotte dans la panière qu’il referma, essuya les traces de son méfait répandues sur le carrelage et, après s’être habillé, il s’enfuit de chez lui en direction de la faculté de médecine. C’est seulement en arrivant qu’il se rendit compte qu’il avait oublié ses pochettes et son bloc de feuille pour noter et ranger ses cours.
— Eh, Arnaud, tu pourrais me passer des feuilles ? J’ai oublié toutes mes affaires et je n’ai pas mon bloc.— Toi ? T’as oublié tes affaires ?! Qu’est-ce qui t’arrive ? T’es malade ? C’est vrai que t’as une petite mine…— Allez ! Ne déconne pas, ça craint. J’irai acheter un autre bloc à midi et je te les rendrai.— Tu parles pour quelques feuilles, on s’en fout, mais sérieusement, t’as l’air bizarre.— C’est rien, ça va passer ; c’est d’être parti sans mes affaires qui me stress.
Arnaud haussa les épaules, il connaissait Brice depuis l’école primaire et il ne l’avait jamais vu oublier quoique ce soit et surtout pas du matériel scolaire. Il lui donna des feuilles et se promis de tirer ce mystère au clair plus tard. Il accompagna son ami à la papèterie et ils allèrent déjeuner au restaurant universitaire ensuite.
— Bon, Brice tu m’expliques ce qui t’est arrivé ? Que d’oublier tes affaires te stresse, c’est normal, ça ne t’es jamais arrivé, mais pour que tu oublies tes affaires, c’est qu’il s’est passé quelque chose de grave.— Oui, on peut dire ça comme ça…— Alors quoi ? T’as perdu un grand-père, une grand-mère, un oncle, une tante, un cousin ?— Non, tout le monde va bien, enfin je crois aux dernières nouvelles.— Alors t’a flashé sur une super nana et tu ne sais pas comment l’aborder. Sabine Legendre ?— Non, ça c’est toi qui flashe sur elle pour l’instant, répondit Brice amusé.
— Alors sa copine Ségolène de Pouliquen !— Alors là, surement pas !— Ah, mais c’est bien ça, alors t’as flashé sur nana ! C’est qui ? Raconte ! Brice amoureux, c’est cool.— Arrête, ce n’est pas drôle et tu ne la connais pas de toute façon, mentit Brice avec un sourire forcé. C’est… C’est une voisine.— Elle est comment ? Grande, petite, blonde, brune ? Allez quoi ? Je suis sûr que c’est un canon.— T’es trop curieux, Arnaud… D’abord c’est impossible ; ça ne marchera pas. Elle est mariée et elle doit avoir l’âge de ma mère.— Une couguar ?! Cool ! Tu sais qu’il paraît qu’il y en a des bien chaudes. Te dégonfle pas, mec ; tente ta chance.— Non, Arnaud, faut que j’oublie ça ; c’est tout.— Ah mon avis, t’as tort. Une nana de 40 ans, c’est sûr qu’elle en a à t’apprendre ; moi, je n’hésiterai pas une seule seconde.
Toute l’après-midi, Arnaud s’évertua à le persuader que les femmes mûres étaient de super plan et qu’il devait sauter sur l’occasion si sa voisine lui plaisait. Brice rentra chez lui guère plus avancé qu’en quittant sa maison le matin et blêmit en voyant la mini de sa mère garée devant le garage. Il rentra et passa saluer Line affairée dans la cuisine d’un «’Jour M’an », avant de se précipiter dans sa chambre.
— Dis-donc, toi ?! Qu’est-ce que c’est que cette nouveauté ? Tu rentres, me salues à peine et tu te sauves sans même prendre le temps de me faire un bisou !— Pardon, Maman, mais c’est que je dois mettre de l’ordre dans mes cours ; j’ai oublié toutes mes affaires ce matin…— Et c’est ça qui t’empêche d’embrasser ta mère ? Attends ? T’as oublié tes affaires ? Comment est-ce possible ? Ça ne te ressemble pas du tout !— Je sais, Arnaud s’est même un peu moqué de moi, mais c’est vrai.
Line perplexe avança jusqu’à son fils qu’elle embrassa sur le front avant de lui attraper le menton.
— Regarde moi… Tu n’es pas malade au moins ? Je te trouve un peu pâle.— Ça va, Maman…— Laisse moi voir si tu as de la fièvre… Dit-elle en posant sa main sur son front. On ne dirait pas, mais je vais te faire une petite tisane aux plantes avec du miel ; on ne sait jamais.— Maman, je te  dis que ça va ! J’ai 18 ans, maintenant ; je sais dire quand ça ne va pas. Je ne suis plus un bébé.— Non, tu n’es plus un bébé, mais si demain tu ne vas pas mieux, j’appellerai le médecin.— C’est bon, Maman, c’est juste d’avoir oublié mes affaires qui m’a perturbé. Il n’y a rien de grave.— Bon, je retourne à ma cuisine, mais je reste un peu inquiète quand même. Oh ! Pendant que j’y suis, tu me trouveras aussi un moment pour porter ton linge sale dans la salle de bain ; je voudrais faire une lessive et la mettre à sécher après diner.
Brice souffla dès que sa mère eu quitté sa chambre et se plongea dans ses cours pour chasser ses idées. Il l’avait trouvée terriblement sexy dans sa jupe droite, tombant au dessus du genou, et son chemisier qui laissait entrevoir un bout de dentelle de soutien-gorge par sa large encolure. Jamais il n’avait regardé sa mère de cette manière et ses pensées le terrorisaient.
— Brice !! Ton linge ! Lui cria Line quelques minutes plus tard
Brice ramassa ses caleçons, ses t-shirts, chaussettes et pantalons sales qui s’étaient accumulés sur une chaise dans sa chambre et les porta très vite dans la salle de bain. Sa mère était accroupie devant le lave-linge, la panière à côté d’elle, et il avait une vue plongeante sur son décolleté et le sillon de sa poitrine.
— Mets ça là ; j’ai du retard et il va falloir que je fasse un tri.— Bien répondit Brice en laissant tomber par terre son linge sale, là où sa mère le lui avait demandé.
Line regarda son fils repartir vers son travail avec la fierté d’une mère devant son enfant devenu grand et sérieux, mais elle continuait de lui trouver une mine étrange et s’en inquiétait encore. Elle prit dans son linge tout ce qui pouvait passer à soixante pour compléter les serviettes de toilettes, les slips de Gabriel et ses culottes qui se trouvaient déjà dans le tambour. Il ne s’agissait donc que de ses dessous. Par habitude, elle retournait systématiquement ses caleçons et avait remarqué qu’ils étaient régulièrement salis par des pertes de liquide séminal, la seule chose que son mari expulsait encore, mais aussi, de plus en plus souvent, par du foutre séché. Son fils avait visiblement une activité masturbatoire intense et ses caleçons sales lui servaient pour s’essuyer ou recevoir ses éjaculations.
Dans l’intimité de la sale de bain, Line regardait, sentait et touchait du bout des doigts les caleçons empesé de Brice, se rappelant avec émois ses premiers amours ou les pipes qu’elle taillait à Gabriel jusqu’à sa vasectomie. La sensation d’un foutre épais envahissant sa bouche et le goût salé incomparable qui l’accompagne, était la seule chose qu’elle avait secrètement regrettée. Elle ne pensait pas vraiment à son fils, en s’intéressant à sa production de sperme, mais elle était fière de voir qu’il était devenu un homme et ce sentiment était, chaque fois, d’autant plus fort que le caleçon était sale.
Le lendemain, Brice fut soulagé de trouver une panière vide de culottes et sa journée fut plus radieuse. Il avait l’impression de pouvoir résister à son fantasme et il en était extrêmement satisfait. Arnaud continua à le bassiner avec la qualité des femmes couguars, mais il ne l’écouta presque pas et rentra chez lui de bonne humeur. En arrivant, il alla embrasser sa mère qui trouva qu’il avait meilleure mine. C’était un vendredi soir, elle avait passé sa tenue décontractée du week-end, un legging et un t-shirt, et repassait le linge lavé la veille en regardant une série.
— Poussin ?— Oui, Maman ?— Ton père a sa réunion de direction, ce soir, du coup on va manger un peu tard ; ça te dirait de manger chinois ?— Carrément !— Alors, je te charge de passer commande pour une livraison à neuf heures ; j’ai encore une tonne de repassage, une lessive qui tourne et je voudrais en mettre une dernière dans la foulée. D’ailleurs, si tu te douchais avant et que tu te mettais un pyjama propre, ça m’arrangerait. Comme ça, j’aurais pratiquement tout évacué et on repartirait avec du linge propre la semaine prochaine— Pas de problème ! En plus, j’avoue que le pyjama que j’ai commence à puer un peu… Je commande quoi chez le chinois ?— Comme d’habitude, un assortiment ; tu fais ça très bien. Mais n’oublie pas que ton père raffole des noix de Saint-Jacques à l’ail et au basilic.— Je sais, Maman, j’y pense et du canard laqué pour toi aussi.— Poussin ? T’es un amour, je t’aime.— Moi aussi, je t’aime, Maman, répondit Brice troublé par le double sens de ses propos.
Il se dirigea dans sa chambre et sortit de sous son oreiller son pyjama sale. Il éprouva presque de la honte en sentant l’odeur qu’il dégageait et les tâches qui avait traversé le tissu épais, au devant du pantalon. Il avait beau avoir 18 ans, il avait toujours porté, pour dormir, des pyjamas semblables à ceux que l’on met aux petits garçons. Seule la taille avait changée et les décors de héros de dessins animés avait disparus, mais la coupe et la matière restaient inchangées. Il en prit un propre avec un bas bleu marine et un haut rayé de blanc et alla se doucher. Il se lava rapidement, se sécha convenablement et enfila son vêtement de nuit dans lequel il trainait parfois tout le week-end quand il ne sortait pas.
Line aimait le voir dans ses pyjamas en jersey de coton ; ça lui rappelait toujours son petit garçon, mais les formes qui s’affirmaient sur le devant, même si elles correspondaient à celles d’un sexe flaccide, attestaient de sa virilité de jeune adulte. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas vu son petit garçon tout nu, mais ce que soulignaient les déformations du pantalon légèrement moulant laissaient imaginer une verge beaucoup plus imposante que celle de Gabriel.
Brice abandonna sa mère à ses tâches ménagères aussi vite qu’il le put pour faire ce qu’elle lui avait demandé. Une fois lavé et habillé de son pyjama propre, il retrouva Line dans le salon pour passer la commande. Il ne put s’empêcher de la détailler en parlant au téléphone et se mit à rougir. Une fois la commande passée, il était libre et put se réfugier dans sa chambre. Quoi que porte sa mère, il la trouvait sexy et, pour la première fois de sa vie, il venait de se rendre compte qu’elle était nue sous sa tenue décontractée du week-end. Les leggings moulaient son sexe de façon impudique, épousant la forme de ses lèvres charnues et s’enfonçant légèrement dans sa fente. Quant au t-shirt, il était déformé, au niveau de la poitrine, par les deux pointes de ses tétons. Sa tête était remplie de cette image érotique et, comme à chaque fois qu’il se masturbait en ayant son pyjama sur lui, il le fit en glissant sa main sous l’élastique de la ceinture sans l’ôter. Cela ne lui prit pas longtemps pour se faire jouir et pour qu’une tâche ne se forme sur le devant de son vêtement alors qu’il prononçait « Oh, Maman », en serrant les dents. Il essuya ses doigts sur l’intérieur de son pantalon déjà souillé et se laissa tomber sur son lit.
« Mais qu’est-ce qui m’arrive, bon sang ! Dès que je la vois, je bande… Deux fois en moins d’une heure… Je me suis branlé deux fois en moins d’une heure, je suis vraiment malade… Pourvu que ce soit suffisant pour rester digne… Il ne manquerait plus que je me mette à bander en passant à table ; ce serait la merde… »
Son repassage presque fini, Line entendit le signal de la fin de sa lessive et se rendit aussitôt dans la salle de bain. Elle mit le linge dans le séchoir et remplit de nouveau sa machine avec les dernières bricoles qui restaient à laver et, surtout, le pyjama et les vêtements sales de son fils. Elle ne s’attarda pas sur son t-shirt ou son haut de pyjama et encore moins sur son jean et ses chaussettes, mais quand elle prit le pantalon, elle ressentit un véritable plaisir. Cela faisait quinze jours que Brice le portait pour se coucher et qu’il se masturbait à l’intérieur. Il sentait le foutre séché et des auréoles dans la partie supérieure s’étaient formées sous la puissance de ses éjaculations. Le tissu en avait été imprégné et l’intérieur était maculé de trainés desséchées.
« Mon pauvre Gabriel, pensa-t-elle en reniflant l’intérieur du vêtement. Pourquoi avons nous fait ça ? Ça va faire 18 ans bientôt que tu n’éjacules plus de sperme… Oh, que ta sauce blanche me manque parfois. Que j’aimais te voir la répandre sur mon ventre quand tu interrompais la pénétration au moment de jouir. Je le ramassais avec les doigts pour le porter à ma bouche… Et les fellations qui se terminaient par tes giclées épaisses et crémeuses sur ma langue et mon palais. Comme je m’en délectais… Pourquoi est-ce maintenant que ça me manque ? Oh, Gabriel… Mon pauvre Gabriel… »
Line se sentait bouleversée par le sacrifice effectué par son mari et, pour la première fois depuis 18 ans, elle le regrettait amèrement. Elle porta encore son nez aux pollutions de son fils et mit soigneusement le pantalon de pyjama dans le tambour de la machine. Elle prit enfin son caleçon qu’elle retourna comme d’habitude et elle eut un choc. Il était garni de sperme frais. Brice avait dû se masturber juste avant de prendre sa douche et récupérer dedans sa semence abondante.
C’était elle qui lui avait demandé de faire comme ça quand son activité de jeune homme avait débuté. Line préférait qu’il salisse ses culottes ou son pyjama que ses draps et Brice avait tout de suite intégré cette règle. Avec les années, l’habitude était ancrée et il ne se souciait pas du fait qu’elle voit qu’il se masturbe en mettant au sale ses vêtements.
Line regarda ce foutre blanc et épais comme un véritable trésor, elle en récupéra une goutte, timidement, avec le bout de son index qu’elle porta ensuite à sa bouche. Elle retrouvait un goût oublié. Elle ferma les yeux pour s’en imprégner et, l’instant d’après, c’était sa langue qui ramassait la semence répandue dans l’intérieur du caleçon de Brice. Une chaleur intense s’empara de son bas-ventre et elle se caressa l’entrecuisse quelques instants avant de se ressaisir. Certes, elle n’avait fait qu’imaginer que ce puisse être le foutre de Gabriel, mais c’était bel et bien celui de son fils qu’elle était en train de lécher. Contrariée par ce comportement, elle jeta le caleçon dans la machine et, après l’avoir mise en route, elle se brossa les dents.
Gabriel rentra peu avant la livraison de leur repas chinois et sa présence rassura et calma les esprits troublés de sa femme et de son fils. Bien qu’épuisé de sa journée, il était heureux d’être enfin en week-end et, surtout, il était porteur d’une excellente nouvelle. Il se montra, comme à son habitude, très tendre avec Line et un peu potache avec Brice mais une joie particulière se lisait dans ses yeux. Il garda son secret jusqu’au moment du repas et commença par se mettre comme son fils en pyjama. La nouvelle qu’il annonça, Line s’y était attendue déjà depuis longtemps ; cela faisait deux ou trois ans que Gabriel espérait une promotion qui était enfin arrivée. Elle était heureuse pour lui et pour les revenus de leur ménage qui allaient sérieusement augmenter mais sa joie était un peu mitigée. Gabriel serait amené à faire plus de déplacements, notamment vers le siège de la maison mère, situé en Allemagne. En clair, il rentrerait plus tard tous les soirs et serait absent de la maison deux ou trois jours par mois.
Pour Line cette soirée ne fut pas aussi joyeuse que ce qu’elle aurait souhaité et elle espéra que Gabriel la console et la câline tendrement dans l’intimité de leur lit. Tout commença très bien, Gabriel sut se montrer tendre, rassurant et compréhensif. Il lui fit l’amour merveilleusement bien et pourtant, lorsqu’il jouit en elle, elle se mit à pleurer.
— Que se passe-t-il, ma Chérie ? C’est ma promotion qui te met dans cet état ? Je peux la refuser, si tu veux…— Ne dit pas de bêtise, Gabriel, un poste comme celui qui t’est offert ne se refuse pas, et puis ce n’est pas ça…— C’est quoi, alors ?— Des remords… Je regrette le choix qu’on a fait il y a 18 ans en optant pour la vasectomie…— Pourquoi ? Ça a fonctionné à merveille… Tu regrettes de n’avoir eu qu’un seul enfant, c’est ça ?— Non, ça, j’en suis très heureuse et quand je vois mes sœurs qui se retrouvent seule à élever des gamins qui ne font que des conneries, je suis plutôt ravie et satisfaite de mon sort. Je n’en ai jamais voulu plus d’un seul et Brice est vraiment le garçon idéal. Gentil, sérieux, travailleur… Bon, s’il avait une petite copine, ça ne lui ferait pas de mal, mais autrement tout va bien.— Alors qu’est-ce que tu regrettes ?— Ton sperme… Je n’arrive pas à me l’expliquer mais depuis quelques jours, je regrette que tu n’ais plus que ce jus transparent et inutile. Je voudrais sentir à nouveau ton foutre en moi, sur moi ou dans ma bouche. C’est complètement stupide, mais je ne peux pas me dire autre chose que c’est de ma faute et que j’aurais dû choisir le stérilet plutôt que ton opération.— Ce n’est pas toi qui as choisi mon opération ; c’est moi. Alors tu n’as pas à te culpabiliser pour ça. Ensuite, pour mon sperme, je ne sais pas trop quoi te dire… C’est irréversible.— Je sais, c’est complètement idiot de ma part et ma réaction est irrationnelle… Tu crois que je devrais consulter ?— Si tu penses que ça peut te faire du bien, vas y. On peut aussi consulter ensemble pour voir si des choses sont à améliorer dans notre relation.— Notre relation va très bien, mon Amour, c’est moi qui deviens folle, c’est tout…
La suite du week-end fut plutôt calme même si Line fut très troublée en constatant que le pyjama de son fils se salissait à vue d’œil. Il n’était pas sorti, ni le samedi, ni le dimanche, et ne s’était donc pas plus changé ou lavé. Rapidement, elle avait guetté l’apparition de nouvelles tâches humides et cette curiosité malsaine l’avait amenée à prendre conscience de l’importance du paquet de son fils. Il lui parut très vite évident que Brice avait été généreusement servi par la nature. Pour la première fois de sa vie, Line se rendait compte à quel point son sexe même au repos se laissait deviner par la déformation du tissu souple et extensible de son pyjama. « Gabriel n’éjacule plus, mais Brice éjacule largement pour deux, pensa-t-elle le dimanche soir. Et quel engin il doit avoir… »
— Tu m’as l’air songeuse, Chérie ?— Oui, je me disais que je devrais peut-être remplacer les pyjamas de Brice par d’autres un peu comme les tiens, plus amples et plus adultes. Ce n’est plus un enfant…— Oh non ! Ça se voit… Et peut-être qu’on devrait lui expliquer les avantages du mouchoir en papier ou de l’essuie-tout, tu ne crois pas ?— Mmm… Oui mais, un pyjama ou un caleçon, ça se lave ; je lui demanderai d’en changer demain.— J’ai l’impression qu’il a passé son week-end à se branler ; je comprends pourquoi tu disais qu’il lui faudrait une petite copine. Je n’ai pas souvenir de m’être autant masturbé dans ma jeunesse.— Tu as remarqué aussi…— C’est difficile de ne pas le voir avec cette manie de se branler dans son froc. Il ne le faisait pas autant avant.— Non, c’est nouveau, c’est vrai…— En plus, ça pue et il ne s’est pas lavé du week-end. J’aurais peut-être dû intervenir ; je lui parlerai demain.— Laisse… Ce n’est pas si grave et c’est de son âge, non ? Ses hormones doivent le travailler et j’imagine qu’il passe une partie de son temps à regarder des vidéos cochonnes sur internet.— Tu as peut-être raison, mais ça n’empêche pas d’être propre… — Je lui parlerai, alors…
Le lendemain fut un lundi comme les autres, morose, mais le mardi matin, Brice trouva dans la panière à linge une nouvelle culotte sale de sa mère. Il s’agissait d’un tanga assez joli en dentelle bleu dont le fond doublé était imprégné de secrétions intimes. Il rougit de honte en prenant la culotte mais ne résista pas au plaisir de la humer et de la lécher en se masturbant au dessus du lavabo. Il la remit ensuite en place en s’efforçant de lui redonner sa position et son chiffonnage initial puis il prit sa douche et partit à la fac. Le soir, sa mère arriva après lui, chargée de sacs de courses diverses et elle lui sortit un pyjama d’homme assez semblable à ceux de son père, avec un t-shirt uni pour le haut et le pantalon en coton tissé avec un motif écossais. Il était ample et muni d’une poche et d’une braguette à boutons.
— Je pense que tu seras mieux là-dedans que dans les autres… Essaye le et, si ça te va, je t’en prendrai plusieurs et on virera tes vieux.
Brice alla se changer dans sa chambre et revint au salon.
— C’est pas mal ; tu es beau comme tout, là dedans. Qu’est-ce que tu en penses ?— C’est plus confortable et plus léger que les autres ; j’aime bien.— Bon, et bien j’irais t’en acheter d’autres demain. Tu mettras celui que tu as porté ce week-end au sale, il en a sérieusement besoin, mais d’abord j’aimerai te parler…— De quoi ?— De toi, mais il n’y a rien de grave, mon Poussin. Ton père et moi, on a remarqué que tu avais une activité très intense en ce moment et, jusqu’à présent, tu faisais tes petites affaires dans ton pyjama, mais là, ce n’est plus possible… Celui que tu as mis vendredi soir est plus sale que celui que tu portais avant depuis quinze jours.— Euh, oui, c’est vrai… reconnut Brice honteusement.— Ce n’est pas grave, poussin, mais plutôt que de faire ça dans ton pyjama, tu pourrais simplement garder le caleçon que tu as porté dans la journée comme chiffon et le mettre au sale le lendemain matin ; ça serait plus propre.
Le sentant un peu peiné, Line le prit dans ses bras et le serra contre elle. Brice se retrouva avec le nez et les yeux plongés dans le décolleté de son chemisier et il sentit avec angoisse son sexe se redresser.
— Il faudrait que tu oublies Stéphanie, Poussin. Ça fait six mois que c’est fini et je pense que ce n’était pas une fille pour toi. Il doit bien y avoir des filles autours de toi qui te plaisent un peu, non ? Tu devrais peut-être sortir un peu plus aussi…— Non, je n’ai pas envie. Si c’est pour aller en boite et voir les autres se bourrer la gueule à coup de shooters ; très peu pour moi.— Moui… Je suis d’accord, mais tes copains ne font pas que aller en boite, si ?— Non, mais dès qu’ils font la fête, soit ils fument de l’herbe, soit ils picolent. Ça ne m’intéresse pas. Je suis mieux avec toi.— Hum… Oui, bon ! Je vais ranger les courses. Dit subitement Line en voyant la déformation du pyjama de son fils. Et toi, tu fais ce que je t’ai demandé…
Brice se précipita rouge de honte dans sa chambre et sortit sa verge par la braguette du pantalon avant de se masturber dans le caleçon qu’il avait porté la journée. Il essuya bien son gland dedans, rangea son sexe apaisé et abandonna le sous-vêtement sur le coin de son bureau. Ce nouveau procédé contenta Gabriel qui n’eut plus à voir son fils trainer dans des pyjamas de plus en plus souillés et ravit Line qui, chaque jour, retrouvait un caleçon plein d’un foutre abondant dont elle se délectait. Brice quant à lui, avait de moins en moins de scrupules à s’enivrer des parfums intimes de sa Maman qui occupait tous ses fantasmes.
Cette situation resta stable pendant plusieurs semaines, jusqu’à l’entrée en fonction de Gabriel à son nouveau poste de direction et à son premier voyage à Berlin. Line et Brice se retrouvèrent tous les deux pour la première fois et cette intimité forcée ne fut pas propice à calmer les ardeurs du garçon, bien au contraire. Sa mère anxieuse de la solitude de ses deux nuits à venir, s’était douchée en rentrant le premier soir. Elle avait espéré que cela la détende, sans trop de succès, et avait ensuite enfilé un de ses éternels leggings moulants et un t-shirt qu’elle trouvait trop court pour être porté dehors, mais qu’elle aimait bien en tenue d’intérieur. Elle se trouva jolie et se dit que Gabriel l’aurait tout de suite prise dans ses bras s’il avait été là, mais à aucun moment elle ne songea à l’effet que cela pourrait avoir sur son fils.
Brice crut s’étrangler en voyant sa mère habillée ainsi et le pyjama qu’il avait enfilé en rentrant de la faculté pointa instantanément de façon arrogante. Le garçon s’excusa très vite et s’enfuit dans sa chambre pour se soulager dans son caleçon du jour. Line sourit de cette excitation soudaine et refusa inconsciemment de reconnaître l’évidence. Pire que tout, elle commença même à trouver amusant de voir son fils bander et comme il allait systématiquement se masturber, c’était également synonyme de caleçons bien empesés. Grâce à son onanisme intensif, Brice était devenu son fournisseur de foutre et elle avait l’impression d’avoir sa dose en fourrant son nez et sa bouche dans ses sous-vêtements souillés. Elle avait bien conscience que ça devenait une véritable drogue mais, d’un autre côté, elle ne ressentait plus de regret quand Gabriel jouissait de quelques gouttes de liquide séminal stérile.
Pour faire plaisir à son fils, elle avait préparé son gratin préféré. Brice avait bandé tout le long du repas, était allé se branler encore une fois après le diner, et n’avait pas débandé de tout le film qu’ils avaient regardé ensemble sur le canapé. « Il doit vraiment avoir une bite énorme, s’était-elle dit tout au long de la soirée. C’est bien la seule chose qu’il ne tient pas de Gabriel. Une grosse bite pleine de jus d’un côté et une petite bite stérile de l’autre… Sur ce plan, tout les oppose. »
Brice n’y tenant plus profita d’un quart d’heure de publicité pour aller se soulager une nouvelle fois en murmurant « Maman ». Son caleçon était tellement rempli par ses trois éjaculations de la soirée qu’il ne savait même plus où le poser pour ne rien salir. Il se dirigea alors très vite dans la salle de bain et le mis dans la panière à linge. Il récupéra son caleçon de la veille qui était sale mais sec et découvrit une culotte en dessous, la première qu’il avait reniflée et qu’il considérait comme sa culotte fétiche. Il s’en empara aussi et remmena le tout dans sa chambre avant de retourner auprès de sa mère la bite encore au garde à vous.
— Tu en as mis du temps, le film a repris.— C’est que mon caleçon de ce soir était un peu trop sale ; je ne savais plus où le poser, alors je l’ai porté dans la salle de bain et j’ai repris celui d’hier au cas où…— Mmm… Et quelque chose me dit que ce ne sera pas inutile, mon Poussin.
Line prit son grand garçon par l’épaule et le tira contre elle pour un câlin très maternel. Brice se retrouva calé contre sa poitrine mais la position lui était inconfortable alors il s’allongea en posant sa tête sur ses cuisses. Elle lui caressait les cheveux avec la tendresse d’une mère et ne s’intéressait plus tellement au film. C’était ce qu’il lui avait dit qui accaparait son esprit et elle avait hâte de pouvoir constater de ses yeux l’état de saleté du caleçon dont il s’était servi dans la soirée.
Brice était bien et ne regardait encore le film que pour prolonger cet instant d’intimité avec sa mère. Leur position, par ailleurs, lui permettait de sentir, contre son oreille, le relief de son pubis et du haut de sa vulve et il se mit à penser que pour que le tissu colle aussi bien à sa peau, c’était sans doute parce qu’elle était totalement épilée. Cette pensée vicieuse ne fit qu’accroitre son excitation, mais il ne s’en souciait plus tellement. Il n’avait pas arrêté de bander, n’avait pas caché son besoin de masturbation et sa mère semblait prendre ça avec beaucoup de détachement. Le film terminé, ils se firent la bise pour se souhaiter bonne nuit et chacun se précipita vers l’objet de ses fantasmes.
Line alla prendre dans la panière le caleçon souillé et débordant de sperme encore liquide. Elle retourna dans sa chambre, se déshabilla et se coucha avec son trésor. Elle le porta à sa bouche, le lécha un peu et essuya le tissu trempé sur sa poitrine son visage et sa vulve avant de se masturber à deux mains en remerciant Brice de produire autant de foutre. Son orgasme fut fulgurant et elle rougit de honte, peu après, en réalisant qu’à aucun moment elle n’avait pensé à Gabriel. « Là, il va vraiment falloir que je consulte, pensa-t-elle en éteignant la lumière. »
Brice, dans le même temps, s’enivrait des odeurs piégées dans le tissu en se masturbant avec son caleçon. Il se construisait des images de sa mère nue, la poitrine bien ronde et la chatte intégralement lisse. Il s’imaginait la lécher et la pénétrer. La culotte sale de sa Maman n’en était qu’une représentation concrète et un merveilleux vecteur de plaisir. Il abandonna alors son vieux caleçon et roula le tanga en dentelle noire autour de sa verge tendue en plaçant bien son gland sur la doublure du fond. Son excitation monta encore d’un cran et après quelques minutes d’une masturbation sauvage, il envoya sa sauce se mélanger aux secrétions intimes de sa Maman adorée.
Brice avait honte de lui, le lendemain matin, en déposant la culotte noire souillée de son foutre dans la panière à linge et il espéra, naïvement, que sa mère ne se rendrait pas compte de ce qu’il avait fait. Il embrassa Line qui, depuis son entrée en maternelle ne travaillait plus le mercredi, et s’en alla d’un pas joyeux à l’université.
Line s’était mise à 80% quand Brice était petit et elle n’avait jamais souhaité reprendre un service complet. Cette coupure en milieu de semaine lui convenait bien et lui donnait du temps pour s’occuper d’elle et de sa maison. Elle passa par la chambre de son fils pour vérifier que tout était en ordre et se dirigea vers la sienne pour refaire son lit et rapporter le caleçon de Brice dans le panier à linge. Elle fut tout de suite étonnée de trouver tout au-dessus une culotte qu’elle avait portée deux jours plus tôt. Elle la prit machinalement dans ses mains et ses doigts rentrèrent en contact avec un liquide gluant qu’elle reconnut instantanément.Ce fut d’abord un sentiment de colère qui l’envahit car sa culotte engluée de foutre frais rendait évident ce qu’elle refusait de voir : Brice bandait pour elle et rêvait d’elle. Elle était furieuse mais, paradoxalement, son besoin irrationnel et toujours plus intense de sperme vrai fit qu’elle y porta quand même le bout de la langue et y trouva de l’apaisement. Elle recommença pour, finalement, promener une bouche vorace sur toutes les parties souillées de son tanga. Elle passa une main sous l’élastique de son legging et trouva sa chatte ruisselante de désir. Elle laissa ses doigts s’y enfoncer ou jouer avec son clitoris et finit ainsi par se faire jouir, debout au milieu de sa salle de bain, en s’imaginant dans les bras de Brice.
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